AlloCiné
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Non je n'ai pas aimé. L'histoire bien sur était originale et touchante... Mais je ne comprends pas où on a voulu nous emmener... Je trouve la sœur de Romain duris dans le film géniale. La petite fille aussi. Jusqu'à la fin on attend qu'il se passe qqchose mais rien... Le retour d'une mère qui ne reviendra jamais en fait...
Fantastique ! A voir absolument les mecs! Ce film montre toute la difficulté de nos vies de nos courses et du drame d'aimer et de se lever chaque matin pour sortir des tranchées!
Film ennuyeux, scénario banal. Aucune originalité de situation. Seuls les acteurs romain Duris en tête sont bien.
Mais ôn ne s’intéresse pas du tout à l’histoire. Autour de soi on vit des cas pareils, en live ! Aucune emotion.
Mais ôn ne s’intéresse pas du tout à l’histoire. Autour de soi on vit des cas pareils, en live ! Aucune emotion.
Une mère de famille quitte sa famille et le papa se retrouve du jour au lendemain confronté aux soucis du quotidien, avec deux jeunes enfants. Histoire banale, autour de laquelle s'articule un scénario sans relief et des dialogues peu travaillés à la hauteur du psychodrame que subit cette famille ouvrière. On finit par s'ennuyer car les émotions ne sont finalement pas au rendez-vous.
Un film magnifique, très réaliste aussi bien dans les sentiments que dans le cadre social. Un excellent casting, un très bon jeu d'acteurs, en retenue. Quelques sourires et aussi quelques larmes. Des questions intimes qui bouleversent... Un film à voir absolument pour mieux connaitre son époque et mieux se connaitre soi
Le film à voir ! Excellent à tous les points de vue, méga claque aussi bien scénar que réal avec des actrices et acteurs wow et Romain Duris en rôle principal tellement juste que ça en est renversant.
Et puis faudrait pas oublier les découvreurs et enrichisseurs de talents Mme T. et M. M, ceux qui ont su placer dès le début sous les projos ces magnifiques actrices !
Et puis faudrait pas oublier les découvreurs et enrichisseurs de talents Mme T. et M. M, ceux qui ont su placer dès le début sous les projos ces magnifiques actrices !
FaRem
Quand une décision égoïste chamboule le quotidien de toute une famille. Quand la femme d'Oliver quitte le domicile familial sans donner aucune raison, ce dernier n'a d'autre choix que de tout assumer même ce qu'il n'avait pas l'habitude de faire auparavant comme tout ce qui touche aux enfants que ce soit le réveil, aller les chercher à l'école, faire à manger, faire les devoirs, etc. Au-delà des problèmes financiers et logistiques évidents, c'est surtout sur le plan émotionnel que ce père de famille a du mal à faire face notamment à cause du manque de réponses. Le portrait fait de cet homme par Guillaume Senez est plutôt pas mal et Romain Duris est convaincant dans ce rôle, mais le film en lui-même ne m'a fait ni chaud ni froid... Le réalisateur veut peut-être en faire trop avec une histoire partagée entre le drame familial et le drame social. De ce fait, le film ne ressemble qu'à une succession de drames qui s'enchaînent pour tenter d'émouvoir le public. Il perd sa femme, il est exploité par son employeur, ses enfants commencent à avoir des problèmes, etc. Tout est bon pour plonger encore plus dans le misérabilisme déjà lourd et conséquent. Encore, ce n'est pas trop larmoyant, c'est toujours ça de pris. Le ressenti que j'ai eu est que tout ça sonnait faux. Il n'y a que le contexte social et les scènes en entreprises qui sont pas mal, pour le reste, c'est basique et assez creux. Ce n'est pas un mauvais film, mais je lui ai rien trouvé de réellement intéressant.
c'est un film qui mêle tissu économique, social et familial… Il est terriblement ancré dans notre époque, avec un regard sur la société dont on se demande s'il faut en rire ou en pleurer...
spoiler:
Romain Duris se fait larguer par sa femme, il reste avec ses deux enfants et son boulot...Sur cette simple idée de synopsis, le film produit des scènes nerveuses et parfois très touchantes; (la chanson de Michel Berger, je m'en irais dormir dans les paradis blancs) est juste sublimement intégrée
...Le désespoir apparait dans certaines scènes, aussitôt évacué par l'énergie de la dérision des personnages….c'est un film prenant, descriptif et qui nous met face à un miroir de l'entreprise, directeur des ressources, conflits, licenciements, syndicat, on s'y croit…..Et pourtant de tout cela reste l'émotion de la famille, la visite de la sœur, les rendez vous chez le médecin, une nomenclature inscrite dans un réalisme à fleur de peau….La mise en scène est précise, le rythme soutenu, le jeu d'acteurs intense et juste...On ne ressort pas indemne du film...Je conseille
...Le désespoir apparait dans certaines scènes, aussitôt évacué par l'énergie de la dérision des personnages….c'est un film prenant, descriptif et qui nous met face à un miroir de l'entreprise, directeur des ressources, conflits, licenciements, syndicat, on s'y croit…..Et pourtant de tout cela reste l'émotion de la famille, la visite de la sœur, les rendez vous chez le médecin, une nomenclature inscrite dans un réalisme à fleur de peau….La mise en scène est précise, le rythme soutenu, le jeu d'acteurs intense et juste...On ne ressort pas indemne du film...Je conseille
Olivier travaille énormément dans son usine en tant que chef d'équipe, sa femme se retrouve souvent seule à gérer les deux enfants du couple en plus de son job de vendeuse.
