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Le film est à la fois indulgent et sévère : ces sélectionneurs sont pleins de bonnes intentions, mais ils se heurtent sans cesse à la violence de la tâche qui leur est confiée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le film est drôle : lorsqu'un candidat noie le jury dans le récit d'une généalogie alambiquée. Cruel : certaines sentences nous semblent injustes. Captivant, car chacun des postulants, performant ou non, apporte avec lui une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Claire Simon suit au plus près, avec empathie et humour, candidats et examinateurs, et c’est toute une mécanique qu’elle fait apparaître, qui renvoie tout autant au fonctionnement d’une école qu’à celui-là même d’une société fondée sur la séparation du bon grain des reçus d’avec l’ivraie des recalés.
Agaçant, touchant, inquiétant, ce "Concours" formidable parle finalement de nous, de nos enfants, de nos vies, d’injustice. Et ce n’est pas son sous-titre ironique qui va nous rassurer : « Tous égaux, mais seuls les meilleurs... »
La valeur du film tient autant à cette conclusion, conforme aux théories de Pierre Bourdieu sur les ressorts de la méritocratie républicaine, qu’au chemin qu’il emprunte pour y arriver.
Le film est passionnant parce qu’il nous fait voir et entendre des délibérations de jurys qui sont toujours tenues secrètes, qu’il montre l’instant fatidique de la confrontation entre des candidats ayant déjà surmonté plusieurs épreuves et leurs évaluateurs professionnels (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
L’auteur de "Coûte que coûte" et des "Bureaux de Dieu" explore avec finesse tout ce qui constitue le processus d’un tel sésame. Processus propre à nos sociétés contemporaines où les rituels d’admission ont à voir avec des passages de relai d’une génération l’autre, et où l’évaluation de jeunes étudiants mêle subjectivité et tentative d’équité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le film est autre chose que la radioscopie d'une organisation figée, ou le décorticage des rouages d'admission des candidats au sein d'un système immuable. Car la Fémis est un monde flottant, en perpétuelle oscillation entre deux pôles : celui de l'institution et tout ce qui peut la déborder.
Le documentaire (qui s'attarde trop longuement sur l'épreuve du grand oral) permet d'en apprendre plus sur les habitudes de sélection des établissements d'enseignement supérieur.
La cinéaste invisible met tout à plat, évitant ainsi le triple écueil du nombrilisme, de la complaisance et de la polémique facile. Un travail en nuances et cruauté – de ce bois dont les concours sont faits.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La sensibilité de Claire Simon, son regard sur l’institution, son panache admirable donnent plutôt envie de suivre le sillon buissonnier de cette rock-star française du documentaire que de s’enfermer 6, rue Francoeur.
Les métiers de l'image et du son. La réalisatrice Claire Simon a observé de près cette mécanique. Très vite, le film tourne autour de la subjectivité des examinateurs. L'image d'une jeune femme, recalée, est touchante. Elle s'en va de dos, flairant une injustice, dans un désemparement que l'on partage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Certaines scènes sont très drôles, puisque chacun - juré professionnel et candidat - réagit évidemment selon son caractère, ses goûts, sa culture (ou son absence).
À la manière des documentaires de Frederick Wiseman, Claire Simon filme le concours d’entrée à la Fémis. Pas très tendre pour les examinateurs et le jury dont les commentaires sur les candidats ne volent pas bien haut ("elle est fraîche", "il plane").
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
(...) Le Concours serait un constat édifiant de l'entre-soi et des failles de la méritocratie républicaine. Ça doit bien faire marrer Samuel Collardey (Tempête), Céline Sciamma (Bande de filles), Thomas Cailley (Les Combattants) ou Sacha Wolff (Mercenaire). Des réalisateurs sortis de l'école (...) qui n'ont pas vraiment le profil de fils de bourgeois parisiens nés avec une caméra en argent dans l'œil.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Obs
Le film est à la fois indulgent et sévère : ces sélectionneurs sont pleins de bonnes intentions, mais ils se heurtent sans cesse à la violence de la tâche qui leur est confiée.
Télérama
Le film est drôle : lorsqu'un candidat noie le jury dans le récit d'une généalogie alambiquée. Cruel : certaines sentences nous semblent injustes. Captivant, car chacun des postulants, performant ou non, apporte avec lui une histoire.
Cahiers du Cinéma
Un nouveau documentaire de Claire Simon, c’est un nouveau pari wisemanien, à savoir : comment filmer le fonctionnement d’un lieu ?
Culturopoing.com
Le Concours réjouit grâce au talent d’anthropologue de Claire Simon et à sa bienveillance teintée de malice.
