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    Les Fantômes d’Ismaël
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    janus72
    janus72

    48 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mai 2017
    Oh ce Arnaud Desplechin qui nous pond ici un scénario tout à fait probant : spoiler: l'Histoire de ce pauvre cinéaste insomniaque évidemment porté sur la bouteille, poursuivant bon an mal an son Oeuvre malgré une vie cabossée depuis la disparition soudaine de sa jeune femme, il y bientôt vingt ans. Alors il filme encore & toujours mais sous tranquillisant, naviguant à vue . . . On y croit encore plus lorsque cette énigme volatilisée réapparaît subitement, de retour d'Inde... après la mort d'un autre mari (pas cinéaste celui-ci mais riche), arrivant pile-poil pour passer la crème solaire dans le dos de la nouvelle conjointe du Maître, sur la plage attenante à la p'tite maison de bord de mer charentaise. On y croit toujours lorsque la dernière muse en poste, Astro-physicienne de son état, invite la "revenante" (fille unique d'un monument du 7ème Art . . . ) à séjourner avec le Couple, histoire de se remémorer la bon vieux temps !

    Amalric fait encore du Amalric et les deux autres jouent à Jeanne qui rie puis pleure.
    Je n'y ai pas cru un seul instant.
    Mais arrêtons là ces inepties pour ce demander qui est encore intéressé par ce Cinéma Parisien nombriliste & Bobo ? ? ?
    Film néant qui trouve tout de même un budget pour finalement être présenté à Cannes :-p
    Même ce bon vieux Claude Lelouch arrive à mieux ficeler ses histoire et surtout à faire le Job !
    C'est le prototype même du cinéma pompeux & boursouflé qui me désespère . . . mais à vous de voir.
    Serge D.
    Serge D.

    12 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2017
    Ça part vraiment dans tous les sens, souvent pour le meilleur mais pas toujours. En fait, à la fin du film, je m’aperçoit que j'aurais préféré voir le film sur les diplomates que tourne Ismaël.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 mai 2017
    Le film s'ouvre sur la voix-off de Mathieu Amalric. Plus tard arrivent Marion Cotillard et Charlotte Gainsbourg. C'est original. Pourtant, cette mise en scène ne fait pas oublier les défauts de ce film trop bavard avec des faiblesses dans ses dialogues, notamment lorsque les deux femmes parlent entre elles.
    Les retrouvailles d'un amour perdu n'en est pas vraiment un. "Les Fantômes d'Ismaël" embrouille son public, soit par des flashbacks soit avec des séquences tirées de l'imagination d'Amalric, qui construit dans sa tête un long-métrage mettant en scène Louis Garrel.
    Arnaud Desplechin tisse des liens entre ses personnages et ses films, comme pour créer une passerelle entre sa filmographie et ses propres fantômes. Outre les prénoms et les noms des personnages qui reviennent, le réalisateur remplie ce film de clins d'oeil à ses précédents, en faisant notamment réapparaître Marion Cotillard nue ("Comment je me suis disputé ma vie sexuelle", 1996), en interrogeant sa propre folie créatrice, ou en faisant rentrer Ismaël à Roubaix, ville natale de Desplechin, à laquelle il consacre un long chapitre dans son précédant film, "Trois Souvenirs de ma Jeunesse". Conclusion : on finit par se perdre dans ce dédale de références, aussi nombreuses soit-elles et sans liens entre elles.
    Ainsi, "Les Fantômes d'Ismaël" mêle les genres et les récits et l'on passe d'un film d'espionnage sur l'usurpation et la notion d'identité à un huit-clos dramatique et théâtral en bord de mer, qui finit par tomber dans le burlesque.
    Ce qui dérange dans cette construction n'est pas la mise en scène, qui alterne les gros plans, le film dans le film, ni même les plans face caméra de Cotillard qui raconte son mariage indien ou de Gainsbourg qui conclut le film. C'est plutôt le sentiment de ne jamais pouvoir se rattraper, et Arnaud Desplechin nous tend une branche mais qu'il perd au cours de ce parcours psychanalytique.
    Bien évidemment, on devine que cette fiction est nourrit, inconsciemment ou explicitement, de modèles fournis par le cinéma. Carlotta est un clin d'oeil à "Vertigo" d'Hitchcock. Ismaël n'est pas seulement un nom à connotation biblique ; c'est le narrateur d'un des plus grands romans de tous les temps. "Appelez-moi Ismaël" est l'ouverture de l'incontournable "Moby Dick".
    On ressort avec l'impression d'être passé à côté de quelque chose qui aurait pu être un chef d'oeuvre. La faute peut-être à un film trop sophistiqué et pas assez touchant émotionnellement.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 mai 2017
    Compliqué, long... que dire de plus? J'ai eu du mal à résister à l'endormissement... à côté de cela, je reconnais que les trois acteurs principaux tirent bien leur épingle du jeu...
    Ikabena
    Ikabena

