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    Moi, Tonya
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    Clémentine K.
    Clémentine K.

    197 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2018
    Voilà un biopic très dynamique, on ne s’en lasse pas. Les personnages sont tous haut en couleur, on en ressort en ayant appris beaucoup de choses sur la vie de Tonya mais également sur les Américains de cette classe sociale. Très intéressant et très réussi!
    poet75
    poet75

    275 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2018
    Bienvenue dans le monde du patinage artistique, un monde pas aussi radieux qu’on pourrait l’imaginer, loin s’en faut. L’histoire de Tonya Harding en donne l’illustration et c’est une histoire authentique. Le 6 janvier 1994, à Detroit, dans les vestiaires d’une patinoire, un homme frappe à coups de matraque les jambes de Nancy Kerrigan, membre de l’équipe olympique américaine de patinage artistique. Cela se passe peu avant les Jeux de Lillehammer, en Norvège. L’enquête démontre rapidement que c’est le mari d’une autre patineuse, Tonya Harding, qui est à l’origine de ce forfait. Ce qui entraîne, pour cette dernière, après la compétition olympique, une interdiction de patinage à vie.
    Tonya Harding était-elle vraiment impliquée dans ce délit ? Son mari a-t-il commandité le forfait avec l’accord de la patineuse ? Pas si sûr. Craig Gillespie remonte aux sources de l’événement, construisant son film à la manière d’une enquête précisément, mais d’une enquête de personnalité, cherchant à retracer le parcours d’une vie. Or si, malgré ses talents et ses succès, la patineuse a toujours été plus ou moins déconsidérée dans le monde du patinage artistique, c’est, en grande partie, à cause de son milieu social. Elle est issue de ce qu’on nomme, en Amérique, « white trash », c’est-à-dire le rebut de la population blanche, ceux qui n’ont pas « réussi », les pauvres.
    C’est LaVona (Allison Janney), la mère de Tonya qui, dès sa petite enfance, a fait d’elle une championne de patinage, exigeant d’elle un total dévouement. Non pas pour le bien de l’enfant, mais pour échapper à la malédiction de la pauvreté en devenant la mère d’une star du patinage. Cette mère intraitable et égoïste, Tonya, devenue elle-même une jeune femme, la quitte sans regret, on n’en est pas surpris, mais pour se jeter dans les bras de Jeff Gillooly (Sebastian Stan), un homme qui, dès après les premières effusions, montre son vrai visage, celui d’un homme aussi violent que stupide. Tonya a beau être une excellente patineuse, elle semble ne pas pouvoir se libérer de sa condition, de ses origines : ses goûts vestimentaires et ses choix musicaux eux-mêmes la disqualifient quelque peu au regard des experts de la discipline.
    Avec de tels personnages, il est difficile d’éviter totalement l’exagération ou, en tout cas, une impression d’exagération. Heureusement, Margot Robbie, l’actrice qui joue le rôle de Tonya Harding, reste toujours totalement crédible. Elle donne à son personnage le mélange de force et de vulnérabilité qui convient. Quant au déterminisme dont elle semble être la prisonnière, un déterminisme que nous aimerions contester, contre lequel nous voudrions nous révolter, il nous interpelle à bon droit.
    Christophe R
    Christophe R

    29 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2018
    " Moi, Tonya " est un excellent moment de cinéma. Ce film m'a définitivement beaucoup plu pour son humour corrosif, pour cette histoire passionnante et pour le jeu des acteurs absolument déroutant (l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle est promis à juste titre à la brillante Allison Janney).
    A travers ce film, j'ai aussi revécu ces histoires incroyables du début des années 90 autour du patinage artistique féminin et du célèbre fait divers qui entourait les Jeux Olympiques de Lillehammer en 1994 : le scandale Harding vs Kerrigan.
    De mes souvenirs, les aspects techniques et sportifs sont tous vrais et rendent finalement un sacré hommage à Tonya Harding qui, à défaut d'être une femme intelligente et attachante, était une sacrée championne pour avoir réussi à faire ce qu'elle a fait (le triple axel, ni plus ni moins !), venant d'où elle venait.
    Un très bon film drôle, touchant et particulièrement original.
    Clement D.
    Clement D.

