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C’est du grand cinéma que nous offre Martin Scorsese en même temps qu’une réflexion sur l’Histoire américaine sublimée par une partition on reconnaît parfois la patte du regretté Robbie Robertson.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La fin de Killers of the flower Moon (...) montre l’aisance avec laquelle Scorsese s’est emparé du récit de Grann. À la liberté d’un page turner qui rend le réel sauvagement romanesque, il ajoute la fluidité des images et cette forme insaisissable.
Évacuons la durée : presque 3 h 30. Disons que la mise en place prend son temps. Pour le reste, quelle maestria ! Martin Scorsese, 80 ans, vétéran toujours vif, prend le prétexte de l’or noir pour décrire l’une des terrifiantes fondations de l’Amérique moderne.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le voyage cinématographique est grandiose, ample et abrupt. Mais par quoi est-on ébloui ? Tout ! L’histoire vraie, crépusculaire et terrible. Les héros, terrifiants et sublimes. Les paysages de l’Oklahoma, aux collines verdoyantes et aux prairies d’herbes hautes.
Il fallait le faire. Scorsese a réussi l’équivalent du grand roman américain sur un écran. À Cannes, c’est comme s’il avait voulu montrer à tous les prétendants ce qu’était le cinéma. Le public en est resté bouche bée. Les autres metteurs en scène ont poussé un ouf de soulagement: Killers of the Flower Moon n’était pas en compétition.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ce récit ahurissant et réel, qui pointe comment les Blancs ont participé au massacre des autochtones, le cinéaste le transforme en thriller de 3h17, à sa manière : images époustouflantes, plans sidérants, rythme infernal, acteurs dans des performances de haut niveau, une totale cinématographique : grandiose !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Martin Scorsese déploie une fresque criminelle vertigineuse, située quelque part entre le western, le film noir et la tragédie. L'un des plus beaux films de l'auteur de « Raging Bull ».
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Le film relit patiemment l’histoire des Etats-Unis sous le prisme de la duplicité et de la bêtise d’un all-American boy revenant de la guerre et même pas en héros, saccageant aussitôt tout ce qu’il touche, [...] faisant de "Killers of the Flower Moon" le vaste roman des origines d’une nation ne pensant pas à mal, mais le répandant partout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Prenant à rebrousse-poil les conventions du film-dossier – au prix d'ellipses parfois brutales – Scorsese se concentre sur les scènes a priori anti-spectaculaires, qu'il mène vers des sommets de tension : face-à-face domestiques dans la pénombre, conversations ponctuées de présages de mort, échappées contemplatives à la limite de l'abstraction…
La critique complète est disponible sur le site Première
Tout est captivant: les décors (naturels ou reconstitués à la cuillère près), les costumes (signés Jacqueline West), le prodigieux montage (merci Thelma Schoonmaker, trois fois oscarisée chez Scorsese), la photographie du Mexicain Rodrigo Prieto.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Cette histoire vraie, relatée dans un film fleuve sanglant par le maestro Martin Scorsese, raconte une tuerie de masse machiavélique, la violence systémique de l'Amérique et la soif de domination des Blancs.
Un chouia trop long, « Killers… », de ses passages façon cinéma muet à son génial épilogue, est empreint d’une sagesse dans sa mise en scène qui n’a d’égale que la monstruosité asphyxiante de ses protagonistes blancs aux costumes trop propres et la puissance de sa charge contre le racisme génocidaire des pionniers.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
À 80 ans, le réalisateur est de retour avec une fresque crépusculaire brillamment orchestrée sur une série de crimes commis contre les Osages, tribu d’Amérindiens dans l’Oklahoma des années 1920. Un anti-western qui réunit Robert De Niro et Leonardo DiCaprio dans une exploration sans concession de la noirceur de l’âme humaine et de la culpabilité de l’Amérique blanche.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Martin Scorsese fait une nouvelle fois preuve de sa maestria, aussi bien narrative que visuelle, et offre des partitions sur mesure à ses deux acteurs fétiches [...].