    1 abonné 77 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mai 2017
    Quel dommage ! une intrigue intéressante, de grands acteurs et ... rien. Pas d'émotion, pas d'histoire, ou des histoires dans l'histoire, pas de dialogue ? Ennuyeux
    Clef en or Dulac
    Clef en or Dulac

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2017
    Trois intrigues en un film, dans lequel se bousculent aussi de nombreux personnages des précédents films de Desplechin, et où s’entrevoient encore de nombreuses références cinématographiques… Les Fantômes d’Ismaël est tout cela en même temps, alors que les intrigues, fortement délimitées, se succédaient dans Trois souvenirs de ma jeunesse, le précédent film du réalisateur.
    Dès le générique, nous sommes plongés dans un univers résolument cinématographique, romanesque et énigmatique ; les plans se succèdent, portés par les violons emballés d’une bande-originale, signée Grégoire Hetzel, qui joue les films d’espionnage hitchcockiens. Le nom de Dédalus, personnage récurrent de la filmographie de Desplechin, est sur toutes les bouches, avant de s’incarner sous les traits de Louis Garrel, dans une séquence kafkaïenne mystérieuse et parodique. Cut. Tout ceci était un film dans le film. Ou peut-être seulement un rêve de film, pour l’heure. Des images inspirées par le frère absent de l’histoire à Ismaël Vuillard, « fabricant de films » : Mathieu Amalric, qui rentre à nouveau dans la peau du personnage né dans Rois et reine.
    S’ouvre alors une nouvelle proposition narrative, très vite paroxystique, encore une fois. Cette séquence qui met en scène un vieil homme – Laszlo Szabo –, dévasté par la disparition de son enfant, dont il se passe des diapositives envahissant tout l’espace de son appartement, au milieu de la nuit, dans une dérive insomniaque, est poignante. Sur la rive du bout de la nuit, Ismaël retrouve Sylvia – Charlotte Gainsbourg – sujet du flash-back qui va suivre.
    Les thèmes sont donnés, dans l’urgence et la rupture de tons, de niveaux de récit – que transpose malicieusement la musique – de références visuelles, et surtout, dans une très grande maîtrise d’écriture et de mise en scène. Alors pourra surgir, au centre du film, Carlotta – Marion Cotillard – apparition, revenante, corps-écran focalisant les projections, mise en abyme du cinéma empruntée au maître Hitchcock.
    Personnage indécidable : « spectre, fantôme ou diable » ? femme de chair, d’os et de sueur, sans attaches et fragile ? Revenue du lointain, elle est le fantasme du passé d’Ismaël dont lui-même a eu tant de mal à faire le deuil et que sa nouvelle compagne redoute ; elle est le fantôme tel que le père-orphelin peut le secréter, avec effroi. Elle est aussi la réminiscence des amantes compliquées, voire torturées, du cinéma de Desplechin, incarnées jadis par Marianne Denicourt, Emmanuelle Devos, Jeanne Balibar. Elle est peut-être, maléfique, dame Wakasa, resurgie des Contes de la lune vague après la pluie de Mizoguchi. Elle est surtout, énigmatique, Madeleine de Vertigo d’Hitchcock, qu’elle cite par son prénom, son manteau blanc, son tableau…