    19 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2018
    plongée dans les 90’s qui mêle très bien serieux et humour et les scènes de patinage sont magnifiquement filmées et le tout avec une bande son que j ai adorée !
    Alice025
    Alice025

    1 682 abonnés 1 369 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2018
    Un biopic très rythmé et délirant sur la vie de Tonya Harding, incarnée par Margot Robbie, boule de nerfs incroyable. Réalisé à la façon « interview », on retrace dans la première partie la vie de Tonya, de son enfance à l'âge adulte. Ses rapports assez conflictuels par rapport à sa mère, puis face à son mari sont baignés dans un climat assez violent, mais retranscrits ici avec une grande pointe d'humour. Les scènes de patinages sont d'ailleurs scotchantes. La deuxième partie du film est plutôt consacrée à l'attaque physique sur Nancy Kerrigan, sa grande rivale. On ne s'attarde pas tellement à la compétition entre les deux femmes, mais plutôt à l'affaire en elle-même et la réaction des différents personnages.
    « Moi, Tonya » est donc un film qui s'apprécie bien de part une réalisation dynamique, autant dramatique qu'elle en est drôle, et de part un casting qui s'investit énormément, et ça se sent.

    cinephile-critique.over-blog.com
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2018
    Je l’attendais de pied ferme, ce film sur Tonya Harding. Parce que j’aime beaucoup le patinage, surtout celui de cette époque (celui d’aujourd’hui est devenu si formaté !) et que, de cette histoire abracadabrante d’agression, j’ai toujours pensé qu’il y avait beaucoup à dire et de façon beaucoup moins manichéenne qu’on l’a fait à l’époque. Et bien je ne suis pas déçue par un film trépidant comme un programme court, créatif dans sa forme comme un programme libre et qui montre Tonya Harding et au-delà d’elle, le monde sans pitié du patinage, sous un jour cru et sans concession. Dans la forme, Craig Gillespie livre un film de deux heures pied au plancher. Grâce à un montage ultra serré, à un habillage proche de celui de la trash-TV (qui colle parfaitement au sujet) et grâce aussi à un bande son punchy (ZZ Top, Supertamp…), « Moi Tonya » nous embarque dés les premières minutes dans la vie de cette gamine surdouée et il ne nous délivre qu’au bout du générique de fin. Ce générique de fin, qui propose quasi en intégralité le programme de Harding, le fameux programme où elle passe le triple axel (pour la première fois au monde chez les filles), est l’ultime bonne idée de ce film qui n’en manque pas par ailleurs. Un humour omniprésent vient colorer et équilibrer l’histoire de cette fille, l’histoire pathétique d’une gamine affublée d’une mère comme on n’en souhaite pas à sa pire ennemie, marié à un pauvre type qui la bat à tout bout de champs, et passionnée par un sport à qui elle sacrifiera tout et qui ne lui rendra presque rien. Heureusement que le parti pris de Gillespie est de filmer cette histoire avec un second degré total car au premier degré, quelle tristesse que l’histoire de cette pauvre fille. Dans la forme, à part quelques petites choses un peu étranges (une athlète de haut niveau qui fume comme un pompier et qui s’entraine en justaucorps 6h par jour dans les patinoires frigorifiée), le film fonctionne à plein. Il faut le prendre plus comme une fable sous acide que comme un biopic, même s’il en a un peu l’allure. Les reconstitutions du patinage à Albertville ou à Lillehammer m’ont l’air très soignée et pour une fois, le patinage est plutôt bien rendu à l’écran. Filmer le sport pour le cinéma est un sacré challenge, autant le patinage est télégénique, autant il est peu propice au grand écran. Ici, les prestations de Harding sont bien filmées, là encore de façon dynamique et crédible, ce qui n’était pas gagné sur le papier. J’imagine que ce n’est pas Margot Robbie qui patine mais une doublure, et pourtant c’est suffisamment bien fait pour qu’on se laisse abuser. Margot Robbie, parlons en, livre une vraie performance en incarnant une Tonya Harding complexe, attachante et exaspérante, qui fait des mauvais choix et laisse son caractère la desservir. Au bout de deux heures, je parie que plus personne ne peut considérer Harding comme la méchante machiavélique décrite à l’époque, mais davantage comme une pauvre fille qui s’est bien mal battue avec le peu d’armes que la vie lui a donné au départ. A ses côtés, Sébastian Stan est épatant mais surtout Allison Janney impressionne. Cela fait 20 ans, depuis « The West Wing », que je sais que Janney est une immense actrice et qu’elle n’a jamais eu un rôle à sa mesure. Ici, elle donne corps à une mère abominable, qui n’aura jamais un mot tendre, un geste affectueux pour sa fille, une femme tellement dure et sèche qu’elle en devient parfois presque… drôle ! La performance d’Allison Janney vaut un oscar, et je pèse mes mots ! Le scénario de « Moi, Tonya » va bien au-delà de décrire et expliquer « L’incident » par la personnalité de Harding. Le scénario est pertinent car il jette une lumière très crue sur un sport particulièrement injuste et surtout totalement accepté comme tel (surtout à l’époque, cela a un peu changé aujourd’hui). Harding vient d’un milieu très populaire, elle n’a pas d’argent pour patiner (aux USA, les parents payent pour tout, jusqu’aux tenues, ce sport est réservé aux riches), elle est athlétique, un peu trapue, elle fait l’erreur de considérer le patinage uniquement comme un sport alors que c’est aussi autre chose. Elle n’avait aucune chance, le monde du patinage n’était pas fait pour elle comme il n’était pas fait, à la même époque, pour une Surya Bonaly. C’est tragique de voir cette gamine surdouée adorer un sport d’un amour à sens unique. Le film prend le parti de montrer une Harding moins coupable qu’on ne l’a dit à l’époque, mais pas totalement innocente non plus. spoiler: Au sortir de la salle, on ne connait toujours pas avec certitude son degré d’implication dans l’affaire, le film est volontairement ambigu et c’est très bien comme cela
    . En revanche, le film est sans pitié pour Jeff Gilloly, son ex-mari et Shawn Eckart, les commanditaires de l’agression, des pauvres types pas très futés, des mecs plus pathétiques que dangereux. « Moi, Tonya » est filmé comme un reportage de TV-réalité et montre des personnages finalement peu éloignés de ce monde là, un monde où la bêtise rivalise avec la vulgarité. C’est de ce monde là que vient Tonya Harding, celui des « red-necks » et des pick-up, et c’est dans ce monde là que le patinage et la presse à voulu la cantonner. Même si on n’est pas fan de patinage, même si on ne sait pas ce que représente la performance de passer un triple axel en 1994 pour une fille, je vous l’assure, on peut prendre un vrai plaisir de spectateur devant « Moi, Tonya ».
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 février 2018
    America. Bien que se consacrant à une discipline peut connue du grand plublic, c'est encore une belle critique du "White Trash" américain. Il n'y pas une seule seconde où l'on perd le fil - et ses paillettes aux trois couleurs de la "bannière étoilée" - d'un protagoniste féminin qui ne pouvait venir d'ailleurs. Merci à Margot Robbie et Allison Janney qui rendent cette histoire croyable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 février 2018
    Performance incroyable de Margot Robbie, biopic réussi ! L’histoire de Tonya Harding est très touchante
    SaintPauly
    SaintPauly

