Moi, Tonya
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290 critiques spectateurs

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stallonefan62
stallonefan62

314 abonnés 2 605 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 14 mars 2019
Un bon biopic mené par une Margot Robbie très convaincante !! Dommage que le rythme baisse par moment mais l'ensemble reste plus que correct
Agnes L.
Agnes L.

182 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 11 juillet 2024
Amusant la manière légère dont le sujet est traité parce que les faits ne prêtent pas vraiment à rire. L'actrice Margot Robbie se coule parfaitement dans la peau de cette jeune femme issue d'un milieu populaire, avec une mère horrible. Ce film est important en ce sens qu'il rétablit une vérité à l'international. Car dans ma mémoire, la patineuse était celle qui avait porté les coups à sa compatriote et rivale alors qu'il n'en est rien. Comme quoi, il est facile de modifier les faits pour s'acharner sur une soi-disant « brebis galeuse » du patinage américain.
Hollywood-Biographer
Hollywood-Biographer

208 abonnés 1 486 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 24 février 2018
Le cinéma indépendant américain continue de surprendre avec des films inventifs qui détonnent dans la production hollywoodienne actuelle. L'australien Craig GILLESPIE réalise un vrai-faux documentaire efficace sur un fait divers qui avait défrayé la chronique dans le milieu du patinage artistique en 1994. Celui-ci montre la cruauté du sport de haut niveau à travers des témoignages saisissants dopés à l'humour noir. Margot ROBBIE est époustouflante dans la peau de Tonya HARDING et rend ce biopic burlesque et tragique à la fois. Les seconds rôles sont également bien écrits, et le metteur en scène reproduit à la perfection les incroyables figures réalisée par la célèbre patineuse.
Hubert Guillaud
Hubert Guillaud

132 abonnés 126 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 23 décembre 2019
Grinçant, ironique, énergique, violent, sarcastique, Craig Gillespie électrise le rêve américain en montant toute la crudité du déterminisme social. Le film trash fait corps avec son personnage. Derrière la comédie caustique, pointe la fêlure, derrière un monde de tarés, l'horreur d'une sinistre réalité. Les paillettes retombent et laissent planter dans la glace leur terrible réalité. Absurde et fort à la fois !
Jérémie
Jérémie

152 abonnés 758 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 novembre 2020
Un biopic singulier, envoûtant, mais qui laisse perplexe.
Le démarrage est poussif, le style documentaire agace. Mais l'histoire arrive et on découvre qui est Tonya, comment elle est devenue comme cela et nous peint un personnage complexe et haut en couleur.
Cette histoire folle nous tient en haleine par la bonne prestation de Margot Robbie. Les dialogues face caméra dynamisent ce film qui comporte de nombreuses longueurs.
Une histoire vraie qui mérite d'être visionnée, classique, mais à découvrir.
Tumtumtree
Tumtumtree

181 abonnés 539 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 mars 2018
Un très bon film, rythmé, bien joué, mis en scène de façon percutante. Et, en ces temps de #metoo et #balancetonporc, un édifiant témoignage sur le quotidien d'une femme battue. De ce point de vue, le film est peut-être plus efficace que "Jusqu'à la garde" car la description de cette vie d'une jeune femme qui se prend raclée sur raclée est hyper-réaliste, sans en passer par la folie démesurée d'un compagnon armé d'un fusil. Le personnage de garde du corps complètement débile qui se prend pour un espion est très drôle. Et la mère est effroyable à souhait. Reste une petite déception, toute personnelle : j'ai confondu l'affaire Harding avec l'affaire Bobbitt, et j'attendais donc avec impatience qu'elle coupe "l'origine de la guerre" à son crétin de mari... Dommage, on ne peut désormais qu'espérer qu'il ne batte pas sa nouvelle compagne. L'espoir fait vivre.
apotheme
apotheme

121 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 25 mars 2018
Ce biopic a été réaliser autour d’un scénario mêlant dérision et humour.
Il a voulut se centrer autour de la vie « trash » de Tonya harding.
la qualité d’interprétation et de ressemblance des acteurs avec les protagonistes est de qualité.
Ça change des biopic habituel et cela donne un bonus à un film injustement oublié de certaines programmations dans certaines salles obscures.
AHEPBURN
AHEPBURN

