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    Moi, Tonya
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    290 critiques spectateurs

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    Jérémy J
    Jérémy J

    30 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2018
    Film touchant et drôle en même temps, une histoire incroyable. Des acteurs vraiment au top. Tout les ingrédients réunis pour un excellent film. La réalisation est magnifique, Les scènes de la patinoires sont juste magnifique
    defleppard
    defleppard

    388 abonnés 3 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Très bon biopic. Fort que la beauftitude dans toute sa splendeur , puisse arriver à ce haut niveau de patinage artistique , incroyable , dans un tel environnement quotidien . Réalisation déjanté avec talent......Je conseille.......3 étoiles et demie.......!!!!!!
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    400 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2018
    Je ne sais pas si j'ai bien saisi la fin, car Harding (par la voix de Robbie) nous dit qu'il n'y a "aucune vérité et que c'est ça la vérité", alors que le film nous propose bien une lecture de l'événement qui l'innocenterait, et que si les gens la déteste c'est parce qu'elle est à la fois antipathique, chouineuse et qu'ils ne leur en fallait pas plus que le genou bousillé de Kerrigan pour l'inculper directement, où on envoie valdinguer la présomption d'innocence pour en faire un souffre douleur, un punching-ball médiatique, l'idole que l'on aime haïr, etc. Remarque, le personnage de Tonya est vraiment passionnant, la petite redneck qui ne récoltera que des coups, de sa mère jusqu'au ring de boxe en passant par son mari, mais jamais de médaille olympique, où contrairement à un biopic traditionnel ici il n'y a pas de réel pic d'ascension (si ce n'est son triple axel), elle reste constamment dans l'ombre de ses rivales, et que si elle se foire c'est toujours de la faute des juges, de son lacet ou de ses fréquentations, j'ai aimé ce côté torturé. Elle se retrouve au milieu d'un imbroglio invraisemblable qui n'est pas sans rappeler les plus cocasses traits de scénario des frères Coen, tout en étant filmé avec la palette des gimmicks scorsesiens (travellings, voix off et autres éclats du quatrième mur), sans parler du jukebox 70s-80s qui tourne à plein régime. Cinématographiquement c'est donc plutôt pas mal bien qu'assez impersonnel de la part de Gillespie, à l'instar d'un David O'Russell, mais il y a des moments bien rendus, une reconstitution honorable et Margot Robbie trouve sans aucun doute le meilleur rôle de sa récente carrière, loin de son image de mannequin 3 Suisses, le reste du casting est également sans reproche.
    Sympathique.
    Claudine G
    Claudine G

    207 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 février 2018
    Tout d'abord le patinage artistique, une merveille aussi bien sur le plan de la danse que celui de la musique. Personnellement j'ignorais que Tonya Harding avait vécu dans ce milieu social avec une mère qui n'aurait jamais dû avoir d'enfant... Mais cette gamine était vraiment douée, simplement très mal entourée. Cela n'excuse rien mais on peut s'imaginer qu'avec un autre entourage tout aurait été différent. Coup de chapeau aux acteurs Margot Robbie (Tonya) sans oublier la mère, véritable marâtre (Allison Janney) et le copain du mari (Paul Walter Hauser), qui vit encore avec maman, super mytho. Tout ce panel de personnages qui évolue autour de Tonya, plus fous les uns que les autres, on fait que l'on arrive à une situation catastrophique. En tout cas un grand merci au réalisateur, qui par les images que nous avons découvert, nous a malgré tout fait rêver sur la glace.
    Remy S
    Remy S

    67 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2018
    Un biopic à la fois réaliste et délirant, avec une Margot Robbie moin glamour que d’habitude mais très convaincante
    Prad12
    Prad12

    94 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juin 2018
    Un biopic en forme de réhabilitation pour Tonya Harding, montrée en victime de son milieu et des ses fréquentations.... Pour la première fois, Margot Robbie est excellente et prouve enfin son talent d'actrice. Le reste du casting est génial, la preuve on les déteste tous, ce qui montre leur niveau de jeu. Le film est captivant car sans temps morts, on comprend beaucoup plusles raisons concernant ce fait divers.
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Un film qui se veut la vérité de l'affaire Tonya. On suit cette histoire 'vraie' où la victime n'est autre que l'heroine elle-même ont l'erreur aura été de mal choisir son entourage.
    PLV : une autre vision de l'histoire
    floramon
    floramon

