Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce film attachant et juste dresse le joli portrait d'une adolescente en quête d'elle-même.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les thèmes de société et d'identité, un peu scolairement posés, sont abordés avec finesse et distanciation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La mise en scène, quant à elle, a la délicatesse de ne pas se vautrer dans le naturalisme, adoptant une mue contemplative lorsque s’imposent à l’image des paysages autant porteurs de paix que de secrets. Avec, ici et là, de micro-pointes d’onirisme, étranges, électrisantes.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le retour d’une réalisatrice qu’on avait un peu perdue de vue et qui, s’intéressant ici aux gens normaux – une fille cherchant sa voie, entre identité culturelle, amitié et amours naissantes – montre, toujours avec sensibilité, qu’ils n’ont rien d’exceptionnel.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Du village portugais à la maison française de la famille de Pamela, spacieuse, bien tenue, le film nous fait visiter un monde sans ruse, où l'extérieur reflète l'intérieur, une dignité à la fois solide et feutrée, rigoureuse mais tempérée de bonté. Laurence Ferreira Barbosa l'éclaire très subtilement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un regard juste et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Tous les rêves du monde" n’est pas un film qui cherche à impressionner, mais à montrer. C’est un film populaire, malicieux, fin, qui met ses personnages au coeur du film et se penche sur eux avec un regard à la fois curieux, analytique, précis et compréhensif. Intelligent, sensible et inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
L’originalité du film de Laurence Ferreira Barbosa, "Tous les rêves du monde", qui braque sa caméra sur l’une de ces chrysalides empêtrées, tient d’une part à la présence de Paméla Ramos, son interprète solaire, non comédienne, quasiment de tous les plans, qui parvient à faire exister un entêtement buté au côté de mille égards pour les siens, et de l’autre, à sa manière de poser la question de la fidélité par le truchement du rapport aux origines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
Laurence Ferreira Barbosa signe un très beau film, simple et lumineux, offrant au cinéma le visage d'une jeune actrice très prometteuse (Pamela Ramos).
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Laurence Ferreira Barbosa filme son héroïne avec une sensibilité et une pudeur qui permettent de révéler la complexité de cette adolescence faussement passive.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Laurence Ferreira Barbosa ne raconte pas seulement l’histoire d’une jeune Portugaise qui porte le fardeau de ses parents, rate tout ce qu’elle entreprend et se ressource chaque été au village familial. Elle saisit aussi la douloureuse errance de cet âge, l’oscillation des désirs et la peur de ne pas y arriver.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Vincent Jaury
L'intelligence du film vient du fait qu'il n'y a pas de révolte de cette jeune fille qui aime trop ses parents pour cela.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sans violence, ni drame, privilégiant une fois encore une mise en scène pudique, Laurence Ferreira Barbosa continue de nous ravir de personnages à l’ authenticité bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le retour de la réalisatrice à la fiction avec Tous les rêves du monde montre une vraie finesse dans son écriture comme dans son interprétation, même si le film ne déborde pas le cadre de son sujet.
L'Express
par Christophe Carrière
(...) un délicat portrait de jeune fille en quête d'identité et de personnalité, et une plongée au sein d'une communauté portugaise débarrassée des clichés.
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice Laurence Ferreira Barbosa explore dans un film sensible les tourments d’une adolescente d’origine portugaise, qui cherche à s’émanciper en douceur de sa famille et de sa communauté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
En dépit de ses longueurs, ce film simple croque avec délicatesse la communauté portugaise de France, et plus particulièrement, celle de la deuxième génération, parfois partagée entre tradition et modernité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Laurence Ferreira Barbosa ne veut tellement rien forcer qu’elle en oublierait presque le scénario d’émancipation qu’elle réservait à Pamela, précipité dans les toutes dernières scènes du film. Mais point n’est besoin d’attendre jusque-là pour que cette héroïne pas comme les autres s’affirme par sa délicate et surprenante "qualité d’être".
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Neuf ans après “Soit je meurs, soit je vais mieux”, Laurence Ferreira Barbosa continue d'explorer, avec sincérité, les méandres adolescents et identitaires.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
La réalisatrice excelle à dépeindre l’indécision, cet état un peu second où tout peut basculer. Elle est servie dans sa démarche par une jeune actrice au visage franc et lumineux, Pamela Constantino-Ramos.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Le film dépeint une communauté rarement filmée, bien intégrée en France et en même temps invisible, très attachée à ses racines rurales. Cette dimension d’« étranges étrangers » fait le charme de ce va-et-vient flottant, pudique et touchant, entre deux pays.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Fabien Reyre
Si "Tous les rêves du monde" a un charme indéniable, il souffre paradoxalement d’un manque de souffle, d’un grain de folie qui lui permettrait d’être un peu plus incarné.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si ça ne tombe pas dans le folklorisme aigu, c’est grâce à la deuxième partie, où se greffe une intrigue entre Pamela et une amie qu’elle aide à fuguer. Ça frise le cinéma de Rohmer, mais en moins sophistiqué, presque trop embryonnaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Femme Actuelle
Ce film attachant et juste dresse le joli portrait d'une adolescente en quête d'elle-même.
L'Obs
Les thèmes de société et d'identité, un peu scolairement posés, sont abordés avec finesse et distanciation.
