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    Les Fantômes d’Ismaël
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    nanoufanfan
    nanoufanfan

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 mai 2017
    Trop de confusions dans le scénario ..je regrette mon argent pour un film aussi mauvais et mal joué.. Dommage pour Charlotte..
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 mai 2017
    Drôle de long métrage qu’il n’est pas facile d’appréhender, Les fantômes d’Ismaël propose en fait plusieurs films en un seul, avec une multitude de thèmes qui se rencontrent et qui ne sont pas toujours traités de la meilleure des manières. Quelques belles séquences en font un objet cinématographique intéressant mais qui a peiné à véritablement me convaincre.
    ffred
    ffred

    1 691 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mai 2017
    On attendait de pied ferme ce nouveau Desplechin après le succès public et critique mérité de Trois souvenirs de ma jeunesse. Présenté en ouverture et hors compétition au récent festival de Cannes, on est, malheureusement, assez loin de la réussite des derniers films du réalisateur. Si sa mise en scène et sa direction d’acteurs sont toujours impeccables, c’est du côté scénario que les choses ne fonctionnent pas cette fois-ci. On a du mal à s’attacher aux personnages. Sauf peut être celui de Charlotte Gainsbourg, formidable comme toujours, elle est la seule à vraiment tirer son épingle du jeu. Ceux de Mathieu Amalric et Marion Cotillard sont limite horripilant et, très vite, on se fiche de ce qu’il peut bien leur arriver. Et puis, je n’ai pas cru à leur relation. Le récit s’étire mollement. Les histoires (le frère, le tournage…) et les genres (drame familial, espionnage, comédie, thriller...) se mélangent sans que cela soit d’un très grand intérêt pour la trame principale et rend surtout l'ensemble très confus. Un ennui poli nous gagne alors. Même si la fin est plutôt réussie, le mal est fait. J’attendais beaucoup de ce nouveau Arnaud Desplechin, j’en ressort passablement frustré, voir un brin contrarié. La déception est donc à la hauteur de l’attente. Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 mai 2017
    Intelligent, esthétique, magnifiquement joué (Marion Cotillard étonnante, Charlotte Gainsbourg et Matthieu Amalric formidables de justesse. On retrouve plus au moins les personnages des précédents, ou plus exactement des figures évoquant les précédents Desplechin. Alors, oui, c'est un film psychologique et il faut aimer ça. Mais à ce niveau de justesse pour filmer les drames intimes, la peur de l'abandon, la fragilité... personnellement j'adore.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mai 2017
    Bon… Ça fait une semaine que j’ai vu ce film là et je ne sais toujours pas quoi en dire. Je ne veux pas tomber dans la diatribe gratuite, le défoulement cathartique, la critique facile et peu constructive… Mais bon… Ouah quoi… C’est chaud quand même… Je veux bien garder l’esprit ouvert à l’égard de ce cinéma qui, socialement, est très « segmentant » pour le dire poliment, mais avec ces « fantômes d’Ismael » - je suis désolé - mais c’est juste… trop. Le film est incroyablement bavard. Ça parle tout le temps. Et ça parle souvent pour s’écouter parler… Dès les premières scènes, le premier truc qui saute aux yeux (ou plutôt aux oreilles parce qu’à dire vrai les yeux n’ont pas grand-chose pour être stimulés) c’est qu’à AUCUN moment, on peut s’imaginer entendre parler des gens comme ça dans la vie de tous les jours. Non, là, on est dans une théâtralisation du verbe très accentuée et très affirmée, à la fois dans ce qui est dit et dans la manière dont c’est dit. Alors soit, c’est un genre qu’on peut vouloir se donner, mais bon, difficile du coup de rentrer dedans. Le pire c’est qu’au départ j’étais prêt à excuser ça en me disant « l’intro est sensée se passer dans une fiction inventée par le personnage principal donc pourquoi pas »… Mais bon, dès qu’on sort de la fiction c’est presque pire ! En soi, pour moi, ça c’est déjà à la limite du supportable, mais en plus il a fallu que ce soit atrocement mal écrit. Roh mais ces dialogues didactiques qui ne savent même pas cacher leurs effets de manche ! Mais sincèrement c’est épouvantable. « Mais pourquoi dites-vous cela beau-papa, vous qui vous êtes toujours demandé quel rapport étrange vous entreteniez avec Carlotta lorsque celle-ci était adolescente ? – Je le dis parce que je n’ai jamais compris pourquoi elle a décidé de vous épouser à l’âge de vingt-ans pour ensuite passer deux années de vie commune avec vous, Ismaël ! – Ah ! Mais vous savez très bien comment cela s’est fini tout cela. Après deux ans elle a disparu et c’est quand même moi qui ai été contraint de signer l’acte d’absence… » Alors OK, ces dialogues que je viens de vous faire ne sont pas exactement ceux du film parce que – pour être franc – les dialogues