Mon compte
    Moonraker
    Note moyenne
    3,0
    8700 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Moonraker ?

    271 critiques spectateurs

    5
    32 critiques
    4
    53 critiques
    3
    66 critiques
    2
    76 critiques
    1
    30 critiques
    0
    14 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    bobmorane63
    bobmorane63

    187 abonnés 1 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2012
    Un opus des aventures de James Bond 007 spatiale et divertissant par l'un des pionniers de la saga, Lewis Gilbert !! Je suis pas trop fan de la période de Roger Moore qui incarnait le héros au service secret de sa majesté d'Angleterre à l'humour so British qui succéda au grand Sean Connery mais j'ai trouvé dans "Moonraker" pas mal de qualités, une bonne intrigue, un méchant aux dents d'acier grand de plus de deux mètres incarné par Richard Kiel qui met une bonne dose d'humour pour finir par ètre attachant , des scènes d'actions a couper le souffle (mention pour celle des hauts trains périphériques sur Rio), des James Bond girls à tomber qu'elles soient blondes, brunes ou chatains (rire), quelques clins d'oeils à "Rencontre du troisième type" ou "Les sept mercenaires" par la musique et puis les séquences spatiaux bien faites mème si les attaques aux lasers sont un peu tiré par les cheveux niveau effets spéciaux. Roger Moore est pour une fois excellent dans la peau du héros face à un Michael Lonsdale bien méchant. Un bon épisode.
    ned123
    ned123

    156 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    J'ai vu un film... où je me dis que là, on touche le fond... On s'ennuie ferme, on se morfond en attendant la blagounette de James Bond... Et au fond, c'est pathétique... Le seul personnage intéressant, c'est le méchant interprété par Michael Lonsdale... On constate qu'il y a une coprod avec des Français, et donc au casting qq visages frenchies... Le second méchant est Requin qui est tellement maltraité que franchement, ça ne ressemble à rien. Les effets spéciaux sont spécieux et ridicules... On s'ennuie ferme. Pas grand intérêt... Moonraker est vraiment un ratage...
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2022
    Dernière apparition de Bernard Lee, aka M, dans la saga, çà mérite un salut. C'est peut-être le second rôle masculin le plus insipide de l'histoire du cinéma. Si on l'a vu une multitude de fois derrière son bureau délivrant les consignes de mission à notre agent préféré, il concourt avec MoneyPenny aux personnages qui sont devenu des meubles au fil du temps, sans connaître réellement leur utilité aux aventures. James Bond combat les plus gros mégalomanes de la planète, aux fantasmes toujours plus farfelues. Ce Drax est une sorte d'Elon Musk de l'époque, qui souhaite faire de l'espace un terrain de jeu pour embarquer ses folies de société parfaite. Michael Lonsdale y est crédible sans être tout à fait terrifiant. De la place St-Marc à Rio et la forêt amazonienne, en finissant par l'espace, Bond accumule les miles comme les conquêtes amoureuses. Corinne Cléry et Lois Chiles sont des sommets de beauté par ailleurs. Les multi-références aux films cultes de l'époque sont les clins d'oeil qui font très plaisir au cinéphile : Richard Kiel, aka Jaws, pour Les dents de la Mer, les premières notes de Strauss pour le 2001 de Kubrick, la musique de la serrure du laboratoire à Venise pour Rencontre du troisième types. Enfin, évidemment La Guerre des Etoiles avec le combat interstellaire final. Un côté mi-hommage mi-parodique qui est marqueur d'une décennie. Enfin, l'opus décomplexe définitivement la saga avec le placement de produit. Un peu trop, peut-être.
    Rotten Tomatoes
    Rotten Tomatoes

    100 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2014
    Lewis Gilbert se rattrape après L'espion qui M'aimait en réalisant Moonraker. On a plaisir à retrouver Requin, le grand méchant des James Bond. La bataille dans l'espace est une des plus incroyables des James Bond, surtout quand on sait que le film a été réalisé dans les années 70. 3,5/5
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 février 2020
    Moonraker n'est finalement qu'une pâle copie de L'espion qui m'aimait, sorti deux ans auparavant, peut être le meilleur film de la série avec Roger Moore. Le méchant mégalomane et misanthrope n'a pas changé, seul son objectif a évolué :conquérir l'espace silencieux au lieu du fond des océans mutiques et la méthode : des plantes mortelles eu lieu de sous marins nucléaires. Le Brésil a remplacé l'Egypte, L'amazone la Sardaigne, le python, animal fétiche de Draks (pas de python en Amérique du sud mais des anacondas à la place, bonjour la bourde!), succède au requin de L'espion qui m'aimait pour tuer de la même façon le traitre de l'équipe des méchants. La navette spatiale a remplacé un sous marin nucléaire pour coller à l'époque géo politique. Gros problème : les scénaristes ne se sont pas trop fatigués. L'intrigue se tire péniblement où on se prend souvent à s'ennuyer même si la partie de l'histoire sise au Brésil est la plus captivante. De beaux paysages et une sublime musique (ce qui est souvent le mieux dans les James Bond) sont à noter mais Moonraker est un film mineur malgré la présence de l'incroyable Jaws qui est cette fois plus risible qu'effrayant. Son improbable histoire amour est une belle idée : il a trouvé une fille d'une taille idéale pour lui faire une fellation sans besoin de s'accrouprir.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « Moonraker »
    11ème volet de la saga James Bond réalisé par Lewis Gilbert, son troisième.
    Incroyable, je ne l’avais encore jamais vu ! Déjà 9 sur 11 !

