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    Le Ciel Attendra
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    Sam L
    Sam L

    31 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2016
    Intéressant, émouvant et très bien réalisé. Un film qui interroge et permet de mieux comprendre le processus de radicalisation. Le passer dans les lycées serait sûrement une bonne idée !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 octobre 2016
    Sujet traitant de la radicalisation de 2 jeunes filles avec le désarroi des parents
    Film que l'on devrait montrer aux lycéens aussi profond que Polisse par exemple
    Je recommande
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2022
    En 2016, Marie-Castille Mention-Schaar aborde un sujet sensible, celui de l’embrigadement religieux de jeunes filles occidentales. Dans un film presque documentaire, avec une investigation journalistique un peu sur le mode « Envoyé spécial », on suit le destin parallèle de deux familles. Sans prendre véritablement parti ni donner de jugement de valeur, la réalisatrice expose comment ces adolescentes fragiles tombent dans la radicalisation. Les acteurs sont parfaits en particulier Noémie Merlant (elle s’affirmera dans « Portrait de la jeune fille en feu ») qui prouve déjà tout son talent. Bref, un long-métrage réussi malgré un scénario laborieux.
    Agathe R.
    Agathe R.

    13 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2016
    Comprendre les techniques d'embrigadement et la solitude face à laquelle les familles touchées se retrouvent. Entendre même les mots et interrogations des candidates au djihad. J'en suis ressortie abasourdie. Un film qui instruit à voir avec les ados.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2016
    Un film très juste sur ce qui se trame en ce moment sans qu'on s'en aperçoive forcément. comprendre les techniques d'embrigadement et la solitude face à laquelle les familles touchées se retrouvent. Entendre même les mots et interrogations des candidates au djihad. Bravo !
    Psah
    Psah

    11 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2016
    belle enquête à hauteur de jeune fille sur les étapes de l'endoctrinement par les rabatteurs de Daesh, tout près de chez nous, à Créteil. Vu "de l'intérieur", on comprend comment ces ados basculent : on découvre (moi, je n'avais vu jusqu'ici que des propagandes de guerre, très primaires) leur argumentaire, et sa dimension révolutionnaire : une critique plutôt pertinente (mêlée de fantasmes complotistes) des aberrations des sociétés libérales-marchandes, qui rappelle les luttes gauchistes des années 70, mais débouchant sur un délire religieux et la servitude, pour le plus grand bénéfice des appétits de rustres de ces messieurs (rien de nouveau sous le soleil).
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2016
    Le film de Marie-Castille Mention-Schaar paraît bien longuet; pas bien loin d'un documentaire romancé, on le verrait plutôt à la télévision. Mais film utile, très certainement, à condition qu'il soit vu..... par le bon public, et non uniquement par ceux qui, comme votre serviteur, ne croient ni à l'astrologie, ni à l'homéopathie, ni aux soucoupes volantes, ni aux miracles, ni aux apparitions, bref qui sont par essence inembrigadables. Ce qu'il faudrait, c'est arriver à le donner à voir en priorité aux populations fragiles.... Comment faire?
    Car on montre de façon intelligente, même si évidemment, presque trop didactique, les deux voies subtiles par lesquelles, au moyen d'Internet, on séduit les adolescents, en l'occurrence les adolescentes; on voit beaucoup les groupes de paroles dirigés par la controversée Dounia Bouzar. On lui a reproché d'avoir reçu beaucoup d'argent des pouvoirs publics sans grands résultats. En tous cas, dans le film, elle tient un langage tout à fait sensé, et elle apparaît comme susceptible de combattre la radicalisation.
    Deux jeunes filles, deux "soeurs" dans leur langage, en partance pour la Syrie. L'une partira; l'autre sera retenue accidentellement, et tombera donc dans les filets de la police. Sonia (Noémie Merlant) est née dans un couple mixte, mère française, Catherine (Sandrine Bonnaire) et père maghrébin, mais non pratiquant, Samir (Zinedine Soualem). Sonia a gardé le Coran de son grand père paternel; elle, c'est par le mysticisme qu'elle va tomber dans l'islamisme. Si elle part mourir en martyre, elle pourra sauver soixante dix vies -donc ses mécréants de parents, sa petite soeur!
    Mélanie (Naomie Amarger) est issue d'un couple de purs gaulois, séparés. Sylvie, sa maman (Clotilde Courau) est coiffeuse, et on comprend bien qu'elle est superficielle; elle aime se maquiller, faire du shopping, sortir alors que Mélanie ne pense qu'aux autres; c'est la première à organiser des collectes pour les enfants africains, et elle pleure sur son ordinateur devant les guerres et les animaux massacrés. Un de ses contacts sur Internet partage la même générosité.... il se dévoile petit à petit, il est musulman, et le dialogue tourne à l'histoire d'amour; elle doit rester pure pour lui, ne plus toucher les garçons, refuser la nourriture impure et vite venir le rejoindre pour qu'ils se marient; ils seront alors tellement heureux dans leur paradis où elle se gardera pour lui.... il lui envoie la photo d'un beau ténébreux au regard de braise.... et ça marche!
    Donc, l'une s'en sortira, avec le temps et le soutien de son entourage et l'autre disparaîtra dans la grande nébuleuse syrienne. C'est bien interprété et très convainquant. Mais comment faire pour que ces petites qui actuellement fantasment derrière leur ordinateur sur la religion, le sacrifice.... aillent voir un film qu'elles rejetteront, a priori, comme kouffar? Bonne question.....
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2016
    C’est un film important et nécessaire, parfaitement mis en scène et interprété avec une conviction de part et d’autre qui redouble son intérêt pour la compréhension d’un mouvement de radicalisation qui ne cesse de s’amplifier. Entre « Bowling » et « Les héritiers » Marie-Castille Mention-Schaar ne lâche jamais son âme de militante, sans juger, ni condamner. C’est presque à la façon d’un documentaire qu’elle explore toutes les pistes de l’endoctrinement qu’il faut pouvoir ensuite baliser pour tenter une déradicalisation, qui s’avère cette fois plus délicate. Et c’est le seul bémol que j’apporterais à la puissance de ce film. Sur la longueur il m’apparait insistant. Trop de discours et d’images ne peuvent-ils pas dévier une entreprise convaincue du bien-fondé de sa démarche ?
    Pour en savoir plus
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    111 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mars 2018
    Après nous avoir raconté sa vie pleine de trous (ma première fois) et avoir prêté serment d'allégeance à la Kommandatur (les Héritiers), voici venu le nouveau méfait cinématographique (subventionné par le contribuable) de la sinistre Marie Castille Mention Schaar qui s'attaque ici (tintintin) à la douloureuse question du radicalisme Islamique (thème de la quatrième dimension) chez les jeunes recrues aspirantes kamikazes.

