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    Moi, Tonya
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 718 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Ne vous attendez pas à un film qui révèle la vérité inouïe sur Tonya Harding. C'est de la pure fantaisie. Tout d'abord, Margot Robbie est plus grande que Harding avec un physique beaucoup plus mince (en moins athlétique). Mettre une coiffure et un maquillage des années 90 sur elle ne revient pas à la transformer en une réplique crédible de Harding. Mais surtout j'ai trouvé que le film était une triste parodie de Harding. Je pense que le film dépeignait Harding comme étant beaucoup plus difficile et trash que ce qu'elle était l'époque. Je me souviens d'elle plus impolie que trash et avec une vulnérabilité sous-jacente dont le film n'a pas parlé. Mais c'est peut-être juste parce que je me souviens d'elle de cette façon. Le film semblait essayer de donner une représentation de Harding plus équilibrée que les médias à l'époque. Je pense que c'est un peu triste, qu'au lieu de cela le film dépeigne une caricature exagérée de Harding induite par les médias...
    FaRem
    FaRem

    8 799 abonnés 9 642 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2017
    Après l'histoire sur le sauvetage du SS Pendleton dans "The Finest Hours", Craig Gillespie s'intéresse cette fois-ci à une personne, Tonya Harding, une patineuse qui a eu une vie privée et professionnelle très mouvementée. Je ne connaissais pas du tout cette personne ni son histoire et malgré le fait que cette discipline ne m'intéresse pas, j'ai trouvé le film vraiment passionnant. On n'a absolument pas affaire à un conte de fées donc au lieu de faire quelque chose de classique, voire académique, le réalisateur a décidé de faire quelque chose d'assez léger ce qui m'a agréablement surpris. Il faut dire que l'histoire racontée est loin de la success story habituelle donc s'en amuser avec un humour cinglant était peut-être la meilleure chose à faire. Ce n'est pas non plus une comédie, mais le portrait fait par Craig Gillespie est aussi amusant que touchant et réaliste. Amusant parce qu'elle était entourée par de vrais bras cassés qui ne l'ont vraiment pas aidée dans sa vie et dans sa carrière puis touchant et réaliste, parce que la vie de Tonya n'a pas été facile et qu'elle a subi beaucoup de choses, mais malgré tout, on ne retient que sa force de caractère et son abnégation. Margot Robbie, est vraiment excellente tout comme Allison Janney qui aurait pu lui voler la vedette si elle était plus présente. Au final, c'est un très bon biopic qui change de ceux que l'on a l'habitude de voir.
    selenie
    selenie

    6 349 abonnés 6 210 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2018
    Ce qui semble avoir plu au cinéaste c'est l'inconscient collectif du scandale à l'américaine qui a occulté que tout n'est pas si simple et que Tonya Harding n'est pas la méchante de service. Craig Gillepsie réussit un mettre en place un climax cynique et jouissif, mêlant ainsi le tragique au pathétique, le malsain au burlesque. La symbiose entre la forme et le fond, entre le style et le jeu en font un film complet, dense et maitrisé, un film excellent où l'effroi se mêle au sourire avec appétit dans cet univers de l'ogre américain qui aime autant les princesses que les monstres, qui aiment aimer autant qu'il aime haïr.
    Site : Selenie
    Roub E.
    Roub E.

    986 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2019
    Moi Tonya c’est un peu une démonstration du mensonge de l’American Dream. Tonya Harding vient en effet d’un environnement modeste va tout donner pour devenir la meilleure patineuse artistique au monde et ne va arriver nul part. Non par manque de talent, mais tout simplement parce que son rêve était impossible et que le monde qu’elle veut conquérir la rejette car finalement elle ne fait pas rêver. Le public ne veut finalement pas voir sa classe laborieuse, sa rudesse, son franc parler, cette dernière finit par se replier sur elle même et sombre dans la bêtise. Voilà ce que raconte principalement ce film par le prisme de ce Biopic. C’est aussi une incroyable relation conflictuelle mère fille, extrêmement violente. Margot Robbie et surtout Allison Janney excellent dans ces deux rôles. Un film enragé a l’image du personnage qu’il raconte, exubérant (un peu trop par moment), souvent drôle mais aussi triste car fataliste et lucide.
    Estonius
    Estonius