106 abonnés 513 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 22 février 2018
Il y a un côté reportage dans ce film. Belle mise en scène documentaire. Interprétations de la mère et de Tonya méritent des récompenses
bouddha5962
bouddha5962

64 abonnés 740 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 27 février 2021
Histoire captivante mais scénario trop délayé avec des scènes inutiles.
Les actrices et acteurs sont quant à eux excellents !
Stéphane C
Stéphane C

67 abonnés 389 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 24 février 2018
Un biopic corrosif qui évoque l’ascension de la patineuse Tonya Harding puis sa chute occasionnée par l’incident qui précéda les JOs de Lillehammer ... c’est finalement l’histoire d’une fille plutôt touchante, écorchée vive, privée d’amour filial, qui chercha en vain la reconnaissance de tous ...
VOSTTL
VOSTTL

101 abonnés 1 993 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 13 mars 2019
« Moi Tonya » c’est le récit de Tonya Harding, une patineuse de haut niveau. Le récit d’une femme qui n’a pas eu de chance. spoiler: Non seulement sa mère la maltraite, non seulement son mari la bat mais
elle pratique une discipline sportive ingrate : le patinage artistique. Oui, c’est ingrat. Comme la gymnastique. Comme tous ces sports soumis à un jury. Le football est un sport objectif ; un but est objectif. Tout comme le basket : le panier est objectif. Tout comme le cent mètres : franchir une ligne d’arrivée est objectif. Tout comme l’équitation : franchir des obstacles en accomplissant un chrono dans les temps est objectif. Tout comme le tennis : un coup droit gagnant hors de portée de l’adversaire est objectif. Tout comme perchiste : franchir une barre la plus haute possible est objectif. Tout comme l’escrime : toucher son adversaire est objectif. Le patinage est subjectif. Comme toute discipline sportive de haut niveau, c’est du sacrifice, de la souffrance et cette souffrance est soumise à un jury composé d’hommes et de femmes qui notent. Comment une note peut-elle être objective ?! Comment ne pas douter de l’honnêteté d’un des membres du jury ? Comment ne pas douter d’être sous influence des médias, surtout si ceux-ci voient en Tonya une plouc !?! Elle est plouc, et alors ? Elle patine formidablement bien (j’imagine pour être à ce niveau). Tonya est la première patineuse à réaliser un triple axel. Je n’aime pas le patinage mais j’ai beaucoup de respect pour ceux qui le pratiquent au plus haut niveau. spoiler: Terrible séquence de voir un des membres du jury dire à Tonya qu’elle ne représente pas les valeurs de l’Amérique idéale.
Que note-t-on ? Tonya sourit, Tonya sait être gracieuse, sa technique traduit une rigueur et une performance incontestables, mais peu importe, elle est sanctionnée au-delà de l’aspect sportif ! spoiler: Son caractère semble aussi être pris en compte dans la note !
Si Tonya avait pratiqué un sport à résultat objectif, son caractère, sa rusticité n’auraient pas de prises pour un obstacle franchi, un ballon dans un but ! Les sportifs avec un mauvais caractère sont légion à avoir réussi. Tonya est le fruit d’une Amérique que l’on veut cacher. Comme ce fut le cas avec les sportifs de couleur. Tonya fait partie intégrante de cette Amérique, elle est une partie de l’Amérique. Celle qui fait honte. Marilyn Manson disait : « Si on voit en moi un déchet humain, alors je suis le plus pur produit de l’Amérique.» Tonya n’est pas bling bling ! Elle est « un produit » de l’Amérique ! Sans vouloir faire de la psychologie de comptoir à deux deniers, on peut aussi s’interroger sur le comportement de Tonya. spoiler: Elle fuit sa mère pour une gifle de trop, ce qui est compréhensible ; elle fuit une première fois son mari qui la bat ce qui est compréhensible… mais revient. Elle fuira de nouveau puis revient. Son mari lui tire dessus, elle ne dit rien à la police. Qu’on ne vienne pas me dire « Ce n’est pas évident, une femme sous l’emprise d’un mari violent. » C’est vrai mais Tonya est partie deux fois pour revenir deux fois selon Sa volonté ! C’est à se demander si sa mère n’avait pas raison : sa fille aime bien être maltraitée !
Tonya n’a pas connu que des relations toxiques avec sa mère et son mari et l’entourage de celui-ci. Dans ce qui nous est donné à voir, on perçoit que la patineuse avait des relations saines avec ses coaches. Elles semblaient bienveillantes. Tonya veut être aimée. Veut séduire. Ses résultats sont le fruits de ses coaches. Seulement, peut-on dissocier ses résultats de sa mère ? Elle s’en est affranchie, indéniablement. spoiler: Mais serait-elle patineuse avec un caractère de battante sans l’influence néfaste de sa mère ?
Dans cette partie de vie relatée, Tonya ne semblait pas voir plus loin que le bout de son nez. Naïve ? J’en doute. Limitée ? Je crains. Etre une plouc de l’Amérique profonde non éduquée passe à partir du moment où les résultats sont là. spoiler: Par contre, être plouc au point de ne pas alerter à temps les autorités fédérales pour dénoncer ce stupide complot contre Nancy Kerrigan ne passe pas puisqu’elle a été sanctionnée à vie !
C’est bien dommage, car elle pouvait s’en sortir par le sport. Avec ses voyages, ses relations sportives, les médias. Elle aurait pu sous l’influence de sa passion ouvrir son esprit, profiter de s’éduquer. Quel gâchis ! Magot Robbie incarne avec beaucoup d’engagement cette Tonya maudite par une mère et un mari abominables ; Allison Janney, actrice que j’apprécie depuis longtemps est tout à fait convaincante dans le rôle d’une mère imbuvable. Tellement convaincante qu’elle a mérité toutes les récompenses pour un second rôle alors que Margot Robbie, autant de fois nommée que sa partenaire pour un premier rôle, connaîtra la désillusion comme a pu la connaître Tonya Harding ! Instructif et à voir en V.O, évidemment pour le jeu de ces deux actrices formidables.
S5Clem
S5Clem

