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    Les Fantômes d’Ismaël
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    213 critiques spectateurs

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    labellejardinière
    labellejardinière

    85 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mars 2018
    A propos de "fantômes".... Un fantôme d'histoire, un fantôme de mise en scène, des fantômes d'acteurs..... Ce qui fait un film fumeux, verbeux, prétentieux, creux... par cinéaste fuligineux. Probablement réservé à la seule "élite" bobo... Un vrai repoussoir pour moi. Qui plus est souvent inaudible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 décembre 2017
    J'ai bien aimé. Ce film m'a fait passer un bon moment au cinéma.
    Agréable et sympathique et sincère.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2017
    En un mot: INSUPPORTABLE.
    C'est creux, les personnages sont niais, il n'y a pas de scénario et l'auteur semble en plus se faire des clins d'oeil.
    A éviter absolument. Le premier- et le dernier- film que j'irai voir de lui.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 octobre 2017
    Les Fantomes d'ismael n'est pas comme on pourrait le croire avec la bande annonce une histoire d'amour banal. C'est un grand film, sensible, et plein d'amour
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2017
    Plus que jamais, Desplechin brouille les cartes de son récit, comme il le faisait si habilement dans "Rois et reines", "Un conte de noel" ou "3 souvenirs de ma jeunesse". Mais, ici le montage est beaucoup moins maitrisé, on a même le sentiment que certaines idées sont abandonnées, en tout cas pas poussées assez loin. A travers son double de cinéma (Amalric qui surjoue comme il ne l'avait jamais fait), Desplechin semble vouloir faire son huit et demi et abandonne les 2 plus beaux personnages de son film, les personnages féminins. Charlotte Gainsbourg, à la fois fragile et lumineuse dans une même séquence, livre une de ses plus belles performances alors que son personnage semble vraiment être sacrifié dans une trop longue deuxième partie de film. Marion Cotillard incarne à merveille cette Carlotta, à la fois mystérieuse et audacieuse mais son personnage disparaît trop tôt du récit également. Les clins d'œil de Desplechin au Hitchcock de "Vertigo" sont évidents mais semblent un peu vain, o nest loin du bel hommage à Truffaut dans "3 souvenirs de ma jeunesse". "Les fantômes d'Ismael" sont une succession de scènes magnifiques, originales et audacieuses qui au final ne donne pas un film consistent.
    PMarino
    PMarino

    1 abonné 108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2017
    de bons acteurs même si Mathieu Almaric semble surjouer parfois...une histoire un peu préfabriquée mais qui garde son charme et son intérêt
    Maelle D.
    Maelle D.