    Je trouve le générique un peu paresseux, il assure le minimum avec les éternelles silhouettes féminines aux seins que l’on devine dénudés en apesanteur.

    « Moonraker » est un gros délire !
    Comme je l’ai écrit précédemment, il faut regarder James Bond comme une grosse BD. Et là, ce 11ème volet est vraiment à regarder comme une BD.
    Un gros délire, vous-dis-je !

    Après Tintin dans la Lune, 007 dans l’Espace.

    James Bond doit enquêter sur la disparition d’une navette spatiale. Il doit contacter Hugo Drax, le constructeur même de la navette.
    spoiler: C’est le méchant de service joué par un Français : Michael Lonsdale.

    Son timbre de voix, sa diction particulière apportent un plus à son personnage au tempérament calme, froid et acide.
    Je le préfère à Curt Jurgens.
    Remarque : il n’est pas le seul Français à jouer dans ce Moonraker.

    L’air de rien, « Moonraker » devance la réalité. La navette spatiale effectuera son premier vol en avril 1981, soit près d’un an et demi après « Moonraker ».
    Jules Verne et Tintin avaient effectué un voyage dans la Lune bien avant le discours de J.F Kennedy !

    Dans « L’espion qui m’aimait », James Bond s’était associé avec Triple X, une espionne soviétique, ici, spoiler: l’agent 007 accomplira sa mission avec une espionne de la CIA, miss Goodhead.

    Chacun son tour.
    Au même titre qu’ Anya Amasova, Holly Goodhead fera jeu égal avec son homologue britannique. Voilà deux James Bond de suite où les partenaires féminines de l’agent 007 ne sont pas des faire-valoir.
    Et le couple fonctionne bien.

    J’avais écrit que retrouver le shérif Pepper dans « L’homme au pistolet d’or » après « Vivre et laisser mourir » était une bonne idée, spoiler: ici, on retrouve Jaws (Richard Kiel) après « L’espion qui m’aimait ».

    J’apprécie les liens, petits soient-ils, qui font référence à des opus précédents.
    spoiler: Je comprends que d’aucuns n’apprécient pas le retournement de situation de Jaws,
    mais comme ce « Moonraker » flirte avec la science fiction parodique, cela ne m’a pas du tout irrité.
    Car il faut bien avouer que ce 11ème volet n’est pas du tout à prendre au sérieux !
    spoiler: Compte tenu du discours de Drax sur la race humaine parfaite, j’avais comme une intuition que Jaws ne pouvait pas faire partie du plan.

    C’était prévisible.
    James Bond s’en est bien chargé.

    La James Bond Girl ?
    J’en compte deux. Avant miss Goodhead sous les traits de Lois Chiles, une Française Corinne Cléry qui interprète Corinne Dufour. spoiler: Elle ne fera pas long feu
    .
    Elle pilote un hélicoptère (comme Pussy Galore) avec une tenue évidemment échancrée laissant entrevoir une poitrine délestée de tout soutien-gorge ; elle pilote aussi sans casque qu’elle abandonne après deux plans !
    Brushing oblige !
    Bref, son rôle correspond au cahier des charges de la saga. Décoratif.

    A voir en V.O pour la diction particulière de Michael Lonsdale…
    cris11
    cris11

    52 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2013
    Moonraker est sans aucun doute le plus improbable de tous les James Bond, notamment pour son troisième tiers qui se passe dans l'espace. Ca fait un peu "too much". Seulement voilà, le charisme de Roger Moore, l'humour a la James Bond, des effets spéciaux pas trop dégueulasses pour l'époque (mis à part les lasers), et aussi la présence de Requin font que l'on passe malgré tout un bon moment sans prise de tête devant ce Moonraker.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2017
    Toujours aussi mouvementé, dépaysant et (hélas ?) humoristique, "Moonraker" a en outre profité de l'engouement du public pour le space opera à la fin des années 70, "Star Wars" étant passé par là. De fait, cet opus se distingue par son originalité, à savoir la partie SF totalement incongrue dans un film d'espionnage. A la fin, spoiler: les rayons laser remplacent les balles dans l'espace.
    Invraisemblable, mais cela fait du bien. D'autant que les effets spéciaux sont réussis et que l'acteur Michael Lonsdale incarne un excellent méchant. Il s'agit de mon James Bond avec Roger Moore préféré même si je trouve ce dernier toujours trop "tendre" et pas assez "tueur" dans le rôle.
    Berserk Gatsu
    Berserk Gatsu

