Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certes, Suntan innove moins que certains films grecs récents. Le récit, linéaire, se cantonne dans le fatalisme. Mais cette satire du sea, sex and sun, non dénuée d’une pointe de cruauté, est bien vue. Un regard pop et cinglant sur l’insouciance en temps de crise.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
La dérive vers la noirceur est obligatoire, et la fin, imprévisible. Argyris Papadimitropoulos, pour son troisième film, trouve un ton, un style et un regard ébouriffants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Suntan s’évade dans ses méandres orgiaques, ployant sous le poids de ses références, Houellebecq, Lolita et L’inconnu du lac de Guiraudie (rien que ça !), dont il apparaît comme un condensé grec à l'énergie ébourrifante.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une œuvre aussi subtile que maîtrisée.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Papadimitropoulos filme la descente aux enfers de Kostis, qui s’opère au fluctuations successives en crabe au gré des oukases désirants ou pas d’Anna (…). "Suntan", film houellebecquien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Primé à Édimbourg, ce thriller érotique est celui d’un lecteur de Houellebecq, réalisateur aguerri passé par la pub. Son héros imprègne tout le film de son malaise, libidinal et poisseux, comme une huile à bronzer. Attendrissant mais détraqué, tragique, en décalage total avec le cliché des plages ensoleillées.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le plaisir paradoxal pris au film est justement celui d’une joie mauvaise, entretenue par le sentiment d’assister aux malheurs d’un protagoniste pathétique et lourdaud. Le masochisme du personnage n’appelle-t-il pas le sadisme du spectateur ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Samuel Douhaire
Il utilise avec brio le physique de nounours pataud de son acteur principal, tout à la fois attachant et inquiétant. Avec une mélancolie que la lumière dure de l'été rend encore plus cruelle
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Certes, Suntan innove moins que certains films grecs récents. Le récit, linéaire, se cantonne dans le fatalisme. Mais cette satire du sea, sex and sun, non dénuée d’une pointe de cruauté, est bien vue. Un regard pop et cinglant sur l’insouciance en temps de crise.
L'Obs
La dérive vers la noirceur est obligatoire, et la fin, imprévisible. Argyris Papadimitropoulos, pour son troisième film, trouve un ton, un style et un regard ébouriffants.
La Septième Obsession
Suntan s’évade dans ses méandres orgiaques, ployant sous le poids de ses références, Houellebecq, Lolita et L’inconnu du lac de Guiraudie (rien que ça !), dont il apparaît comme un condensé grec à l'énergie ébourrifante.
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre aussi subtile que maîtrisée.
Les Inrockuptibles
Papadimitropoulos filme la descente aux enfers de Kostis, qui s’opère au fluctuations successives en crabe au gré des oukases désirants ou pas d’Anna (…). "Suntan", film houellebecquien.
Le Journal du Dimanche
Primé à Édimbourg, ce thriller érotique est celui d’un lecteur de Houellebecq, réalisateur aguerri passé par la pub. Son héros imprègne tout le film de son malaise, libidinal et poisseux, comme une huile à bronzer. Attendrissant mais détraqué, tragique, en décalage total avec le cliché des plages ensoleillées.
Le Monde
Le plaisir paradoxal pris au film est justement celui d’une joie mauvaise, entretenue par le sentiment d’assister aux malheurs d’un protagoniste pathétique et lourdaud. Le masochisme du personnage n’appelle-t-il pas le sadisme du spectateur ?
Télérama
Il utilise avec brio le physique de nounours pataud de son acteur principal, tout à la fois attachant et inquiétant. Avec une mélancolie que la lumière dure de l'été rend encore plus cruelle