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    Moonraker
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    CeeSnipes
    CeeSnipes

    284 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2012
    Malgré les bons réalisateurs qui se sont succédés, la saga James Bond a du mal à se remettre du départ de Sean Connery et la malchance d’un Roger Moore qui n’a pas eu de scénario vraiment original.

    Pour rebondir sur le succès de Star Wars, les producteurs ont décidé de délocaliser une partie de cet épisode dans l’espace, avec même des fusils lasers (oui, c’est assez ridicule et amusant sur le moment) et des navettes révolutionnaires. Si on enlève le coté très kitsch de l’ensemble, on s’amuse plutôt pas mal, grâce à une bonne réalisation de Lewis Gilbert (son dernier boulot sur la série), plutôt enlevée, qui enchaîne scène d’action frénétique sur scène d’action frénétique, tout en permettant aux personnages secondaires comme Jaws, Manuela ou Corinne Dufour d’exister. On notera un casting étrange, avec la présence de Jean-Pierre Castaldi, Blanche Ravalec et de George Beller. Le film est tout ce qu’on aime chez James Bond, des gadgets, des filles à sauver, un monde à sauver, un méchant mégalo (chose que Michael Lonsdale sait très bien jouer) et enfin un Roger Moore qui crée son propre personnage.

    Amusant, vraiment bien réalisé et surtout jamais ennuyeux, Moonraker est le meilleur épisode avec Roger Moore en premier rôle. Une réussite.
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2010
    Décrié par les fans, "Moonraker" est pourtant un des James Bond de Roger Moore que je préfère. On pourra toujours reprocher au film de s’être trop laissé influencé par la vague "Star Wars" (la bataille dans l’espace, fallait oser !) ou d’en faire trop dans l’humour au dépens de l’histoire (voire la scène de la gondole ou les péripéties de Requin), il n’empêche que cette 11e épisode, caractéristique de l’époque Moore (à savoir plus léger et plus drôle) recèle bien des atouts : une James Bond Girl intéressante (magnifique Lois Chiles), le retour du génial Requin (qui évolue de façon surprenante), un excellent méchant (Drax et ses projets d’eugénisme), des décors époustouflants (les différents repaires de Drax), quelques scènes mémorables (la séquence pré-générique et son vol plané, la scène du téléphérique…) et, en prime, plein de français (Michael Lonsdale, Corinne Cléry, Jean-Pierre Castaldi, Georges Beller…). Les fans apprécieront également les hommages à "Rencontres du 3e type" et aux "7 mercenaires". Un pur divertissement à regarder sans se prendre la tête...
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    183 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2020
    On reprend la même équipe que pour « L’Espion qui m’aimait » (The Spy Who Loved Me) sorti deux ans plus tôt : le réalisateur Lewis Gilbert et, pour le casting, Roger Moore dans le rôle de l’agent 007 et Requin / Jaws en tueur à gages. On y ajoute Michael Lonsdale, parfait, en grand méchant et des James Bond Girls à foison. D’ailleurs, il est symptomatique – autres temps, autres mœurs – de noter sur l’affiche française du film que les 4 femmes sont aussi peu vêtues que les 3 hommes sont chaudement habillés. Le scénario, à trop tirer sur l’humour, est moins crédible que son prédécesseur. Heureusement, quelques moments de grande intensité font passer un moment sympathique.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    90 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 janvier 2014
    Onzième aventure cinématographique pour un Bond qui voit Roger Moore endosser pour la quatrième fois le costume de l'agent secret. Dans cette nouvelle enquête, 007 est chargé de retrouver une navette spatiale américaine destinée aux britanniques et d'en démasquer le commanditaire... L'extravagance californienne, les canaux vénitiens, le festival de Rio, faire voyager le spectateur est une caractéristique des aventures de l'espion créé par Ian Fleming mais ce nouvel opus innove en l'envoyant également … dans l'espace ! Une prouesse technique qui a un coût puisque le budget alloué à "Moonraker" est faramineux pour l'époque. Il faut dire que le succès de "La Guerre des étoiles" et l'engouement du public pour la science-fiction qui en résulte a changé la donne dans l'industrie du cinéma. Les décors de la station sont impressionnants et la mise en scène de Lewis Gilbert de cet environnement spatial est plutôt immersive. Si cette sortie dans l'espace présente un certain nombre de scènes kitsch pas forcément désagréables, l'enquête sur la terre ferme, quant à elle, est loin de captiver. Mis à part la chute libre ouvrant l'histoire, ce film se veut plus comique, parfois à outrance, un style ouvert à un certains nombre de débordements et dont la profusion de gadgets vient parasiter une intrigue déjà très sommaire. Où est donc passée l'ambiance thriller d'espionnage ? Pour preuve la présence incongrue du personnage de Requin, réduit à de simples gags. Roger Moore, plus charmeur que jamais, collectionne ici les conquêtes, ne permettant à aucune actrice de véritablement sortir du lot. Michael Lonsdale, quant à lui, se débrouille comme il peut avec ce personnage excessif dans l'accomplissement d'une idéologie proche du nazisme. Scénaristiquement parlant le niveau est bien bas. "Moonraker" est clairement le James Bond de tout les excès !
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2012
    Onzième film à présenter le personnage de l'agent 007, Moonraker se lance cette fois-ci à la conquête de l'espace, en opposant James Bond au diabolique Hugo Drax, qui veut détruire toute vie sur Terre depuis sa capsule reconstituée dans l'espace, et recréer une race supérieure d'Hommes. Après un début très prometteur qui pouvait -enfin- lancer un film qui valait la peine d'être vu, la suite se ramolit rapidement, et prouve à nouveau l'invincibilité incontestable du célèbre agent, parant toutes balles et réussissant à vaincre n'importe quel ennemi. Le film offre également maintes scènes inutiles, dont la romance de Requin, et offre tous les clichés du genre à son méchant qui mourra finalement de manière très prévisible. Bref, une fois de plus, la déception est de mise.
    Le D.
    Le D.

