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rocky6
30 abonnés
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3,5
Publiée le 3 janvier 2022
Un Bond un peu plus faible que le précédent. La faute à la dernière demi heure qui envoie Bond dans l'espace. Cette dernière partie plombe un peu le film qui jusque là offrait un bon spectacle avec tout ce qu'il faut d'humour et d'action. Roger Moore est toujours à l'aise dans son rôle d'espion charmeur et blagueur. On passe quand même un bon moment devant ce film à grand spectacle.
Moonraker s'ouvre sur un pré-générique qui reste l'un des plus spectaculaire de la saga. Aux oubliettes le fait que la doublure de Richard Kiel ait accidentellement montré ses belles dents toutes blanches... car c'est un pré-générique incroyablement haletant. D'ailleurs, il faut admettre que John Barry a fait un excellent travail ; la musique colle parfaitement à l'esprit du film. Flight Into Space est magnifique, la chanson titre performed by Shirley Bassey également. A cela s'ajoutent des immenses et beaux décors et des paysages hors-du-commun. Premier film a très gros budget et ça se voit. Un peu dans le même style que l'Espion qui m'aimait, le film mise tout sur un spectacle à la limite de la science-fiction. Donc, de même pour ce dernier, sobriété et réalisme zéro. Maintenant ce qui fait de ce film un meilleur Bond que le précédent, c'est qu'il est certainement plus intemporel et moins longuet. En effet, Moonraker ne traîne pas en longueur et le scénario, bien qu'invraisemblable, est plus abouti. Et chose très agréable : contrairement au précédent opus, les scènes les plus effrayantes, haletantes ou angoissantes du film ne se voient pas être gâchés par de banales et ridicules artifices. Exemple pour la scène de la centrifugeuse qui est superbement jouée, montée et réalisée. Rares sont les frissons pour une scène d'un Bond movie, mais cette scène en procure c'est indéniable. L'idée est bonne et c'est vachement bien foutu, il faut le reconnaître. La mort de Corinne Dufour est aussi une réussite dans le genre. L'espionnage du laboratoire également. Il faudra tout de même déplorer la scène de la gondole à Venise qui est une horreur et la drastique et soudaine rédemption de Requin qui constitue peut-être le plus gros gâchis de la saga. Les quelques secondes où ce dernier fait des signes amicaux à Bond avec un grand et con sourire sont à vomir de ridicule. Mais mis à part ces deux horreurs et la dernière demi-heure du film, le spectateur passera un plutôt bon moment. Moonraker est un bon film, mais un très mauvais James Bond.
Un James Bond sympa qui surfe sur le succès de Star Wars. C'est un épisode quelque peu cartoonesque amené par le personnage de Requin et les effets spéciaux se partagent entre kitch et encore jolis à contempler. Ce n'est certainement pas le meilleur de Bond mais ça reste distrayant.
Onzième film à présenter le personnage de l'agent 007, Moonraker se lance cette fois-ci à la conquête de l'espace, en opposant James Bond au diabolique Hugo Drax, qui veut détruire toute vie sur Terre depuis sa capsule reconstituée dans l'espace, et recréer une race supérieure d'Hommes. Après un début très prometteur qui pouvait -enfin- lancer un film qui valait la peine d'être vu, la suite se ramolit rapidement, et prouve à nouveau l'invincibilité incontestable du célèbre agent, parant toutes balles et réussissant à vaincre n'importe quel ennemi. Le film offre également maintes scènes inutiles, dont la romance de Requin, et offre tous les clichés du genre à son méchant qui mourra finalement de manière très prévisible. Bref, une fois de plus, la déception est de mise.
Jouant davantage sur l'humour (assez énorme) que sur la crédibilité, ce James "Skywalker" Bond est assez agréable a regarder, si on accepte son côté post-"Star wars". Ce n'est, évidemment, pas "Bons baisers de Russie", mais bon ...
Un bond film dans lequel l'agent 007 se bat avec un homme d'affaire riche qui veut conquérir l'espace et ainsi crée une nouvelle race d'humain. Roger Moore toujours aussi bon dans la peau de James Bond.
Ambiance futuriste pour cet opus de la saga Bond. On retrouve d'ailleurs l'excellent Jaws et Roger Moore est vraiment en bonne forme! L'humour est plus présent et certaines scènes, notamment celles dans l'espace, sont assez incroyables. Un épisode sympathique donc, mais qui délaisse encore une fois les gadgets! Plus que 11!
Moonraker, le 11eme James Bond, cherchait à surfer sur le succès de Star Wars et de Rencontres du 3eme type. Il fallait donc, pour l'agent secret au service de sa majesté, aller dans l'espace. C'est pourtant dans les airs que son aventure commence avec une stupéfiante séquence de chute libre dès les premières minutes du film. James Bond devra lutter contre l'industriel Hugo Drax (incarné par Michael Lonsdale) qui cherche à détruire toute forme de vie sur Terre afin de la repeupler avec une super-race parfaite. Sur sa route, il trouvera son vieil ennemi Requin, qui cette fois-ci trouvera l'amour auprès d'une charmante blonde. Les effets spéciaux sont bien kitchs comme on pouvait s'y attendre, surtout le combat de fin entre les Marines et les hommes de Drax à coups de pistolets lasers. Dernier point à signaler, les présences de Jean-Pierre Castaldi et surtout Georges Beller qui joue un technicien de Drax. Moonraker était considéré comme un des James Bond les moins bons. Il reste toutefois divertissant avec une intrigue pas trop compliqué pour une fois, des James Bond girls charmantes et des cascades qui valent toujours le détour 30 ans plus tard. Et puis toujours le flegme et les vannes que sort Roger Moore à chaque fois qu'il ouvre la bouche. C'est peut-être pour ça qu'entre Connery, Lazenby, Dalton, Brosnan et Craig, il est celui que je préfère dans la peau de James Bond.
Star Wars est sorti vers la même période, et ça se voit. Ce film démarre pourtant sur les chapeaux de roues avec une séquence pré-générique à couper le souffle, mais plus on avance dans le film, plus ça dérive. Jusqu'à la fin complétement ridicule pour un film du style de James Bond. Sérieusement, vous voyez une bataille spatiale aux pisto-lasers dans un film d’espionnage, qui plus est pour un agent britannique ? Mes souvenirs d'enfances étaient mieux tiens... On se console avec une confrontation répétée entre 007 et Requin, un antagoniste droit comme un I par Michael Lonsdale et quelques gags réussis. Mais c'est clairement parti en sucette sur cet épisode...
a voir pour rigoler un coup avec ses effets kitsch qui donne un gout de nostalgie des vieux james bond nanar de roger moore contre les james bond nanar chiants d'aujourd'hui
L'un des pires James Bond, le plus ridicule et parodique. Avec des références à Galactica, Star Wars, 2001 : L’Odyssée de L’Espace ou encore Rencontres du Troisième Type. Les combats spatiaux dans l’espace, c’est vraiment du n’importe quoi. Et même le retour de Requin qui fait le clown et qui tombe amoureux, on aura tout vu. Une catastrophe.
Une vraie blague ce James Bond.. Sorte de recyclage de Star Wars en super mauvais.. avec des combats spatiaux ridicules.. On se demande pourquoi ils nous ont sorti ce "truc"..