Il n'empêche qu'en dépit des réserves exprimées sur l'angle choisi par Scorsese et un récit qui cumule un peu trop de conciliabules entre gangsters, "Killers of the Flower Moon" est un film qui vit très bien dans la mémoire, qui s'apprécie encore plus après la projection que pendant.
À 80 ans, le maestro signe un film ambitieux, alors on lui pardonne le cabotinage de DiCaprio, en neveu bas du front, et les longueurs qui diluent la force du récit.
Malgré sa durée un peu décourageante, Killers of the Flower Moon est un film captivant de bout en bout, sans être électrique ni survolté, comme Casino. Son rythme fluide et enveloppant le rapproche d’un classicisme à la Clint Eastwood.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Traversé par quelques beaux éclats – notamment les séquences entre Ernest et Mollie –, “Killers of the Flower Moon” peine, au final, à se situer au très haut niveau auquel il semble aspirer en permanence, celui d’une ample tragédie politique et intime.
20 Minutes
C’est du grand cinéma que nous offre Martin Scorsese en même temps qu’une réflexion sur l’Histoire américaine sublimée par une partition on reconnaît parfois la patte du regretté Robbie Robertson.
Cahiers du Cinéma
Jamais peut-être Scorsese n’avait filmé un milieu et ses personnages de manière si organique, littérale et viscéralement tragique.
CinemaTeaser
La fin de Killers of the flower Moon (...) montre l’aisance avec laquelle Scorsese s’est emparé du récit de Grann. À la liberté d’un page turner qui rend le réel sauvagement romanesque, il ajoute la fluidité des images et cette forme insaisissable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le maître signe un chef-d’œuvre épique et rédempteur.
Ecran Large
Avec "Killers of the Flower Moon", Martin Scorsese démultiplie la puissance du cinéma et confirme un peu plus la préciosité du sien. Un chef d'œuvre.
Femme Actuelle
Scorsese porte cette fresque à l'écran avec maîtrise, et une puissante retenue.
GQ
En entrant dans la salle, on entrevoyait la promesse d'un grand film. Il y a finalement un classique du cinéma en devenir.
La Voix du Nord
Évacuons la durée : presque 3 h 30. Disons que la mise en place prend son temps. Pour le reste, quelle maestria ! Martin Scorsese, 80 ans, vétéran toujours vif, prend le prétexte de l’or noir pour décrire l’une des terrifiantes fondations de l’Amérique moderne.
Le Dauphiné Libéré
Le voyage cinématographique est grandiose, ample et abrupt. Mais par quoi est-on ébloui ? Tout ! L’histoire vraie, crépusculaire et terrible. Les héros, terrifiants et sublimes. Les paysages de l’Oklahoma, aux collines verdoyantes et aux prairies d’herbes hautes.
Le Figaro
Il fallait le faire. Scorsese a réussi l’équivalent du grand roman américain sur un écran. À Cannes, c’est comme s’il avait voulu montrer à tous les prétendants ce qu’était le cinéma. Le public en est resté bouche bée. Les autres metteurs en scène ont poussé un ouf de soulagement: Killers of the Flower Moon n’était pas en compétition.
Le Parisien
Ce récit ahurissant et réel, qui pointe comment les Blancs ont participé au massacre des autochtones, le cinéaste le transforme en thriller de 3h17, à sa manière : images époustouflantes, plans sidérants, rythme infernal, acteurs dans des performances de haut niveau, une totale cinématographique : grandiose !
Les Echos
Martin Scorsese déploie une fresque criminelle vertigineuse, située quelque part entre le western, le film noir et la tragédie. L'un des plus beaux films de l'auteur de « Raging Bull ».
Libération
Le film relit patiemment l’histoire des Etats-Unis sous le prisme de la duplicité et de la bêtise d’un all-American boy revenant de la guerre et même pas en héros, saccageant aussitôt tout ce qu’il touche, [...] faisant de "Killers of the Flower Moon" le vaste roman des origines d’une nation ne pensant pas à mal, mais le répandant partout.
Marianne
Immanquable.
Ouest France
Une fresque magistrale.