    3 484 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 février 2020
    Un étonnant biopic sur les coulisses d'un sport à la fois très technique et tape à l'œil. La culture du winner est magistralement dénoncée par le biais du personnage d'Allison Janney, dont la performance la propulse dans le club des plus horribles méchantes du cinéma. Les seconds rôles sont bien vus, quant à Margot Robbie, un seul mot pour la qualifier : exceptionnelle. Le film porte aussi un regard acide sur le jury des compétions. Pour le reste, c'est du cinéma et du bon, le réalisateur et la productrice puisque c'est aussi Margot Robbie, nous livrent un point de vue sur les événements sans trancher. Est-ce la bonne version ? Qu'importe après tout, le cinéma peut tout se permettre quand il le fait bien !
    Hotinhere
    Hotinhere

    571 abonnés 4 999 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2018
    Tourné en mode documentaire, un biopic génial, passionnant, délirant, rendu possible par les interprétations folles de deux très grandes actrices, Margot Robbie et Allison Janney (Oscarisée).
    Eselce
    Eselce

    1 421 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mars 2018
    Belle prestation de Margot Robbie. Pour le reste, je n'ai pas trop accroché à l'histoire ni aux personnages secondaires, la plupart antipathiques. L'actrice principale a sans doute pris des cours de patinage, on voit bien les effets spéciaux mais la doublure fait quelques belles prestations. Pas exceptionnel selon moi, sauf si on apprécie le patinage artistique et si on a suivit les faits à l'époque.
    Yetcha
    Yetcha

    897 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 avril 2018
    Un film dur qui nous montre le vrai visage de Tonya Harding, issue d'une famille populaire et profondément conservatrice. Finalement la moins "dangereuse" de sa famille e de son entourage, elle a grandie dans l'humiliation et la violence. Le fait célèbre des JO de Lillehammer est abordé d'une façon claire, Harding n'est pas responsable mais seulement son entourage qui pensait bien faire pour faciliter sa réussite. Très bien joué, c'est à la fois touchant et triste.
    ffred
    ffred

    1 730 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2018
    Le patinage artistique n’est pas franchement ma tasse de thé mais je me souvenais encore très bien de ce fait divers qui avait ébranlé le monde du sport et défrayé la chronique dans les années 90. Ce n’était donc pas gagné. Du réalisateur Craig Gillespie, je n’avais vu que le prometteur et original Une financée pas comme les autres en 2008. Contre toute attente, il nous concocte aujourd’hui un petit bijou, nerveux, dynamique, très drôle et surtout bien moins terrible que ce que l’on attendait. La mise en scène est rythmée, solide, énergique, ni sage ni académique. Le scénario est une petit merveille et nous fait découvrir une galerie de personnages, de vrais pieds nickelés, aussi attachants qu’énervants. La reconstitution de l’époque est vraiment très bien rendue. Tout comme les scènes de patinage où l’on a vraiment l’impression que Margot Robbie (bluffante, nommée à juste titre aux prochains Oscar) a vraiment réalisé elle-même toutes les figures (le tout aidé par un montage parfait). Même si elle s’est beaucoup entrainée, elle a été doublée, et des effets spéciaux, aussi discrets qu’efficaces, ont été utilisés. Allison Janney (la mère) est quant à elle hilarante, Oscar du second rôle assuré. Elle a déjà raflé tous les trophées depuis le début de la saison des récompenses. D’un fait divers plus pathétique que tragique, Craig Gillespie nous offre donc là une comédie grinçante jubilatoire, une excellente surprise pour un film aussi décalé que passionnant. Et un étonnant portrait de femme qui réhabilite quelque peu un personnage que l’on pensait froid et calculateur. En un mot ce Moi, Tonya est savoureux.
    traversay1
    traversay1

