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    Les Fantômes d’Ismaël
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    213 critiques spectateurs

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    Gregory M
    Gregory M

    12 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2017
    Film sympa !!!!! Bon scenario tres bonne performance des acteurs mais une réalisation dont je ne suis pas fan " gros plan trop présent". A voir pour les fan de mathieu charlotte et marion.
    axelle J.
    axelle J.

    121 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mai 2017
    Une oeuvre de très grande qualité.
    C'est original, bouleversant, très intense émotionnellement ces "retrouvailles" avec tout un long de rancoeurs, de bouleversements.
    J'ai beaucoup aimé mais c'est une oeuvre complexe et difficile pour certains.
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2017
    Un film du niveau de "Rois et reine" et de "Conte de Noël", c'est à dire du grand Desplechin, du très grand cinéma. Ici, pas de vraisemblance, pas de réalisme, mais des émotions, de la fantaisie et des acteurs exceptionnels, Amalric en tête.
    Le réalisateur convoque de nouveau ses peurs les plus intimes, qu'il défie au fil du récit, tantôt avec gravité, tantôt avec une extravagance hilarante. C'est captivant et, lorsque la fin survient, on est presque triste de devoir quitter un univers d'une telle richesse.
    Simon P.
    Simon P.

    48 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2017
    Arnaud Desplechin, le meilleur d'entre nous.

    Avec ce film, le voilà à l'apogée de son cinéma : les fantômes du passé reviennent, le temps trace sa route et le spectateur, lui, est à l'apogée de son plaisir.
    Les fantômes, donc, pour un film qui n'a pas finit de nous hanter.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 mai 2017
    Un film dont il ne reste rien pas grand chose à la sortie de la salle. Des situations improbables , des dialogues surjoués ou confus, tout ceci justifie quoi au final ? Des histoires difficiles à suivre. En revanche, Almarics, Gainsbourg et Cotillard jouent très bien car sans ça ce film s'effondrerait. Desplechin a fait mieux, entre "Trois souvenirs de ma jeunesse" qui était pas terrible et celui là on commence à se poser des questions ....
    Clef en or Dulac
    Clef en or Dulac

