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Yetcha
895 abonnés
4 406 critiques
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4,0
Publiée le 22 décembre 2023
Ah oui! Le design de ce film est incroyable. C'est ultra dynamique, accrocheur et flippant à la fois. Cette ultra technologie au virage autoritaire et policier est un univers dystopique original qui nous donne qu'une envie, voir la suite...
Un bon petit film de SF à petit budget mais avec de l'argent bien utilisé notamment dans les quelques FX !! L'histoire est original et réserve quelques scènes de bastons intéressante !!
Hé bien j'avoue avoir été un peu déçu de la tournure prise par l'intrigue de ce film. Par la fin, clairement, surtout les derniers instants quelque peu hors sujets, mais surtout pour ce qui arrive aux personnages principaux. Cette production avait quelques bonnes idées mais elles se sont peu à peu égarées, ce qui donne un film moyen dans l'ensemble.
En dehors de la prétention infinie de ce film qui se présente dès sont ouverture comme un film de mutants méprisés et esclavagisés par la société (plagiat de Xmen), le traffic d'une nouvelle drogue prélevée de leur liquide cérébro-spinal (A scanner darkly, robocop) dont les effets ne sont absolument pas exploités (les personnages planent ou font des overdoses), un personnage principal qui a juste une motivation familiale (sa mère est malade et il agit mal pour pouvoir la guérir) et une tripotée de personnages secondaires mal écrit qui débitent des dialogues de série B. Tout est prévisible, convenu, sans surprise, linéaire. Vous pensez que c'est mauvais ? Attendez de voir Code 8 part 2, qui est bien pire.
Sous ses faux airs de série B inspiré des films X-Men, Code 8 offre un film sérieux, bien interprété et avec son propre univers. Son format court permet d'éviter les longueurs et se consacrer pleinement à l'histoire de nos 2 héros. Le film est suffisament malin pour également distiller de nombreuses informations demandant d'avantages approfondissements. Qui dicte ces lois ? D'où viennent ces technologie ? Comment les mutants peuvent se rébeller ? Quels sont les effets possibles de cette nouvelle drogue. Le film est efficace, le duo d'acteurs prometteurs et les opportunités de découvrir la suite en série ou en film intéressantes. Code 8 est finalement un meilleur film de mutants que le dernier X-Men en date !
Code 8 est un peu dans la lignée de la série télévisée : " Heroes " , mais comme je n'aime pas trop les séries télévisées , j'ai bien aimé le film qui a mis un certain temps à démarrer et ensuite est devenu bien et touchant ...
Une série B qui aurait pu être très bien en raison de l'originalité de son sujet, mais qui souffre de pas mal de défauts, Si l'acteur principal assume correctement, le reste du casting (notamment féminin) est plutôt faible. Le scénario est simpliste mais parfois embrouillée, la réalisation est correcte mais sans éclat (quoique ces images de drones avec les robots flics ne sont pas si mal) Et puis le glissement mélodramatique à la fin, non merci… sans parler de la conclusion (Fin ouverte ? Fin désabusée ?)
Au début, on se dit qu'on est peut-être tombé sur une bonne série B de SF, avec un mélange habile de thriller fantastique et de critique sociale. Hélas, ça ne tient pas longtemps la rampe. Le scénario manque totalement d'imagination et nous avons droit à une sempiternelle histoire de règlements de comptes et de bagarres insipides. Dommage.
Code 8 est un film de science fiction qui a pour centre, l'interdiction par l'état des supers pouvoirs que certains individus ont. On suit le cas du beau gosse Robbie Amell, dans le personnage de Conner Reed, qui a un pouvoir électrique. Il a perdu son travail et a besoin d'argent pour soigner sa mère malade, alors il va s'allier à des malfrats. Le film a petit budget ne révolutionne rien mais se laisse regarder sans ennui.
Avec Code 8, le réalisateur Jeff Chan se voit offrir la chance de développer un univers qu’il avait d’abord introduit dans un court-métrage. Sur le plan scénaristique, rien de nouveau à l’horizon avec des individus possédant des pouvoirs et qui sont de ce fait rejetés de la société. Les scènes d’action n’ont rien de démentielles, les quelques manifestations de pouvoirs se font à travers l’apparition d’électricité ou de télékinésie. Financé par le crowdfunding, le budget limité pour un tel projet s’en ressent à l’écran et les présences des cousins Stephen & Robbie Amell n’apportent pas grand chose. Dans un genre déjà surexploité, ce film n’arrive pas à se distinguer même s’il reste assez divertissant.
Même s’il en a pas l’ampleur ou le budget, Code 8 ne peut éviter le rapprochement avec nombre de blockbusters américains, des plus évidents (les X-Men, évidemment, mais aussi Minority Report) aux plus inattendus (The Town, Chappie pour le look de ses flics métalliques). L’originalité du film, Jeff Chan et son coscénariste Chris Pare ne la trouve pas dans ses ingrédients épars, qui pris séparément ne dépassent jamais le stade du cliché (la manipulation émotionnelle liée à la mère du héros est particulièrement gratinée) et du déjà-vu.
Le x-men du pauvre. Scénario sympathique mais manque de moyens, ambitions rognées. Le résultat final est mou du genou. Ça ressemble davantage à un film d’étudiant en cinéma qu'à un véritable film.
Un film qui présente un univers potentiellement intéressant, mais malheureusement, reste trop générique dans sa structure, sa construction de personnages, et sa réalisation. Je me l'imaginais comme un successeur spirituel à Elysium ou District 9, il n'en est rien. Une copie de Xmen dans u état policier raté, sans grand intérêt, avec une histoire inintéressante.
J avoue être passé complètement à côté de ce film comme son réalisateur apparemment. Rien ne passe là dedans . On ne s attache pas à l histoire qui reste secondaire visiblement.