    86 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2024
    lors de mon deuxième visionnage, j'ai beaucoup plus apprécié ce film, malgré son côté très ' film indépendant' on arrive à être assez captivé tout au long. les acteurs sont très bons et portent évidemment l'histoire.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    252 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2018
    Biopic vraiment pas comme les autres, Moi, Tonya sent cependant un peu trop le film à Oscars pour être vraiment emballant. Si les transformations et les performances de Margot Robbie et Allison Janey sont en tous points remarquables, on ne pourra s’empêcher de trouver parfois le temps un peu long devant ce film très bavard. Le film a tout de même le mérite de nous faire découvrir le parcours compliqué de Tonya Harding et devrait la réhabiliter aux yeux de grand nombre qui l’avaient certainement jugé trop vite par ce qui avait été raconté dans les médias à l’époque. Espérons qu’avec ce film la patineuse puisse retrouver les spotlights et lui permettre de renfiler les patins même si ce n’est plus pour la compétition. [lire la critique complète sur FreakinGeek.com]
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2018
    La première partie du film, de loin la meilleure, est portée par la relation malsaine entre Tonya et sa drôle de mère (Allison Janney, encore une fois parfaite, à la fois terrorisante et hilarante). On se perd ensuite un peu dans de trop nombreuses (mais peut-être nécessaires) scènes de compétition.
    Jrk N
    Jrk N

    41 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2018
    J'avoue que le genre hollywoodien "faux reportage" qui est fait pour qu'on n'y croit pas mais qui ressemble quand même à un reportage est très lassant. Il peut être réussi comme dans les fameux Hommes du Présient (Pakula 76) parce que sobre et efficace et quand les acteurs se coulent dans cette exigence de sobriété. Ici la triste histoire de la patineuse Tonya Harding (Moi, Tonya ; 2017 Gillespie), la volonté de faire date des second rôles est particulièrement exaspérante. C'est le cas de la mère de la patineuse jouée par Alison Janney qui cabotine en permanence, ce qui lui vaut un oscar, justifié donc puisqu'il va généralement au cabotinage.
    A part ça, le personnage principal est parfaite incarné par Margot Robie qui donne un peu l'illusion qu'il s'agit réellement d'une redneck (comme elle se qualifie elle-même) montée à la force du poignet au somment du patinage mondial. Mais ce jeu du réalisme : "regardez comme je sais donner l'illusion que mon personnage est vraiment une redneck" crée un sentiment de malaise qui ne quitte jamais le spectateur dans le film. Le mensonge est trop apparent, et surtout, il s'agit de montrer qu'un acteur d'Hollywood peut bien incarner jusqu'aux classes les plus déshéritées de la société "qui d’ailleurs le méritent bien". Cette sorte de politiquement correct condescendant à la sauce Beverly Hills - typique du puritanisme - ne passe pas lorsqu'on essaye de regarder en face l'histoire réelle.
    Le réalisateur Gillespie et le scénariste Rogers essayent sincèrement de faire en sorte pour qu'on ne juge pas Tonya. Evidemment ce n'est pas possible en raison de la logique du réalisme qui veut qu'on s'identifie à elle et aussi en raison du charisme de l'actrice. C'est une fausse hypothèse que de laisser croire qu'on peut adhérer aux thèses sur la culpabilité de Tonya.
    Bref tout est faux dans ce film et ça se voit et c'est pourquoi je ne l'aime pas, malgré l'admiration pour l'actrice Maggie Robie et contre l'avis de l'immense majorité des spectateurs.
    GIJoe
    GIJoe

    107 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2020
    Extrêmement bien joué, émouvant, dérangeant, instructif. On passe par toute la palette des émotions mais surtout celle de la compassion pour cette jeune femme vraiment maltraitée par la vie et surtout par ses proches.
    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2018
    Ce qui semble avoir plu au cinéaste c'est l'inconscient collectif du scandale à l'américaine qui a occulté que tout n'est pas si simple et que Tonya Harding n'est pas la méchante de service. Craig Gillepsie réussit un mettre en place un climax cynique et jouissif, mêlant ainsi le tragique au pathétique, le malsain au burlesque. La symbiose entre la forme et le fond, entre le style et le jeu en font un film complet, dense et maitrisé, un film excellent où l'effroi se mêle au sourire avec appétit dans cet univers de l'ogre américain qui aime autant les princesses que les monstres, qui aiment aimer autant qu'il aime haïr.
    Site : Selenie
    Redzing
    Redzing