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2017
    Trois intrigues en un film, dans lequel se bousculent aussi de nombreux personnages des précédents films de Desplechin, et où s’entrevoient encore de nombreuses références cinématographiques… Les Fantômes d’Ismaël est tout cela en même temps, alors que les intrigues, fortement délimitées, se succédaient dans Trois souvenirs de ma jeunesse, le précédent film du réalisateur.
    Dès le générique, nous sommes plongés dans un univers résolument cinématographique, romanesque et énigmatique ; les plans se succèdent, portés par les violons emballés d’une bande-originale, signée Grégoire Hetzel, qui joue les films d’espionnage hitchcockiens. Le nom de Dédalus, personnage récurrent de la filmographie de Desplechin, est sur toutes les bouches, avant de s’incarner sous les traits de Louis Garrel, dans une séquence kafkaïenne mystérieuse et parodique. Cut. Tout ceci était un film dans le film. Ou peut-être seulement un rêve de film, pour l’heure. Des images inspirées par le frère absent de l’histoire à Ismaël Vuillard, « fabricant de films » : Mathieu Amalric, qui rentre à nouveau dans la peau du personnage né dans Rois et reine.
    S’ouvre alors une nouvelle proposition narrative, très vite paroxystique, encore une fois. Cette séquence qui met en scène un vieil homme – Laszlo Szabo –, dévasté par la disparition de son enfant, dont il se passe des diapositives envahissant tout l’espace de son appartement, au milieu de la nuit, dans une dérive insomniaque, est poignante. Sur la rive du bout de la nuit, Ismaël retrouve Sylvia – Charlotte Gainsbourg – sujet du flash-back qui va suivre.
    Les thèmes sont donnés, dans l’urgence et la rupture de tons, de niveaux de récit – que transpose malicieusement la musique – de références visuelles, et surtout, dans une très grande maîtrise d’écriture et de mise en scène. Alors pourra surgir, au centre du film, Carlotta – Marion Cotillard – apparition, revenante, corps-écran focalisant les projections, mise en abyme du cinéma empruntée au maître Hitchcock.
    Personnage indécidable : « spectre, fantôme ou diable » ? femme de chair, d’os et de sueur, sans attaches et fragile ? Revenue du lointain, elle est le fantasme du passé d’Ismaël dont lui-même a eu tant de mal à faire le deuil et que sa nouvelle compagne redoute ; elle est le fantôme tel que le père-orphelin peut le secréter, avec effroi. Elle est aussi la réminiscence des amantes compliquées, voire torturées, du cinéma de Desplechin, incarnées jadis par Marianne Denicourt, Emmanuelle Devos, Jeanne Balibar. Elle est peut-être, maléfique, dame Wakasa, resurgie des Contes de la lune vague après la pluie de Mizoguchi. Elle est surtout, énigmatique, Madeleine de Vertigo d’Hitchcock, qu’elle cite par son prénom, son manteau blanc, son tableau…
    Elle est enfin Marion Cotillard, l’actrice française et internationale, débutante dans Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle), dont la plastique, le jeu et les rôles sont ici génialement utilisés. Le sourire agaçant, la mièvrerie de Cotillard, familiers pour le spectateur, sont soudain lestés d’une charge effroyablement inquiétante. Même et autre, principes de l’ « inquiétante étrangeté » freudienne. Elle serait alors, retour du refoulé, un des cauchemars d’Ismaël ? L’actrice ici est en tout cas sublime !
    De la persona de la comédienne à Persona de Bergman, le face à face entre les deux personnages féminins, esquissé en quelques séquences, nous propulse dans un thriller dont l’intensité se double encore une fois du poids des références. Puis avec l’épilogue du personnage du père de Carlotta, le réalisateur retrouve les thématiques de la disparition, de la filiation et de la mémoire de ses tout premiers films, dans un espace hospitalier que la présence palpable de la mort rend presque fantastique.
    Alors le film se brise et le romanesque ne tient pas ses promesses, pour la plus grande frustration du spectateur, qui se laisse cependant émouvoir par le burlesque d’un Amalric flamboyant dans sa composition d’un personnage excessif, guetté par les troubles psychiques, paralysé d’angoisses et téméraire à la fois. Submergé, sans doute, par le trop plein de potentialités cinématographiques que recèle le film dans lequel il vit, Ismaël fait une dépression nerveuse qui le ramène au Roubaix des origines. Abandonnant la maîtrise des précédents longs-métrages, Desplechin semble assumer scénaristiquement l’inachèvement, avant d’offrir une clôture dans laquelle Charlotte Gainsbourg, face caméra, est d’une émotion vibrante.
    Autobiographique et romanesque, saga intime et protéiforme jouant de son propre désir de fiction comme de celui du spectateur, le cinéma de Desplechin ressasse sans cesser de se réinventer.
    zemovieblog.wordpress.com
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 mai 2017
    D'une nullité affligeante, le choc perdure tout le long du film, je suis restée rivée à mon siège en espérant un développement. Le jeu des acteurs, consternant pour de telles notoriétés.
    Le film est d'une lecture sidérante malgré mes tentatives de voyager dans deux espaces, je n'ai pu que rire. AU SECOURS
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 mai 2017
    En sortant de ce film on se pose une seule question: personne pendant le tournage ne s'est manifesté pour dire que c'etait pas une bonne idée?
    Ce film en plus d'être mauvais dans son scénario est pitoyable dans son jeu d'acteur... 2h de torture... si bien que la salle était vide a la moitié du film. C'est un véritable brouhaha de tout et surtout de n'importe quoi. Le fil conducteur disparaît à la 15ème minutes.
    Un film pour pseudo intellectuel...
    La seule phrase marquante "c'est dur d'être le suicide de quelqu'un".... aussi dur que de subir ce film
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 mai 2017
    Et voilà, je me suis faite avoir par la promo TV Et le fait que le film soit sélectionné au festival de Cannes.
    Je rejoins la critique d'Achille, pour la première fois, je me suis permise de demander à ma voisine si c'était bien les fantômes d'ismael par peur de m'être trompée de salle. Elle n'était pas plus sûre que moi...
    Film incompréhensible, je n'ai rien compris tellement le montage est bordélique . Je me suis ennuyéeeeeeee.... j'adore Charlotte Et Amalric et reconnaît les talents de Cotillard mais j'ai souvent trouvé les scènes surjouées voire théâtrales, un manque de sincérité... bref, je vous déconseille ce film!
    Dommage!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 mai 2017
    Intelligent, esthétique, magnifiquement joué (Marion Cotillard étonnante, Charlotte Gainsbourg et Matthieu Amalric formidables de justesse. On retrouve plus au moins les personnages des précédents, ou plus exactement des figures évoquant les précédents Desplechin. Alors, oui, c'est un film psychologique et il faut aimer ça. Mais à ce niveau de justesse pour filmer les drames intimes, la peur de l'abandon, la fragilité... personnellement j'adore.
    Jean-Patrick Lerendu
    Jean-Patrick Lerendu