    19 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2018
    Moi, Tonya montre parfaitement comment faire un film tiré d'une histoire vraie. Il y a de la vérité, l'empathie et pathos avec une double dose d'humour, tout ça pour rendre le scandale Tonya Harding compréhensible tout en gardant sa gravité. Réalisateur Craig Gillespie a fait l'impossible en faisant d'un désastre surnaturel un ballet. (As-tu déjà vu une locomotive déraillée faire une pirouette?

    La qualité du film utilisé renforce le look des années 80-90 donné par les vêtements et voitures, mais rien de tout ça est aussi efficace que la musique. Le BO est mélangé avec l'histoire avec toute la finesse de Baby Driver; même mieux car ici les chansons ne communique pas seulement l'ambiance, mais l'époque aussi.

    Margot Robbie assure le rôle de Tonya Harding avec brio, tout comme Sebastian Stan et Allison Janney dans leurs rôles de mari et mère, respectivement.

    Pour faire bref, Moi, Tonya est le film que cette fille tragiquement sincère, équivoque et mal compris mérite.
    Serge V
    Serge V

    84 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2018
    moi , tonya nous raconte la rivalité entre les deux championnes de patinage tonya harding et nancy kerrigan , rivalité qui se traduit par une agression sauvage envers la pauvre nancy ! le problème se pose : tonya harding est - elle impliquée dans ce forfait ? l ' histoire est traitée de façon originale avec des interviews des protagonistes s ' intercalant dans le déroulement de l ' action . dans le scénario , la mère de tonya est très importante, à un moment tonya la traite de monstre et cela semble justifié tant cette mère est glaçante et violente .margot robbie et allison janney qui incarnent respectivement tonya et sa mère sont toutes deux exceptionnelles !
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2018
    J'ai trouvé ce "biopic" vraiment très bien réalisé, très bien interprété et absolument captivant.
    Cette histoire m'a touchée et je m'en rappelle bien car j'ai seulement un an de moins que cette patineuse et à l'époque on avait beaucoup entendu parler de cette histoire.
    La première moitié du film s'attarde sur son enfance, son adolescence et ses galères avec sa mère invivable et son premier petit ami lui aussi invivable et violent.
    La deuxième partie se concentre sur l'agression de sa rivale.
    On voit bien comment une patineuse très douée a eu sa carrière brisée à cause de son mari qui a formenté avec un pote des méfaits contre la rivale.
    De toutes façons cette patineuse n'a jamais eu de chance, à part son grand talent, en raison de sa famille, de son mari mais aussi parce que même ceux qui notent les prestations ne l'aimaient pas du fait qu'elle était pauvre, mal habillée, pas classe.
    Stéphane C
    Stéphane C

