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    Moi, Tonya
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    290 critiques spectateurs

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    maguaguas
    maguaguas

    7 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2018
    La première heure du film est top ! Filmé de manière très dynamique, aussi humoristique que tragique, l'histoire de Tonya Harding est racontée de manière vraiment très originale. La 2ème partie est longue, pas mal de répétitions et j'ai un peu décroché. Les personnages sont hauts en couleur, avec une mention particulière pour la mère qui est exceptionnelle !
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Moi, Tonya souffre de tics de mise en scène qui sont ceux d'un certain type de cinéma américain Indépendant. Le procédé du faux documentaire où les personnages se confient face caméra, amusant au départ, devient rapidement artificiel. Il deserre le récit de ce biopic pop pas aussi Trash que certains critiques ont voulu le faire croire. Néanmoins c'est dans l'interprétation que le film se rattrape brillamment tant Margot Robbie et Allison Jeanne offre des performances remarquables. Excessives mais d'une grande justesse, les deux actrices portent en bout ce film à l'esthétique eighties assez réjouissante. On passe un bon moment devant ce film gentiment décalé le mais au final plus conventionnel que ce qu'il veut, au départ, nous faire croire.
    Quentin H.
    Quentin H.

    8 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2018
    MOI, TONYA ; réalisé par Craig Gillespie, avec Margot Robbie, Allison Janney (oscarisé pour son rôle), Sebastian Stan...
    Biopic sur l'histoire de la patineuse Tonya Harding qui, en 1994, est impliqué dans une affaire d'agression d'une autre patineuse.
    Un bon film, histoire intéressante, Margot Robbie joue à la perfection (nommé à l'Oscar de la meilleure actrice pour ce rôle). Le film dose bien l'humour. La musique est très bien incorporée au film et la qualité d'image essais de représenté l'image d'époque.
    Du bon divertissement, 15/20.
    LaureP
    LaureP

    13 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2018
    L’histoire était floue dans ma mémoire, étant ado à l’époque des faits. Ce rappel / mise au point est très intéressant. Dommage que le film ne montre qu’un point de vue. Il aurait vraiment été intéressant, à l’instar de Bjorg/Mc Enroe d’avoir un aperçu de l’autre camp. Magnifiquement interprété, le film est une vraie réussite. Les acteurs sont presque trop beaux / au caractère trop fort pour vraiment souligner la tristesse de cette histoire, de cette Amérique loin des paillettes qui a le droit de rêver elle-aussi.
    cortomanu
    cortomanu

    77 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2018
    Craig Gillepsie réussit à faire de Tonya Harding un personnage émouvant. Elle, la sans éducation, la blue collar, la redneck face à la bonne éducation kitsch du patinage artistique, face à un entourage horrible et face à elle même aussi.
    On ressort avec un peu d'amour et de sympathie pour cette réprouvée à vie de l'Amérique. Mission accomplie.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    780 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2018
    En mode reportage/interview, nous allons suivre la rétrospective de la vie de Tonya Harding, patineuse américaine de haut niveau qui a défrayé la chronique en 1994 pour avoir été mêlée à l'agression de sa grande rivale sur la glace : Nancy Kerrigan.
    Le sujet est traité avec beaucoup de punch et d'humour, l'actrice australienne Margot Robbie est captivante dans son rôle de garçon manqué tentant de séduire des juges totalement coincés par des soit-disant codes artistiques de patinage.
    Sa mère est une terreur, son copain un boulet violent, qu'à cela ne tienne : elle veut être la meilleure et fait tout pour arriver au sommet.
    Je ne suis pourtant pas fan de patinage artistique mais certaines scènes avec l'héroïne en pleine action sont tout simplement superbes.
    Puissant, touchant, drôle, décalé, rythmé, ce film possède beaucoup d'ingrédients de qualité : un bon moment.
    --> Site CINEMADOURG <--
    Nicolas S
    Nicolas S

