Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Entre fable et réalisme ce deuxième long métrage hors des sentiers battus émeut et surprend.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Tout le monde ici joue dans la même direction, celle d’un cinéma qui s’interroge sur la compassion, l’autre et la façon dont on pourrait l’apprivoiser.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un petit film qui, sur la ligne dramatique d’un récit d’apprentissage, trace le double portrait attachant de deux personnages, l’un qui n’a pas encore grandi, l’autre qui a été privé de son enfance.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Cette histoire d’amour et d’amitié d’où se dégage une infinie tendresse prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film atypique d’une grande intelligence, sorte de road-movie parisien à la « Macadam Cowboy » où le burlesque et le drame se conjuguent dans une brève rencontre attachante mais désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Un road-movie urbain chaotique et tendre.
Télérama
par Guillemette Odicino
Le cinéaste révèle, surtout, un Félix Moati fébrile et plus sombre, loin de ses emplois de jeune premier romantique et cool. Dans un second rôle, le talent d’Audrey Lamy s’impose comme une évidence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
D'où notre quasi-incrédulité face à l'audace, la maturité, à la richesse thématique et à la réussite de cette histoire violemment émouvante.
VSD
par Bernard Achour
Une histoire violemment émouvante entre un trentenaire à la santé mentale fragile (magnifique Félix Moati) et un ado en quête d'identité.
Voici
par La Rédaction
Un film attachant au joli casting.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une galerie de personnages justes et touchants au service d’un récit fraternel jamais mièvre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Si le réalisateur semble parfois hésiter entre les accès de gravité et la tentation du happy end, il garde le contrôle et nous offre des séquences d'une grande intensité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Mais progressivement la mise en scène organise avec subtilité ce chaos apparent, projection du mental dispersé et désarmé du héros. Un héros campé par le très attachant Félix Moati, troublant comme toujours de charme infantile et de dépression joyeuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Racontée par petites touches, l'histoire va parfois trop vite et les personnages ne sont pas suffisamment étoffés. Félix Moati, lui, est formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Portée par des comédiens justes et touchants, cette cavale improvisée s’achève de façon un peu convenue. Mais cette errance pleine d’humour et de charme vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Indéniablement attachant, ce deuxième film de Mikael Buch, inégal en de nombreux points, mérite la bienveillance dont il se veut le porte-cœur de par ses belles intentions, les questions qu’il aborde avec finesse sur le fond et le soin apporté aux images comme à la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La rencontre fortuite d'un jeune homme anxieux et d'un ado fébrile. Burlesque et grave.
Positif
par Adrien Gombeaud
"Simon et Théodore" a du charme mais traîne un peu la patte.
Première
par Damien Leblanc
Ce casting iconoclaste participe à la chaleur vivifiante de ce deuxième long métrage qui arbore au final une tonalité unique.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Il y aurait presque du Blier première manière dans cette approche d'un espace urbain grisâtre devenu expression d'un mal-être. Dommage en revanche que Buch reste trop sage avec ses personnages et ne s'autorise pas plus de débordements.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) timide, la mise en scène se limite souvent à accompagner les personnages dans leurs péripéties tandis que les enjeux que pose un scénario excessivement écrit (...) sont traités sous un angle trop rebattu pour ne pas limiter les personnages à une somme de caractéristiques signifiantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
C'est évidemment attachant, mais rien n'attache vraiment.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mikael Buch signe ici un deuxième long-métrage, mettant en scène une touchante galerie de personnages désaxés, dans un créneau délaissé par le jeune cinéma français : celui d’un cinéma populaire et sensible, voué à ses personnages et aux relations qu’ils nouent. Sa bienveillance est à la fois la beauté et la limite du film.
Bande à part
Entre fable et réalisme ce deuxième long métrage hors des sentiers battus émeut et surprend.
CinemaTeaser
Tout le monde ici joue dans la même direction, celle d’un cinéma qui s’interroge sur la compassion, l’autre et la façon dont on pourrait l’apprivoiser.
Le Dauphiné Libéré
Un petit film qui, sur la ligne dramatique d’un récit d’apprentissage, trace le double portrait attachant de deux personnages, l’un qui n’a pas encore grandi, l’autre qui a été privé de son enfance.
Le Journal du Dimanche
Cette histoire d’amour et d’amitié d’où se dégage une infinie tendresse prend aux tripes.
Paris Match
Un film atypique d’une grande intelligence, sorte de road-movie parisien à la « Macadam Cowboy » où le burlesque et le drame se conjuguent dans une brève rencontre attachante mais désespérée.
Télé Loisirs
Un road-movie urbain chaotique et tendre.
Télérama
Le cinéaste révèle, surtout, un Félix Moati fébrile et plus sombre, loin de ses emplois de jeune premier romantique et cool. Dans un second rôle, le talent d’Audrey Lamy s’impose comme une évidence.
VSD
D'où notre quasi-incrédulité face à l'audace, la maturité, à la richesse thématique et à la réussite de cette histoire violemment émouvante.
VSD
Une histoire violemment émouvante entre un trentenaire à la santé mentale fragile (magnifique Félix Moati) et un ado en quête d'identité.
Voici
Un film attachant au joli casting.
aVoir-aLire.com
Une galerie de personnages justes et touchants au service d’un récit fraternel jamais mièvre.
Franceinfo Culture
Si le réalisateur semble parfois hésiter entre les accès de gravité et la tentation du happy end, il garde le contrôle et nous offre des séquences d'une grande intensité.
L'Obs
Mais progressivement la mise en scène organise avec subtilité ce chaos apparent, projection du mental dispersé et désarmé du héros. Un héros campé par le très attachant Félix Moati, troublant comme toujours de charme infantile et de dépression joyeuse.
Le Figaro
Racontée par petites touches, l'histoire va parfois trop vite et les personnages ne sont pas suffisamment étoffés. Félix Moati, lui, est formidable.
Le Parisien
Portée par des comédiens justes et touchants, cette cavale improvisée s’achève de façon un peu convenue. Mais cette errance pleine d’humour et de charme vaut le détour.
Les Fiches du Cinéma
Indéniablement attachant, ce deuxième film de Mikael Buch, inégal en de nombreux points, mérite la bienveillance dont il se veut le porte-cœur de par ses belles intentions, les questions qu’il aborde avec finesse sur le fond et le soin apporté aux images comme à la lumière.
Les Inrockuptibles
La rencontre fortuite d'un jeune homme anxieux et d'un ado fébrile. Burlesque et grave.
Positif
"Simon et Théodore" a du charme mais traîne un peu la patte.
Première
Ce casting iconoclaste participe à la chaleur vivifiante de ce deuxième long métrage qui arbore au final une tonalité unique.
Studio Ciné Live
Il y aurait presque du Blier première manière dans cette approche d'un espace urbain grisâtre devenu expression d'un mal-être. Dommage en revanche que Buch reste trop sage avec ses personnages et ne s'autorise pas plus de débordements.
Critikat.com
(...) timide, la mise en scène se limite souvent à accompagner les personnages dans leurs péripéties tandis que les enjeux que pose un scénario excessivement écrit (...) sont traités sous un angle trop rebattu pour ne pas limiter les personnages à une somme de caractéristiques signifiantes.
L'Express
C'est évidemment attachant, mais rien n'attache vraiment.
Le Monde
Mikael Buch signe ici un deuxième long-métrage, mettant en scène une touchante galerie de personnages désaxés, dans un créneau délaissé par le jeune cinéma français : celui d’un cinéma populaire et sensible, voué à ses personnages et aux relations qu’ils nouent. Sa bienveillance est à la fois la beauté et la limite du film.