Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
Les images de Barbara et de Balibar la jouant se confondent et nous confondent, dans une illusion parfaite et troublante. Mathieu Amalric et son actrice jouent avec elle aussi bien qu’avec nous, qui ne savons plus très bien qui est qui, de la vraie Barbara ou de son avatar de cinéma. Quelle magie heureuse, qui nous possède !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Voilà un film magnifique sur le cinéma, où se dessine par petites touches le portrait de la grande Barbara, un peu dévoilée, mais toujours aussi mystérieuse.
L'Express
par Eric Libiot
Mathieu Amalric est en état de grâce. Le scénario, qu'il signe avec Philippe Di Folco, avance sur des oeufs (bio) et façonne non pas la vie d'une immense artiste mais plus sûrement l'imaginaire qu'elle a nourri.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Cécile Rousseau
À travers une mise en abîme vertigineuse, Mathieu Amalric fait de Jeanne Balibar une troublante Barbara de cinéma, sans tomber dans l’hagiographie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Mêlant, au point qu’on ne les distingue plus, Barbara et Balibar, les archives et les images de fiction, les chansons et les notices biographiques, le Châtelet et Google, le spectaculaire et l’intime, la satire et l’hommage, le rêve et la réalité, les trompe-l’œil et les mises en abyme, bouleversant toujours la chronologie, contournant l’émotion facile, "Barbara" est un film fou sur une artiste déraisonnable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce qui est beau dans Barbara, c’est qu’on n’en connaît pas trop la nature. Le film échappe aux divers genres et sous-genres. Ou bien il les additionne, et c’est-ce qui fait tout son prix : ni un documentaire ni une fiction (ce n’est pas un biopic).
Libération
par Marcos Uzal
Par la construction très élaborée et musicale de son film, et grâce à Jeanne Balibar (quelle autre actrice française aurait pu faire ça ?), Amalric est parvenu à retrouver l’essence de cette sophistication sincère, de cette artificialité franche qui rendent les chansons de Barbara si émouvantes et uniques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pierre Eisenreich
Ne cachons pas notre enthousiasme : "Barbara" est un film admirable !
Transfuge
par Damien Aubel
Toute chanson fait se lever des images, suscite des apparitions, des allusions dans nos esprits - comme le film lui-même. Et sans doute est-ce pourquoi ce "biopic" si peu orthodoxe est si juste.
20 Minutes
par Caroline Vié
Jeanne Balibar brille par son talent.
CNews
par La Rédaction
Alors que les hommages à la chanteuse disparue il y a vingt ans sont d’actualité, Barbara hante le nouveau film d’un des réalisateurs français les plus singuliers. Mathieu Amalric livre une évocation de l’auteur-com positeur et non un biopic traditionnel.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Il ne s’agit pas d’imiter Barbara, il s’agit de se décoller d’elle comme une seconde peau pour lui assurer une présence nouvelle, fantomatique ; et en retour, Barbara surgira parfois du corps de Balibar, comme dans une entreprise d’exorcisme.
Closer
par La Rédaction
Astucieux, le procédé du biopic sur le tournage d'un film biographique offre un point de vue différent et inédit.
Culturopoing.com
par Séverine Danflous
Le charme (au sens étymologique) du film produit un effet immédiat sur le spectateur qui ressort en fredonnant Barbara, habité par Barbara, ses gestes, sa voix, son visage. Ramener le spectre de la voix comme celui du corps à la vie, le temps d’une projection, réussir à le rendre palpable, vivant et à se l’approprier au-delà de la séance-même, ce n’est pas donné à n’importe quel film !
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une poésie indéniable émane de cette évocation de "La longue dame brune", où Jeanne Balibar est remarquable dans une prestation qui va bien au-delà de l’imitation.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Avec ce film inclassable, original et poétique, Mathieu Amalric réussit le pari fou de faire revivre Barbara. Et de révéler une Jeanne Balibar, stupéfiante d’évidence et de ressemblance.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
"Barbara", lévite au-dessus du type biopic avec une intelligence irrésistible, porté par une flamboyance de l’image et du récit qui ne cherche jamais à s’imposer au spectateur.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un jeu de miroirs complètement fou, ensorceleur, quasi proustien. Avec Jeanne Balibar, aussi changeante que magnétique dans le rôle d’une actrice qui joue le personnage de Barbara dans un film, Mathieu Amalric a trouvé une ruse épatante : son septième long métrage en tant que réalisateur procède de la mise en abyme permanente, s’adonne à tous les collages, recadrages et analogies possibles.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le réalisateur et l’interprète font mine de se perdre entre la fiction d’une biographie filmée et la réalité du tournage de celle-ci, alors qu’en réalité ils conduisent d’une main très sûre le spectateur à travers la vie et l’art de Barbara. Le signe de cette réussite est d’emporter l’adhésion d’un spectateur généralement indifférent à l’artiste.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Nous ne sommes pas du tout ici dans le « biopic » mais, de manière beaucoup plus délicate et inventive, dans la valse des reflets, les jeux de miroirs. Si le cinéma se doit d'être une illusion, alors il joue ici parfaitement son rôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Le vrai et le faux se confondent dans ce vibrant poème filmé par Mathieu Amalric et enchanté par Jeanne Balibar. Magnifique.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Jeanne Balibar est une Barbara étonnante dans le film du même nom de Mathieu Amalric.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Une très belle balade en musique et en souvenirs au pays de l'Aigle Noir.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un biopic pas comme les autres, renversant d'audace, de poésir et d'intelligence.