    1 145 abonnés 4 494 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2022
    J’avoue qu’avant de connaître l’existence de ce film, je n’avais jamais entendu parler de Tonya Harding. Une patineuse célèbre pour avoir été mêlée à l’agression de sa concurrente, Nancy Kerrigan, frappée au genou peu avant une compétition. Il faut dire que le sport en général, et le patinage en particulier, je m’en tamponne l’oreille avec une babouche. J’étais néanmoins curieux de voir comment « I, Tonya » pouvait aborder un sujet pareil. Et je n’ai pas été déçu, le film se révélant loin d’un biopic ou d’une success story fadasse. Craig Gillespie opte pour une approche originale, celle de délibérément raconter les faits en se basant sur les propos des protagonistes, souvent contradictoires. Il est donc clairement assumé que nos narrateurs ne sont pas fiables, et que tout ce que nous verrons seront leur point de vue, leur vision des choses… et leurs mensonges. Avec, à l’appui, des fausses interviews, quelques ruptures du quatrième mur… ou des problèmes évidents d’âges (des acteurs presque trentenaires jouent les personnages à 15-20 ans). Ainsi, loin d’en faire un être machiavélique, Tonya Harding est présentée comme le vilain petit canard du patinage artistique. Dans ce monde policé et propret (qui au passage prend un coup dans la face), Tonya est une redneck rugueuse au physique et aux manières qui ne rentrent absolument pas dans le moule. Et qui souffre, piégée dans une relation toxique avec un mari violent, écrasée par une mère atroce. Difficile de dire ce qui est vrai, en tout cas cela permet une certaine attache au personnage. Tandis que Craig Gillespie traite l’agression et ce qui tourne autour avec un humour noir assez délectable. Présentant notamment les comparses de Tonya et son mari comme une belle bande de bras cassés, où la réalité semble rattraper la fiction (on se croirait par moment dans « Fargo » !). Il est juste un peu dommage que l’écriture sur le dernier acte, et l’enquête du FBI, soit plus laborieuse. Mais il faut souligner le travail énorme des trois acteurs principaux. Margot Robbie (également productrice), enlaidie à souhait, fait des étincelles en incarnant cette patineuse à fort charactère, à laquelle la vie fait peu de cadeaux. Sebastian Stan, loin de ses rôles de body builder dépressif du MCU, fait preuve d’une vraie sensibilité en mari passionné et très impulsif. Sans oublier Allison Janney incroyable dans le rôle de la mère championne du harcèlement. Même Paul Walter Hauser est amusant en garde du corps mégalo, une prestation finalement à peine éloignée de celle qui le fera connaître dans « Richard Jewell ». Une jolie surprise donc, pour un film qui aurait pu être mieux construit sur la fin, mais qui détourne agréablement les success story du genre.
    this is my movies
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    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2018
    (...) Dans son déroulement, le film est plutôt scolaire. on commence par l'enfance, avec la petite Tonya qui débarque sur la glace à 4 ans, accompagnée par sa mère, vulgaire, qui fume, et surtout, l’œil mauvais. Elle gravit les échelons, jusqu'au départ de son père, puis elle rencontre son futur mari, et là, tout s'enchaîne. Elle connaît un échec douloureux au JO de 1992 puis verra à un moment poindre cette fameuse 2nde chance, avant que son entourage, et sa propre propension à faire les mauvais choix, ne viennent tout gâcher, dans un enchaînement malheureux de circonstances, avec à la base, un manque de communication et de mauvais exécutants. Bref, une histoire pour les frères Coen. Sauf qu'à la place ces Coen, on a un produit bien calibré du cinéma indé, ou plutôt faussement indé. Craig Gillespie est issue de ce sérail. Là, il offre donc à Margot Robbie, nouvelle coqueluche des médias venue d'Angleterre, actrice révélée dans "Le loup de Wall Street" de Scorsese, et qui s'octroie ici le rôle de productrice. Ce qui fait que son rôle est grandement mis en avant, son point de vue, teintée d'un certain féminisme de bon aloi. Harding était donc une femme