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    Suntan
    Note moyenne
    3,6
    8 titres de presse
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Septième Obsession
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    8 critiques presse

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Certes, Suntan innove moins que certains films grecs récents. Le récit, linéaire, se cantonne dans le fatalisme. Mais cette satire du sea, sex and sun, non dénuée d’une pointe de cruauté, est bien vue. Un regard pop et cinglant sur l’insouciance en temps de crise.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par François Forestier

    La dérive vers la noirceur est obligatoire, et la fin, imprévisible. Argyris Papadimitropoulos, pour son troisième film, trouve un ton, un style et un regard ébouriffants.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Septième Obsession

    par Claire Micallef

    Suntan s’évade dans ses méandres orgiaques, ployant sous le poids de ses références, Houellebecq, Lolita et L’inconnu du lac de Guiraudie (rien que ça !), dont il apparaît comme un condensé grec à l'énergie ébourrifante.

    Les Fiches du Cinéma

    par Nathalie Zimra

    Une œuvre aussi subtile que maîtrisée.

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Papadimitropoulos filme la descente aux enfers de Kostis, qui s’opère au fluctuations successives en crabe au gré des oukases désirants ou pas d’Anna (…). "Suntan", film houellebecquien.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Primé à Édimbourg, ce thriller érotique est celui d’un lecteur de Houellebecq, réalisateur aguerri passé par la pub. Son héros imprègne tout le film de son malaise, libidinal et poisseux, comme une huile à bronzer. Attendrissant mais détraqué, tragique, en décalage total avec le cliché des plages ensoleillées.

    Le Monde

    par Jean-François Rauger

    Le plaisir paradoxal pris au film est justement celui d’une joie mauvaise, entretenue par le sentiment d’assister aux malheurs d’un protagoniste pathétique et lourdaud. Le masochisme du personnage n’appelle-t-il pas le sadisme du spectateur ?

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Télérama

    par Samuel Douhaire

    Il utilise avec brio le physique de nounours pataud de son acteur principal, tout à la fois attachant et inquiétant. Avec une mélancolie que la lumière dure de l'été rend encore plus cruelle

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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