Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Il y a, dans la dissimulation et dans l’absence, une force étrange qui conduit l’esprit à se tourner vers l’inaccessible ». À bien des égards, ces mots extraits du très perspicace ouvrage de Jean Starobinsky "L’œil vivant" font écho à ce qui semble animer le dernier et brillant opus d’Arnaud Desplechin, "Les Fantômes d’Ismaël".
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce nouveau Desplechin joue avec les genres entre drame amoureux, thriller et comédie. ll offre une partition magnifique à Marion Cotillard et Charlotte Gainsbourg, royales.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Autant le dire sans préambule, on retrouve avec ce film le très grand Arnaud Desplechin, celui de La Sentinelle, de Rois et reine ou d’Un conte de Noël, autant d’œuvres que Les Fantômes d’Ismaël remet sur le métier, retravaillant obstinément une même glaise autobiographique, romanesque, burlesque, analytique, brassant en un même feuilleté vertigineux l’intime, le politique, l’artistique, le corps, la pensée et le processus créatif.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
"Les Fantômes d'Ismaël", d'Arnaud Desplechin, condensés téméraires de tous ses films précédents, laissent ébahi et le coeur content.
Positif
par Philippe Rouyer
Souhaitons une longue vie aux fantômes d'Arnaud !
Première
par Christophe Narbonne
L’épilogue, lumineux, confirme que Desplechin serait plutôt en phase d’apaisement et que "Les Fantômes d’Ismaël" marquerait peut-être la fin d’une époque et le début d’une autre. Un film charnière, donc. Un film indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
L'art morcelé et virtuose du montage, le formidable travail sur la lumière, les variations de rythme et d'humeur donnent à ce film l'allure d'un train fantôme qui avance dans la nuit.
Transfuge
par Antoine de Baecque
Avec "Les Fantômes d’Ismaël", Arnaud Desplechin réalise un magistral film-somme.
Télérama
par Louis Guichard
Ces échanges paroxystiques, magnifiques, où s'énonce la vérité des existences, rappellent Ingmar Bergman, bien sûr, comme certains monologues face caméra. Bergman, Truffaut, Hitchcock (...) : les maîtres d'Arnaud Desplechin réapparaissent, une fois encore, en filigrane, fantômes d'un autre genre et éternels revenants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On ne sait si l’adresse de Sade à ses censeurs, « Vous m’avez fait former des fantômes qu’il faudra que je réalise », a servi d’inspiration à Desplechin, mais il y a bien dans ce film quelque chose de la harangue du marquis : un mélange d’orgueil et de menace, teinté d’un désir pervers de voir son imaginaire menacé par quelque visitation perturbatrice.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Reste la sensation d'être face a un vrai et bel objet de cinéma.
Closer
par La Rédaction
Un drame en forme de triangle amoureux qui fera l'ouverture du Festival de Cannes. Excellent.
Elle
par Anne Diatkine
On regarde ce drame comme un thriller enlevé, où les registres ne cessent de varier et où les histoires intimes de chacun s'entremêlent formant, comme la mémoire, une pelote.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
"Les Fantomes d’Ismaë"l est un ballet de sentiments chorégraphié par un homme qu'on sent heureux et abîmé, incarné par un double espiègle et par deux grandes actrices.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Si son univers apparaît familier, le cinéaste surprend en empruntant des chemins de traverse, signe éclatant de la vitalité de son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Si le cinéma, c’est l’art de ressusciter les morts, le film d’Arnaud Desplechin est avant tout un film sur le cinéma ; et dans le fil embrouillé qu’il tisse entre réalité et fiction, passe une virtuosité excitante, même si elle se prend de façon un peu trop narcissique à son propre jeu.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film est bavard, littéraire, bancal, généreux, avec quelque chose de cruel et de vital. Sa beauté frappe comme la foudre. Desplechin introduit un film dans le film, convoque Jackson Pollock, cite Flannery O'Connor, s'attarde sur la sagesse d'un vieillard dans son lit d'hôpital.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Luc Chessel
Un tourbillonnant fracas d’histoires en miettes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’une des très belles choses du film est sans doute la façon dont les acteurs, précipités dans cette situation extravagante, archi romanesque (...) jouent sur tous les registres, passant de la douceur à la bizarrerie, de l’ironie à la tendresse, de la supplique à l’hystérie, de la mélancolie à la farce.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Avec ses acteurs étincelants dont le plaisir de jouer est communicatif - mention spéciale à Hippolyte Girardet dans un petit rôle très drôle -, Arnaud Desplechin surprend, multiplie les intrigues, s'affranchit des codes de la narration classique, pour livrer au final un film charmant, plein de panache.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
VSD
par Olivier Bousquet