Sud Ouest
par Sophie Avon
De ce mélange entre cinéma et biographie, archives et fiction, répétitions et chansons, Barbara renaît littéralement. C’est une apparition que Mathieu Amalric cueille au cœur de ce faux biopic qui ressemble à un songe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On est troublé, envoûté : Balibar, bluffante, se confond avec Barbara.
Critikat.com
par Josué Morel
Reste que le film d’Amalric, s’il trouve dans cette mise en abyme une forme de simplicité expérimentale (plus qu’un alliage entre fiction et documentaire, le film prend la forme d’un atelier de jeu où s’enchaînent les exercices), peine peut-être à trouver un second souffle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Olivier Nuc
Comme Barbara, Jeanne Balibar dégage un mystère fait de pudeur et de sensualité. Les scènes d'intimité avec le jeune technicien qu'elle ramène avec elle sont pleines de douceur et de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Faux biopic, à mi-chemin de la fiction documentaire et de la songerie musicale, le long métrage d’Almaric est la belle radioscopie d’une artiste, portée par l’interprétation gracieuse de Jeanne Balibar.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La fiction et la réalité s’enchâssent au gré des déclarations amoureuses que semble prodiguer le réalisateur à son ex-épouse qui ne démérite pas devant un micro. Malgré les images d’archives s’évertuant à restituer l’aura de Barbara, pas sûr que les fans purs et durs s’y retrouvent !
Première
par Christophe Narbonne
Le procédé est raté : la gêne l’emporte sur le trouble, la confusion sur la clarté. Heureusement qu’il y a les textes et les mélodies de Barbara. Ils fournissent à ce film pêle-mêle un semblant de fil directeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Les images de Barbara et de Balibar la jouant se confondent et nous confondent, dans une illusion parfaite et troublante. Mathieu Amalric et son actrice jouent avec elle aussi bien qu’avec nous, qui ne savons plus très bien qui est qui, de la vraie Barbara ou de son avatar de cinéma. Quelle magie heureuse, qui nous possède !
Femme Actuelle
Voilà un film magnifique sur le cinéma, où se dessine par petites touches le portrait de la grande Barbara, un peu dévoilée, mais toujours aussi mystérieuse.
L'Express
Mathieu Amalric est en état de grâce. Le scénario, qu'il signe avec Philippe Di Folco, avance sur des oeufs (bio) et façonne non pas la vie d'une immense artiste mais plus sûrement l'imaginaire qu'elle a nourri.
L'Humanité
À travers une mise en abîme vertigineuse, Mathieu Amalric fait de Jeanne Balibar une troublante Barbara de cinéma, sans tomber dans l’hagiographie.
L'Obs
Mêlant, au point qu’on ne les distingue plus, Barbara et Balibar, les archives et les images de fiction, les chansons et les notices biographiques, le Châtelet et Google, le spectaculaire et l’intime, la satire et l’hommage, le rêve et la réalité, les trompe-l’œil et les mises en abyme, bouleversant toujours la chronologie, contournant l’émotion facile, "Barbara" est un film fou sur une artiste déraisonnable.
Les Inrockuptibles
Ce qui est beau dans Barbara, c’est qu’on n’en connaît pas trop la nature. Le film échappe aux divers genres et sous-genres. Ou bien il les additionne, et c’est-ce qui fait tout son prix : ni un documentaire ni une fiction (ce n’est pas un biopic).
Libération
Par la construction très élaborée et musicale de son film, et grâce à Jeanne Balibar (quelle autre actrice française aurait pu faire ça ?), Amalric est parvenu à retrouver l’essence de cette sophistication sincère, de cette artificialité franche qui rendent les chansons de Barbara si émouvantes et uniques.
Positif
Ne cachons pas notre enthousiasme : "Barbara" est un film admirable !
Transfuge
Toute chanson fait se lever des images, suscite des apparitions, des allusions dans nos esprits - comme le film lui-même. Et sans doute est-ce pourquoi ce "biopic" si peu orthodoxe est si juste.
20 Minutes
Jeanne Balibar brille par son talent.