    Alors que je pensais avoir déjà vu les abimes de l'abjecte à maintes reprises concernant le sujet, "le ciel attendra" réussi pourtant le pari de nous faire descendre plus bas encore en matière d'ignominie tant le traitement du sujet qu'il propose ici est à la limite de l'indécence morale et intellectuelle.

    Parce qu'il en faut de l'audace pour oser nous faire la leçon sur l'embrigadement des jeunes filles de cette façon là! Il en faut du culot pour oser mettre en scène des personnages aussi improbables que fantasmés, dont la psychologie façonnée à l'arrache ferait presque passer le Made in France de Boukhrief pour un monument du genre (parce que oui, aussi dingue que cela puisse être, le film anti radicalisation Mumu sponsorisé par l'état est bien un genre à part entière!).

    C'est donc incrédule qu'on assiste à la doxa qui nous est assénée à coup d'immersion dans le centre de déradicalisation du personnage de Doudou Zazar (dont le seul fait d'arme notable est d'avoir réussi à taper le gouvernement pour 800000 balles de subvention afin de monter son usine à gaz géré par sa fille dont ce film se fait la publicité honteuse) qui s'improvise tour à tour Mufti(e), théologien(ne), psychologue voir super nannie (sans aucune des qualifications ou diplômes que cela nécessite cela va sans dire!), exposant sa méthodologie ayant bien plus à voir avec des réunions d'alcooliques anonymes qu'avec un programme sérieux sachant appréhender véritablement une problématique aux antipodes de cette succession de clichés puant d'Islamophobie (on me dit dans l'oreillette que ce terme est déjà la preuve d'une forme d'intégrisme). Parce que tu comprends, la radicalisation version Doudou, c'est au choix une maladie mentale de type junkie qui risque la rechute face à n'importe quel bubar croisé dans la bus (le personnage de Sonia "Bouzaria" si tu captes la référence) ou un trip sentimental pétrit d'oedipe mal réglé qui tourne mal ("Mélanie" si là aussi tu captes la référence...) les problématiques étant bien évidemment interchangeables et complémentaires, ridiculement assimilées à un virus que l'on choperait à force de regarder des vidéos de propagande anti axe du bien (le seul qui justifie qu'on fume des gamins par snipers interposés) ou d'écouter des chants en Arabe (surtout s'il s'agit de documentaires animaliers avec des lions ou des chats! Faites bien gaffe hein?

