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Spider cineman
159 abonnés
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2,0
Publiée le 6 novembre 2022
Faire de la SF avec un petit budget c est toujours compliqué. Pour le coup il n y a pas que la question du budget plutôt bien géré au regard de ce qui est restitué à l écran, c est suffisant... non le problème c est la lenteur du film qui nuit largement au rendu, le scénario lui-même sans être extraordinaire est un tout petit peu original... bon enfin ce n est pas inoubliable... un global un peu trop léger et téléfilm en rendu.
déprimant et un peu soporifique quand même. une histoire sans grand intérêt, déjà vue et revue avec d'autres caractéristiques...la le prétexte de l'exclusion nous sert des scenes guimauves fatigantes...
Un film d’Action-Science-fiction gentillet. Il y a de bonnes idées avec ces personnes qui sont dotées de pouvoirs très particuliers mais malgré un bon début, on s’ennuie un peu et on reste dans du trop politiquement correct ou mielleux. Le jeu des acteurs n’est pas extraordinaire non plus et la fin est un peu bâclée. Bref, ça reste moyen. Dommage.
Ce n'est pas vraiment de la S.F. et c'est ce qui est dérangeant dans ce film où le fait d'avoir des pouvoirs pour 4% des gens est devenu un handicap car la normalité est érigée en état policier. Cela est en même temps réaliste pour une part et un peu trop justement et le thème des pouvoirs est relativement facile, insidieux et peu crédible dans ce contexte. Sinon c'est une histoire de mafieux tout simplement et les méandres de l'histoire malgré le quota sympathie des cousins Amell ne sont pas intéressants. En même temps désespérant, classique, pas mal de clichés et de bon teint tout ce mélange n'a pas grand sens. Manque de vraisemblance, d'originalité et d'intérêt dans cette histoire qui mélange prospective qui n'est que pseudo prospective et sensibilité qui ne trouve pas de fil conducteur car au final on ne sait plus si le film parle d'une sorte d'espoir ou de désespoir de façon absurde.
Un film qui aurait pu avoir du potentiel si son histoire de base avais été un peu plus captivante et originale. L'idée n'est pas assez exploitée. Robbie Amell est un bon acteur qui correspond bien pour ce genre de film. Très bon dans son rôle. La petite touche d'émotion à la fin est bien réussie, elle m'a fait mal au coeur... Le dénouement est émouvant, ok mais il est trop mou, trop calme, ça aurait été mieux qu'on soit en plein dans l'action !
Ambitieux et percutant , Code 8 mélange avec intelligence science-fiction et action dans la lignée de District 9 et Elysium. Une pépite portée par Robbie Amell ( The Flash) et Stephen Amell ( Arrow).
« Code 8 » offre un mélange de science-fiction et de critique sociale, plongeant le spectateur dans un univers où les individus dotés de super-pouvoirs sont marginalisés. L'histoire parvient à établir un parallèle pertinent avec les enjeux actuels de discrimination et d'exclusion, tout en proposant des scènes d'action convaincantes et des effets spéciaux judicieusement utilisés. Bien que le film ne révolutionne pas les genres auxquels il emprunte, il réussit à créer un récit engageant, ancré dans une réalité proche et palpable. Le scénario aurait pu explorer davantage son potentiel, surtout en développant ses aspects les plus novateurs. Cependant, « Code 8 » reste une expérience modeste mais divertissante qui illustre le potentiel de la science-fiction à aborder des thèmes profonds et actuels, même avec un budget serré. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Passé inaperçu ce film a pourtant ses qualités. Je trouve ce film bien fait, plutôt dynamique et avec du suspence, il se regarde tout seul. J'aurais bien vu ce concept sous forme d'une série.
J’ai regardé code 8 un dimanche après-midi où il y avait la neige, je dois dire que ça m’a permis de passer un moment ni agréable, ni désagréable. Passionné de science-fiction, ce film n’est quand même pas à classer dans les meilleurs film que l’on peut voir.
Le film explore des thèmes tels que la discrimination, la marginalisation et la lutte pour la survie dans un monde hostile. Il présente également des scènes d’action palpitantes et des effets spéciaux impressionnants pour illustrer les pouvoirs spéciaux des personnages.
En fin de compte, “Code 8” est une histoire sur la famille, l’amitié et le sacrifice, avec une touche de science-fiction et de suspense. Il offre une réflexion sur les questions sociales contemporaines tout en divertissant le public avec son intrigue captivante et ses personnages complexes.
Je ne peux pas mettre 1,5 malgré tout car dans l’ensemble c’est bien mené et tout le casting essaie de rendre le film crédible . Vu et revu le super héros que l’on entraîne qui déploie son potentiel , sa mère n’est pas d’accord car cela risque de le mettre à nue , mais qu’importe il veut être fière de ses pouvoirs et de sa communauté , Empathie exacerbé alors que c’est censé être un monde sombre , Surjeu trop belle qualité d’image , hero trop lisse Manque vraiment de saveur dommage
Les 2 frères Amell dans une histoire entre SF et fantastique, certes basique, qui se laisse voir. Dans le même thème concernant les pouvoirs et la responsabilité de les posséder, on pourra préférer les X-men. Qu'importe, le film se suit sans déplaisir.
Dans un futur dystopique, un certain nombre d’individus naissent avec des pouvoirs surnaturels.
Ces derniers sont traqués et n’ont pas le droit d’utiliser leurs pouvoirs pour gagner leurs vies, sous peine de sanctions très sévères.
C’est pourquoi Connor, jeune homme doté de pouvoirs électriques, se laisse recruter par Garrett, lui-même doté de pouvoirs psycho-kinésiques, afin d’obtenir de « l’argent facile » en commettant des délits dans le seul but de sauver sa mère très malade.
Ce film canadien nous rappelle X-Men dans lequel les mutants sont mal perçus et ostracisés.
Code 8 est une excellente surprise, l’interprétation est convaincante, les effets visuels réussis et le scénario bien ficelé.
On retrouve au Casting l’acteur Stephen Amelle connu pour son rôle dans la série Arrow et Sung Kang, familier des fans de la saga Fast and Furious.
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Un film plutôt sympa, J’ai bien aimé le concept du film, même si la manière de faire me plaît moins. Le jeux d’acteur est très classique, Stephen Amell joue toujours de la même manière et c’est dommage.
Le point fort du film est ça durée ! 1h30, c’est rapide et ca va à l’essentiel.
Ce n’est pas un film quelconque, mais presque, il est quand même divertissant, mais souffre de nombreux ralentissements d’un manque de rythme. L’acteur principal a un jeu monolithique, le scénario est bidon. L’environnement de science-fiction est assez peu développé. Du pur Netflix pour passer juste du temps devant l’écran…