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2017
    Déçue . Grande admiratrice de Desplechin j'ai trouvé ce film décousu et un peu ennuyant. j'ai d'ailleurs du mal à me souvenir de ce film vu il y a quelques mois. Seul le sentiment d'ennui persiste
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    57 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2017
    Difficile à croire qu’Arnaud Desplechin, à l’origine d’ « Un Conte de Noël » et de « Trois souvenirs de ma jeunesse », ai pu ouvrir le Festival de Cannes 2017 avec un délayage aussi bazardeux que « Les Fantômes d’Ismaël ». Critique d’une déception.
    Dans une volonté purement esthétique et littéraire, le réalisateur confectionne un magnifique démarrage avec des dialogues et des échanges effrontés. Premièrement intéressant, la constituante perd peu à peu de son essentiel lorsque Carlotta Bloom, interprétée par Marion Cotillard, revient dans le vie son ex-compagnon.
    Alors que ce retour suscite le plus grand intérêt, le récit laisse croire, le temps des premiers émois, à une exploration des conséquences psychologiques sur l’entourage de la défunte… Que nenni, les échanges entre le veuf, sa nouvelle compagne et l’ex-femme disparue s’effritent dans un brouillon désordonné où l’histoire perd un fil conducteur qui tend à disparaître.
    Outre une harmonisation des faits médiocre, là où le métrage déçoit le plus est sur l’empathie et le partage des émotions. Conséquence directe d’une absence de construction de contenu, le spectateur peine à se sentir troublé, touché, perturbé et subit des changements obsolètes sans aucunes transitions éventuelles. D’un scène d’action, le film passe dans la seconde à de l’émotion et s’essaie même la comédie sur le final, tentative éminemment ratée.
    Dans une oeuvre où le détail devrait être de mise, Desplechin n’a pas été minutieux. Plus que de la déception, c’est une colère qu s’exprime sur une idée de départ mauvaisement cadrée pour être en plus, décousu ensuite.
    Bilan : Victor Hugo a écrit « L’avenir est un fantôme aux mains vides qui promet tout et qui n’a rien. » Cette citation résume parfaitement la synthèse.
    Toute la critique et bien plus encore sur Cinephilion.net
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juillet 2017
    Avec de nombreux jours de retard, ma critique de « Les fantômes d’Ismaël » d’Arnaud Desplechin dans sa version longue (2 h 15), film présenté en ouverture du festival de Cannes mais heureusement dans une version raccourcie de 30 minutes.
    Vous prenez 4 personnages :
    1) Ismaël (Mathieu Amalric), cinéaste qui bien qu’il se bourre de whisky et de médicaments pour dormir ou ne pas dormir, a du mal à accoucher de son scénario puis à tourner son film. Il est très prolixe en société et dans le privé présente des sautes d’humeur dignes d’un bipolaire.
    2) Carlotta (Marion Cotillard), sa femme qui a disparu il y a plus de 20 ans et déclarée morte, car elle se sentait mise à l’écart entre son mari et son père … et notre Carlotta qui après avoir perdu son nouveau mari en Indes, de revenir en France – comme un fantôme - essayer de reconquérir son mari.
    3) Sylvia (Charlotte Gainsbourg), astrophysicienne perdue dans l’infini de l’espace mais cartésienne et protestante, qui a quelques aventures avec des hommes mariés « pour ne pas avoir d’ennuis » … va tomber amoureuse d’Ismaël et l’apaiser, l’aider à écrire son scénario tout comme elle aide son petit frère, handicapé mental, dont elle est la tutrice mais aussi à la fois « la mère et la sœur ».
    4) Ivan (Louis Garrel) est le frère d’Ismaël, atteint du syndrome d'Asperger, forme particulière l’autisme qui lui a permis d’apprendre de nombreuses langues à Roubaix (sic). On ne le voit qu’une seule fois via une conversation par Skype … mais il est également le personnage principal du film de son frère où il incarne un jeune qui par son don pour les langues, intègre par concours externe le Ministère des Affaires Etrangères pour semble-t-il devenir espion (sans le savoir ?) notamment au Turkménistan, en Egypte et à Prague …
    Autour de ces 4 personnages gravitent d’autres personnages assez caricaturaux : le père de Carlotta, un grand cinéaste Israélien qui va recevoir un prix à Tel Aviv et pour qui Ismaël a plus que de la tendresse et accoure à la moindre difficulté psychologique liée à son ego, à l’alcool et à la disparition incomprise de sa fille ; le producteur du film qui est toujours à courir après Ismaël se jurant que c’est bien la dernière fois ; une jeune actrice avec (et encore un cliché !) Ismaël va coucher pendant le tournage de son film …
    Vous mélangez tout cela avec 2 grands flash-backs qui ne permettent de vérifier la véracité des histoires, vous y insérez une scène dans une prison djihadiste au Turkménistan, une scène à l’ambassade du Caire et à Prague, des scènes sur l‘île de Noirmoutier, une scène à Roubaix (la ville natale « où les gens sont laids et pauvres » mais où Ismaël va se réfugier dans la maison de sa tante car son père le battait durant son enfance), une séquence à Tel Aviv, des scènes typiquement parisiennes … sans parler des crises hystériques la nuit, d’une scène de visions loufoques à travers la vitre du train lorsque Ismaël va se réfugier à Roubaix et d’un cours sur la perspective à travers un tableau flamand et l’annonciation de Fra Angelico avec moult ficelles, et voilà le film d’Arnaud Desplechin qui – malgré une bande annonce prometteuse – s’avère sans queue ni tête, prétentieux, pseudo-intello et narcissique … sauvé uniquement pas ses interprètes.
    On comprend alors mieux la discordance entre la note donnée par les internautes sur Allo-Ciné et celles des critiques professionnels « de salon » : 2,1 contre sur 5. Pour ma part, je mets 1 pour les actrices !
    isakkk
    isakkk

