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Vrakar
41 abonnés
373 critiques
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1,5
Publiée le 27 septembre 2020
"Moonraker" est probablement le pire Bond de la saga. Tout y est sous/surexploité. Exemple flagrant avec le très bon Michael Lonsdale, récemment décédé. Son personnage aurait vraiment mérité d'être beaucoup plus fouillé et mis en avant. A l'inverse, les cruches girls sont omniprésentes. Le rythme reste trop pépère du début à la fin. Si la 1ère partie du film est acceptable (normes 007 basiques), la seconde tombe carrément dans le nanar faute à un scénario se liquéfiant rapidement. Parallèlement, paysages magnifiques et effets spéciaux très réussis (pour l'époque) sont grandement utilisés afin de pallier le vide scénaristique. Mais rien n'y fait. Et ce ne sont pas les navrants clins-d'oeil et références à "Rencontre du 3ème Type", "Star Wars" (le gros LOL de la bataille sidérale sidérante) et autres "2001" qui remonteront le niveau, bien au contraire.
La saga tombe ici dans la surenchère et l'humour à deux balles, pour finir par flirter avec le ridicule lors du final spatial. Dommage car la première partie était intéressante et Michael Lonsdale fait un méchant génial.
L'un des pires James Bond, le plus ridicule et parodique. Avec des références à Galactica, Star Wars, 2001 : L’Odyssée de L’Espace ou encore Rencontres du Troisième Type. Les combats spatiaux dans l’espace, c’est vraiment du n’importe quoi. Et même le retour de Requin qui fait le clown et qui tombe amoureux, on aura tout vu. Une catastrophe.
Un Bond un peu plus faible que le précédent. La faute à la dernière demi heure qui envoie Bond dans l'espace. Cette dernière partie plombe un peu le film qui jusque là offrait un bon spectacle avec tout ce qu'il faut d'humour et d'action. Roger Moore est toujours à l'aise dans son rôle d'espion charmeur et blagueur. On passe quand même un bon moment devant ce film à grand spectacle.
Le Bond le plus nanar, incontestablement. Malgré des moyens et des effets spéciaux corrects, le film se ridiculise par ses prétentions burlesques avec notamment le personnage de Requin et sa copine... Et puis le scénario est quand même bien léger, plus ou moins calqué sur l'épisode précédent. On suit quand même ça avec un vague intérêt, d'autant que les séquences d'action sont un peu mollassonnes, pas très inventives.. Pourtant, Roger Moore, est une nouvelle fois impeccable et ses péripéties dépaysantes (de Venise à Rio...) jusqu'à la partie spatiale, qui surfe maladroitement sur la vague Star Wars...
Ce film est une alarme dans la série. Références idiotes à Star Wars, 2001, rencontres du 3ème type. James bond girls à foison. Générique laid. Bond sur la place Saint Marc dans une gondole. Une deuxième partie dans l'espace ridicule. Homophobie latente, heureusement Octopussy et Dangereusement votre sauveront le final Moore. Une étoile pour la sublime musique de John Barry.
Bonderie numéro 11. Objectif Lune… L’intrigue est trop simpliste, trop convenue, et certaines scènes d’action ont très mal vieilli. Pourtant ça commençait plutôt bien avec cette impressionnante scène de parachutisme sauvage qui ouvrait l’appétît. On appréciait également le retour de Jaws, même si cette fois plus du tout inquiétant mais là uniquement pour faire le clown de service (il va même tomber amoureux d’une blondinette à lunettes et à couettes) et accessoirement jouer à l’homme fort de temps en temps, par exemple quand il stoppe un téléphérique à mains nues. Et puis, continuité avec l’épisode précédent, on retrouve quelques clins d’œil sympathiques comme un petit air de Rencontres du troisième type en guise de code secret (le film de Spielberg était sorti deux ans plus tôt avec le succès que l’on connaît) ou encore une brève parodie de western. Néanmoins, ces détails mis à part, le récit sombre ensuite très vite dans le train train bondien avec une continuité narrative parfois assez limite : tentatives d’assassinat sur 007, poursuites, bon mot en s’épongeant le front, coucheries… On peut également regretter que le personnage de Drax soit si peu étoffé et surtout si rare à l’écran. Pour ses débuts sur la « grande » scène internationale, le frenchy Michael Lonsdale pouvait sans doute rêver mieux. Surtout que son rôle de mégalomane accro à la démiurgie via l’eugénisme était relativement prometteur. Et pendant que j’y suis, on peut également s’amuser de tout petits rôles confiés à Jean-Pierre Castaldi et Georges Beller. Bref, Moonraker a tout du ratage, sauf financier. Avec ses maquettes bien trop voyantes, son intrigue inconsistante, une bataille dans l’espace (inspirée de La Guerre des étoiles avec les lasers) kitsch au possible et le top du top, un anaconda en plastique, le film est au mieux aujourd’hui une série Z de luxe.