    3 650 abonnés 4 879 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2018
    A l'époque, l'affaire a fait les choux gras de la presse et pas que la sportive. Pensez, à quelques mois des Jeux Olympiques de Lillehammer, une patineuse américaine, Nancy Kerrigan, est agressée physiquement par l'entourage de l'une de ses concurrentes, Tonya Harding, avec la suspicion que cette dernière était au courant du projet. Quelle histoire ! Filmé par Craig Gillespie, le récit devient celui d'un vilain petit canard que l'Amérique aimait opposer à un auguste cygne. Tonya contre Nancy, ascendance modeste contre port aristocratique (en oubliant que Nancy Kerrigan venait aussi d'un milieu populaire). Raconté façon documentaire, avec interviews des différents protagonistes (hormis la victime, hélas), le film dégage une énergie folle, bouillonnant d'humour dans ce qui s'apparente pourtant à un soap opera, ou même à une tragédie pour Tonya Harding, à la carrière brisée net. Avec Sa B.O millésimée et son rythme trépidant, le film brille aussi par ses images sur la glace. En règle générale, le sport est abominablement filmé au cinéma, Moi, Tonya est l'exception qui confirme la règle. Bien que Margot Robbie ne ressemble que de loin à Tonya, et qu'elle soit bien plus jolie, l'actrice est remarquable et intense, notamment dans ses duels avec son infâme mère, jouée avec délectation par Allison Janney, promise à l'Oscar du second rôle féminin. On a rarement poussé la vulgarité et l'insolence à un tel degré jubilatoire. Décidément, on ne patine pas avec l'amour, n'est-ce pas Tonya Harding et Nancy Kerrigan, toutes les deux étoiles éphémères d'un conte de fées raté, dissout dans un fait divers sordide.
    Pascal I
    Pascal I

    777 abonnés 4 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2018
    Mise en scène discutable, traitement discutable, voix off discutable. Le reste est très bon : une famille et un environnement de bras cassés, sans foi ni loi, limite pieds nickelés, impressionnant.
    Une bio très précise, un regard sur le coté politique du sport et l'engouement souvent irrationnel des "fans". Très bonnes interprétations. 3/5 !!!
    Redzing
    Redzing