Un jour, elle décide de tout plaquer et de tout abandonner derrière elle sans laisser d'adresse.
Ce père de famille va devoir affronter cette nouvelle dure réalité.
J'ai vraiment été touché par ce drame social bourré d'humanité traitant de la fragilité des êtres dans cette société de plus en plus violente psychologiquement.
Romain Duris est magistral en papa responsable mais désemparé, les seconds rôles sont également excellents avec l'émouvante Laetitia Dosch (la soeur) et la très attachante Laure Calamy (la collègue très proche).
Les quelques morceaux musicaux accompagnant l'histoire sont extrêmement bien pensés et apportent une émotion supplémentaire.
Un beau film pour vibrer et garder espoir.
Une bonne pioche.
--> Site CINEMADOURG <--
Un jour, elle décide de tout plaquer et de tout abandonner derrière elle sans laisser d'adresse.
Ce père de famille va devoir affronter cette nouvelle dure réalité.
J'ai vraiment été touché par ce drame social bourré d'humanité traitant de la fragilité des êtres dans cette société de plus en plus violente psychologiquement.
Romain Duris est magistral en papa responsable mais désemparé, les seconds rôles sont également excellents avec l'émouvante Laetitia Dosch (la soeur) et la très attachante Laure Calamy (la collègue très proche).
Les quelques morceaux musicaux accompagnant l'histoire sont extrêmement bien pensés et apportent une émotion supplémentaire.
Un beau film pour vibrer et garder espoir.
Une bonne pioche.
--> Site CINEMADOURG <--
Yves G.
Olivier (Romain Duris) a la vie d'un Français qui se lève tôt. Il travaille dans un grand groupe de vente à distance et y montre, en qualité de représentant syndical, un engagement sans faille pour défendre les intérêts de ses camarades. Sa vie de famille, auprès de Laura et de leurs deux enfants, Eliott et Rose, semble sans nuage.
Mais tout s'effondre lorsque Laura quitte, sans une explication, le domicile conjugal.
Quand Olivier Adam et Stéphane Brizé se rencontrent.
On se souvient de "Nos vents contraires", le livre d'Olivier Adam, adapté au cinéma en 2011 avec Benoît Magimel dans le rôle principal : l'histoire d'un père et de ses deux jeunes enfants, brisé par le départ de sa femme.
On se souvient également du dernier film de Stéphane Brizé, "En guerre", où Vincent Lindon jouait le rôle d'un syndicaliste prêt à tout pour sauver l'emploi de ses camarades menacé par le dépôt de bilan de la PME qui les emploie.
Guillaume Senez, déjà remarqué en 2016 pour son premier film, l'excellent "Keeper", traite avec une grande justesse un sujet qui aurait pu être casse-gueule et tire-larmes. Comme "Gone Girl" ou "Je vais bien ne t'en fais pas", son film est construit autour d'un mystère : pourquoi Laura est-elle partie ? On attend une révélation coup de théâtre : elle a voulu épargner à ses proches sa mort annoncée d'un cancer foudroyant ou bien elle a été kidnappée par un "serial killer". Je vous laisse découvrir la réponse à cette énigme.
Mais l'essentiel est ailleurs. Le film n'a pas Laura pour personnage principal mais bien Olivier. De chaque plan, c'est lui qu'on suit passant de l'incompréhension à la rage puis à l'accablement. C'est sur lui que repose désormais l'éducation de ses deux jeunes enfants dont il avait eu tendance à reporter la responsabilité sur sa femme.
Dans un rôle où on ne l'attendait pas, l'excellent Romain Duris a la colère rentrée du personnage de Vincent Lindon et le cœur brisé de celui d'Olivier Adam. Aussi excellente que soit sa composition, c'est celles de Laure Calamy et de Lætitia Dosch que je veux saluer. Dans le rôle de la camarade de lutte et de cœur, la première, souvent vue (notamment dans le récent "Mademoiselle de Joncquières") est parfaite. Dans celui de la petite sœur appelée à la rescousse par son grand frère pour s'occuper de ses enfants, la rousse seconde confirme les espoirs placés en elle depuis "Jeune femme".
Mais tout s'effondre lorsque Laura quitte, sans une explication, le domicile conjugal.