La Voix du Nord
La mise en scène, quant à elle, a la délicatesse de ne pas se vautrer dans le naturalisme, adoptant une mue contemplative lorsque s’imposent à l’image des paysages autant porteurs de paix que de secrets. Avec, ici et là, de micro-pointes d’onirisme, étranges, électrisantes.
Le Dauphiné Libéré
Le retour d’une réalisatrice qu’on avait un peu perdue de vue et qui, s’intéressant ici aux gens normaux – une fille cherchant sa voie, entre identité culturelle, amitié et amours naissantes – montre, toujours avec sensibilité, qu’ils n’ont rien d’exceptionnel.
Le Figaro
Du village portugais à la maison française de la famille de Pamela, spacieuse, bien tenue, le film nous fait visiter un monde sans ruse, où l'extérieur reflète l'intérieur, une dignité à la fois solide et feutrée, rigoureuse mais tempérée de bonté. Laurence Ferreira Barbosa l'éclaire très subtilement.
Le Figaroscope
Un regard juste et sensible.
Les Inrockuptibles
"Tous les rêves du monde" n’est pas un film qui cherche à impressionner, mais à montrer. C’est un film populaire, malicieux, fin, qui met ses personnages au coeur du film et se penche sur eux avec un regard à la fois curieux, analytique, précis et compréhensif. Intelligent, sensible et inspiré.
Libération
L’originalité du film de Laurence Ferreira Barbosa, "Tous les rêves du monde", qui braque sa caméra sur l’une de ces chrysalides empêtrées, tient d’une part à la présence de Paméla Ramos, son interprète solaire, non comédienne, quasiment de tous les plans, qui parvient à faire exister un entêtement buté au côté de mille égards pour les siens, et de l’autre, à sa manière de poser la question de la fidélité par le truchement du rapport aux origines.
Positif
Laurence Ferreira Barbosa signe un très beau film, simple et lumineux, offrant au cinéma le visage d'une jeune actrice très prometteuse (Pamela Ramos).
Studio Ciné Live
Laurence Ferreira Barbosa filme son héroïne avec une sensibilité et une pudeur qui permettent de révéler la complexité de cette adolescence faussement passive.
Sud Ouest
Laurence Ferreira Barbosa ne raconte pas seulement l’histoire d’une jeune Portugaise qui porte le fardeau de ses parents, rate tout ce qu’elle entreprend et se ressource chaque été au village familial. Elle saisit aussi la douloureuse errance de cet âge, l’oscillation des désirs et la peur de ne pas y arriver.
Transfuge
L'intelligence du film vient du fait qu'il n'y a pas de révolte de cette jeune fille qui aime trop ses parents pour cela.
aVoir-aLire.com
Sans violence, ni drame, privilégiant une fois encore une mise en scène pudique, Laurence Ferreira Barbosa continue de nous ravir de personnages à l’ authenticité bouleversante.
Cahiers du Cinéma
Le retour de la réalisatrice à la fiction avec Tous les rêves du monde montre une vraie finesse dans son écriture comme dans son interprétation, même si le film ne déborde pas le cadre de son sujet.
L'Express
(...) un délicat portrait de jeune fille en quête d'identité et de personnalité, et une plongée au sein d'une communauté portugaise débarrassée des clichés.
La Croix
La réalisatrice Laurence Ferreira Barbosa explore dans un film sensible les tourments d’une adolescente d’origine portugaise, qui cherche à s’émanciper en douceur de sa famille et de sa communauté.
Le Journal du Dimanche
En dépit de ses longueurs, ce film simple croque avec délicatesse la communauté portugaise de France, et plus particulièrement, celle de la deuxième génération, parfois partagée entre tradition et modernité.
Le Monde
Laurence Ferreira Barbosa ne veut tellement rien forcer qu’elle en oublierait presque le scénario d’émancipation qu’elle réservait à Pamela, précipité dans les toutes dernières scènes du film. Mais point n’est besoin d’attendre jusque-là pour que cette héroïne pas comme les autres s’affirme par sa délicate et surprenante "qualité d’être".
Les Fiches du Cinéma
Neuf ans après “Soit je meurs, soit je vais mieux”, Laurence Ferreira Barbosa continue d'explorer, avec sincérité, les méandres adolescents et identitaires.
Première
La réalisatrice excelle à dépeindre l’indécision, cet état un peu second où tout peut basculer. Elle est servie dans sa démarche par une jeune actrice au visage franc et lumineux, Pamela Constantino-Ramos.
Télérama
Le film dépeint une communauté rarement filmée, bien intégrée en France et en même temps invisible, très attachée à ses racines rurales. Cette dimension d’« étranges étrangers » fait le charme de ce va-et-vient flottant, pudique et touchant, entre deux pays.
Critikat.com
Si "Tous les rêves du monde" a un charme indéniable, il souffre paradoxalement d’un manque de souffle, d’un grain de folie qui lui permettrait d’être un peu plus incarné.
L'Humanité
Si ça ne tombe pas dans le folklorisme aigu, c’est grâce à la deuxième partie, où se greffe une intrigue entre Pamela et une amie qu’elle aide à fuguer. Ça frise le cinéma de Rohmer, mais en moins sophistiqué, presque trop embryonnaire.