Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Libération
par Marcos Uzal
Entre conte sensuel et portrait moderne, Jean Breschand narre le destin de l’unique femme de l’histoire qui dirigea l’Eglise catholique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Une œuvre laconique à la belle austérité franciscaine et au faux air rohmérien (l’humour en moins). Une histoire édifiante et simple, dans laquelle, faute de tension dramatique et charismatique, le spectateur a parfois un peu de mal à trouver la foi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le film qui résulte de ce sujet très inattendu livre de belles images baignées de lumière, Jeanne traversant en robe de lin des paysages arides, faisant halte dans des abris de pierre. (...) Pour autant, le film manque de cette puissance intérieure qui aurait pu transcender son dépouillement et entraîner le spectateur dans son mouvement tour à tour insouciant et tragique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
On regrette que le charme éthéré de ce walk movie s’estompe parfois faute de liant et de densité. Mais "La Papesse Jeanne" est assez élégamment traversé par une dialectique sur l’expérience du sensible et du divin incarnée par Jeanne, figure à la fois impie et mystique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Minimaliste jusqu’à en frôler la caricature d’un cinéma prompt à se complaire dans sa langueur erratique ou le jeu compassé de ses acteurs, cette approche finit néanmoins par exsuder un troublant parfum.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Malgré la grâce intense d'Agathe Bonitzer, ce film tient à distance, enfermé dans une cérébralité qu'il voudrait pourtant briser.
Télérama
par Louis Guichard
Tourné essentiellement en extérieurs, dans les montagnes corses, avec peu de moyens, le film évoque, par son style, un alliage expérimental de Robert Bresson et d'Alain Guiraudie. Il manque d'intensité, mais pas de profondeur, ne serait-ce que pour cette question lancinante de la place des femmes posée au christianisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicola Brarda
Refusant une analogie trop explicite avec les évangiles, le film de Breschand donne forme à un personnage dont l’aura remarquable se dissipe pourtant peu à peu dans un monde aux contours indécis : la passion que Jeanne endurera, passion profondément novatrice qui insiste sur le désir de connaissance et d’émancipation porté par un personnage féminin, en sort quelque peu amoindrie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une histoire légendaire, traitée ici entre enluminure naïve et drame bressonnien, avec une économie de moyens qui, non sans exigence, tient lieu de profession de foi cinématographique.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film parvient surtout à s’extraire d’un certain vérisme fictionnel, pour s’inscrire dans un cadre à la fois tellurique et rituel, célébrant autant la nature qu’une certaine liturgie du verbe.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un cheminement initiatique qui se veut aussi charnel que spirituel, mais reste trop théorique, notamment à cause d’un parti pris de jeu très monocorde.
Première
par François Léger
Dommage que le manque de justesse des dialogues et la lenteur par moment infernale de "La Papesse Jeanne" l'empêchent de développer pleinement sa pensée.
Le Figaro
par La Rédaction
C'est l'histoire légendaire d'une jeune femme qui accède au trône papal, à l'aube du Moyen Âge, dit le synopsis officiel. On ne voit ni la raison qui a poussé le réalisateur à en faire un film, ni celle qu'on aurait de suivre cette héroïne artificielle dans un monde simili-médiéval dessiné avec un maniérisme insipide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
Entre conte sensuel et portrait moderne, Jean Breschand narre le destin de l’unique femme de l’histoire qui dirigea l’Eglise catholique.
L'Obs
Une œuvre laconique à la belle austérité franciscaine et au faux air rohmérien (l’humour en moins). Une histoire édifiante et simple, dans laquelle, faute de tension dramatique et charismatique, le spectateur a parfois un peu de mal à trouver la foi.
La Croix
Le film qui résulte de ce sujet très inattendu livre de belles images baignées de lumière, Jeanne traversant en robe de lin des paysages arides, faisant halte dans des abris de pierre. (...) Pour autant, le film manque de cette puissance intérieure qui aurait pu transcender son dépouillement et entraîner le spectateur dans son mouvement tour à tour insouciant et tragique.
Les Inrockuptibles
On regrette que le charme éthéré de ce walk movie s’estompe parfois faute de liant et de densité. Mais "La Papesse Jeanne" est assez élégamment traversé par une dialectique sur l’expérience du sensible et du divin incarnée par Jeanne, figure à la fois impie et mystique.
Positif
Minimaliste jusqu’à en frôler la caricature d’un cinéma prompt à se complaire dans sa langueur erratique ou le jeu compassé de ses acteurs, cette approche finit néanmoins par exsuder un troublant parfum.
Studio Ciné Live
Malgré la grâce intense d'Agathe Bonitzer, ce film tient à distance, enfermé dans une cérébralité qu'il voudrait pourtant briser.
Télérama
Tourné essentiellement en extérieurs, dans les montagnes corses, avec peu de moyens, le film évoque, par son style, un alliage expérimental de Robert Bresson et d'Alain Guiraudie. Il manque d'intensité, mais pas de profondeur, ne serait-ce que pour cette question lancinante de la place des femmes posée au christianisme.
Critikat.com
Refusant une analogie trop explicite avec les évangiles, le film de Breschand donne forme à un personnage dont l’aura remarquable se dissipe pourtant peu à peu dans un monde aux contours indécis : la passion que Jeanne endurera, passion profondément novatrice qui insiste sur le désir de connaissance et d’émancipation porté par un personnage féminin, en sort quelque peu amoindrie.
Le Dauphiné Libéré
Une histoire légendaire, traitée ici entre enluminure naïve et drame bressonnien, avec une économie de moyens qui, non sans exigence, tient lieu de profession de foi cinématographique.
Le Monde
Le film parvient surtout à s’extraire d’un certain vérisme fictionnel, pour s’inscrire dans un cadre à la fois tellurique et rituel, célébrant autant la nature qu’une certaine liturgie du verbe.
Les Fiches du Cinéma
Un cheminement initiatique qui se veut aussi charnel que spirituel, mais reste trop théorique, notamment à cause d’un parti pris de jeu très monocorde.
Première
Dommage que le manque de justesse des dialogues et la lenteur par moment infernale de "La Papesse Jeanne" l'empêchent de développer pleinement sa pensée.
Le Figaro
C'est l'histoire légendaire d'une jeune femme qui accède au trône papal, à l'aube du Moyen Âge, dit le synopsis officiel. On ne voit ni la raison qui a poussé le réalisateur à en faire un film, ni celle qu'on aurait de suivre cette héroïne artificielle dans un monde simili-médiéval dessiné avec un maniérisme insipide.