battue, méprisée par sa mère, écrasée par sa condition de redneck, face à un establishment et une fédération privilégiant l'origine sociale et l'apparence sur le talent pur, et l’exécution. Préférant ZZ Top à Mozart, Harding, qui faisait elle-même ses costumes, faute de moyens, aura bon mettre des triple axel dans tous ses programmes, chose hyper rare car elle sera la 1ère femme américaine à en réussir un en compétition, puis à le tenter aux Jeux Olympiques (elles ne sont que six à l'avoir fait depuis), elle se sera jamais le petite chouchoute de sa discipline. Puissante, athlétique, déterminée, passionnée, certainement talentueuse, parfois gagnante, mais jamais admirée ou encore soutenue. Seule contre tous. En soi, le film n'est pas désagréable, bien au contraire, il est même plaisant à suivre. Margot Robbie est excellente, vraiment investie dans son rôle (même si régulièrement doublée, numériquement pour le triple axel par exemple, que personne n'a voulu tenter par crainte de blessure), incarnant le personnage de 15 à 45 ans avec une belle assurance, quelques regards émouvants et une réelle présence. En face, Sebastian Stan est très bon en mari violent de Harding. Son personnage est forcément moins développé, ce n'est pas son biopic après tout, mais on ressent à la fois son amour pour sa belle, mais aussi son irrépressible violence. Et que dire de Alison Janney, qui incarne la mère maléfique, prestation récompensée d'un Oscar. Grimée, aussi moche à l'intérieur qu'à l'extérieur, elle ne laisse pas indifférent et enchaîne les répliques vachardes et les comportements inhumains. Et autour, gravite une belle brochette de neuneus, dont l'inénarrable Shawn, meilleur pote du mari et garde du corps de Tonya, mythomane notoire et qui sera finalement le coupable désigné par le film, celui qui provoquera l'impensable, avec l'aide précieuse de deux couillons. En se cantonnant à ce cadre, le film développe son point de vue de manière efficace, puisqu'on se prend vraiment d'affection pour le couple, et son héroïne, même si on peut s'agacer de certaines exagérations, comme le fait de présenter chacun des protagonistes comme le centre du monde à ce moment-là. Il lance quelques pistes intéressantes, critique, légèrement, le fonctionnement médiatique et parfois, il surprend avec quelques bonnes idées de mise en scène. Oui, mais voilà, Gillespie est clairement limité comme metteur en scène, véritable produit de son époque, et souvent, il se vautre dans l'insupportable redite, via sa voix off, de ce qu'on voit à l'image. Déjà, il blinde sa bande-son, enchaînant les morceaux d'accompagnements, censés accompagnés et illustrés les différentes séquences clés. Du coup, on a plus ou moins l'impression de voir un film illustré par un IPod en mode shuffle, quitte à broyer l'émotion. Par exemple, pourquoi ne pas s'être plus appliqué à laisser vivre la scène où le père de Tonya quitte le foyer. Avec le morceau pop en fond, on est plus pris par le rythme de ce dernier, que par ce qu'il se passe à l'écran, qui est proprement déchirant. Du coup, ce passage devient une vignette parmi d'autres, jamais émouvant, jamais mis en valeur. Et c'est comme ça pour toutes les scènes clé du film. Est-ce un choix de producteur ou un choix de facilité du réalisateur ? Difficile à dire, reste que ça rend le tout assez fade, empêchant pour ma part toute implication émotionnelle. De même, les réflexions qu'il induit restent à la surface, comme s'il n'avait jamais totalement réussi à faire corps avec son sujet, qui narre les aventures d'une bande de débiles qui se brûlent les ailes. Cela peut venir du cynisme qui habite les auteurs aussi, qui n'ont aucun respect ni aucune empathie avec ces représentants d'une couche sociale inférieure (ce qui est paradoxal puisque le film dénonce l'attitude méprisante et aristocratique des officiels du patinage). C'est dommage et ça nuit un peu au film, qui reste toutefois assez emballant et agréable à suivre sur presque deux heures, ce qui n'est pas rien. La critique complète sur thisismymovies.over-blog.com
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