    Elle est enfin Marion Cotillard, l’actrice française et internationale, débutante dans Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle), dont la plastique, le jeu et les rôles sont ici génialement utilisés. Le sourire agaçant, la mièvrerie de Cotillard, familiers pour le spectateur, sont soudain lestés d’une charge effroyablement inquiétante. Même et autre, principes de l’ « inquiétante étrangeté » freudienne. Elle serait alors, retour du refoulé, un des cauchemars d’Ismaël ? L’actrice ici est en tout cas sublime !
    De la persona de la comédienne à Persona de Bergman, le face à face entre les deux personnages féminins, esquissé en quelques séquences, nous propulse dans un thriller dont l’intensité se double encore une fois du poids des références. Puis avec l’épilogue du personnage du père de Carlotta, le réalisateur retrouve les thématiques de la disparition, de la filiation et de la mémoire de ses tout premiers films, dans un espace hospitalier que la présence palpable de la mort rend presque fantastique.
    Alors le film se brise et le romanesque ne tient pas ses promesses, pour la plus grande frustration du spectateur, qui se laisse cependant émouvoir par le burlesque d’un Amalric flamboyant dans sa composition d’un personnage excessif, guetté par les troubles psychiques, paralysé d’angoisses et téméraire à la fois. Submergé, sans doute, par le trop plein de potentialités cinématographiques que recèle le film dans lequel il vit, Ismaël fait une dépression nerveuse qui le ramène au Roubaix des origines. Abandonnant la maîtrise des précédents longs-métrages, Desplechin semble assumer scénaristiquement l’inachèvement, avant d’offrir une clôture dans laquelle Charlotte Gainsbourg, face caméra, est d’une émotion vibrante.
    Autobiographique et romanesque, saga intime et protéiforme jouant de son propre désir de fiction comme de celui du spectateur, le cinéma de Desplechin ressasse sans cesser de se réinventer.
    zemovieblog.wordpress.com
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 mai 2017
    Déroulement trop long, lent et confus. Heureusement que Marion Cotillard relève le niveau du film. Nous sommes parti avant la fin (ainsi que d'autres personnes dans la salle) du film. Nous nous sommes ennuyer tout le long. C'est dommage car la bande annonce promettait une belle histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 mai 2017
    pour moi c'est le plus mauvais film de l'année pour le moment, un film qui part dans le n'importe quoi, ça a ni queue ni tête
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 mai 2017
    Un film dont il ne reste rien pas grand chose à la sortie de la salle. Des situations improbables , des dialogues surjoués ou confus, tout ceci justifie quoi au final ? Des histoires difficiles à suivre. En revanche, Almarics, Gainsbourg et Cotillard jouent très bien car sans ça ce film s'effondrerait. Desplechin a fait mieux, entre "Trois souvenirs de ma jeunesse" qui était pas terrible et celui là on commence à se poser des questions ....
    Spe64
    Spe64