    Alors oui, bien sûr, j'ironise à fond les manettes! Mais comment ne pas être désolé devant ce spectacle affligeant qui non content de présenter les Musulmanes comme des demeurées en puissance s'efforce d'assimiler le culte Islamique basique (la prière ou le voile) à de l'intégrisme, criminalisant une orthodoxie religieuse pourtant tolérée chez d'autres tout en distillant une haine sournoise que ne renierait pas Geobbels! Surtout qu'à bien considérer la fine équipe derrière tout ça (La co-scénariste Emilie Frèche, la réalisatrice et consorts, voir wikipédia) on réalise qu'il n'est pas tant question de taper sur les uns que d'asseoir l'autorité des autres (un peu comme si les Mollah tant honnis venaient produire un sujet audiovisuel dénonçant l'hostilité faite au Musulmans de France, phénomène qui, comme le prouve ce film, n'existe pas...), le sous texte politique du truc étant quasiment Stalinien, toute opinion dissidente étant clairement renvoyée à de la parano farfelue (attends, si les gens kiffent la malbouffe, c'est uniquement parce que c'est trop bon! Pourquoi tout de suite imaginer que les industriels nous empoisonnent avec des produits nocifs pour la santé?) voir tout simplement à de l'endoctrinement (les cours laïques anti religion que l'on entend dans le film ne niant en aucun cas la liberté de culte ou de conscience...) la vérité universelle révélée provenant sans l'ombre d'un doute des médias officiels (tous honnêtes et impartiaux bien évidemment!

    Exit donc toute forme de nuance tant le manichéisme le plus tranchant semble être le maitre mot de ce film dont le caractère ostensiblement militant inonde chaque plan de ce nouveau produit clivant à l'attention des mauvais citoyens qui auraient encore l'outrecuidance ne pas penser comme il se doit (le maillot Gaza), qui ne s'embarrasse ni du ridicule (ou comment une fois encore montrer des intégristes imiter les comportements des "mécréants" qu'ils détestent pour mieux passer inaperçus afin de commettre leurs crimes?!!) ni de l'indécence qu'il y a à exploiter avec autant de légèreté et d'approximation un sujet aussi grave tout en se sucrant largement au passage (parce que lutter contre la radicalisation c'est bien, mais être grassement payé en plus, c'est mieux!), déculpabilisé au possible comme l'atteste ce dialogue en début de film entre un parent de "fanatique" et Doudou: -"Il faut pas vous remettre en question!" Réponse du parent: "On se remet pas en question, c'est pas le problème!"... Ben justement si, un peu de remise en question générale sur les buts et les moyens envisagés pour lutter contre ce genre de phénomène seraient plutôt pas mal en effet, voir même carrément nécessaire! Car ce n'est pas en engraissant des malhonnêtes déjà bien assez grasses comme ça qu'on va endiguer quoi que ce soit!
    Matis H.
    Matis H.

    21 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 octobre 2017
    "Le Ciel attendra" se voudrait marquant, se souhaite informatif et s'ambitionne politique. Car le long-métrage de Marie-Castille Mention-Schaar se voit comme le témoin d'un drame contemporain, à la portée documentaire. Le contrepoids de toutes ces intentions est l'absence totale de vision et de cohérence artistique. La cinéaste laisse croire qu'elle pose un regard, là où elle impose un point de vue.

    Cette manipulation se traduit par des choix formels vulgaires et nauséabonds, qui se jouent de la vision documentaire afin d'orienter dangereusement son propos, plutôt que de chercher une universalité thématique.

    Ainsi, la mise en scène exaspère, tout d'abord dans son incompatibilité malsaine avec la narration, cette dernière nous cachant des événements pour mieux y imposer son discours, mais surtout par l'utilisation inconséquente et lourde du symbole du voile. De l'adolescente s'enroulant dans sa couette après une dispute, à la mère qui cache le corps nue de sa fille avec une serviette dû à sa passivité parentale, le tout de façon à marquer grossièrement la radicalisation lente de ces deux jeunes filles.