C’est cet entre-deux, ce fil ténu entre deux mondes qui fait le sel de ces "Fantômes d’Ismaël", pas toujours bien foutus mais qui n’ont pas fini de nous hanter.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par Lola Sciamma
Deux films en un : celui, d'espionnage, réalisé par Ismaël, qui raconte les curieuses aventures d'un diplomate, et l'histoire d'amour, très belle, entre Ismaël et deux femmes que tout oppose.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Desplechin n’est jamais meilleur que quand il est au plus près de la vérité, sans théoriser la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Les fantômes qui nous visitent ici sont bien sûr ceux d’Ismaël, ceux de Desplechin, mais aussi celui, plus vindicatif, d’un montage alternatif incompréhensible.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Il manque des scènes, une respiration à ce film cyclothymique, trop décousu et ramassé pour posséder l'ampleur à laquelle il aspire. Est-ce un hasard ? Cette version, présentée en ouverture du Festival de Cannes, n'est pas la seule.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La constitution du couple Ismaël-Sylvia ne manque pas d’un charme qui s’installe par touches et l’irruption de Carlotta détruit un équilibre déjà fragile. Que faire face à une telle situation ? C’est un peu la quadrature du cercle d’une histoire filandreuse qui ne parvient pas, par trop d’inutile complexité, à dissiper un fond d’ennui, ni à capter la clarté espérée qui ne cesse de se dérober.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Le film joue à emboîter les récits les uns dans les autres, à déconstruire son récit, à multiplier les perspectives, reprenant la trame du film d’espionnage en Europe de l’Est esquissé au début de Trois souvenirs de ma jeunesse.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Le cinéaste reprend les thèmes qui l’obsèdent pour composer un « film vivant » : l’aventure, l’amour, la nostalgie, les rêves de jeunesse, l’opposition passé-présent, le processus de création et la mise en abyme. Foisonnant, le récit emprunte plusieurs chemins qu’on a du mal à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le réalisateur continue de nous donner à voir des éclats de vie, drôles et graves, où les personnages se surprennent à dire des choses qui les dépassent.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Les Fantômes d'Ismaël, ce sont avant tout les obsessions de Desplechin, rebrassées dans un vaste chaos, face auquel la déception le dispute à une forme de fascination.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Desplechin condense les grandes lignes de sa filmo entre mélodrame et proto film d’espionnage. Une synthèse hasardeuse et qui manque de liant, à réserver aux inconditionnels.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Il y a, dans la dissimulation et dans l’absence, une force étrange qui conduit l’esprit à se tourner vers l’inaccessible ». À bien des égards, ces mots extraits du très perspicace ouvrage de Jean Starobinsky "L’œil vivant" font écho à ce qui semble animer le dernier et brillant opus d’Arnaud Desplechin, "Les Fantômes d’Ismaël".
Femme Actuelle
Ce nouveau Desplechin joue avec les genres entre drame amoureux, thriller et comédie. ll offre une partition magnifique à Marion Cotillard et Charlotte Gainsbourg, royales.
Les Inrockuptibles
Autant le dire sans préambule, on retrouve avec ce film le très grand Arnaud Desplechin, celui de La Sentinelle, de Rois et reine ou d’Un conte de Noël, autant d’œuvres que Les Fantômes d’Ismaël remet sur le métier, retravaillant obstinément une même glaise autobiographique, romanesque, burlesque, analytique, brassant en un même feuilleté vertigineux l’intime, le politique, l’artistique, le corps, la pensée et le processus créatif.
Marianne
"Les Fantômes d'Ismaël", d'Arnaud Desplechin, condensés téméraires de tous ses films précédents, laissent ébahi et le coeur content.
Positif
Souhaitons une longue vie aux fantômes d'Arnaud !
Première
L’épilogue, lumineux, confirme que Desplechin serait plutôt en phase d’apaisement et que "Les Fantômes d’Ismaël" marquerait peut-être la fin d’une époque et le début d’une autre. Un film charnière, donc. Un film indispensable.
Studio Ciné Live
L'art morcelé et virtuose du montage, le formidable travail sur la lumière, les variations de rythme et d'humeur donnent à ce film l'allure d'un train fantôme qui avance dans la nuit.
Transfuge
Avec "Les Fantômes d’Ismaël", Arnaud Desplechin réalise un magistral film-somme.
Télérama
Ces échanges paroxystiques, magnifiques, où s'énonce la vérité des existences, rappellent Ingmar Bergman, bien sûr, comme certains monologues face caméra. Bergman, Truffaut, Hitchcock (...) : les maîtres d'Arnaud Desplechin réapparaissent, une fois encore, en filigrane, fantômes d'un autre genre et éternels revenants.
Cahiers du Cinéma
On ne sait si l’adresse de Sade à ses censeurs, « Vous m’avez fait former des fantômes qu’il faudra que je réalise », a servi d’inspiration à Desplechin, mais il y a bien dans ce film quelque chose de la harangue du marquis : un mélange d’orgueil et de menace, teinté d’un désir pervers de voir son imaginaire menacé par quelque visitation perturbatrice.