    26 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2017
    "Les fantômes d'Ismaël" est un objet bien étrange, ou les récits et les perspectives s'entrechoquent et l'on se demande si les protagonistes sont réels, fantasmés, rêvés, cauchemardés ou bien complétement fous...
    On oscille entre de beaux passages bien écrits et un montage ou il semble manquer des morceaux, ce qui n'aide pas à rentrer dans le film, ni à sa compréhension.
    Le film s'achève avec de nombreuses questions sans réponses, "Les fantômes d'Ismaël" est un objet d'art abstrait, original mais difficile d'accès.
    On peut s’interroger sur la version diffusée dans les salles en France puisqu'une version longue existe (version originale) et c'est cette dernière qui servira à l'exploitation à l'internationale...peut être est-ce la version à voir?
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    57 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2017
    Mathieu Amalric incarne Ismaël, réalisateur dont la femme Carlotta a disparu plus de 20 plus tôt. Elle réapparaît subitement alors qu'il est en couple depuis 2 ans avec Sylvia.
    spoiler: Le lien entre Ismaël et Carlotta est finalement vite rompu, le scénario les faisant ensuite évoluer de manière individuelle
    . J'ai trouvé ce film original, avec une atmosphère qui lui est très personnelle, un peu surréaliste, peut-être du fait des dialogues qui semblent parfois trop élaborés pour être naturels. Le récit n'est pas linéaire, certains flashbacks racontant la rencontre ainsi que l'évolution de la relation entre Ismaël et Sylvia.De plus, l'histoire est entrecoupée de nombreuses scènes mettant en avant Yvan Dedalus, le protagoniste du film qu'Ismaël est en train de tourner, comme s'il était intégré à l'histoire ce qui est un peu déstabilisant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 mai 2017
    Arnaud Desplechin vient de proposer son nouveau film en ouverture du Festival de Cannes est le moins qu'on puisse dire est que ce dernier est déroutant. Bien qu'un mordu du cinéma puisse y reconnaître une pléthore de clins d’œil, notamment la scène de nu de Marion Cotillard faisant référence à ses débuts, on n'accroche pas. Les Fantômes d'Ismaël est un film emmêlé dans un dédale de pensée qui perd le spectateur et le laisse en dehors de l'histoire... Suite de la critique sur stoptoncinéma.wordpress.com !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 mai 2017
    En sortant 2 personnes poussaient un grand ouf, je leur demande : avez vous compris qqchose?
    Non ni queue ni tête .
    Ouf pour moi aussi, je n'ai rien compris, d'ailleurs je me suis endormie,
    Comment peux- t'on réaliser un film comme celui-ci?
    Venez faire un film sur ma propre vie vous aurez 1000000 d'entrées .
    Acteurs nuls, abrutissants, des flashs de personnages qui n'avaient rien de liant ,
    Je préfère le film de " tatie Danielle"
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 671 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2017
    Les Fantômes d’Ismaël est un film à réserver aux inconditionnels d’Arnaud Desplechin….et je n'e dois pas en être !!!…j’avais déjà était profondément déçu par Trois souvenirs de ma jeunesse, histoire abracadabrantesque avec une vague histoire d’espionnage en Biélorussie… et déjà un Yvan Dédalus, l’enfance à Roubaix…et Mathieu Amalric....Ici, en cinéaste torturé, qui s’apprête à tourner un film d’espionnage sur un agent double un peu naïf ( encore un Paul Dédalus) inspiré de son frère…Ismaël s’isole à Noirmoutier avec Sylvia ( Charlotte Gainsbourg) qui partage sa vie depuis peu…Surgit ou plutôt ressurgit Carlotta ( Marion Cotillard) son épouse disparue depuis vingt ans et qu’il croyait morte…Se même alors l’histoire d’Ismaël et celle du film qu’il écrit…c’est confus, décousu…sans doute Arnaud Desplechin s’amuse à immerger le spectateur dans ses propres obsessions en y mêlant des références à ses précédents film…sans pouvoir arriver à vraiment articuler ses transitions…cela dure 1h 50…il parait qu’il existe une version plus longue d’une vingtaine de minutes en exploitation au Cinéma du Panthéon…mention spéciale aux deux actrices qui tirent leur épingle du jeu d’un scénario bien tordu et prétentieux !!! La presse spécialisée apprécie…apparemment les spectateurs beaucoup moins !!!
    Christophe L.
    Christophe L.

    35 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2017
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