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Chillout And Relaxing
11 abonnés
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3,0
Publiée le 24 mars 2024
Dernier épisode de la trilogie du Baztán et peut-être le moins bon des 3. Une intrigue plus lente et moins bien travaillée. Je m'attendais à une meilleure fin mais le tout reste de très bonne qualité et Marta Etura crève l'écran dans les 3 épisodes. Cette trilogie est agréable à regarder pour les amateurs de polars sombres.
J'écrivais à propos de l'épisode précédent (De chair et d'os) "C'est tellement mal écrit qu'on y comprend rien, les scènes se suivent sans que le rapport avec ce qui précède soit évident. Il y a une foultitude de personnages dont on se demande comment certains apparaissent dans l'histoire, bref c'est le foutoir et seule la présence de la belle et talentueuse Marta Etura nous empêche de décrocher.". Voilà qui m'évite de chercher mes mots mais on peut y ajouter le fait que le réalisateurs n'a absolument rien fait pour rendre l'enquête intéressante, que finalement on n'apprend rien sur cette secte mystérieuse (alors que c'est quand même le sujet de la trilogie, on aura une idée de l'ampleur de la catastrophe et comme si ça ne suffisait pas on y a ajouté des pleurnicheries en cascades qui n'ajoute pas grand-chose au film. Une toute petite consolation pour les coquino-cinéphiles, on aperçoit furtivement les nénés de Marta Etura !
Un bon troisième et dernier volet, bien qu'un peu long. La policière est très affûtée et évolue dans ce milieu sorcello-satanique où il pleut tout le temps ! Pas indispensable mais recommandé de voir la trilogie dans l'ordre.
Un véritable navet qui nous perd dans ses péripéties absurdes, mal écrites, mal amenées et insipides. Un véritable écran de fumée, un vide cosmique là où devait se trouver un film.
J'ai lu de nombreuses critiques assez négatives que je peux comprendre dans une certaine mesure : même si la série en est une fidèle adaptation il faut avoir lu les livres pour mieux comprendre ce qui se passe. Pour ma part, j'ai adoré !
Dernier opus de la trilogie de Baztan, il tient encore en haleine dans ce climat si pluvieux de Navarre en hiver. Du suspense des dialogues une interprétation satisfaisants on nous amène jusqu'à une fin que l on pouvait commencer à deviner autour du mystère familial. Au final ces polars d outre-Pyrennees continuent de garder leurs aspects originaux et de bonne facture.
Non mais franchement, comment est-il possible que de telles fadaises, de telles niaiseries puissent encore faire recette. Cette "Trilogie du Baztan" c'est quoi au juste ? (Fausse trilogie d'ailleurs puisque, faute d'inspiration, ça reste toujours la même histoire délayée à l'infini pour faire durer.) Ça fait penser à du Harry Potter à la sauce basque : Il est clair que notre Dolores Redondo, en bonne maligne, s'est dit : "Si l'autre Rosbiffe est devenue multi-millionnaire avec ses fables pour ados oligophrènes, pourquoi ne pourrais-je pas servir le même rata aux adultes ?" Fin raisonnement qui prouve que lorsque l'on mise à la fois sur l'insondable bêtise humaine et les vices qui en découlent on n'est jamais déçu... Avec ce genre de littérature et de cinéma la recette est simple : c'est comme pour la malbouffe industrielle, faut pas lésiner sur la variété des ingrédients et les exhausteurs de goût, surtout les plus malsains. Pour engranger un max. de blé il faut ratisser large, donc notre Dolores n'a pas hésité à faire des concessions aux fantasmes les plus morbides d'une certaine société en perte de repères. Tout y passe : bourreaux d'enfants, pédophiles, taphophiles, tanathophiles et nécrophages, hybristophiles, sado-masochistes, sans oublier les inévitables satanistes. Les scatophiles, coprophiles et coprophages devront toutefois attendre le cinéma olfactif pour goûter l'exquise saveur de leurs pratiques ;-)) (Si nous avons heurté l'orgueil légitime de quelques pervers en oubliant de les nommer, qu'ils daignent nous pardonner comme nous avons pardonné...etc.) L'héroïne de cette farce est le lieutenant Amaia (copier-coller de la Clarisse du "Silence des agneaux.") douée d'une co...rie qui force le respect sinon l'admiration. On la découvre tout à la fois autoritaire, suffisante, obstinée comme la plus retorse des bourriques et pleurnicharde comme une novice nympho. condamnée aux carottes râpées...