Quand Olivier Adam et Stéphane Brizé se rencontrent.
On se souvient de "Nos vents contraires", le livre d'Olivier Adam, adapté au cinéma en 2011 avec Benoît Magimel dans le rôle principal : l'histoire d'un père et de ses deux jeunes enfants, brisé par le départ de sa femme.
On se souvient également du dernier film de Stéphane Brizé, "En guerre", où Vincent Lindon jouait le rôle d'un syndicaliste prêt à tout pour sauver l'emploi de ses camarades menacé par le dépôt de bilan de la PME qui les emploie.
Guillaume Senez, déjà remarqué en 2016 pour son premier film, l'excellent "Keeper", traite avec une grande justesse un sujet qui aurait pu être casse-gueule et tire-larmes. Comme "Gone Girl" ou "Je vais bien ne t'en fais pas", son film est construit autour d'un mystère : pourquoi Laura est-elle partie ? On attend une révélation coup de théâtre : elle a voulu épargner à ses proches sa mort annoncée d'un cancer foudroyant ou bien elle a été kidnappée par un "serial killer". Je vous laisse découvrir la réponse à cette énigme.
Mais l'essentiel est ailleurs. Le film n'a pas Laura pour personnage principal mais bien Olivier. De chaque plan, c'est lui qu'on suit passant de l'incompréhension à la rage puis à l'accablement. C'est sur lui que repose désormais l'éducation de ses deux jeunes enfants dont il avait eu tendance à reporter la responsabilité sur sa femme.
Dans un rôle où on ne l'attendait pas, l'excellent Romain Duris a la colère rentrée du personnage de Vincent Lindon et le cœur brisé de celui d'Olivier Adam. Aussi excellente que soit sa composition, c'est celles de Laure Calamy et de Lætitia Dosch que je veux saluer. Dans le rôle de la camarade de lutte et de cœur, la première, souvent vue (notamment dans le récent "Mademoiselle de Joncquières") est parfaite. Dans celui de la petite sœur appelée à la rescousse par son grand frère pour s'occuper de ses enfants, la rousse seconde confirme les espoirs placés en elle depuis "Jeune femme".
Dik ap Prale
Sans l'empathie sociale d'un Vincent Lindon, Romain Duris ne ressort pas grandi de cette boue syndicale, qui empiète beaucoup sur l'ironie de sa vie. Plus apte à nous toucher dans les relations humaines que dans ses combats, il entretient le vrai dans ses relations familiales.
Pour son deuxième long-métrage sorti en 2018, Guillaume Senez aborde le quotidien d’un homme ordinaire abandonné du jour au lendemain par son épouse. Il doit alors mener un combat tant sur le plan familial que professionnel pour conserver la tête hors de l’eau. En raison d’un scénario sans originalité ni profondeur, il ne se passe rien d’extraordinaire mais aucune sensiblerie superfétatoire ne vient encombrer le récit. La méthode du réalisateur consistant à laisser ses acteurs improviser permet à Romain Duris d’exprimer sans emphase des sentiments intimes. C’est en cela que le film est réussi. Bref, un drame social manquant néanmoins de relief.
Guillaume Senez pose ici la question de la disparition de l'être aimé et de tout ce qui en découle. En effet, Romain Duris doit conjuguer son travail chez Amazon, son rôle de syndiqué mais surtout le fait que sa femme se volatilise du jour au lendemain, le laissant avec ses deux enfants. Le film est tendu et Romain Duris réalise une performance d'acteur exceptionnelle qui rattrape un scénario assez léger. Le fonctionnement de l'usine avec cette hiérarchie bien dépeinte est également intéressante
spoiler:
(surtout à la fin quand il est question pour lui de s'élever dans l'échelle sociale et donc, de ranger au placard son statut d'ouvrier)
. Un bon film mais loin d'être grandiose.
. Un bon film mais loin d'être grandiose.
OUAHHH quelle claque le genre humain dans ce qui ce fait de mieux il y'a une telle profondeur dans le rôle donné aux aux acteurs que parfois l 'émotion submerge l écriture
c 'est souvent digne d 'une Anna gavalda dans" ensemble c 'est tout"
c 'est tees rare d'avoir cette fluidité dans la réalisation sans rajouter d 'artifices de mise en scène ou de scénario inapproprié
chapeau bas à toute l 'équipe pour cette heure et demi de pur bonheur
c 'est souvent digne d 'une Anna gavalda dans" ensemble c 'est tout"
c 'est tees rare d'avoir cette fluidité dans la réalisation sans rajouter d 'artifices de mise en scène ou de scénario inapproprié
chapeau bas à toute l 'équipe pour cette heure et demi de pur bonheur
Beaucoup d'humanité et de naturel dans ce film qui montre des difficultés professionnels et familiales qui s'additionnent et qu'il faut gérer. Ce que Romain Duris fait parfaitement dans ce rôle au côté des autres acteurs, tous très bons. Un drame qui touche.
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