Le Dauphiné Libéré
Claire Simon suit au plus près, avec empathie et humour, candidats et examinateurs, et c’est toute une mécanique qu’elle fait apparaître, qui renvoie tout autant au fonctionnement d’une école qu’à celui-là même d’une société fondée sur la séparation du bon grain des reçus d’avec l’ivraie des recalés.
Le Journal du Dimanche
Agaçant, touchant, inquiétant, ce "Concours" formidable parle finalement de nous, de nos enfants, de nos vies, d’injustice. Et ce n’est pas son sous-titre ironique qui va nous rassurer : « Tous égaux, mais seuls les meilleurs... »
Le Monde
La valeur du film tient autant à cette conclusion, conforme aux théories de Pierre Bourdieu sur les ressorts de la méritocratie républicaine, qu’au chemin qu’il emprunte pour y arriver.
Les Fiches du Cinéma
Le constat édifiant, vivant et passionnant de la méritocratie républicaine, filmée durant la sélection permettant l’entrée à la Fémis.
Libération
Le film est passionnant parce qu’il nous fait voir et entendre des délibérations de jurys qui sont toujours tenues secrètes, qu’il montre l’instant fatidique de la confrontation entre des candidats ayant déjà surmonté plusieurs épreuves et leurs évaluateurs professionnels (...).
Ouest France
Palpitant.
Positif
On sent ici une forte envie de donner, là un joli désir d'apprendre, et c'est assez enthousiasmant.
Studio Ciné Live
Le film frise parfois l'entre-soi, mais qui aime le cinéma se passionnera pour les discussions sur les décors ou la construction d'un récit.
Sud Ouest
L’auteur de "Coûte que coûte" et des "Bureaux de Dieu" explore avec finesse tout ce qui constitue le processus d’un tel sésame. Processus propre à nos sociétés contemporaines où les rituels d’admission ont à voir avec des passages de relai d’une génération l’autre, et où l’évaluation de jeunes étudiants mêle subjectivité et tentative d’équité.
Transfuge
Le film est autre chose que la radioscopie d'une organisation figée, ou le décorticage des rouages d'admission des candidats au sein d'un système immuable. Car la Fémis est un monde flottant, en perpétuelle oscillation entre deux pôles : celui de l'institution et tout ce qui peut la déborder.
VSD
Une fascinante apnée documentaire dans les coulisses d’une école de cinéma.
Charlie Hebdo
Le documentaire (qui s'attarde trop longuement sur l'épreuve du grand oral) permet d'en apprendre plus sur les habitudes de sélection des établissements d'enseignement supérieur.
L'Express
Passionnant et frustrant.
La Croix
La cinéaste invisible met tout à plat, évitant ainsi le triple écueil du nombrilisme, de la complaisance et de la polémique facile. Un travail en nuances et cruauté – de ce bois dont les concours sont faits.
La Septième Obsession
La sensibilité de Claire Simon, son regard sur l’institution, son panache admirable donnent plutôt envie de suivre le sillon buissonnier de cette rock-star française du documentaire que de s’enfermer 6, rue Francoeur.
Le Parisien
Les métiers de l'image et du son. La réalisatrice Claire Simon a observé de près cette mécanique. Très vite, le film tourne autour de la subjectivité des examinateurs. L'image d'une jeune femme, recalée, est touchante. Elle s'en va de dos, flairant une injustice, dans un désemparement que l'on partage.
Les Inrockuptibles
Certaines scènes sont très drôles, puisque chacun - juré professionnel et candidat - réagit évidemment selon son caractère, ses goûts, sa culture (ou son absence).
Voici
D'un côté, les aspirants élèves, de l'autre, le jury de cette prestigieuse école de cinéma. Des deux côtés, l'espoir et le doute.
aVoir-aLire.com
Une immersion intéressante dans la célèbre école de cinéma, à travers le très sélectif concours qu’elle organise chaque année.
Le Figaroscope
À la manière des documentaires de Frederick Wiseman, Claire Simon filme le concours d’entrée à la Fémis. Pas très tendre pour les examinateurs et le jury dont les commentaires sur les candidats ne volent pas bien haut ("elle est fraîche", "il plane").
Critikat.com
Même présenté par Nikos en prime time sur TF1, ainsi fagoté, "Le Concours" ferait pâle figure à côté des autres télécrochets.
Le Figaro
(...) Le Concours serait un constat édifiant de l'entre-soi et des failles de la méritocratie républicaine. Ça doit bien faire marrer Samuel Collardey (Tempête), Céline Sciamma (Bande de filles), Thomas Cailley (Les Combattants) ou Sacha Wolff (Mercenaire). Des réalisateurs sortis de l'école (...) qui n'ont pas vraiment le profil de fils de bourgeois parisiens nés avec une caméra en argent dans l'œil.