originaux se sont déjà totalement effacés de ma mémoire, mais en gros, c’est vraiment dans cette veine là que c’est dit. Or, là - encore désolé - mais on ne pourra jamais me faire croire que ça, c’est le summum de l’art de l’écriture ! Et le pire c’est que tout le film est comme ça ! Toute cette écriture en plus est au service d’une intrigue amoureuse assez indigente… J’ai lu que pour ce film Desplechin s’était beaucoup inspiré de sa vie ; eh bah franchement c’est bien triste pour lui quand-même... Parce que l’Ismaël, on nous le présente clairement comme un gars qui s’écoute parler dans des bars (…ce qu’adorent les femmes à croire le film) ; qui ensuite opère clairement du harcèlement en pleine rue pour monter dans l’appartement d’une fille qu’il a accosté (…mais ce qu’elles adorent malgré tout, toujours d'après le film !), et qui – tout le long de l'intrigue – se comporte et parle comme un gars qui a clairement un gros problème avec la bouteille (…mais ce que les femmes adorent encore et toujours !) Donc bon… Moi déjà, en termes d’empathie, j’ai eu du mal. Mais en plus, il a fallu que cette histoire repose sur un triangle amoureux dont les ressorts, pour moi, ne fonctionnent clairement pas. Le film pose quand-même le personnage d’Ismaël au cœur des enjeux (choix très égocentrique et pas très judicieux à mes yeux), et c’est donc au travers de lui qu’on se doit de ressentir le dilemme qui le tourmente. Le problème, c’est que là, le dilemme, il est tout tranché. On peut comprendre tout le contexte qui fait qu’Ismaël est émotionnellement à vif au sujet de Carlotta, mais d’une part le spectateur lui ne peut pas ressentir ce dilemme car Carlotta n'est d'abord jamais présentée en tant que personnage à part entière (On ne nous la montre même pas. Elle n’existe qu'en tant qu'idée, juste pour justifier la névrose d’Ismaël, seul personnage qui, dans ce film, a visiblement le droit d’exister) et puis, de deux, quand elle apparaît, qu’elle prend enfin chair à l’écran, elle nous apprend qu’en fait elle n’est qu’une pimbèche qui a préféré partir au loin pour fuir Ismaël (...ce qui n’est d’ailleurs même pas une découverte pour qui a vu la B.-A.) Bref, dans l’esprit du spectateur, je ne vois pas comment on peut s’approprier, ni même comprendre le dilemme d’Ismaël. Qu’il ait du mal à se remettre les émotions en place quelques jours, OK. Mais bon, après ça, au bout d’un moment, la raison a quand même le droit de prendre le dessus, non ? Bah non… Pas dans ce film. Pas chez Despleschin. Alors on va continuer à parler théatraleusement pendant des heures sur le mal-être du pauvre Ismaël, pauvre garçon incapable de gérer des émotions que la plupart des gens ordinaires maîtrisent vers l’âge de quinze ans… Bon, après on me rétorquera peut-être que les tourments d’un artiste, ça ne se dompte pas de la même manière, que c’est de la soie délicate, de l’or à l’éclat sans pareil, que ça nous éveille à la vérité subtile du monde qui nous échappe… Bah voyons... En tout cas, ceux qui comptaient venir pour voir du cinéma m’auront aussi sûrement compris : ce n’est clairement pas avec ces « Fantômes d’Ismaël » qu’ils se régaleront. D'ailleurs sur ce point, juste pour la blague : sachez que le film a été tourné en cinémascope et cela juste pour que 80% du temps on fasse des gros plans sur les visages et des travellings latéraux dans des pièces closes… Ouah quoi… Donc voilà… Si vous allez voir ce Desplechin, sachez que vous irez voir du théâtre filmé. Du « gros théâtre bien grossier » filmé. Ah ça c'est sûr : le gars ne vous trompera pas sur la marchandise. Ça parlera tout le temps, ça en fera des tonnes (avec la palme pour Amalric qui donne l’impression qu’il fait un AVC à chacune de ses répliques – des restes de son jeu dans « le Scaphandre et le papillon » sûrement…) et surtout ça s’atermoiera en permanence sur le « moi » ; le « moi » tourmenté, le « moi » qui a des vrais problèmes intéressants de « moi »… Aimera qui voudra. Je ne leur en tiendrai pas rigueur… Mais bon, il faut comprendre que pour des gens comme moi, qui ne se reconnaissent absolument pas dans ce type de cinéma (ni de personne), aussi bien dans le fond que dans la forme, ce genre de film, ça a autant d’intérêt qu’une séance visionnage des films de voyage du voisin… No offense, j’espère…
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 mai 2017
    C'est une performance. Comment avec d'aussi bons acteurs et une histoire suscitant l'intérêt , réaliser un film aussi repoussant. C'est réussi , je suis partie au bout d'une heure de projection et c'est la deuxième fois de ma vie de cinéphile que cela m'arrive. La première c'était pour un film gore insupportable et là c'est l'absence d'émotion qui m'a dégoûtée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 mai 2017
    Marion Cotillard est comme toujours brillante. C'est le jeu des actrices qui donne au film sa richesse
    cineccita
    cineccita

