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Un visiteur
2,0
Publiée le 27 mars 2011
Je crois bien que l'agent 007 n'avait jamais été aussi ridicule. D'une crédibilité déroutante, que ça soit sur Terre ou dans l'espace. Mais une telle performance est remarquable pour des distinctions nanardesques.
Dés le début début du film, le spectateur se pose de nombreuses questions: -Est ce qu'il regarde James Bond ou Star Wars?un film d'action, de science-fiction ou une parodie? les producteurs se se sont-ils trompés de siècle?de genre?Roger Moore a-t'il seulement prit la peine de regarder Sean Connery en James Bond?a-t'il prit lui même la décision de jouer un super-héros à la manière d'un lord anglais?les producteurs vouent-ils un culte à George Lucas et à Steven Spielberg? en fait est-ce que tout ce beau monde a vraiment compris qu'il tournait un James Bond?ou est ce tout simplement un immense Canular?
Non, la mégalomanie du scénario ne s'accorde absolument pas au charme voluptueux de James Bond. Sauver le monde c'est bien, mais là, on va peut-être trop loin, et les talents du célèbre agent secret en perdent toute leur crédibilité, tant sur le plan des arts martiaux que sur celui du raffinement mondain. Moonraker est avant tout un écart d'imagination dans la plume du scénariste, quoique instructif sur les tendances de l'époque à la science-fiction. Reviens, James!
Une jolie BO, des effet spéciaux vieillissant, des décors agréable, un scénario original mais souvent décousue, une réalisation plutôt sympathique (mention spéciale pour la scène avec notre défunt concorde :), mais aussi l'excellent jeu d'acteur de Michael Lonsdale et notre méchant préfère qui trouve l'amour : requin ! Un bon James bond donc fait quelque peu a la va vite pour surfer sur l'effet star wars, loin d'être excellent, mais quand même divertissant.
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3,5
Publiée le 28 août 2010
Ce onzième èpisode des aventures de l'agent 007 bènèficie d'un budget encore plus important que les prècèdents! L'histoire y gagne en humour et en pèripèties! Outre Roger Moore, pour la quatrième fois dans le rôle de l'agent secret, et Lewis Gilbert qui met en scène son troisième James Bond, on retrouve Ken Adam, le dècorateur attitrè des James Bond! Par souci de rèalisme, il se fait conseiller par deux experts de la Nasa pour crèer tous les dècors des batailles spaciales! Adversaire acharnè de 007, l'acteur français Michel Lonsdale tourne ici en anglais, sa langue maternelle en interprètant Drax, le gènie criminel! Quant à Richard Kiel, le gèant aux dents d'acier, rescapè de "L'espion qui m'aimait", il reprend du service! Le dèlire imaginatif des cascades et des gadgets atteint des sommets: saut d'avion sans parachute, gondole-overcraft qui traverse la place Saint-Marc de Venise, duel sur le câble d'un tèlèphèrique, extraordinaire bataille de cosmonautes en apesanteur! Toujours plus grand, plus beau, plus spectaculaire...
Toujours aux commandes de Lewis Gilbert, ce nouvel opus narrant les aventures de l'espion britannique le plus célèbre du monde est une merveille du septième art. Un scénario très riche et très dense permet au spectateur de se régaler pendant deux heures comme le précédent volet intitulé "L'espion qui m'aimait". Les producteurs du film avaient parié gros sur ce long-métrage parce qu'il possédait à l'époque en 1979 le plus gros budget de l'histoire du cinéma. "Moonraker" nous emmène dans des décors somptueux à travers des lieux célèbres pour leur beauté et pour leur luxe. Les gadgets sont bien évidemment au rendez-vous et l'on se régale à les voir fonctionner. Le final ressemble à "La guerre des étoiles" sorti deux ans plus tôt mais nous n'en dirons pas plus pour éviter de gâcher la surprise. Dans ce film et pour la première fois depuis que la franchise "James Bond" existe, l'espion est confronté pour la deuxième fois à un même ennemi, "Requin" toujours interprété par Richard Kiel, toujours aussi impressionnant en raison de sa taille, de sa mâchoire et de son invulnérabilité. A croire que le réalisateur avait créé un "Terminator" avant James Cameron. Mais ce personnage bien qu'il soit omniprésent n'est pas le méchant du film, le patron du crime étant interprété par un Français, Michael Lonsdale, ce qui explique sans doute pourquoi ce film est partagé pour les goûts par nos compatriotes. Au menu de ce film: bagarres à coups de poing, humour noir, tirs à la mitraillette, obus de mortier, cascades extraordinaires dont celle du début qui nous donne un aperçu du coté spectaculaire que nous réserve ce film. 007 est toujours incarné par Roger Moore dans cet opus qui peut se vanter d'avoir su utiliser les gros moyens pour impressionner le spectateur. Au final, "Moonraker" réserve au spectateur bien des surprises, de très bonnes surprises, du très grand spectacle et nous ne pouvons qu'applaudir après la fin de ce film purement divertissant. Un excellent cru! En un mot, bravo!