Première
Prenant à rebrousse-poil les conventions du film-dossier – au prix d'ellipses parfois brutales – Scorsese se concentre sur les scènes a priori anti-spectaculaires, qu'il mène vers des sommets de tension : face-à-face domestiques dans la pénombre, conversations ponctuées de présages de mort, échappées contemplatives à la limite de l'abstraction…
Public
On craque pour le jeu toujours aussi juste et impeccable de Leonardo DiCaprio face à Robert De Niro. Un vrai régal.
Rolling Stone
Tout est captivant: les décors (naturels ou reconstitués à la cuillère près), les costumes (signés Jacqueline West), le prodigieux montage (merci Thelma Schoonmaker, trois fois oscarisée chez Scorsese), la photographie du Mexicain Rodrigo Prieto.
Transfuge
Un pur bijou !
Télé 2 semaines
Cette histoire vraie, relatée dans un film fleuve sanglant par le maestro Martin Scorsese, raconte une tuerie de masse machiavélique, la violence systémique de l'Amérique et la soif de domination des Blancs.
Télé Loisirs
DiCaprio, De Niro et Lily Gladstone sont époustouflants.
Voici
Cette fresque épique emprunte à plusieurs genres, pour un résultat formellement et émotionnellement sidérant.
aVoir-aLire.com
Une œuvre glaçante et virtuose.
L'Obs
Un chouia trop long, « Killers… », de ses passages façon cinéma muet à son génial épilogue, est empreint d’une sagesse dans sa mise en scène qui n’a d’égale que la monstruosité asphyxiante de ses protagonistes blancs aux costumes trop propres et la puissance de sa charge contre le racisme génocidaire des pionniers.
La Croix
À 80 ans, le réalisateur est de retour avec une fresque crépusculaire brillamment orchestrée sur une série de crimes commis contre les Osages, tribu d’Amérindiens dans l’Oklahoma des années 1920. Un anti-western qui réunit Robert De Niro et Leonardo DiCaprio dans une exploration sans concession de la noirceur de l’âme humaine et de la culpabilité de l’Amérique blanche.
Le Journal du Dimanche
Martin Scorsese fait une nouvelle fois preuve de sa maestria, aussi bien narrative que visuelle, et offre des partitions sur mesure à ses deux acteurs fétiches [...].
Le Monde
Une fresque remarquable sur les terres d’un génocide, miroir de l’histoire de l’Amérique.
Le Point
Minutieux, épique et cruel, ce glaçant récit true crimes est d'ores et déjà un classique.
Les Fiches du Cinéma
Dans la veine de "The Irishman", Scorsese livre un nouveau film “monumental” : une fresque envisagée comme une tragédie antique.
Mad Movies
Il n'empêche qu'en dépit des réserves exprimées sur l'angle choisi par Scorsese et un récit qui cumule un peu trop de conciliabules entre gangsters, "Killers of the Flower Moon" est un film qui vit très bien dans la mémoire, qui s'apprécie encore plus après la projection que pendant.
Sud Ouest
Une fresque un peu longue, mais dense et grandiose.
Télé 7 Jours
À 80 ans, le maestro signe un film ambitieux, alors on lui pardonne le cabotinage de DiCaprio, en neveu bas du front, et les longueurs qui diluent la force du récit.
Télérama
Malgré sa durée un peu décourageante, Killers of the Flower Moon est un film captivant de bout en bout, sans être électrique ni survolté, comme Casino. Son rythme fluide et enveloppant le rapproche d’un classicisme à la Clint Eastwood.
Critikat.com
Un Scorsese en petite forme.
Paris Match
Soyons clairs: un Scorsese, en forme moyenne, n’en suinte pas moins le cinéma par tous ses pores.
Franceinfo Culture
Si le sujet est passionnant, son traitement est plus télévisuel que cinématographique, malgré une belle reconstitution et un casting prestigieux.
L'Humanité
Malgré une distribution haut de gamme, le film s’englue dans les nappes de pétrole de l’Oklahoma.
Les Inrockuptibles
Traversé par quelques beaux éclats – notamment les séquences entre Ernest et Mollie –, “Killers of the Flower Moon” peine, au final, à se situer au très haut niveau auquel il semble aspirer en permanence, celui d’une ample tragédie politique et intime.