    46 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mars 2018
    Rythmé, drôle et inventif tant sur le plan visuel que narratif, 'Moi, Tonya' parvient à donner de la substance à un sujet qui en manque a priori beaucoup, et à donner un nouveau souffle au genre du biopic. Ses limites se situent dans son traitement parfois maladroit des problématiques de classe, et dans sa tendance abusive à vouloir sauver tous ses personnages, même ceux qui ne le méritent absolument pas.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2018
    En voilà une biographie pas comme les autres et c’est sacrément appréciable! Refusant de rentrer dans tous les carcans habituels du genre, le réalisateur Craig Gillepsie (« Une fiancée pas comme les autres », « The finest hours », …) adopte une narration éclatée, met en place de fausses interviews de Tonya Harding et des protagonistes gravitant autour d’elle et choisit une tonalité loufoque à mi-chemin entre polar et humour à froid. Dès lors, son film ressemble plus à une comédie noire dans la veine de « Fargo » ou à une plongée chez les ploucs de l’Amérique profonde du type du récent « 3 Billboards », avec qui il est en compétition aux Oscars, qu’à une biographie lisse et attendue comme on en voit à la pelle. Et dans ce sens c’est tout bon et plutôt jouissif pour nous spectateurs. On ne sait jamais où tout cela va nous mener et c’est un véritable plaisir pour le spectateur qui slalome entre rires et passion.

    Ensuite, on ne peut qu’acclamer les prestations hautes en couleurs de ses actrices. Et sans conteste, Margot Robbie fait décidément partie de celles qui comptent. Qu’elle soit la vilaine et délurée Harley Queen dans « Suicide Squad » (seul bon point de cette déception monumentale), une belle plante charmeuse et arnaqueuse dans « Diversion » ou ici la pauvre fiancée de l’Amérique en incarnant Tonya Harding, cette patineuse artistique venant d’un miiieu prolétaire aussi douée sur la glace que pour ses sorties de route et sa place dans les faits divers, elle est tout bonnement renversante. Mais c’est encore plus Allison Janney qui impressionne. Cette actrice trop souvent employée pour des seconds rôles est hilarante en mère sévère qui jure comme un charretier. A chaque séquence, elle nous met KO, servie par des dialogues hilarants qu’elle s’emploie à débiter comme des tirs de roquette. Elle devrait remporter sans conteste l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Julianne Nicholson, en entraîneuse compatissante n’est pas en reste; à elles trois elles portent très haut le casting de « Moi, Tonya » rendant la distribution masculine anodine et effacée.

    Néanmoins, le film dure deux heures et si la première partie vole très haut quand elle s’attache à nous compter le parcours de Tonya Harding et sa relation compliquée avec son mari Jeff, la seconde partie s’enlise et finit par nous perdre quelque peu. Le personnage d’Allison Janney est beaucoup moins présent et cela se ressent et le scénario qui refuse parfois une chronologie linéaire s’égare un tantinet et peine à nous passionner sur le versant polar. Les scènes deviennent un peu redondantes et les tenants et les aboutissants de l’affaire de l’agression de Nancy Kerrigan, la rivale de Tonya, ne sont pas clairement exposées. En outre, les interviews face caméra, apparaissent au final plus un gadget que réellement utiles à la progression de l’histoire. N’empêche, si « Moi, Tonya » n’atteint pas la nirvana espéré, il sort indubitablement du lot et permet également de voir un sport très peu représenté au cinéma avec d’excellentes et impressionnantes scènes de patinage artistique (dont le fameux et sublime triple axel). Un bon moment tout de même qui aurait gagné à plus de précision sur le montage et à être plus concis et moins bavard dans ses dialogues.