89 abonnés 456 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 janvier 2020
Une prestation stratosphérique de M. Robbie pour un film triste, le destin brisé d'une âme malmenée depuis sa plus petite enfance. Une histoire trop triste, trop longue, pas très intéressante.. Mais la qualité d'interprétation seule de M. Robbie donne tout son superbe et son intérêt au film (et la B.O. vraiment top)
kevinsolstice
kevinsolstice

63 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 mars 2019
Étonnant Biopic narrant le destin tragique de Tonya Harding, patineuse artistique, célèbre pour être la première à avoir fait un triple axel en compétition, qui va voir son ascension brisée par des soupçons d'agression envers sa rivale Nancy Kerrigan, juste avant les jeux olympiques d’hiver de 1994 à Lillehammer (Norvège). Un film qui amène de la lumière dans ce fait divers
Nicolas S
Nicolas S

48 abonnés 565 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 mars 2018
Rythmé, drôle et inventif tant sur le plan visuel que narratif, 'Moi, Tonya' parvient à donner de la substance à un sujet qui en manque a priori beaucoup, et à donner un nouveau souffle au genre du biopic. Ses limites se situent dans son traitement parfois maladroit des problématiques de classe, et dans sa tendance abusive à vouloir sauver tous ses personnages, même ceux qui ne le méritent absolument pas.
fabrice d.
fabrice d.

27 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 12 juillet 2024
En tant qu'européen, je ne connaissais pas T. Harding, d'autant plus que cette histoire vraie remonte aux années 90, lorsque S. Bonally était aussi en piste. Les prises de vue sur la glace sont bien réussies, les acteurs, notamment le couple Robbie/Stan sont parfaits aussi, et finalement le copain Shawn interprète par P. Hauser est génial aussi. Bref, c'est un bon film, qui mêle des flash-backs, des interviews comme un documentaire et qui semble redonner justice à T. Harding.
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