    1 148 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2022
    J’avoue qu’avant de connaître l’existence de ce film, je n’avais jamais entendu parler de Tonya Harding. Une patineuse célèbre pour avoir été mêlée à l’agression de sa concurrente, Nancy Kerrigan, frappée au genou peu avant une compétition. Il faut dire que le sport en général, et le patinage en particulier, je m’en tamponne l’oreille avec une babouche. J’étais néanmoins curieux de voir comment « I, Tonya » pouvait aborder un sujet pareil. Et je n’ai pas été déçu, le film se révélant loin d’un biopic ou d’une success story fadasse. Craig Gillespie opte pour une approche originale, celle de délibérément raconter les faits en se basant sur les propos des protagonistes, souvent contradictoires. Il est donc clairement assumé que nos narrateurs ne sont pas fiables, et que tout ce que nous verrons seront leur point de vue, leur vision des choses… et leurs mensonges. Avec, à l’appui, des fausses interviews, quelques ruptures du quatrième mur… ou des problèmes évidents d’âges (des acteurs presque trentenaires jouent les personnages à 15-20 ans). Ainsi, loin d’en faire un être machiavélique, Tonya Harding est présentée comme le vilain petit canard du patinage artistique. Dans ce monde policé et propret (qui au passage prend un coup dans la face), Tonya est une redneck rugueuse au physique et aux manières qui ne rentrent absolument pas dans le moule. Et qui souffre, piégée dans une relation toxique avec un mari violent, écrasée par une mère atroce. Difficile de dire ce qui est vrai, en tout cas cela permet une certaine attache au personnage. Tandis que Craig Gillespie traite l’agression et ce qui tourne autour avec un humour noir assez délectable. Présentant notamment les comparses de Tonya et son mari comme une belle bande de bras cassés, où la réalité semble rattraper la fiction (on se croirait par moment dans « Fargo » !). Il est juste un peu dommage que l’écriture sur le dernier acte, et l’enquête du FBI, soit plus laborieuse. Mais il faut souligner le travail énorme des trois acteurs principaux. Margot Robbie (également productrice), enlaidie à souhait, fait des étincelles en incarnant cette patineuse à fort charactère, à laquelle la vie fait peu de cadeaux. Sebastian Stan, loin de ses rôles de body builder dépressif du MCU, fait preuve d’une vraie sensibilité en mari passionné et très impulsif. Sans oublier Allison Janney incroyable dans le rôle de la mère championne du harcèlement. Même Paul Walter Hauser est amusant en garde du corps mégalo, une prestation finalement à peine éloignée de celle qui le fera connaître dans « Richard Jewell ». Une jolie surprise donc, pour un film qui aurait pu être mieux construit sur la fin, mais qui détourne agréablement les success story du genre.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 389 abonnés 4 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2018
    Moi, Tonya est un biopic sur la célèbre patineuse artistique Tonya Harding, qui fût la première femme à réaliser un triple axel en compétition. La sportive est aussi connue pour avoir été au cœur d’un fait divers. Juste avant les Jeux Olympiques de Lillehammer en 1994, Nancy Kerrigan, rivale de Tonya, est attaquée à la barre de fer et touchée au genou. Elle remportera néanmoins la médaille d’argent, mais le FBI enquêtera et soupçonnera rapidement Tonya. Au travers de fausses interviews en format 4/3 alternants avec les moments cités plus haut, Moi, Tonya est une fiction qui dresse la vie d’une enfant pratiquement maltraitée par sa mère, puis d’une adolescente battue par son mari, mais qui au fil des expérience, s’est forgée un caractère impulsif et courageux. Margot Robbie, qui joue le rôle principal, explose totalement. Si sa métamorphose physique est impressionnante, c’est surtout l’énergie électrique qui la transporte qui nous sidère. Allison Janney est également incroyable dans son rôle de mère offensante à qui on espère toujours un sourire ou une attention. Le film virevolte entre instants trash et douloureux, gracieux et distingués lors des moments sur la glace et hilarants dans certaines situations et dialogues.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 202 abonnés 4 187 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2019
    Le biopic étend chaque jour un peu plus son territoire. Le récit du parcours de la très controversée Tonya Harding, championne américaine de patinage artistique dans les années 1990, première américaine à tenter et à réussir le triple axel en compétition, constituait à coup sûr un sujet tentant. Non pas tant en raison de la carrière de la patineuse de Portland aux origines populaires et tourmentées somme toute assez modeste, mais surtout en raison de l'incident qui mit un terme à celle-ci. En concurrence féroce pour la suprématie nationale avec Nancy Kerrigan bien plus conforme aux canons esthétiques de la discipline, Tonya Harding se trouve impliquée six semaines avant les Jeux Olympiques de Lillehammer dans une sombre affaire, son mari ayant commandité une agression pour mettre Nancy Kerrigan hors course. C'est le scénariste, Stevens Rogers qui est à l'origine du projet. Après avoir rencontré Tonya Harding et son ex-mari Jeff Gillooly dont les témoignages s'avèrent complètement contradictoires, lui vient l'idée de bâtir son scénario sous la forme d'un faux documentaire où chacun des quatre principaux acteurs de l'affaire viendrait infirmer les images filmées à partir du seul témoignage de Tonya Harding. Le procédé plutôt innovant permet à Guy Gillespie, le réalisateur de renouveler assez radicalement le genre qui hésite trop souvent entre hagiographie pompeuse et déballage d'évènements sulfureux. Margot Robbie, actrice australienne imposée par Gillespie, en dehors de sa crédibilité sportive remarquablement travaillée et rendue a su trouver le ton juste pour exprimer le côté frondeur et souvent vulgaire qui se dégageait de la patineuse surdouée mais manquant de délié dans l'exercice de son sport qu'elle contribua malgré tout à faire un peu évoluer. A voir le film et notamment le portrait de Lavona Fay Golden (Allison Jeanney) la mère de Tonya, alcoolique et souvent à la limite de la maltraitance, on peut se dire que la jeune fille était douée d'une volonté hors du commun pour parvenir à surmonter la somme de handicaps qui auraient dû l'empêcher d'accéder au sommet d'un sport encore assez élitiste. Se plaçant exclusivement du côté de celle qui a été reniée par un pays tout entier après sa huitième place aux Jeux de 1994 et qui en porte encore les stigmates 25 ans plus tard, Guy Gillespie et Stevens Rogers militent ouvertement pour une vision plus nuancée des évènements. Ils ont réussi leur coup, la critique étant quasi unanime à saluer cette présentation tonique, humoristique et plutôt distanciée d'une jeune femme qui rappelle par son parcours chaotique que le fameux "'american dream" a parfois un goût amer pour ceux qui partent de tout en bas. L'académie des Oscars n'a pas oublié au passage de récompenser la prestation complètement habitée d'Allison Jeanney très solide actrice de second rôle qui se révèle au public européen complètement grimée en marâtre insupportable. Dans un genre souvent méprisé, "Moi, Tonya" démontre qu'avec un peu d'imagination et malgré un budget relativement modeste on peut beaucoup.
    moket
    moket

    542 abonnés 4 350 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2019
    Un biopic rock 'n roll, incisif, drôle et mordant sur le destin néanmoins tragique de Tonya Harding. Le ton est décalé, la BO déchire et Margot Robbie est formidable.
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