CinemaTeaser
Reste la sensation d'être face a un vrai et bel objet de cinéma.
Closer
Un drame en forme de triangle amoureux qui fera l'ouverture du Festival de Cannes. Excellent.
Elle
On regarde ce drame comme un thriller enlevé, où les registres ne cessent de varier et où les histoires intimes de chacun s'entremêlent formant, comme la mémoire, une pelote.
L'Express
"Les Fantomes d’Ismaë"l est un ballet de sentiments chorégraphié par un homme qu'on sent heureux et abîmé, incarné par un double espiègle et par deux grandes actrices.
L'Humanité
Si son univers apparaît familier, le cinéaste surprend en empruntant des chemins de traverse, signe éclatant de la vitalité de son œuvre.
Le Dauphiné Libéré
Si le cinéma, c’est l’art de ressusciter les morts, le film d’Arnaud Desplechin est avant tout un film sur le cinéma ; et dans le fil embrouillé qu’il tisse entre réalité et fiction, passe une virtuosité excitante, même si elle se prend de façon un peu trop narcissique à son propre jeu.
Le Figaro
Le film est bavard, littéraire, bancal, généreux, avec quelque chose de cruel et de vital. Sa beauté frappe comme la foudre. Desplechin introduit un film dans le film, convoque Jackson Pollock, cite Flannery O'Connor, s'attarde sur la sagesse d'un vieillard dans son lit d'hôpital.
Libération
Un tourbillonnant fracas d’histoires en miettes.
Sud Ouest
L’une des très belles choses du film est sans doute la façon dont les acteurs, précipités dans cette situation extravagante, archi romanesque (...) jouent sur tous les registres, passant de la douceur à la bizarrerie, de l’ironie à la tendresse, de la supplique à l’hystérie, de la mélancolie à la farce.
Télé 2 semaines
Avec ses acteurs étincelants dont le plaisir de jouer est communicatif - mention spéciale à Hippolyte Girardet dans un petit rôle très drôle -, Arnaud Desplechin surprend, multiplie les intrigues, s'affranchit des codes de la narration classique, pour livrer au final un film charmant, plein de panache.
VSD
C’est cet entre-deux, ce fil ténu entre deux mondes qui fait le sel de ces "Fantômes d’Ismaël", pas toujours bien foutus mais qui n’ont pas fini de nous hanter.
Voici
Deux films en un : celui, d'espionnage, réalisé par Ismaël, qui raconte les curieuses aventures d'un diplomate, et l'histoire d'amour, très belle, entre Ismaël et deux femmes que tout oppose.
Critikat.com
Desplechin n’est jamais meilleur que quand il est au plus près de la vérité, sans théoriser la fiction.
Ecran Large
Les fantômes qui nous visitent ici sont bien sûr ceux d’Ismaël, ceux de Desplechin, mais aussi celui, plus vindicatif, d’un montage alternatif incompréhensible.
L'Obs
Il manque des scènes, une respiration à ce film cyclothymique, trop décousu et ramassé pour posséder l'ampleur à laquelle il aspire. Est-ce un hasard ? Cette version, présentée en ouverture du Festival de Cannes, n'est pas la seule.
La Croix
La constitution du couple Ismaël-Sylvia ne manque pas d’un charme qui s’installe par touches et l’irruption de Carlotta détruit un équilibre déjà fragile. Que faire face à une telle situation ? C’est un peu la quadrature du cercle d’une histoire filandreuse qui ne parvient pas, par trop d’inutile complexité, à dissiper un fond d’ennui, ni à capter la clarté espérée qui ne cesse de se dérober.
La Septième Obsession
Le film joue à emboîter les récits les uns dans les autres, à déconstruire son récit, à multiplier les perspectives, reprenant la trame du film d’espionnage en Europe de l’Est esquissé au début de Trois souvenirs de ma jeunesse.
Le Figaroscope
Le cinéaste reprend les thèmes qui l’obsèdent pour composer un « film vivant » : l’aventure, l’amour, la nostalgie, les rêves de jeunesse, l’opposition passé-présent, le processus de création et la mise en abyme. Foisonnant, le récit emprunte plusieurs chemins qu’on a du mal à suivre.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur continue de nous donner à voir des éclats de vie, drôles et graves, où les personnages se surprennent à dire des choses qui les dépassent.
Les Fiches du Cinéma
Les Fantômes d'Ismaël, ce sont avant tout les obsessions de Desplechin, rebrassées dans un vaste chaos, face auquel la déception le dispute à une forme de fascination.
aVoir-aLire.com
Desplechin condense les grandes lignes de sa filmo entre mélodrame et proto film d’espionnage. Une synthèse hasardeuse et qui manque de liant, à réserver aux inconditionnels.