    83 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    Pour moi c'est un des meilleurs ok c'est kitsch mais la charte bond est remplie : méchant bien megalo est charismatique , merci m Longsdale vous êtes géniale avec une des répliques les plus cultes de toute la saga : occupez vous de m Bond et veillez à ce qu'il lui arrive malheur.

    Plan de megalo bien foireux, spoiler: m Drax veux repeupler la planète avec des élus qu'il a lui même choisi et exterminer tout les autres avec une sorte de toxine végétale.

    Homme de main excellent avec le retour de Requin
    Jolie Bond girl avec les magnifiques Corinne Clery et Lois Child
    Et dépaysement assuré, Brésil, Italie, USA, et bien sur des gadgets de ouf spoiler: ( lance dard au poignet, gondole overcraft )
    .
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juillet 2021
    La navette spatiale Moonraker disparaît. James Bond (Roger Moore) est chargé de l’enquête qui l’emmène à Venise puis à Rio.
    La scène d’ouverture avec la chute d’avion est impressionnante pour l’époque. Globalement les scènes d’action sont d’ailleurs assez réussies, je pense notamment à spoiler: l’affrontement entre Requin et Bond en haut du téléphérique
    .
    Le méchant Drax (Michael Lonsdale) est crédible, idem pour la James Bond, le Dr Holly Goodhead (Lois Chiles).
    La première partie du film est prenante mais ensuite l’histoire est tirée par les cheveux, on passe parfois d’une séquence à une autre sans transition (exemple : spoiler: Bond s’échappe d’une ambulance, le plan d’après il se retrouve en habit traditionnel avec un poncho, à cheval, on dirait un faux raccord
    ).
    La thématique de l’espace a déjà été vue dans plusieurs James Bond, on a l’impression de revoir une énième fois le même film avec des décors différents, c’est vraiment dommage. Quant à la scène de fin, spoiler: avec l’affrontement entre les deux camps, c’est aussi du déjà vu, la scène semble interminable, c’est bien trop long et il n’y a aucun rythme dans la bataille
    .
    Tony du 22
    Tony du 22

    15 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2020
    Avec ses multiples clins d’œil tout azimut, ses nombreuses scènes d'action et son ton qui se veut clairement porté sur la dérision les producteurs ont cherché à à la fois à rebondir sur le succès du précédent opus et sur le phénomène de l'époque : Starwars. En dépit de ces efforts louables la fusée Moonraker n'arrive jamais à décoller pleinement. La faute entre autre à ses personnages sans saveur, ses décors qui sentent bon le carton pâte ou ses placements de produits envahissants. On passe cependant un très bon moment devant ce sympathique 007 !
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2014
    Il y en a du budget dans cette onzième aventure de James Bond ! Influencés par le succès de "Star Wars", les producteurs décidèrent de remettre à plus tard "Rien que pour vos yeux" au profit de ce "Moonraker" dont l'action finale se déroule dans l'espace histoire de moderniser un peu la saga. Si au niveau des péripéties et des rebondissements, on est servis, le défaut du film vient justement de sa bataille finale, qui a bien mal vieilli et qui manque cruellement de rythme, frôlant presque le ridicule. Mais à part ça, tout va bien et l'ensemble est particulièrement distrayant notamment grâce au charme de Lois Chiles et au charisme de Michael Londasle, qui compose un très bon méchant.
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 août 2013
    En adaptant le roman de Ian Flemming qui envoyait James Bond dans l’espace, les studios EON savaient qu’il leur faudrait un budget bien supérieur à celui des précédents opus mais que le public, en pleine frénésie star-warsienne, répondrait favorablement à l’appel. L’investissement à porter ses fruits, Moonraker se permettant toutes les excentricités auxquelles peuvent mener les codes de la saga, avec ses cascades littéralement vertigineuses, ses tueurs ridicules et sa flopée de jolies jeunes femmes. La scène prégénérique annonce la couleur puisqu’elle est plus spectaculaire que nous ait offert la franchise jusque-là, mais après ça débute un scénario terriblement convenu. Heureusement, cette trame fidèlement respectueuse du système narratif qui sclérose toutes les aventures de l’agent 007 recèle de quelques agréables surprises qui la rendent divertissante. Parmi ces bonnes idées, les clins d’œil au western spaghetti et à Rencontres du troisième type font plaisir, tout comme le retour de Jaws qui malheureusement perd de son effrayant charisme en se transformant en gros bébé sous le charme d’une blondinette. Roger Moore aussi manque de charisme, faute à un jeu manquant cruellement de décontraction, face à lui cependant Michael Lonsdale est tout à fait crédible dans son rôle archi caricatural du milliardaire ambitieux de conquérir le monde, au point que l’on regrette de le voir si peu à l’écran. Le choix du réalisateur de faire monter le kitsch de façon crescendo trouve bien évidemment son apothéose dans la dernière demi-heure dans la bataille spatiale qui, à force de coups de lasers tirés à tire larigots, finit par ressembler à Barbarella qu'à 2001, l’odyssée de l’espace auquel renvoie pourtant certaines images. Ce 11ème long-métrage de la série James Bond est un bon divertissement qui souffre du coté grotesque de son intrigue et de ses excentricités.
    ferdinand75
    ferdinand75