Une vraie blague ce James Bond.. Sorte de recyclage de Star Wars en super mauvais.. avec des combats spatiaux ridicules.. On se demande pourquoi ils nous ont sorti ce "truc"..
Tout simplement le James Bond le plus lamentable qui n'a été donné de visionner!!! Dans certains passages, il se passe au moins 20 minutes sans qu'aucun des personnages ne disent quelque chose!!! Chapeau!!!
Un Bond surfant sur la vague du succès de "Star wars". Si les SFX ont très mal vieilli(notamment les lasers des flingues qui font très X-OR),cet opus assure le spectacle. Efficace.
1979. Il y a suffisamment d’originalité et de folie dans le scénario audacieux pour maintenir l’intérêt jusqu’au bout de l’aventure ; il y a également le flegmatique Michael Lonsdale (Drax) qui échange quelques savoureuses répliques avec Roger Moore (007), mais en voulant trop surfer sur la vague du succès Star Wars, avec des moyens financiers moindres, le film sombre irrémédiablement dans un vide sidéral sur la ridicule scène finale dans l’espace. Palme de la bêtise pour le retournement de veste de Requin qui tombe amoureux d’une nunuche blonde sur du Tchaïkovski ! Incroyable…
Avec la course a la conquête spatiale et surtout celle de Mars, ce film retrouve un certain intérêt, et plus particulièrement par rapport a l'antagoniste, Hugo Drax (Michael Lonsdale) qui rappelle Elon Musk (ce dernier est quand même moins mégalomane, quoique). Le film commence bien, mais pour reprendre les paroles de ma moitié : "ça part en cacahuètes". Effectivement ça se transforme vite en blague, a l'image du retour de Requin (Richard Kiel), et Roger Moore était définitivement une erreur de casting.
Loin d'etre le meilleur James Bond, Moonraker ce laisse tout de meme regarder avec plaisir grace a de bonne scenes d'action et a l'humour. Roger Moore incarne tres bien 007. En gros un bon petit divertissement.
Oups!!! Allo la Terre!! Êtes-vous au courant que James Bond est parti à la conquête de l'espace; plus précisément sur une base lunaire!! Mais dans quel monde sommes-nous? Pas celui de Bond en tout cas!!! Un film pas terrible! Pourtant, le film commençait très bien et avait un très bon scénario. Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Les scènes d'action étaient vraiment bien (Venise, télécabine, course-poursuite en bateau); aucune longueur, le suspense à fond même s'il y avait une sur-enchère de scènes d'action, ce qui est rare lorsque le scénario est riche...Le méchant Hugo Drax est plutôt bien travaillé même si l'acteur ne joue pas très bien. Par contre il y a une très belle Photographie (Rio de Janeiro, Venise, la course-poursuite en bateau). Pourtant je pensais que le film était plutôt bien réussi mais j'ai eu une crise cardiaque quand j'ai vu sur l'écran de mon téléviseur : 007 dans une fusée puis 10 secondes plus tard en plein espace. Le film aurait pu s'appeler 007 Star Wars. ll faut faire attention aux inspirations, qui parfois, ne sont pas très bonnes. Passez votre chemin.