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armenardo
78 abonnés
322 critiques
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1,0
Publiée le 29 août 2010
un sommet de kitcherie et de débilité, j'aurais pu trouver ça drôle si ce n'tait pas james bond, qui n'est jamais descendu aussi bas dans la médiocrité qu'avec ce film
L'un des meilleurs James Bond. L'humour de Roger Moore et la prestence de Michael Lonsdale apportent beaucoup à ce film. L'originalité du film réside quant aux scènes spectaculaires qui se dérouleent dans l'espace. Ce qui fait également la force de ce film, c'est aussi la dérision et l'auto-dérision présentent du début jusqu'à la fin et l'imposante prestation de Richard Kiel alias Requin.
Un James Bond typique de l'époque Roger Moore : trop de gadget, trop d'humour, trop de jolies filles (bien que ça me fasse mal au cœur de dire ça...), des scènes d'action mollassonnes. Le réalisateur pour qui c'est le deuxième Bond, visiblement à côté de la plaque, s'enfonce avec son trip à la Star Wars dans le final. Il serait injuste d'oublier les quelques bons points de l'épisode : deux bonnes scènes dans le premier quart (une sadique à souhait avec une centrifugeuse, et la mort d'une jeune femme poursuivie par des chiens), un méchant bien psychopathe, et une James Bond girl moins cruche que la moyenne...
Un james bond avec la seconde apparition de l'homme aux dents d'acier qui va passer de méchant à gentil.Ca c'était génial.Quand vous le voyez dans le film précédent dans l'espion qui m'aimait ou c'est un traitre ainsi que dans la première partie de celui ci,qui ce serait douter d'une telle chose.Et puis comme dans les autres films de bond on voit d'autres choses magnifiques aussi comme le chateau ou vit l'ennemi de bond et j'en passe.Chapeau
Rarement James Bond n'aura osé aller aussi loin, sauf peut-être avec "meurs un autre jour" mais c'est une autre histoire. La les scénaristes sont partis dans un délire complètement absurde qui avait pourtant bien commencé en suivant les schémas traditionnels de la série. Sans doute pour renouveler le genre (et attirer les ados qui trouvent JB ringard a cet époque), ils décident de mélanger l'espion british a Star Wars (magnifique séquence de shoot spatiaux avec des lasers bleus et rouges entre bons et méchants cosmonautes: ridicule). Un miracle que la franchise ne se soit pas planté avec cet OFNI (arf arf). Heureusement qu'ils ont enfin compris comment renouveler la saga dernièrement avec Casino Royale, enfin!!
Bonderie numéro 11. Objectif Lune… L’intrigue est trop simpliste, trop convenue, et certaines scènes d’action ont très mal vieilli. Pourtant ça commençait plutôt bien avec cette impressionnante scène de parachutisme sauvage qui ouvrait l’appétît. On appréciait également le retour de Jaws, même si cette fois plus du tout inquiétant mais là uniquement pour faire le clown de service (il va même tomber amoureux d’une blondinette à lunettes et à couettes) et accessoirement jouer à l’homme fort de temps en temps, par exemple quand il stoppe un téléphérique à mains nues. Et puis, continuité avec l’épisode précédent, on retrouve quelques clins d’œil sympathiques comme un petit air de Rencontres du troisième type en guise de code secret (le film de Spielberg était sorti deux ans plus tôt avec le succès que l’on connaît) ou encore une brève parodie de western. Néanmoins, ces détails mis à part, le récit sombre ensuite très vite dans le train train bondien avec une continuité narrative parfois assez limite : tentatives d’assassinat sur 007, poursuites, bon mot en s’épongeant le front, coucheries… On peut également regretter que le personnage de Drax soit si peu étoffé et surtout si rare à l’écran. Pour ses débuts sur la « grande » scène internationale, le frenchy Michael Lonsdale pouvait sans doute rêver mieux. Surtout que son rôle de mégalomane accro à la démiurgie via l’eugénisme était relativement prometteur. Et pendant que j’y suis, on peut également s’amuser de tout petits rôles confiés à Jean-Pierre Castaldi et Georges Beller. Bref, Moonraker a tout du ratage, sauf financier. Avec ses maquettes bien trop voyantes, son intrigue inconsistante, une bataille dans l’espace (inspirée de La Guerre des étoiles avec les lasers) kitsch au possible et le top du top, un anaconda en plastique, le film est au mieux aujourd’hui une série Z de luxe.
Ce Moonraker est quasiment un exercice d'auto-parodie. Des répliques "bateaux", des situations ahurissantes et des clins d'oeil et gags bien lourds ainsi que des tentatives d'assassinats contre 007 toutes les 3 minutes. Cet épisode joue a fond la carte de l'humour mais ne fait rire uniquement de pitié, le scénario est vraiment abracadabrant. Mais au final c'est tellement bidon que cela devient poilant.
Un Bon james bond de roger moore, avec une nouvelle apparition de jaws, un méchant monumental dans l'histoire des james bond. Si vous voulez voir l'homme aux dents d'aciers ou james bond se balader sur la lune, c'est cet épisode qu'il vous faut !!
Ce James Bond-ci ressemble plus à une parodie qu'un film d'espionnage, ce qui est bien dommage ! Mais les scènes d'actions et l'interprétation de Roger Moore sauve (en quelque sorte) le film.
Une dizaine d'années après le premier homme sur la lune,un film a enfin été crée.Et ce film est un James Bond particulierement savoureux,peut etre un peu long mais c'est pas grave il est excellent.Toujours d'aussi bon duels,et d'aussi bons duos.Bref ce film est purement bon.
L'un des épisodes les plus kitsch et les plus poussifs de la saga avec sa spectaculaire bataille spatiale, mais c'est aussi l'un des plus drôles et des plus rythmés qui se marie parfaitement avec la personnalité de Roger Moore.