    546 abonnés 3 856 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2014
    Un des meilleurs James Bond et probablement le meilleur avec Roger Moore. Car cet Opus essaye d’apporter une autre dimension au standard du Bond classique. Il y a à la fois l’intégration de l’aspect science fiction, bien fait, à la fois plausible, plein de suspens, et un aspect parodique, tout à fait efficace. Le scenario est très bon, bien écrit et cohérent, ce qui n’est pas toujours le cas dans les Bond. Et les dialogues sont exceptionnels, chaque répartie est assorti d’un bon jeu de mot. A voir en anglais impératif. Et puis il y nombre de scènes mémorables : la poursuite dans le téléphérique de Rio avec Jaws est un must, par sa durée et son intensité, la qualité du combat avec Bond rarement égalée. La scène d’atterrissage du Concorde sur la piste de Rio est aussi un vrai moment historique, bien filmée, le témoignage de l’un des quelques vols de l’avion mythique au Brésil, avant les embargos. Le passage à Venise est aussi superbement filmé, les canaux, les poursuites, les lieux magiques qui seraient aujourd’hui difficilement accessibles. La présence de Michael Lonsdale en Grand Méchant, excellent qui sait donner une vraie épaisseur à son personnage. Toute la poursuite dans le Rio en plein carnaval, avec le Clown géant est aussi un « must » . Le final dans la cachette amazonienne des forces du mal avec cette armée de filles toutes plus belles les unes que les autres et avec ce Boa tueur, est aussi culte. Il faut aussi noter toutes les séquences « clin d’oeil » aux Space Odissey à la mode à cette époque. On retrouve « 2001 l’odyssée de l’espace » dans plusieurs plans où les héros marchent en lévitation, une vraie copie, une marque de respect. Et puis plusieurs pastiches de combats au sabre laser, style « Guerre des étoiles », avec combat des vaisseaux / navettes spatiales, qui font vraiment sourire. Enfin la création de l’arche de Noé, avec les couples deux par deux . Et puis finalement le projet eugéniste ne fonctionnera pas car les deux personnages « freaks » se révolteront ; Jaws et sa petite compagne bécassine bavaroise n’acceptent plus la loi du Maître et aideront Bond. Roger Moore qui est vraiment à l’aise, toujours superbe, et facile, vraiment British. C’est un Bond qui a du corps, de la consistance mais aussi des effets spéciaux très réussis.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    350 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2016
    Parallèlement au chef d’œuvre de George Lucas, cette 11ème mission de l'agent double 0 nous offre un curieux mélange; celui de la science fiction pure et dure, bien que vintage, sur un fond grandement parodique. Alors là je m’interroge; là où les inconditionnels y trouveront forcément leur compte de fantaisie loufoque et d'action décérébrée, les plus pointilleux, les rationnels, appelleront cela une belle arnaque. Si ce film se veut excessif dans bien des domaines, il s'écarte également beaucoup trop de l'esprit 007, diluant au fil de séquences spatiales grotesques, l'âme originelle de la saga. Hormis quelques scènes plus classiques, comme la fuite en gondole motorisée sur les canaux vénitiens, la centrifugeuse mortelle, ou l'attaque d'un python, Bond n'en est que trop peu dépaysé, je dirais même, la routine. Mais lorsqu'un "visionnaire" psychopathe décide de repeupler l'univers avec un concentré de race arienne, la tache se corse un tantinet, qui plus est en orbite autour de la terre, avec comme unique défense, des rayons lasers de chez toys'r'us. Même le redoutable Requin fini par devenir inoffensif en s'amourachant d'une blondinette. C'est n'importe quoi! Une décadence épique dans le plus mauvais sens du terme. Le règne de Roger Moore n'en aura que trop duré. Original mais dispensable. 2,5/5
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top