Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(Kévin Azaïs) livre une nouvelle performance étonnante en marin découvrant la vie sur un cargo...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Guillaume Orignac
Ce n’est donc pas la moindre des beautés de ce long-métrage que d’assumer dès son titre sa dette littéraire. Car derrière la simplicité de ses moyens, contraint par la frugalité de ses conditions de production, "Jeunesse" tourne autour du sentiment ténu qu’un souvenir peut briller inexorablement dans les recoins obscurs d’un épisode pitoyable.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Malgré une économie restreinte, Julien Samani affiche la volonté de créer du spectacle, transformant la contrainte en atout plus particulièrement au détour de morceaux de bravoure assez stupéfiants [...] n’hésitant pas à suspendre l’action vers une certaine sidération graphique aux confins de l’onirisme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Christophe Carrière
Un premier long métrage français qui voit plus loin que le nombril de son auteur, assez gonflé pour adapter une nouvelle de Joseph Conrad et assez inspiré pour avoir choisi Kévin Azaïs comme tête d'affiche.
L'Humanité
par Emile Breton
Le huis clos est ici au paroxysme, coupé de plans larges d’océan. Et les tensions, comme les moments de répit qui l’habitent, n’ont pas besoin d’explications ajoutées. Ils sont vus. C’est la force de ce film de ne pas recourir – ou si peu – aux paroles pour dire ce qu’un écrivain a exprimé en mots.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Guillaume Loison
Un film porté par un souffle et une ambition plus qu’appréciables. Sans compter Kévin Azaïs, la révélation masculine des "Combattants". Tête de baroudeur vissée sur un corps d’ado, à la fois félin et électrique, il possède assez de charisme pour faire basculer l’ensemble du bon côté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans le sillage de Conrad et de London, un récit d’apprentissage, variation chaleureuse, même si elle n’évite pas toujours les clichés, sur le désir d’ailleurs et sur les aventures en mer
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce film propose une véritable évasion autour de deux personnages mythiques: le navire et la mer. Pas en reste, Guesmi et Stévenin forment un impayable duo de vieux crabes. Kévin Azaïs apparaît tout à son aise dans la peau du matelot rêveur (...).
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Même fabriqué avec les moyens du bord, un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Entre trip mental un peu abstrait et parcours initiatique réaliste, "Jeunesse" propose une vision singulière du passage à l'âge adulte. Et révèle en Julien Samani un cinéaste à suivre séance tenante.
Paris Match
par Alain Spira
Amoureux sans concession du monde maritime, Julien Samani sait filmer comme personne le huis-clos angoissant d’un bateau où tout part à la dérive, les hommes comme le navire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Éric Vernay
(...) ce drôle d'équipage nous entraîne dans une oyssée hallucinée, qui tangue élégamment entre un romanesque empêché et l'abstraction métaphysique.
Première
par Eric Vernay
(...) une odyssée hallucinée, qui tangue élégamment entre un romanesque empêché et l'abstraction métaphysique.
Transfuge
par Damien Aubel
Le capiteux cocktail de l'aventure. Un classique, mais toujours aussi excitant.
Critikat.com
par Benoît Smith
Démonstratif dans ses intentions artistiques, il cède de temps à autre à la tentation de sur-composer de jolis plans, de savants à-plats de couleurs ou de textures percés de jours, quelques mouvements d’appareil impétueux, sans toujours réussir à évoquer autre chose que ses efforts de recherche esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un film ambitieux en forme de fable initiatique, mais qui peine à atteindre la portée métaphorique à laquelle il inspire.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le film travaille à brouiller les repères, (mais) manque de simples images de mer, de respirations et de silences. (...) La plongé au coeur des ténèbres et de la folie reste embryonnaire. Une promesse mais pas un aboutissement.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Ce film d'atmosphère souffre d'un récit trop lâche pour capter l'attention, malgré le charisme du trio Stévenin-Guesmi-Azaïs.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un peu trop sage, un peu trop réfléchi, le film bénéficie heureusement de la fougue juvénile de Kévin Azaïs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Privilégiant l’oubli de soi, en débarrassant les personnages d’une psychologie trop rattachée à l’arrière-plan atavique, Samani filme, plutôt bien, des êtres à la dérive, dont on ignore beaucoup, si ce n’est qu’ils cherchent dans l’exil marin une sensation d’ivresse immédiate.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
LCI
par Mehdi Omaïs
À force de s’attarder sur la forme et les symboles, les véritables enjeux restent en effet enfouis au fond de l’eau.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cette adaptation d’une nouvelle de Joseph Conrad met en scène un jeune héros particulièrement agaçant sans trouver le ton juste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par La Rédaction
Ambitieuse mais maladroite adaptation - trop prosaïque, malgré ses velléités oniriques - d'un roman d’apprentissage de Joseph Conrad.
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré une belle brochette d'acteurs dont Kévin Azaïs et Samir Guesmi, le film, dénué de scénario et avec une mise en scène de poids, touche le fond.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Clémentine Gallot
Ce que le cinéaste imaginait comme un «survival romanesque», soit une fresque d’aventures romantique, se réduit trop souvent à l’écran à une enfilade assez mécanique de rebondissements, aggravés par quelques maladresses d’écriture.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Il faudrait du subjectif, il faudrait du style.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film est cruellement dénué de tout rythme et de tout enjeu, alignant platement les plans sans qu’aucun ne prenne.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Rien ne prend dans ce récit d’apprentissage bancal, qui ne trouve jamais la bonne distance entre réalité et abstraction, intime et immensité.
20 Minutes
(Kévin Azaïs) livre une nouvelle performance étonnante en marin découvrant la vie sur un cargo...