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    Drallic
    Drallic

    6 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2018
    Belle surprise que ce film, je ne m'attendais pas du tout à ce que j'allais voir (du moins dans la forme). C'est rythmé, drôle, inventif, bien joué, les scènes de patinage artistique sont hypers cinématographiques, ce film est un vrai plaisir. Ce film explore une voie original du film sportif : alors que Rocky passe de la misère à la célébrité et que Jake La Motta fait le chemin inverse, le parti pris de ce film est que Tonya Harding, malgré tout ses efforts, ne pourra jamais sortir de sa condition. Cruel constat du rêve américain qui choisit in fine ses prétendants au graal.
    Yves G.
    Yves G.

    1 500 abonnés 3 518 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2018
    Une petite leçon de rattrapage pour ceux qui, en janvier 1994, ne s'intéressaient pas au patinage artistique et/ou n'avaient pas encore atteint l'âge de raison : à quelques semaines des Jeux olympiques de Lillehammer, la patineuse Nancy Kerrigan était tabassée. Une autre patineuse, Tonya Harding, elle aussi en lice pour la qualification aux J.O., fut accusée d'avoir fomentée cette agression.

    "Moi, Tonya" est un faux documentaire qui revient sur un fait divers qui, quelques mois avant l'affaire O.J. Simpson, avait tenu l'Amérique en haleine et marqué les débuts de l'info en continu. Ses principaux protagonistes, interprétés par des acteurs professionnels, sont interviewés face caméra, comme le seraient les participants à une enquête télévisée.

    Mais "Moi, Tonya" s'intéresse moins à "l'incident" de janvier 1994 qu'à la vie de Tonya Harding. Abandonnée par son père, élevée par une mère violente, trop tôt mariée à un parfait loser, Tonya Harding était une "white trash" dans un sport qui ne lui a pas laissé sa chance.

    Le scénario de Steven Rogers est subtil qui évite le manichéisme. Il donne la part belle à Tonya Harding, que campe une Margot Robbie enlaidie, une gageure pour l'actrice sans doute la plus sexy du moment (je ne me suis pas remis de sa scène dans "Le Loup de Wall Street"). Mais pour autant, "Moi, Tonya" n'instruit pas le procès en réhabilitation de l'athlète la plus haïe de l'histoire du patinage artistique. Si Tonya démontre un courage admirable, physique et psychologique, face à l'adversité, elle n'en affiche pas moins un refus buté d'accepter ses responsabilités.

    C'est avec un humour jubilatoire, qui rappelle celui des frères Cohen, que ces pauvres types décérébrés et violents sont croqués. Il faut rester jusqu'au bout du générique, qui nous montre les interviews des véritables protagonistes pour constater avec effarement que la réalité surpassait la fiction : Tonya, sa coiffure ridicule, ses tenues impayables, son mari bas du front avec son inénarrable moustache, sa mère (interprétée avec une délectation sadique par Allison Jeanney l'inoubliable porte-parole de la Maison-Blanche dans "West Wing") et un garde du corps glouton et mythomane...
    Padami N.
    Padami N.