    204 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2021
    "Moonraker" est le onzième opus de la saga des James Bond. Un volet divertissant, une histoire à la conquête spatiale que j'ai bien aimé et les effets spéciaux sont bien fait pour l'époque. Je trouve qui y avait un peu de longueurs à certains moments du film et certaines scènes d'action sont un peu mal faites.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    68 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    Un James Bond savoureux. Plus que les autres, cet opus est teinté d'humour, et tout au long du film, les petites phrases et gags habituels se succèdent... parfois un peu lourdement. Les références cinématographiques sont légion et sont, ce qui ne gâche rien, assez bien glissées. Reste un scénario invraisemblable, mais qui surfe sur la vague Star Wars. Roger Moore est excellent.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    42 abonnés 1 213 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 octobre 2009
    Onzième épisode de la saga Bond, Moonraker succède au très bon "L'espion qui m'aimait". Alors que les films de Moore étaient sur la pente ascendante patatra, on retombe au niveau de son premier film "Vivre et laisser mourir". Pour la petite histoire, une navette spatiale a disparu et évidemment on envoie Bond enquêtait. Il va démarrait sa mission en Californie chez le concepteur des navettes spatiales. Ce dernier qui s'avère être le méchant de l'histoire va engager notre ami le "Requin" pour éliminer Bond. Si le début du film s'annonce intéressant notamment lorsque Bond enquête dans le centre spatial, la suite du film est on ne peut plus molle. On voit Bond se balader de ville en ville mais c'est à la fin du film que l'on comprend les noirs desseins de Drax qui ressemblent cruellement au méchant du film précédent. Là où le film déçoit le plus c'est surtout dans l'attitude de "Requin" qui était un effroyable tueur dans l'épisode précédent et qui devient complètement gogole (désolé mais il n'y a pas d'autres mots) dans ce film. Les nombreuses longueurs fatiguent aussi, beaucoup plus en tout cas que la fin du film qui ressemble à une espèce de Guerre des étoiles (après tout pourquoi pas...). Bref, après un excellent épisode, les scénaristes sont retombés dans leurs travers (film mou) et on essayé de surfer sur la vague Star Wars. Mais Bond est Bon et non pas Luke Skywalker.
    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Je le trouve intéressant et cometement décale des autres on tourne une page: moins espion, plus aventure, moins charmant plus héros, gadget et trucages a profusion , décors varies et de nombreux pays visites ..... Un rhytme totalement différent soutenu pour que l on ne s ennuie pas qu il y est de l action tout le temps ... Quitte a perdre un peu dans le scénario en finesse. ce film est plus divertissant , drôle et surtou spectaculaire.... Je pense que a partir de ce film la série a change pour ce style assume. Il redeviendra plus bond avec le retour de Daniel Craig. Mais pour ma part cela ne me dérange pas j apprécie vien ce film avec la belle musique de John Barry il fait partie de ceux que je préfère avec un requin au top des décors et des idées super.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2022
    James Bond est missionné pour enquêter sur la disparition de Moonraker, une navette spatiale américaine confiée au gouvernement britannique.

    Alors que l’on avait reproché dans le précédent James Bond son manque d’originalité parce qu’il exploitait pour la énième fois une histoire de vol d’ogives nucléaires, cette fois-ci, c’est le vol de navettes spatiales dont il est une fois de plus question, comme ce fut le cas avec On ne vit que deux fois (1967), ce qui ne doit pas trop dépayser Lewis Gilbert qui l’avait réalisé à l’époque. A noter aussi que la structure du film est quasiment identique à L'Espion qui m'aimait (1977), où le vol de sous-marins est remplacé par le vol de navettes et l’assaut dans le supertanker par la bataille de pistolets laser.