Chronic'art.com
Ce n’est donc pas la moindre des beautés de ce long-métrage que d’assumer dès son titre sa dette littéraire. Car derrière la simplicité de ses moyens, contraint par la frugalité de ses conditions de production, "Jeunesse" tourne autour du sentiment ténu qu’un souvenir peut briller inexorablement dans les recoins obscurs d’un épisode pitoyable.
Culturopoing.com
Malgré une économie restreinte, Julien Samani affiche la volonté de créer du spectacle, transformant la contrainte en atout plus particulièrement au détour de morceaux de bravoure assez stupéfiants [...] n’hésitant pas à suspendre l’action vers une certaine sidération graphique aux confins de l’onirisme.
L'Express
Un premier long métrage français qui voit plus loin que le nombril de son auteur, assez gonflé pour adapter une nouvelle de Joseph Conrad et assez inspiré pour avoir choisi Kévin Azaïs comme tête d'affiche.
L'Humanité
Le huis clos est ici au paroxysme, coupé de plans larges d’océan. Et les tensions, comme les moments de répit qui l’habitent, n’ont pas besoin d’explications ajoutées. Ils sont vus. C’est la force de ce film de ne pas recourir – ou si peu – aux paroles pour dire ce qu’un écrivain a exprimé en mots.
L'Obs
Un film porté par un souffle et une ambition plus qu’appréciables. Sans compter Kévin Azaïs, la révélation masculine des "Combattants". Tête de baroudeur vissée sur un corps d’ado, à la fois félin et électrique, il possède assez de charisme pour faire basculer l’ensemble du bon côté.
Le Dauphiné Libéré
Dans le sillage de Conrad et de London, un récit d’apprentissage, variation chaleureuse, même si elle n’évite pas toujours les clichés, sur le désir d’ailleurs et sur les aventures en mer
Le Journal du Dimanche
Ce film propose une véritable évasion autour de deux personnages mythiques: le navire et la mer. Pas en reste, Guesmi et Stévenin forment un impayable duo de vieux crabes. Kévin Azaïs apparaît tout à son aise dans la peau du matelot rêveur (...).
Le Parisien
Même fabriqué avec les moyens du bord, un grand film.
Ouest France
Entre trip mental un peu abstrait et parcours initiatique réaliste, "Jeunesse" propose une vision singulière du passage à l'âge adulte. Et révèle en Julien Samani un cinéaste à suivre séance tenante.
Paris Match
Amoureux sans concession du monde maritime, Julien Samani sait filmer comme personne le huis-clos angoissant d’un bateau où tout part à la dérive, les hommes comme le navire.
Première
(...) ce drôle d'équipage nous entraîne dans une oyssée hallucinée, qui tangue élégamment entre un romanesque empêché et l'abstraction métaphysique.
Première
(...) une odyssée hallucinée, qui tangue élégamment entre un romanesque empêché et l'abstraction métaphysique.
Transfuge
Le capiteux cocktail de l'aventure. Un classique, mais toujours aussi excitant.
Critikat.com
Démonstratif dans ses intentions artistiques, il cède de temps à autre à la tentation de sur-composer de jolis plans, de savants à-plats de couleurs ou de textures percés de jours, quelques mouvements d’appareil impétueux, sans toujours réussir à évoquer autre chose que ses efforts de recherche esthétique.
Les Fiches du Cinéma
Un film ambitieux en forme de fable initiatique, mais qui peine à atteindre la portée métaphorique à laquelle il inspire.
Les Inrockuptibles
Le film travaille à brouiller les repères, (mais) manque de simples images de mer, de respirations et de silences. (...) La plongé au coeur des ténèbres et de la folie reste embryonnaire. Une promesse mais pas un aboutissement.
Studio Ciné Live
Ce film d'atmosphère souffre d'un récit trop lâche pour capter l'attention, malgré le charisme du trio Stévenin-Guesmi-Azaïs.
Télérama
Un peu trop sage, un peu trop réfléchi, le film bénéficie heureusement de la fougue juvénile de Kévin Azaïs.
aVoir-aLire.com
Privilégiant l’oubli de soi, en débarrassant les personnages d’une psychologie trop rattachée à l’arrière-plan atavique, Samani filme, plutôt bien, des êtres à la dérive, dont on ignore beaucoup, si ce n’est qu’ils cherchent dans l’exil marin une sensation d’ivresse immédiate.
LCI
À force de s’attarder sur la forme et les symboles, les véritables enjeux restent en effet enfouis au fond de l’eau.
La Croix
Cette adaptation d’une nouvelle de Joseph Conrad met en scène un jeune héros particulièrement agaçant sans trouver le ton juste.
La Voix du Nord
Ambitieuse mais maladroite adaptation - trop prosaïque, malgré ses velléités oniriques - d'un roman d’apprentissage de Joseph Conrad.
Le Figaro
Malgré une belle brochette d'acteurs dont Kévin Azaïs et Samir Guesmi, le film, dénué de scénario et avec une mise en scène de poids, touche le fond.
Libération
Ce que le cinéaste imaginait comme un «survival romanesque», soit une fresque d’aventures romantique, se réduit trop souvent à l’écran à une enfilade assez mécanique de rebondissements, aggravés par quelques maladresses d’écriture.
Positif
Il faudrait du subjectif, il faudrait du style.
Cahiers du Cinéma
Le film est cruellement dénué de tout rythme et de tout enjeu, alignant platement les plans sans qu’aucun ne prenne.
Le Monde
Rien ne prend dans ce récit d’apprentissage bancal, qui ne trouve jamais la bonne distance entre réalité et abstraction, intime et immensité.