Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Sur l'écran, le drame d'un personnage qui s'égare progressivement. C'est d'une rare beauté. La révélation, évidente et forte, d'un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film entêtant, dans des paysages glacés, boueux, sombres, qui, au-delà de la réalité purement factuelle, constitue une belle méditation sur la solitude et la tragédie du pouvoir.
Le Figaro
par La Rédaction
Une magnifique épopée rêveuse sur le destin et le déclin d'un chef politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce film en 35 mm à la photo superbe séduit par sa finesse et sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Tirée d’une histoire vraie, une brillante interrogation sur le destin des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Ilan Malka
La mise en scène, discrète, est totalement au service du récit, tout en se ménageant parfois quelques échappées étonnantes dans l'onirisme.
Télérama
par Samuel Douhaire
Si le beau film de George Ovashvili s’inspire de cette figure historique, il ne traite pas de géopolitique. Le cinéaste géorgien préfère raconter une histoire personnelle qui acquiert une portée universelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Choury
L'anonymat déplace immédiatement le film vers une réflexion plus philosophique sur l'incarnation du pouvoir, surtout sur le long processus qui mène à son renoncement. Mais Khibula bute cependant sur son obsession de monumentalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
George Ovashvili filme une ode à son pays et au président déchu Zviad Gamsakhourdia qui en serait l’incarnation. Ce que d’aucuns pourront reprocher au cinéaste. Mais c’est sa thèse, dans un film politique assumé, à la forme poétique achevée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
On peut comprendre que l’ennui colle aux semelles de ces fuyards portés par une conviction que ne partage plus guère personne. Mais le film s’enlise dans une narration qui ne progresse pas. Dommage pour l’ambition du propos.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Ce road trip de l’Est n’est pas tant un film politique qu’une méditation sensible sur la balade d’un homme confronté à ses propres tourments.
Première
par Frédéric Foubert
C’est une lente odyssée funèbre, où il s’agit d’observer un homme d’Etat se déprendre de la chose publique, pour se retrouver peu à peu seul, face à lui-même. On est quelque part entre le Sokourov du Soleil, un Lincoln post-soviétique et une version réfrigérante d’Il Divo.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Plastiquement renversant, mais trop abstrait dans son propos pour envoûter pleinement.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Une fable mélancolique et pétrie d’esprit de sérieux sur la solitude du pouvoir, qui finit par user le spectateur autant que ses personnages.
Positif
par Eric Derobert
"Khibula", à l'évidence, se veut un hommage, mais tend nettement au prosélytisme.
L'Obs
Sur l'écran, le drame d'un personnage qui s'égare progressivement. C'est d'une rare beauté. La révélation, évidente et forte, d'un grand cinéaste.
Le Dauphiné Libéré
Un film entêtant, dans des paysages glacés, boueux, sombres, qui, au-delà de la réalité purement factuelle, constitue une belle méditation sur la solitude et la tragédie du pouvoir.
Le Figaro
Une magnifique épopée rêveuse sur le destin et le déclin d'un chef politique.
Le Journal du Dimanche
Ce film en 35 mm à la photo superbe séduit par sa finesse et sa mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
Tirée d’une histoire vraie, une brillante interrogation sur le destin des hommes.
Transfuge
La mise en scène, discrète, est totalement au service du récit, tout en se ménageant parfois quelques échappées étonnantes dans l'onirisme.
Télérama
Si le beau film de George Ovashvili s’inspire de cette figure historique, il ne traite pas de géopolitique. Le cinéaste géorgien préfère raconter une histoire personnelle qui acquiert une portée universelle.
Critikat.com
L'anonymat déplace immédiatement le film vers une réflexion plus philosophique sur l'incarnation du pouvoir, surtout sur le long processus qui mène à son renoncement. Mais Khibula bute cependant sur son obsession de monumentalité.
Franceinfo Culture
George Ovashvili filme une ode à son pays et au président déchu Zviad Gamsakhourdia qui en serait l’incarnation. Ce que d’aucuns pourront reprocher au cinéaste. Mais c’est sa thèse, dans un film politique assumé, à la forme poétique achevée.
La Croix
On peut comprendre que l’ennui colle aux semelles de ces fuyards portés par une conviction que ne partage plus guère personne. Mais le film s’enlise dans une narration qui ne progresse pas. Dommage pour l’ambition du propos.
La Septième Obsession
Ce road trip de l’Est n’est pas tant un film politique qu’une méditation sensible sur la balade d’un homme confronté à ses propres tourments.
Première
C’est une lente odyssée funèbre, où il s’agit d’observer un homme d’Etat se déprendre de la chose publique, pour se retrouver peu à peu seul, face à lui-même. On est quelque part entre le Sokourov du Soleil, un Lincoln post-soviétique et une version réfrigérante d’Il Divo.
Studio Ciné Live
Plastiquement renversant, mais trop abstrait dans son propos pour envoûter pleinement.
Le Monde
Une fable mélancolique et pétrie d’esprit de sérieux sur la solitude du pouvoir, qui finit par user le spectateur autant que ses personnages.
Positif
"Khibula", à l'évidence, se veut un hommage, mais tend nettement au prosélytisme.