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Un visiteur
3,5
Publiée le 21 octobre 2014
Il est vrai que ce onzième opus ne brille pas par ces effets spéciaux. Il reste néanmoins comme l'un des tous meilleurs de la série. En tout cas comme l'un de les préfères. A ce sacre Roger Moore!
Plus le temps passe, plus ce Bond me plait par son coté exessif, décalé, rempli d'humour, de charme, et d'action ! Un méchant extraordiannaire, un Moore en forme, un scenario leger mais inventif, des effets spéciaux extras et une B.O monumentale font de cet épisode un monument culte du cinéma britanique !
Je crois bien que l'agent 007 n'avait jamais été aussi ridicule. D'une crédibilité déroutante, que ça soit sur Terre ou dans l'espace. Mais une telle performance est remarquable pour des distinctions nanardesques.
Etant gamin j'ai toujours adoré Moonraker, mais en grandissant et en l'ayant finalement revu, je me suis rendu compte qu'il était l'uns des pires de la saga . De toute façon soyons clairs, il est dans la lignée des Bond de l'ere Roger Moore . Je considère les films de Bond interprétait par Roger Moore comme étant des sortes de parodie . Trop de gadgets, et rien que cela, que ferait ce pauvre Roger sans ses nombreux joujoux. Parfois, on se croirait dans un nanar de science fiction, avec des lasers à la Star Wars, mais en bien moins réussi. Ca reste divertissant certes, mais quand on regarde Bond par la suite, ou par le passé avec l'éternel Sean Connery, la période Roger Moore semble à part à sa manière, mais pas dans le mauvais sens. Certaines scènes sont totalement ridicule, comme Requin et sa belle se retrouvant bras dans les bras à boire du champagne dans une navette à la dérive ou bien encore un Roger Moore se la jouant Clint Eastwood . Un Bond irréaliste, qui semble invincible, pas la moindre trace de coups sur le visage, c'était une autre époque .
RM était le James Bond de l’époque. Il a la classe c’est vrai mais au niveau de l’action, il ne faut pas s’attendre à grand chose. C’est vraiment mou. Peut-être dû à ses 50 ans. Dur de le comparer aux films des années 2000. Pour ce qui est du film, beaucoup de scènes ridicules entachent le récit. On est pourtant ravi de voir le Concorde se poser à Rio. Bref un JB vraiment moyen
Un 007 un peu kitch mais divertissant, avec de l'humour, des scènes d'action assez spectaculaires et des décors sympas. A noter également la présence convaincante de Michael Lonsdale et celle savoureuse du redoutable requin amoureux.
On surfe sur la vague Star Wars et voici un Bond à la sauce SF !! Le scénario parait quelque peu farfelu avec quelques scènes Kitsch mais j'ai beaucoup apprécié cet épisode !! Les scènes dans l'espace ont pas trop mal vieilli vieilli !! On a bien évidemment droit à pas mal de cascades et un Bond toujours aussi sexiste mais qui arrive toujours à ses fins ....
Ce Onzième opus des aventures de l'agent secret britannique est dans la même lignée que les précédents avec Roger Moore. Le méchant est plus intellectuel que les précédents mais reste assez fade. On y retrouve Requin dont la scène sur les téléphériques à Rio est une réussite. Encore de beaux endroits visités (Venise, Rio, ...) avec beaucoup de scènes en bateau. Peu de cohérence entre ces endroits avec un scénario creux par rapport aux précédents (il est vrai que c'est un James Bond :-)). Je pense que ce Moonraker est le moins bien avec Roger Moore. Les effets spéciaux dans l'espace sont peu convaincants et on sent qu'il essaie de concurrencer les films de science-fiction d'époque.
Moonraker ne laissera pas un souvenir impérissable et c'est le moins que l'on puisse dire. Déjà au début, le générique, passage obligé et remarqué de la saga, est d'une pauvreté affligeante. S'en suit un film dont les cascades sont vues et revues dans les précédents films, surtout les courses en bateaux qu'on nous ressort maintenant à chaque épisode. Pas de grand méchants, des jolies filles sans charme et un coté parodique mal venu. Après le très bon L'espion qui m'aimait qui redonnait ses lettres de noblesse à l'agent secret, on vire ici dans le pastiche de Star Wars avec une guerre aux pistolets laser dans l'espace ! Oui, vous avez bien lu, l'espace est devenu une zone de guerre, non pas avec des vaisseaux mais des bonhommes en combi qui se baladent, Moonraker où le vide intersidérale...
Était-ce une si bonne idée que ça que d'envoyer 007 dans l'espace ? Cet opus est mémorable, mais revu 44 ans après sa sortie, le sentiment oscille entre indulgence et dépit. Il aurait même pu être sponsorisé par une agence de voyage tant le célèbre agent secret se promène : Californie, Venise, Rio, cœur du Brésil, espace... Les vues sur le château de Vaux-le-Vicomte au début sont d'ailleurs superbes. Drax (Michael Lonsdale, qui m'avait marqué dans Hibernatus) et son obsession de la conquête de l'espace, fait étrangement penser à Elon Musk. Moonraker distille aussi quelques étrangetés : le poussoir chocottes, une porte qui grince en jouant le thème de James Bond, un digicode qui interprète Rencontre Du Troisième Type, un hommage aux Mystères De L'Ouest, une gendarmette (Catherine Serre), des placements produits (7 up, Seiko, British Airways), Requin qui tombe sous le charme d'une sorte d'Heïdi à couettes... Le héros navigue dans un florilège de belles femmes. Chaque moment calme est propice à coucher avec l'une d'elle, y compris avec une agent de la CIA. Il y a aussi quelques ratés comme cette descente de téléphérique suspendu à une chaîne avec une femme accrochée au cou du héros, qui manque cruellement de réalisme. On voit aussi un réservoir de fusée qui tombe vers l'espace au lieu de tomber vers la Terre. Quant aux scènes en apesanteur, elles frisent le ridicule, tout comme la bataille spatiale, très loin de la qualité de Star Wars sorti trois ans plus tôt. On peut noter cependant que Moonraker fait décoller la navette spatiale deux ans avant le vol inaugural de Columbia. Côté répliques, James et ses acolytes féminines s'en donnent à cœur joie dans les sous-entendus sexuels. Même Q est contaminé ! Ainsi lorsque le ministre s'exclame : "Mon dieu que fait James bond ?", Q lui répond : "Je crois qu'il tente se faire sa rentrée Monsieur." Roger Moore fait de son mieux pourtant. À regarder avec indulgence en effet.