    14 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2017
    Un film agaçant parce que très cinéma français dans sa facture, son bavardage... mais la situation est très intéressante et les réactions des uns et des autres sont intelligemment amenées. Le film est brillant et les acteurs excellents. Reste cet aspect de film nombriliste qui va en agacer beaucoup !
    Louis V
    Louis V

    29 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juillet 2017
    La beauté picturale des plans, l'émotion qui sublime le jeu habituellement fade de Marion Cotillard, le naturel de Léa Seydoux, la douceur aigre de Mathieu Amalric: le tout est brouillé d'un amalgame d'émotions intenses. Le malaise qui nous saisit dès les premières séquences ne nous lâche pas, jusqu'à la fin, jusqu'aux larmes et ce vide intense qui se comble du film lui-même, grand chef d'oeuvre puissant.
    joelle g
    joelle g

    88 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juin 2017
    Deux histoires en parallèle.....et je n'en vois pas l'intérêt dans le film....la seconde histoire qui relate le film tourné par Ismaël n'apporte rien.
    Par contre le sujet principal de ce film , sur les disparitions d'êtres chers , leur réapparition et les conséquences sur leur entourage est très bien traité. Charlotte Gainsbourg est particulièrement convaincante , avec un ton juste , naturel .....bien plus que Manon Cotillard que j'ai trouvée trop dirigée perdant ainsi de spontanéité...
    Un film en mi teinte...qui déraille un peu par moment....
    Reverdy
    Reverdy

    20 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2017
    Arnaud Desplechin disait dernièrement qu'il faut dix ans pour se remettre d'une histoire d'amour, d'un chagrin d'amour. On peut aussi ne jamais s'en remettre, c'est un peu le cas d'Ismaël, le héros du film, joué par un Amalric, fidèle à lui-même, dépressif, alcoolique, titubant : on dirait "en attendant Godot" de Beckett. Il a beaucoup attendu le retour de sa femme disparue il y a vingt ans. Et soudain elle revient : fantôme ? Réalité ? "en nous la vie des morts" de Lorette Nobécourt nous conte une histoire similaire, à savoir la vie après la vie, la vie après l'absence de l'autre qui nous ronge, et pourtant il faut bien continuer à vivre. Ce film est un chef d’œuvre, et Desplechin décidément un de mes réalisateurs préférés.
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2017
    Ismaël Vuillard (Mathieu Amalric) est un réalisateur installé. Il écrit un film dont le rôle principal, celui d’un jeune diplomate, se nomme Ivan Dédalus (Louis Garrel). Il fut marié à Carlotta Bloom (Marion Cotillard) qui disparut de sa vie. Il parvient difficilement à l’oublier en nouant une liaison avec Sylvia (Charlotte Birkin). Jusqu’au jour où Carlotta réapparaît…

    Arnaud Despelchin est de retour. Avec Mathieu Amalric, son acteur fétiche (ils ont tourné huit films ensemble), son double de cinéma (Ismaël est un réalisateur égocentrique dévoré par le doute). Son film a fait l’ouverture du festival de Cannes. C’est dire l’importance de Desplechin dans le cinéma français contemporain.

    Pourtant je n’aime pas son cinéma. J’ai vu tous ses films, attiré par la richesse de ses thèmes et une critique élogieuse. Depuis "La Vie des morts" en 1991 – dont le scénario sera repris à l’identique dix-sept ans plus tard dans "Un conte de Noël" – et "La Sentinelle" – qui racontait déjà les premiers plats d’un diplomate. J’en admire la cohérence. Mais j’en déplore le narcissisme.

    Car de film en film, Desplechin ressasse les mêmes obsessions : l’enfance roubaisienne, la femme, mise sur un piédestal et méprisée pour son inconstance dans le même mouvement, la famille qui protège et qui étouffe, une lecture paranoïaque du métier de diplomate, les allusions à une obsédante judéité, les références révérencieuses à Joyce … Chacun de ses thèmes a tour à tour été développé dans chacun de ses films. "Les Fantômes d’Ismaël" est un film somme qui les convoque tous. En fait un film gloubiboulga qui les mélange tous au point d’y perdre le spectateur.

    Le cinéma n’est pas une opération cathartique qui permet à un réalisateur de faire l’économie d’une cure psychanalytique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 septembre 2017
    Un peu foutraque mais rempli d'une énergie vivifiante. Desplechin s'autorise à chercher, il se perd à des moments. Il se trouve à d'autres.
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