    16 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2017
    Ismaël ( Mathieu Almaric) semble refaire avec Silvia ( Charlotte Gainsbourg) lorsque débarque, après 22 ans, sa femme (Carlotta) qui a mémé été déclarée morte. Celle-ci pense pouvoir retrouver naturellement sa place auprès de son mari mais est-ce encore possible. Nos acteurs sont remarquables ( y compris Louis Garrel qui joue dans un film en cours de réalisation le frère d' Ismaël). Arnaud Desplechin fait un superbe film dont chaque image est attachante. Pour moi un film à voir.
    Christophe L.
    Christophe L.

    35 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2017
    Chef d'œuvre
    La vie
    Le cinéma
    Un kaléidoscope d'émotions
    Une valse triste sur les absences les silences et les illusions
    Chapeau l'artiste
    marydanieleb
    marydanieleb

    5 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2017
    Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde en voyant ce nouvel opus d'Arnaud Desplechin. Peut être parce que j'ai vu tous ses films. L'ami qui m'accompagnait, néophyte en la matière étais plus perplexe.
    Bernard M
    Bernard M

    26 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mai 2017
    Cannes, pour le meilleur et pour le pire! Ici peut-être le pire. l'idée de départ est bonne: le retour d'une disparue dans la vie d'un homme qui s'est refait une vie, mais le film se perd vite dans d'autres directions; cinéma dans le cinéma, espionnage...et j'en passe. Cela finit par perdre le spectateur d'où son désintéressement et son ennui. Seul le deuxième quart du film tient la rampe. Toujours un générique de tête escamoté et après? Reste les acteurs qui jouent au plus juste des rôles qui sonnent faux et nos deux actrices féminines de talent arrivent tard, pour quitter l'écran assez tôt: dommage! La fin en forme d'épilogue est narrée au lieu d'être filmée ce qui enlève le peu qui restait pour que ça se termine correctement.
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juin 2017
    Charlotte Gainsbourg est sublime ! Mais, j'ai passé une séance de cinéma abominable, car ma voisine de spectatrice, une inconnue fort désagréable, m'a demandé au commencement du film « si je pouvais respirer moins fort ». A quoi je lui ai répondu : « Je ne sais pas », mais j'ai néanmoins eu le sentiment de passer presque deux heures en apnée !! A ça, Arnaud Desplechin n'y peut rien, mais je trouve que le cinéma doit dire autre chose que la perte d'inspiration, les tortures du créateur, les pistes inabouties. Je revendique d'être mieux traité en tant que spectateur. Je ne sais pas si sans cette damnée voisine, j'aurais vu autrement le film... J'ai aimé certaines scènes belles, sensuelles. Evidemment, les images sont tournées avec talent, Mathieu Amalric joue son rôle avec aisance, sans compter la présence sympathique de Samir Guesmi, mais tout cela ne suffit pas à faire un film, à moins que la visée n'en soit fantomatique...
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