Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Dans le registre contemporain du culte de la Famille et notamment des pères (réels ou symboliques), Fui banquero, moins maîtrisé que d’autres films, est pourtant plus attachant, incertain et ouvert.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) beau programme pour un film qui prend l'eau mais reste digne.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Il y a beaucoup de charme dans cette exploration de Cuba. Dommage que les cinéastes n'aient pas su choisir entre deux films : une fiction documentaire réussie dans la première partie, une chasse au trésor moins aboutie dans la deuxième.
Télérama
par Mathilde Blottière
Le charme de ce récit de filiation un peu languide vient autant des moues enfantines de Robinson Stévenin que de la chronique d'une disparition programmée : celle du Cuba d'avant l'ouverture.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
Sympathique par son humilité revendiquée, "Fui Banquero (j’étais banquier)" ne se déleste néanmoins jamais de son image de film amateur beaucoup trop anecdotique pour marquer les esprits.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Éric Derobert
"Fui Banquero" va ensuite s'égarer, non sans rester sympathique, dans le film à trésor caché, ainsi que dans des considérations historiques (...).
Cahiers du Cinéma
Dans le registre contemporain du culte de la Famille et notamment des pères (réels ou symboliques), Fui banquero, moins maîtrisé que d’autres films, est pourtant plus attachant, incertain et ouvert.
Le Monde
(...) beau programme pour un film qui prend l'eau mais reste digne.
Studio Ciné Live
Il y a beaucoup de charme dans cette exploration de Cuba. Dommage que les cinéastes n'aient pas su choisir entre deux films : une fiction documentaire réussie dans la première partie, une chasse au trésor moins aboutie dans la deuxième.
Télérama
Le charme de ce récit de filiation un peu languide vient autant des moues enfantines de Robinson Stévenin que de la chronique d'une disparition programmée : celle du Cuba d'avant l'ouverture.
Critikat.com
Sympathique par son humilité revendiquée, "Fui Banquero (j’étais banquier)" ne se déleste néanmoins jamais de son image de film amateur beaucoup trop anecdotique pour marquer les esprits.
Positif
"Fui Banquero" va ensuite s'égarer, non sans rester sympathique, dans le film à trésor caché, ainsi que dans des considérations historiques (...).