    Malgré ça, cela n’empêche pas le film d’être efficace et de nous offrir du grand spectacle. Faut-il y voir un lien avec le succès rencontré par le tout premier opus de la trilogie Star Wars sorti quelques années auparavant ? Sans nul doute que La Guerre des étoiles (1977) n’y est pas pour rien dans le fait d’y voir James Bond catapulté dans l’espace, en train de déjouer les plans d’un machiavélique homme d’affaire sur fond de space-opera. Moonraker (1979) nous entraine sans le moindre temps mort de la Californie (ou plutôt, de la France) à l’Italie en passant le Brésil et l’espace.

    Un blockbuster qui nous réserve son lot de surprises, comme cette impressionnante séquence de la centrifugeuse (on s’y croirait) en passant par la mise à mort de Corinne Dufour (d’une rare cruauté pour un James Bond). Mais d’un autre côté, le film n’est pas avare en défauts et ou en situations ubuesques, à commencer par le manoir de Drax, censé être situé en Californie, alors que cela saute aux yeux que le tournage a eu lieu en France tant les paysages n’ont rien de californiens, que dire de la gondole motorisée qui traverse la Place San Marco à Venise (du grand n’importe quoi), ou encore la reprise des célèbres notes musicales de Rencontres du troisième type (1977) pour le digicode du laboratoire secret de Drax, où lorsque l’on retrouve James Bond au détour d’une ellipse déguisé en gringo, sans oublier cette invraisemblable romance (pourquoi ?) entre Dolly & Requin (et cette soudaine rédemption ?!) et enfin, le clou du spectacle, la bataille spatiale de rayons laser qui contre tout attente, s’avère moins cheap que ce que l’on aurait pu craindre.

    Le film cumule donc aussi bien des qualités que des défauts mais cela n’empêche pas d’y passer un agréable moment. Coproduction franco-britannique oblige (une grande partie du tournage s’est déroulé en France), le casting se retrouve donc agrémenté de quelques frenchies que l’on n’aurait jamais imaginé là, à commencer par bien évidemment Michael Lonsdale, la courte apparition de Jean-Pierre Castaldi (en pilote d’avion dans la scène de pré-générique), Blanche Ravalec (en amoureuse éperdue de Requin) ou encore Georges Beller (en membre d’équipage de la navette).

    Ce 11ème opus recycle à la fois ce qui a déjà été fait par le passé et se permet même des écarts parodiques. Mais malgré ses défauts, le film n’en reste pas moins plaisant, tout en faisant abstraction des baisses de rythmes et des idées fourre-tout balancées ici et là dont on aurait pu se passer.

    (critique rédigée en 2008, réactualisée en 2022)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 333 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    James Bond dans l’espace… Voilà bien ce qui résume au mieux ce qui reste pour moi l’esprit de cette période de James Bond : le dévoiement… Quand je disais que je n’aimais pas les épisodes avec Roger Moore, je pensais notamment à ce film là. Le pire, c’est que même à prendre en compte le fait que cet épisode là fasse un peu sa pute auprès de tous les films à grand spectacle de son époque, il n’en reste pas moins assez efficace dans l’action mise en place. Comme quoi…
    Shelby77
    Shelby77

    163 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2018
    Un James Bond honorable, avec de beaux décors et une mise en scène relativement bonne. Mais l'ensemble manque de saveur et Roger Moore de charisme. Michael Lonsdale est par contre un convaincant méchant. Relativement plaisant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 octobre 2012
    Moonraker utilise consciencieusement les ingrédients habituels de la série dans sa premiere partie tres classique : action, romance, voyages et une pointe d'humour caractéristique. Puis le film décolle vers une destination improbable et plutot originale. S'il n'a pas forcément bien supporté le poids des années au niveau des effets spéciaux et qu'il souffre de petites longueurs, ce James Bond ne déshonore pas la série. Pour l'anecdote, il marque le deuxieme affrontement entre Jaws, le fameux géant aux dents d'acier, et 007.
    TommyDuke
    TommyDuke

    54 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2012
    Un James Bond sympa qui surfe sur le succès de Star Wars. C'est un épisode quelque peu cartoonesque amené par le personnage de Requin et les effets spéciaux se partagent entre kitch et encore jolis à contempler.
    Ce n'est certainement pas le meilleur de Bond mais ça reste distrayant.
    Louis-Auxile M.
    Louis-Auxile M.

    26 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 septembre 2010
    Non, la mégalomanie du scénario ne s'accorde absolument pas au charme voluptueux de James Bond. Sauver le monde c'est bien, mais là, on va peut-être trop loin, et les talents du célèbre agent secret en perdent toute leur crédibilité, tant sur le plan des arts martiaux que sur celui du raffinement mondain. Moonraker est avant tout un écart d'imagination dans la plume du scénariste, quoique instructif sur les tendances de l'époque à la science-fiction. Reviens, James!
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