    63 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2018
    Un biopic corrosif qui évoque l’ascension de la patineuse Tonya Harding puis sa chute occasionnée par l’incident qui précéda les JOs de Lillehammer ... c’est finalement l’histoire d’une fille plutôt touchante, écorchée vive, privée d’amour filial, qui chercha en vain la reconnaissance de tous ...
    blacktide
    blacktide

    60 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2018
    Sous le comique patin de la tragédie, la grâce se cabosse, et la fougue modèle les coups. De l'intime au scandale, No Pain No Triple Axel. Plus que l'histoire, j'ai davantage été emporté par le rythme soutenu du film, et cette fièvre constante entourant le personnage de Tonya. Il faut dire que la BO aide énormément à cette maîtrise du rythme. La mise en scène, loin d'être mémorable, reste pourtant très agréable et efficace, notamment par l'emploi de "face cam" faisant du faux documentaire un autre moyen de détourner la vérité, les points de vus et de pointer les contradictions de ses protagonistes et plus amplement de l'Amérique. La vulgarité, parfois excessive, n'est pourtant là que pour renforcer le sentiment de violence quotidienne dans lequel baigne Tonya: un milieu où elle se fait constamment rouer de coups. L'humour y est extrêmement présent, notamment grâce au personnage complotiste et absurde interprété merveilleusement par Paul Walter Hauser. Et justement toute la tragédie de cette "histoire américaine" (très sombre et pessimiste au fond: celle d'un déterminisme social et de l'impossibilité de s'en extraire) est noyée dans le rythme, le comique et le ridicule de la situation (il suffit de voir la scène du "genou" et la fuite de l'agresseur pour y voir tout l'absurde et quasiment l'humour des frères Coen). Ce qui en fait un film extrêmement divertissant, plus profond que ses apparences...
    Christiane D.
    Christiane D.

    3 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2018
    Ce film aurait pu s'appeler Fantasia chez les ploucs de Portland... ou Rififi chez Ribouldingue !!
    J'ai beaucoup aimé l'analyse très fine du scénario (même si c'est une histoire vraie...) et l'écriture archi-caustique. J'ai aussi été très touchée par l'American Dream qui tourne au cauchemar de cette Cendrillon de l'Amérique profonde peu aimée de ses parents, mal aimée de son mec et finalement abandonnée du public qui l'avait adulée... Chienne de vie !! Un grand film efficace et émouvant... A voir !!
    gunbuster
    gunbuster

    392 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 février 2018
    Voici le docu-fiction tant attendu.
    Il revient sur un fait divers qui a touché le monde rose-bonbon du patinage artistique américain au début des années 90.
    Le réalisateur va bien au-delà, en racontant l'histoire de son anti-héroïne, une jeune femme venant du fin fond des États-Unis et d'un milieu pauvre.
    Il raconte cette histoire de succès populaire et de déchéance tout aussi rapide, à l'image des biopic sur des chanteurs célèbres.
    Les acteurs sont excellent dans la retranscription des véritables protagonistes de l'histoire, ainsi que les décors, costumes, véhicules, etc.
    Le seul reproche à faire au film sera aux limites inhérentes du genre du docu-fiction lui-même. L'idée de faire des allers-retours constants entre l'époque du récit et aujourd'hui, entrecoupés de faux interviews où les protagonistes échanges des piques ou raconte des anecdotes.
    Ce genre d'effets se retrouve dans un livre mais n'a pas sa place dans un film.
    L'autre reproche vient du service commercial qui vent le film comme un thriller inspiré de faits réels, alors que la fiction aurait dû se rapprocher du tragi-comique voir de l'humour, la parodie, voir l'humour noir.
    Pas vraiment le film attendu, on ne retiendra que la performance incroyable de Margot Robbie.
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