    46 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 mai 2017
    Deux heures de masturbation intellectuelle insupportable, Mathieu Amalric ne sait plus jouer, il surjoue. L'histoire parallèle dans le film est à dormir debout et on se demande ce qu'elle apporte. On a l'impression que le but du film est de nous faire perdre notre temps, c'est dire....
    jul27
    jul27

    11 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mai 2017
    Film complètement hermétique mise en scène un compréhensible jeux d acteur complètement faux nous sommes deux à être venu voir ce film avec enthousiasme et nous sommes consternés par le gâchis le jeu théâtral et la fausseté de ce film
    Martine F.
    Martine F.

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mai 2017
    histoire confuse...jeux d'acteurs Amalric en fait des caisses. ..Charlotte Gainsbourg et Marion Cotillard.. bof
    un bon point pour les décors et la lumière
    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2017
    la narration est complexe et il vaut mieux s interesser à l image et aux jeux des acteurs qui parfois surjouent mais ne sauve pas le film a l emotion tardive .l histoire du frère d Almaric semble plus intéressant ,dommage
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 mai 2017
    La bande d'annonce ne donne pas une image juste de ce film qui est beau, divertissant, plein d'énergie et d'humour décalé. Très bien joué, très bien filmé, avec parfois des tableaux à la Rembrandt. Nous avons passé un très très bon moment de cinéma ce soir. Ce film peut se lire et se comprendre à plusieurs niveaux, il nous entraine avec jubilation dans un "emboitement de films' pour mieux faire jaillir des dimensions artistiques et humaines, à la fois.
    Marie-Claire D.
    Marie-Claire D.

    33 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2017
    A voir pour les deux actrices, très bonnes. Et pour une histoire de "milieu de vie" qui pose plein de questions sur le retour des souvenirs (et veut bien ne pas y répondre !). Le côté profus et confus finit par lasser un peu, quand même, c'est dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 mai 2017
    Le dernier film d'Arnaud Depleschin, présenté en ouverture du festival de Cannes a de quoi laisser perplexe. Ismaël, un réalisateur en quête d'inspiration (Mathieu Amalric), voit réapparaître 21 ans après un ancien amour de jeunesse (Marion Cotillard) qui bouleverse sa vie.
    Le film est mal fichu. Dès les premiers plans qui mettent en scène le frère d'Ismaël, diplomate parti à l'étranger, les dialogues sont confus. Le procédé du film dans le film est intéressant mais mal exploité et n'apporte rien à l'histoire principale sinon des situations burlesques et énigmatiques mais souvent incompréhensibles
    Il ne parvient pas à rythmer le film qui s'enlise à mi-parcourt dans des propos inconsistants.
    C'est très lent, les dialogues sont parfois brillants mais souvent vains.
    Les acteurs ne parviennent pas à sauver l'histoire. Mathieu Amalric n'est pas du tout convaincant, il surjoue. Charlotte Gainbourg est toute en retenue comme à son habitude et Marion Cotillard n'a pas un rôle crédible.
    Bref, c'est une grosse déception.
    chloé V.
    chloé V.

    123 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2017
    Vite, que ce film finisse ! La version courte est déjà bien longue. La magie ne prend pas, on s'ennuie à mourir à regarder ces tourments intérieurs... qui restent tellement en intérieur que nous, spectateurs, sommes incapables sauf gros travail de notre part de raccrocher les wagons.
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