    De plus, la représentation de l'embrigadement par Mention-Schaar est tout bonnement aberrante, passant par tout les lieux communs certes, mais de la manière la plus ridicule possible - billet plié révélant l'implication du gouvernement dans le 11 Septembre 2001, vidéos proche de la parodie etc. - tout en donnant une vision physique de la menace. L'intérêt est clair, coller à l'intime du personnage, à son point de vue, et donc à son "prince" personnel. Mais poser un nom - on passera sur l'insert totalement déplacé lors de la conversation internet - et une voix sur cette menace la limite à un individu et non plus à une organisation.

    "Le Ciel attendra" est encore problématique pour bien des raisons (jeu approximatif des actrices, narration mécanisé par les thérapies de groupe, indigence des dialogues etc.) mais c'est bien son approche formelle qui en fait une œuvre détestable et dangereuse, se vendant comme une vision intime de la radicalisation, mais qui n'offre au final que le point de vue limité, étriqué et désespérant de sa réalisatrice.
    ffred
    ffred

    1 702 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2016
    Une fois n’est pas coutume, voilà une réalisatrice qui s’améliore de film en film. Elle nous avait déjà beaucoup touché avec Les Héritiers malgré ses défauts. Pour son nouveau long métrage, Marie-Castille Mention-Schaar tape en plein dans l’actualité. On parle beaucoup ici de ces jeunes filles embrigadées, mais aussi et surtout de ces parents qui sont dans le plus totale des incompréhensions. La réalisatrice nous convainc d’entrée grâce à un scénario très bien écrit et à une construction filmique quasi parfaite. Une mise en scène sèche et souvent à la limite du documentaire. L’interprétation, d’une belle sobriété, est aussi pour beaucoup dans la réussite du film. Sandrine Bonnaire, Clotilde Courau, Zinedine Soualem et Yvan Attal sont tous parfaits dans les rôles des parents dépassés par les évènements. Tandis que les jeunes Noémie Merlant et Naomi Amarger, chacune dans leur style, nous livrent de très belles partitions. Le tout nous offre quelque chose d’aussi poignant que déchirant, fort, dur et terrible, tout en étant délicat et sensible. Et surtout, sans jugement aucun. Un des chocs de cette année.
    ferdinand75
    ferdinand75

    550 abonnés 3 869 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2021
    Sur un sujet délicat à traiter , le choix est fait d'un montage complexe, usant des flash backs et mêlant les récits. ce n'est pas toujours agréable, on s'y perd un peu dans la 1ère moitié.Il y a aussi un sur jeu de certains acteurs (i.e. Sandrine Bonaire et Clotilde Courault qui enlève de la crédibilité au récit. Seule Noémie Merlant s'en tire , elle est excellente et juste comme d'habitude; la meilleure de sa génération. On croit à son personnage en finesse.
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 560 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2016
    Un film quelque peu construit comme un documentaire ou un exposé avec un genre narratif laissant une grande part à l'explication, à la mise en perspective, en un mot à la vulgarisation des ressorts de l'embrigadement religieux islamiste. La démonstration se veut inquiétante car reposant sur deux exemples croisés de jeunes filles au départ ordinaires dans leur rapport à leur famille, à leurs amis, aux autres en général. A voir pour approcher le sujet même si ça reste sans doute en réalité plus compliqué et complexe que ça, notamment sur le plan psychologique. La célèbre émission de télévision "Les dossiers de l'écran", suivie d'un débat autour du film, que les spectateurs quinquagénaires et au-delà ont connu, n'existe plus. Sinon c'était typiquement le genre de film pour une entrée en matière sur le sujet évoqué (et mes propos se veulent ici factuels sans rien de péjoratif).
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    131 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    LE VOILE DES ILLUSIONS. Dans les bras d'Allah. Referme ton Coran, pense et regarde le ciel et la terre. Le jour s'est levé sur une étrange idée. Des promesses, des mots qui envoûtent, est ce que ce monde est sérieux? L'homme est inhumain, c'était hier et c'est demain.
    brianpatrick
    brianpatrick

    84 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 août 2020
    Le ciel attendra. A la base le sujet semblait très difficile à convaincre. Mais certes la longueur du film rend le film intriguant et intéressant. C’est très bien interprété, et en particulier par de jeunes actrices très douées. Après si les autres internautes ont mis peu d’étoiles, c’est parce cela peut paraitre sur joué. On a l’impression en effet de voir le jeu d’acteur sur joué. Mais cela n’est pas sûr, car on ne connait pas le sujet. Car là, c’est le grand problème, ce sujet reste très important et très sérieux. Un sujet vraiment très sérieux. Donc il faut le prendre comme il est.
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