Face au succès de "Star Wars" en 1977, EON Production repousse la sortie du prochain "James Bond" pour sortir "Moonraker" dont le scénario se rapproche de la science-fiction. L'intrigue de cette aventure 007 tourne ainsi autour d'une navette spatiale qui disparait pour recréer une nouvelle race humaine. Face à ce scénario ridicule, Roger Moore avance dans des séquences sans lien entre elles, spoiler: histoire de le faire sauter d'un avion sans parachute ou prendre en main une gondole à Venir ou encore de refaire venir le méchant aux dents d'acier et de lui placer une amourette. Si le film est rythmé, il lui manque du sens et de la crédibilité.
Décidément, Roger Moore aime bien les poursuites en bateau. Le début avec le vol d'un Moonraker est très mal fait. Heureusement, la chute avec le requin et le parachute sauve le tout ! Le côté SF de ce JB est relativement bien faite pour l'époque, même si ce n'est pas encore plausible aujourd'hui d'envoyer un commando spatial en si peu de temps ! Je suis content qu'on voit souvent le personnage du "requin" ici. L'un des méchants que j'apprécie le plus. Son côté increvable et ses mimiques sont géniales !
Aussi culte que kitsch, cette onzième mission de James Bond, réalisée cette fois par Lewis Gilbert et sortie en 1979, n'est pas mal, du moins si on la regarde avec un certain recul. Les gadgets, l'humour noir, le second degré agrémenté d'un certain cynisme ont toujours été la signature de l'ère Roger Moore, contrairement à l'ère Sean Connery se voulant beaucoup plus sérieuse et "classe". Mais il faut bien dire que tous ces éléments propres à l'ère Moore atteignent leur apogée ici dans un film qui a particulièrement mal vieilli. Bond doit cette fois déjouer les plans d'Hugo Drax qui a pour projet de créer une base dans l'espace afin de créer une "race pure" à ramener ensuite sur Terre. Très inspiré du nazisme donc mais surtout visuellement de "Star Wars" sorti quelques années plus tôt dont on retrouve certains ingrédients, comme la base spatiale qui peut faire penser à l'Étoile Noire, les combats dans l'espace et puis surtout les échanges de tirs à pistolets lasers. Oui, oui, vous avez bien lu et pourtant, nous sommes toujours dans un "James Bond" ! Mais un "James Bond" qui ne se lâche complètement que dans sa dernière demi-heure en étant kitsch à souhait, lorgnant même quelques fois du côté de "Barbarella" notamment dans les costumes. En dehors de ça, toute la première heure et demi, eh bien, je dirai que c'est du "James Bond" classique avec ses très bonnes scènes de bagarres et ses courses poursuites (toujours en bateau d'ailleurs, un élément qui revient beaucoup durant cette période). On retrouve également Jaws, personnage aussi culte que le film lui-même, qui a ici plus d'importance que dans "L'Espion qui m'aimait" puisque son personnage est beaucoup plus développé, il se trouve même une petite copine (oui, on fera aussi l'impasse là-dessus). Concernant les acteurs, nous avons énormément de français (comme les décors d'ailleurs) dont nous retiendrons principalement Michael Lonsdale au charisme toujours impeccable. Alors oui, "Moonraker" est un film qui a terriblement mal vieilli et qui était je pense déjà kitsch dès sa sortie mais qui a au moins le mérite de nous divertir et de sortir des chemins battus.
Grâce à lui, j'ai définitivement accroché à Roger Moore. Mais c'est sans nul doute le James Bond le plus irréaliste. Avec des effets spéciaux très gros, très... Star Wars. Mais étant annoncé en tant que film de science fiction, disons "faute avouée, à moitié pardonnée". C'est un retour des Dents de la mer, mais dans l'espace, cette fois-ci, et je dois bien reconnaitre que cet volet spatial ne manque pas d'originalité, ce pour quoi je le récompense par cette note, envers et presque contre tous, une fois encore.
Le ridicule ne tue pas ! La Saga 007 s'en est fait son mot d'ordre. Sous bien des angles, Moonraker est sans conteste son champion toute catégorie.
Les situations pour exploiter le filon sont pléthoriques. Cascades, dialogues, Gadgets en touts genres ... Tout prend des allures de gags, en atteste se fight improbable avec un python ! Oui, sérieusement ( rires ).
Un film très gênant mais aussi paradoxalement amusant. Ca change de quelques précédents opus tout aussi lourdauds et plombant par la même occasion. Néanmoins, je vais freiner ma consommation de vieux James Bond pour un temps je crois ... Il me reste encore trois films avec Moore à me coltiner et je dois dire que là je sature quelque peu.