CNews
Alors que les hommages à la chanteuse disparue il y a vingt ans sont d’actualité, Barbara hante le nouveau film d’un des réalisateurs français les plus singuliers. Mathieu Amalric livre une évocation de l’auteur-com positeur et non un biopic traditionnel.
Cahiers du Cinéma
Il ne s’agit pas d’imiter Barbara, il s’agit de se décoller d’elle comme une seconde peau pour lui assurer une présence nouvelle, fantomatique ; et en retour, Barbara surgira parfois du corps de Balibar, comme dans une entreprise d’exorcisme.
Closer
Astucieux, le procédé du biopic sur le tournage d'un film biographique offre un point de vue différent et inédit.
Culturopoing.com
Le charme (au sens étymologique) du film produit un effet immédiat sur le spectateur qui ressort en fredonnant Barbara, habité par Barbara, ses gestes, sa voix, son visage. Ramener le spectre de la voix comme celui du corps à la vie, le temps d’une projection, réussir à le rendre palpable, vivant et à se l’approprier au-delà de la séance-même, ce n’est pas donné à n’importe quel film !
Franceinfo Culture
Une poésie indéniable émane de cette évocation de "La longue dame brune", où Jeanne Balibar est remarquable dans une prestation qui va bien au-delà de l’imitation.
La Croix
Avec ce film inclassable, original et poétique, Mathieu Amalric réussit le pari fou de faire revivre Barbara. Et de révéler une Jeanne Balibar, stupéfiante d’évidence et de ressemblance.
La Septième Obsession
"Barbara", lévite au-dessus du type biopic avec une intelligence irrésistible, porté par une flamboyance de l’image et du récit qui ne cherche jamais à s’imposer au spectateur.
Le Journal du Dimanche
Un jeu de miroirs complètement fou, ensorceleur, quasi proustien. Avec Jeanne Balibar, aussi changeante que magnétique dans le rôle d’une actrice qui joue le personnage de Barbara dans un film, Mathieu Amalric a trouvé une ruse épatante : son septième long métrage en tant que réalisateur procède de la mise en abyme permanente, s’adonne à tous les collages, recadrages et analogies possibles.
Le Monde
Le réalisateur et l’interprète font mine de se perdre entre la fiction d’une biographie filmée et la réalité du tournage de celle-ci, alors qu’en réalité ils conduisent d’une main très sûre le spectateur à travers la vie et l’art de Barbara. Le signe de cette réussite est d’emporter l’adhésion d’un spectateur généralement indifférent à l’artiste.
Le Parisien
Nous ne sommes pas du tout ici dans le « biopic » mais, de manière beaucoup plus délicate et inventive, dans la valse des reflets, les jeux de miroirs. Si le cinéma se doit d'être une illusion, alors il joue ici parfaitement son rôle.
Les Fiches du Cinéma
Le vrai et le faux se confondent dans ce vibrant poème filmé par Mathieu Amalric et enchanté par Jeanne Balibar. Magnifique.
Ouest France
Jeanne Balibar est une Barbara étonnante dans le film du même nom de Mathieu Amalric.
Rolling Stone
Une très belle balade en musique et en souvenirs au pays de l'Aigle Noir.
Studio Ciné Live
Un biopic pas comme les autres, renversant d'audace, de poésir et d'intelligence.
Sud Ouest
De ce mélange entre cinéma et biographie, archives et fiction, répétitions et chansons, Barbara renaît littéralement. C’est une apparition que Mathieu Amalric cueille au cœur de ce faux biopic qui ressemble à un songe.
Télé 7 Jours
On est troublé, envoûté : Balibar, bluffante, se confond avec Barbara.
Critikat.com
Reste que le film d’Amalric, s’il trouve dans cette mise en abyme une forme de simplicité expérimentale (plus qu’un alliage entre fiction et documentaire, le film prend la forme d’un atelier de jeu où s’enchaînent les exercices), peine peut-être à trouver un second souffle.
Le Figaro
Comme Barbara, Jeanne Balibar dégage un mystère fait de pudeur et de sensualité. Les scènes d'intimité avec le jeune technicien qu'elle ramène avec elle sont pleines de douceur et de justesse.
aVoir-aLire.com
Faux biopic, à mi-chemin de la fiction documentaire et de la songerie musicale, le long métrage d’Almaric est la belle radioscopie d’une artiste, portée par l’interprétation gracieuse de Jeanne Balibar.
La Voix du Nord
La fiction et la réalité s’enchâssent au gré des déclarations amoureuses que semble prodiguer le réalisateur à son ex-épouse qui ne démérite pas devant un micro. Malgré les images d’archives s’évertuant à restituer l’aura de Barbara, pas sûr que les fans purs et durs s’y retrouvent !
Première
Le procédé est raté : la gêne l’emporte sur le trouble, la confusion sur la clarté. Heureusement qu’il y a les textes et les mélodies de Barbara. Ils fournissent à ce film pêle-mêle un semblant de fil directeur.