    62 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2018
    ce film est un biopic a la limite de la parodie.le second degré et le grotesque sont omniprésents, l'ambiance "cas soce"qui devrait aller dans le pathos est risible. seul la différence de classe sociale l'image de la bonne famille américaine semblent un peu épargnés par ce traitement à la sauce comédie et scènes commentées en live.. "l'incident" est secondaire et l'ambiance à la "frère Cohen" prime sur l'histoire.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    197 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2018
    Voilà un biopic très dynamique, on ne s’en lasse pas. Les personnages sont tous haut en couleur, on en ressort en ayant appris beaucoup de choses sur la vie de Tonya mais également sur les Américains de cette classe sociale. Très intéressant et très réussi!
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2018
    Bienvenue dans le monde du patinage artistique, un monde pas aussi radieux qu’on pourrait l’imaginer, loin s’en faut. L’histoire de Tonya Harding en donne l’illustration et c’est une histoire authentique. Le 6 janvier 1994, à Detroit, dans les vestiaires d’une patinoire, un homme frappe à coups de matraque les jambes de Nancy Kerrigan, membre de l’équipe olympique américaine de patinage artistique. Cela se passe peu avant les Jeux de Lillehammer, en Norvège. L’enquête démontre rapidement que c’est le mari d’une autre patineuse, Tonya Harding, qui est à l’origine de ce forfait. Ce qui entraîne, pour cette dernière, après la compétition olympique, une interdiction de patinage à vie.
    Tonya Harding était-elle vraiment impliquée dans ce délit ? Son mari a-t-il commandité le forfait avec l’accord de la patineuse ? Pas si sûr. Craig Gillespie remonte aux sources de l’événement, construisant son film à la manière d’une enquête précisément, mais d’une enquête de personnalité, cherchant à retracer le parcours d’une vie. Or si, malgré ses talents et ses succès, la patineuse a toujours été plus ou moins déconsidérée dans le monde du patinage artistique, c’est, en grande partie, à cause de son milieu social. Elle est issue de ce qu’on nomme, en Amérique, « white trash », c’est-à-dire le rebut de la population blanche, ceux qui n’ont pas « réussi », les pauvres.
    C’est LaVona (Allison Janney), la mère de Tonya qui, dès sa petite enfance, a fait d’elle une championne de patinage, exigeant d’elle un total dévouement. Non pas pour le bien de l’enfant, mais pour échapper à la malédiction de la pauvreté en devenant la mère d’une star du patinage. Cette mère intraitable et égoïste, Tonya, devenue elle-même une jeune femme, la quitte sans regret, on n’en est pas surpris, mais pour se jeter dans les bras de Jeff Gillooly (Sebastian Stan), un homme qui, dès après les premières effusions, montre son vrai visage, celui d’un homme aussi violent que stupide. Tonya a beau être une excellente patineuse, elle semble ne pas pouvoir se libérer de sa condition, de ses origines : ses goûts vestimentaires et ses choix musicaux eux-mêmes la disqualifient quelque peu au regard des experts de la discipline.
    Avec de tels personnages, il est difficile d’éviter totalement l’exagération ou, en tout cas, une impression d’exagération. Heureusement, Margot Robbie, l’actrice qui joue le rôle de Tonya Harding, reste toujours totalement crédible. Elle donne à son personnage le mélange de force et de vulnérabilité qui convient. Quant au déterminisme dont elle semble être la prisonnière, un déterminisme que nous aimerions contester, contre lequel nous voudrions nous révolter, il nous interpelle à bon droit.
    Alice025
    Alice025

    1 685 abonnés 1 371 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2018
    Un biopic très rythmé et délirant sur la vie de Tonya Harding, incarnée par Margot Robbie, boule de nerfs incroyable. Réalisé à la façon « interview », on retrace dans la première partie la vie de Tonya, de son enfance à l'âge adulte. Ses rapports assez conflictuels par rapport à sa mère, puis face à son mari sont baignés dans un climat assez violent, mais retranscrits ici avec une grande pointe d'humour. Les scènes de patinages sont d'ailleurs scotchantes. La deuxième partie du film est plutôt consacrée à l'attaque physique sur Nancy Kerrigan, sa grande rivale. On ne s'attarde pas tellement à la compétition entre les deux femmes, mais plutôt à l'affaire en elle-même et la réaction des différents personnages.
    « Moi, Tonya » est donc un film qui s'apprécie bien de part une réalisation dynamique, autant dramatique qu'elle en est drôle, et de part un casting qui s'investit énormément, et ça se sent.

    cinephile-critique.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 février 2018
    America. Bien que se consacrant à une discipline peut connue du grand plublic, c'est encore une belle critique du "White Trash" américain. Il n'y pas une seule seconde où l'on perd le fil - et ses paillettes aux trois couleurs de la "bannière étoilée" - d'un protagoniste féminin qui ne pouvait venir d'ailleurs. Merci à Margot Robbie et Allison Janney qui rendent cette histoire croyable.
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