Cette fois les scénaristes n'ont plus aucune idée originale et pour le camoufler il nous font le coup de l'auto-citation parodique et des réfèrences à d'autres films qui confine au mieux au recyclage paresseux au pire au plagiat pur et simple. Exemple, dans l'épisode précèdent il y a un passage amusant où Bond marche dans le désert egyptien lorsque retentissent les premiers accords de la musique de Lawrence d'Arabie. Clin d'oeil musical qui se répète içi trois fois (pour 2001 l'Odyssee de l'espace, Rencontre du troisième type et les Sept mercenaires). Encore plus flemards, les auteurs reprennent carrement pour Moonraker l'ossature du film précèdent, remplançants l'eau par l'espace car, après le phénomène Star Wars, il fallait bien qu'une saga en pleine perte de vitesse court après le succès d'une autre.
Onzième épisode de la saga Bond, Moonraker succède au très bon "L'espion qui m'aimait". Alors que les films de Moore étaient sur la pente ascendante patatra, on retombe au niveau de son premier film "Vivre et laisser mourir". Pour la petite histoire, une navette spatiale a disparu et évidemment on envoie Bond enquêtait. Il va démarrait sa mission en Californie chez le concepteur des navettes spatiales. Ce dernier qui s'avère être le méchant de l'histoire va engager notre ami le "Requin" pour éliminer Bond. Si le début du film s'annonce intéressant notamment lorsque Bond enquête dans le centre spatial, la suite du film est on ne peut plus molle. On voit Bond se balader de ville en ville mais c'est à la fin du film que l'on comprend les noirs desseins de Drax qui ressemblent cruellement au méchant du film précédent. Là où le film déçoit le plus c'est surtout dans l'attitude de "Requin" qui était un effroyable tueur dans l'épisode précédent et qui devient complètement gogole (désolé mais il n'y a pas d'autres mots) dans ce film. Les nombreuses longueurs fatiguent aussi, beaucoup plus en tout cas que la fin du film qui ressemble à une espèce de Guerre des étoiles (après tout pourquoi pas...). Bref, après un excellent épisode, les scénaristes sont retombés dans leurs travers (film mou) et on essayé de surfer sur la vague Star Wars. Mais Bond est Bon et non pas Luke Skywalker.
Malgré un serpent en mousse trop visible et un R.Moore mieux que P.Brosnan, ça reste un bon film. Avec un excellent scénario. On passe un bon moment en compagnie de notre ami James, comme toujours ...
Bof Bof. Un film très pâle en comparaison à l'espion qui m'aimait. Requin, bien que sinistre dans quelques scènes, devient volontairement ridicule! Pire: il devient gentil à la fin. Pas mal de scènes d'action bien menées, et la première partie du film n'est pas mal, mais la seconde partie fait plutôt penser à Star Wars: vaisseau spatial, lasers... pas crédible du tout. Il y a quand même un peu d'humour, qui nous empêche de nous ennuyer, et rend le film plaisant, au final. Sinon, le James Bond qu'incarne Roger Moore est un peu mou, pas à cause de Roger Moore, qui joue à la perfection, mais à cause de la personalité que lui a donné le réalisateur.
Tout simplement le James Bond le plus lamentable qui n'a été donné de visionner!!! Dans certains passages, il se passe au moins 20 minutes sans qu'aucun des personnages ne disent quelque chose!!! Chapeau!!!