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Armé d’un impressionnant sens du cadrage et du merveilleux, Damien Manivel promène un regard intense comme un laser sur la banalité, révélant ainsi les drames, les songes et les fantasmes qu’elle contient.
Cette rencontre juvénile n'a rien de banal. Parce que les premières répliques échangées font sourire, parce qu'on dirait du Rohmer (...). Mais aussi, et surtout, parce qu'on n'est pas au bout de nos surprises.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ce mélange de banalité et de profondeur qui perle des mots aboutissent à la construction de personnages émouvants dans leur extrême évidence, leur dénuement presque archétypal.
Dans ce décor naturel qui offre une infinité de cadrages possibles, Damien Manivel utilise le passage du temps pour épuiser les effets de distance et proximité entre les corps (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Remarqué pour "Un jeune poète", Damien Manivel signe avec "Le Parc" un deuxième long-métrage aussi audacieux et paradoxal, entre jour et nuit, douleur et drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Avec un sens aussi insolent de la vacuité et une fantaisie aussi insoucieuse du spectaculaire, Damien Manivel a tout pour passer inaperçu. C'est une des raisons de le découvrir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Rien n'est en trop, rien ne manque : le film est une épure d'une heure et quart. Mine de rien, sous son apparence minimaliste et sans jamais sortir de ce parc, il nous emmène très loin. Dans des paysages de joie, de chagrin et de torpeur, dont l'un ressemble à l'Amazonie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Il s’agit davantage pour le réalisateur du "Parc" d’investir un territoire a priori balisé, banal et familier, pour en dévoiler les facettes insoupçonnées et le versant nocturne.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
Armé d’un impressionnant sens du cadrage et du merveilleux, Damien Manivel promène un regard intense comme un laser sur la banalité, révélant ainsi les drames, les songes et les fantasmes qu’elle contient.
20 Minutes
Cette rencontre juvénile n'a rien de banal. Parce que les premières répliques échangées font sourire, parce qu'on dirait du Rohmer (...). Mais aussi, et surtout, parce qu'on n'est pas au bout de nos surprises.
Cahiers du Cinéma
Ce mélange de banalité et de profondeur qui perle des mots aboutissent à la construction de personnages émouvants dans leur extrême évidence, leur dénuement presque archétypal.
Critikat.com
Dans ce décor naturel qui offre une infinité de cadrages possibles, Damien Manivel utilise le passage du temps pour épuiser les effets de distance et proximité entre les corps (...).
L'Humanité
Un premier long métrage à fine touche.
La Croix
Remarqué pour "Un jeune poète", Damien Manivel signe avec "Le Parc" un deuxième long-métrage aussi audacieux et paradoxal, entre jour et nuit, douleur et drôlerie.
La Septième Obsession
Œuvre minimaliste mais étonnamment maîtrisée, "Le Parc" veille bien à ne rien laisser au hasard. À part le jeu de l’amour.
Le Figaro
Avec un sens aussi insolent de la vacuité et une fantaisie aussi insoucieuse du spectaculaire, Damien Manivel a tout pour passer inaperçu. C'est une des raisons de le découvrir.
Le Journal du Dimanche
Une promenade drôle, réjouissante et surtout subtile dans sa façon inattendue de renouer avec l’essence purement fantasmagorique du cinéma.
Les Inrockuptibles
La beauté du "Parc" se tient fragilement à la commissure du réel le plus cru et d'un monde invisible, poétique, hors du temps.
Libération
Autour d’émois adolescents, le second long métrage de Damien Manivel captive par sa poésie crépusculaire.
Transfuge
(...) une passionnante leçon d'anatomie (...).
Télérama
Rien n'est en trop, rien ne manque : le film est une épure d'une heure et quart. Mine de rien, sous son apparence minimaliste et sans jamais sortir de ce parc, il nous emmène très loin. Dans des paysages de joie, de chagrin et de torpeur, dont l'un ressemble à l'Amazonie.
Culturopoing.com
Il s’agit davantage pour le réalisateur du "Parc" d’investir un territoire a priori balisé, banal et familier, pour en dévoiler les facettes insoupçonnées et le versant nocturne.
Le Monde
En puisant ainsi autant aux sources du réel que de l’imaginaire, "Le Parc" condense avec trois fois rien toutes les puissances du cinéma.
Positif
"Le Parc" ne tient pas toutes ses belles promesses, mais réussit tout de même à procurer un vrai sentiment d'évasion.
Studio Ciné Live
Un film aussi intrigant que poseur qui s'enfonce, au propre comme au figuré, dans ses clichés auteuristes.