À sa décharge disons que son mentor de la CIA lui suggère, chose très logique, d'oublier toutes les techniques de la police scientifique et de ne se fier qu'à son instinct et surtout à son intuition féminine qui, c'est bien connu, est l'ultime recours quand tout le reste à échoué. Et comme 2 intuitions de ce genre valent mieux qu'une, elle va se faire prédire l'avenir chez sa tata cartomancienne amateur. Ce qui n'empêche évidemment pas notre Amaia d'avoir une réputation de farouche cartésienne. Toutes ces qualités se révèlent d'ailleurs redoutablement efficaces puisque l'infortunée Amaia ne parvient pas à déceler ce que son collègue (et nous lecteurs ou spectateurs) avait vite deviné c.a.d. que le juge (Mélange de Hannibal Lecter et de Roman Castevet du film "Rosemary's baby") avec lequel elle fornique telle une chienne, est en fait le chef de la secte qu'elle est censée démanteler !!! Inutile d'aller plus loin, le reste est à l'avenant... On remarquera, d'autre part, que ni ces romans ni leur adaptation au cinéma ne se risquent à égratigner la hiérarchie catholique ou à faire allusion aux atrocités de l'Inquisition liées aux prétendus cas de sorcellerie. En Espagne la religion reste un sujet sensible et notre Dolores, suivie par ses cinéastes, se sont bien gardés de risquer de stériliser la poule aux œufs d'or en abordant ces questions. Il était bien plus facile d'aller piocher chez Lovecraft et dans le folklore basque les forces maléfiques d'antiques divinités chthoniennes. En guise de conclusion, et au risque de passer pour des rabat-joie, nous estimons que ce genre d'écrits et d'images devraient être censurés, car les atteintes à la dignité humaine (même simplement simulées) ne sauraient en aucun cas être considérées comme un possible divertissement. Ne soyons pas naïfs, loin de les stigmatiser, ces livres et ces films ne font que stimuler les instincts les plus vils refoulés par le surmoi. Et qu'on ne vienne pas nous dire que ce genre de fientes ont un effet cathartique empêchant un certain nombre d'individus de passer à l'acte. En l'absence de faits on ne peut pas faire de statistiques. Par contre, la banalisation (voire la valorisation) de ce type de crimes, engendrée par le succès de certaines productions, ne fait pas rarement office d'élément déclencheur chez les esprits faibles. Il suffit pour s'en convaincre de recenser dans les journaux les faits divers en lien avec des sectes sataniques ou autres. Pour plus d'infos sur ce sujet lire l'article du MONDE diplomatique de février 1991 p.28 intitulé "Essor de la violence satanique aux États Unis".
Il y a de bonnes intentions dans ce film mais c'est parfois trop ment et empesé pour être vraiment palpitant. De plus les personnages complexes sot multiples ce qui ne simplifie pas la compréhension de l'histoire. mais il faut reconnaître que la réalisation est soignée.
Je m'étais juré de ne pas visionner un autre épisode de cette saga en trois épisodes, n'ayant pas été convaincue par le premier. Mais las, j'ai regardé le troisième épisode de la trilogie, et il semblerait qu'il soit recommandé de voir tous les épisodes au risque de ne pas tout comprendre. Mais nous sommes en terrain connu si nous avons vu le premier épisode, car l'inspectrice a toujours sa vie familiale et personnelle mêlée à ses enquêtes. Là, il semblerait que sa mère ait disparu, et la genèse de cet événement se situe sans doute au cours du second volet. L'intrigue nous promet une histoire de nouveaux nés offerts en sacrifices aux forces du mal. J'avoue avoir été attirée par ce synopsis aguicheur, mais le traitement est toujours aussi peu excitant. Non que l'on s'ennuie, et la Navarre est belle, mais je n'ai pas été scotchée, ( une nouvelle fois ), par les aventures d'Amalia. La conclusion m'a fait bailler, je l'avoue. Je ne suis pas mécontente que cela se termine.
Conclusion de cette trilogie du Baztan !! Beaucoup de réponses aux questions du second volet !! Toujours aussi énigmatique, mystérieux !! Encore une fois, un peu trop long ( 2h20 ), cassant le rythme par moment !! Une trilogie assez intéressante à voir !!
Dernière partie, là on lâche les chevaux, on met le paquet pour finir en beauté, et cette enquête est effectivement plus prenante, avec un peu plus d'intensité et de rebondissement, pas mal pour un film européen, mais il faut avouer que l'on devine très vite (à savoir déjà dans la deuxième partie)qui sera le personnage central, manipulateur. Donc, pas de grande surprise, toujours la même ambiance pluvieuse, et sombre, bref une trilogie qui tient ses promesses, avec quelques longueurs.
Les deux premiers film de la trilogie étaient intéressants au niveau de l'atmosphère, malgré des longueurs et une intrigue alambiquée. Ces longueurs permettaient toutefois d'approfondir la psychologie des personnages et de comprendre leur choix, leur comportement. Ce troisième film est catastrophique, de plus en plus catastrophique lorsqu'on approche du dénouement. L'inspectrice Amaia Salazar, formée au FBI et aux compétences saluées par sa hiérarchie, fait preuve cette fois d'une incompétence totale. Nous avons des soupçons qu'elle n'entrevoit absolument pas, et nous connaissons le coupable bien avant ses premiers doutes. Ces invraisemblances me font songer à un pastiche grossier d'un dénouement d'une tragédie grecque.