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    120 battements Par Minute
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    Romain P
    Romain P

    29 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 août 2017
    une film marquant, touchant, poignant. on ne peut pas rester insensible.
    les acteurs sont formidables
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mai 2019
    Ce film m'a coupé le souffle tellement il est poignant, puissant ! Et quelles émotions il nous fait ressentir, j'en suis ressortie bouleversée, sous le choc et surtout émue.
    Le sujet délicat du Sida est abordé d'une façon phénoménale. Il y a autant de colères, de peines que de joie et de rires.
    Il n'aurait pas pu être mieux abordé que ça, chapeau au réalisateur pour avoir fait cette merveille.
    connecte
    connecte

    3 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2017
    Chapeau bas ! Je suis sorti bouleversé de cette histoire hélas si banale sans doute à l'époque. Merci au réalisateur et bravo aux comédiens !!!!!
    Ce film est un hymne à l'amour !
    Gko
    Gko

    36 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2017
    Si vrai, si fort, si adroitement conçu, une mise en scène impeccable, un montage poétique et poignant, des comédiens inoubliables qui font honneur aux personnages qu'ils habitent. Si vous me lisez, si vous avez participé à cette œuvre : MERCI. Merci infiniment.
    PS: ma jeunesse, Nathan la raconte mot pour mot, jusqu'à sa réaction suite au reportage de paris-match #Kenny
    andika
    andika

    106 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2017
    120 BPM est un film assez radical. Il est dans la lignée d'autres films au sujet de l'épidémie de VIH qui touche le monde depuis les années 1980. On pense spontanément à Philadelphia ou plus récemment à Dallas Buyers Club.

    Dans ce genre de film, la particularité est que le virus est un personnage à part entière. Les choses tournent autour de lui et il vient prendre son tribut à la fin en règle générale. Tout est de savoir comment gérer cet aspect, notamment émotionnellement. Dans la gestion de la mort qui plane, personnifiée par le VIH, 120 BPM n'est pas aussi bon qu'il aurait pu ou du l'être. On ne prend pas le personnage de Sean suffisamment en empathie car, même s'il trône sur l'affiche, il n'est pas le sujet du film.

    En revanche, le traitement de l'action d'Act up est assez passionnant, vif. Que ce soient les réunions hebdomadaires qui sont très animées, ou encore leurs missions radicales pour faire parler. Car oui, la radicalité est une nécessité lorsqu'on est malade et qu'il n'existe pas de traitement. On ressent une urgence de vivre, d'aimer, de baiser. Une urgence de secouer les pouvoirs publics, les laboratoires afin qu'ils trouvent une solution. Une urgence d'agir pour se sentir vivant. Une urgence de bouger avant que le SIDA n'apparaisse et qu'il emporte tout sur son passage.

    Ainsi, le rythme du film et les choix de mise en scène retranscrivent de manière satisfaisante cette sensation d'urgence, ce besoin de vie. Des scènes d'amour à la lumière tamisée à l'explosion de couleurs de la Gay Pride, d'une sombre chambre d'hôpital à un plan sur le Seine rouge de sang, toutes ces images démontrent ce qui se passe, ce qu'il y a de beau, ce qu'il y a de laid, de bien, de difficile.

    Dans une situation aussi précaire, on ne sait pas forcément comment agir au mieux, ainsi, les dissension au sein d'Act up sont des événements inévitables qui donnent lieu à de véritables joutes assez jubilatoires. Les dialogues sont prenant et il est parfois impossible de prendre parti. Comment pouvoir garder son calme dans une situation où la mort rôde ?

    Néanmoins, rien de cela n'empêche nos personnages de vivre, de s'amuser, et même si le virus rôde les soirs de fête, le combat continue, et ne s'arrêtera pas. Pour preuve, les progrès considérables réalisés depuis cette époque.
    Cati A
    Cati A

    10 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 septembre 2017
    J'ai 40 ans et je me souviens très bien des actions d'act up, je ne comprenais pas tout mais je les trouvais courageux.
    J'y suis allée avec une amie qui a 10 ans de moins que moi et qui n'avait pas conscience qu'il avait fallut se battre pour parler de sida et de capotes... Dur, drôle, Trash, instructif et à voir absolument!
    Patrick R.
    Patrick R.

    9 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2017
    Magistral. A voir revoir et partager.
    Ca bouleverse, ça dérange, CA nous rappelle les non dits de l'époque et la non volonté des dirigeants de prendre en compte "la peste gay" comme on l'appelait ....
    Un jeu d'acteurs époustouflant, une sensibilité à fleur de peau . On oublie la caméra et on se trouve acteur au milieu de ces passionnés qui avaient la rage de survivre !!!
    Aussi fort qu'entre les murs!!!
    Bravo!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 juillet 2017
    Robin Campillo est un cinéaste qui prend son temps. Dès les années 80, quand le Sida commençait ses ravages, il envisageait déjà un film sur le sujet. Il viendra 30 ans plus tard, avec « 120 battements par minute », présenté cette année au Festival de Cannes, et reparti, selon le Jury avec le Grand Prix, et selon les festivaliers avec une Palme du cœur.

    Il était projeté ce vendredi en grande avant-première aux Carmes, à Orléans, en présence du réalisateur, et deux salles pleines. Il sortira sur les écrans français le 23 août, en juillet en Avignon.

    Campillo entremêle trois composantes : les militants d’Act’Up en Assemblée Générale (RH, réunions hebdomadaires, comme ils disent), les opérations coups de poing destinées à secouer la société et particulièrement les décideurs, Pouvoirs publics et laboratoires, enfin des scènes d’amours homosexuelles, parfois séparées par ce que Campillo nomme des métamorphoses, à savoir de courtes séquences d’images de synthèse (sont-ce les virus qui viennent s’attaquer aux cellules ?), lesquelles permettent au spectateur de décompresser, de reprendre son souffle, et nous dira le réalisateur, de nous interroger sur ce qui va suivre.

    Parmi les acteurs, l’une est très connue : Adèle Haenel, très active en AG, et surtout lors des opérations coup de poing ; fidèle à son habitude, l’air tranchant, l’œil sévère, elle entraîne le groupe ; on sent qu’elle a dû ressentir un plaisir immense à tourner, comme tous d’ailleurs. Mais surtout, un jeune argentin, Nahuel Perez Biscayart, un peu efféminé, voire androgyne, au minois adorable, écrase tout par son énorme présence : c’est probablement Cleews Vellay, Président d’Act’up entre 92 et 94. Son passage à l’hôpital (à l’ancien CHR d’Orléans), puis son retour chez sa mère, ses copains qui passent le voir, ses dernières jouissances sexuelles, son ami qui veille sur lui lors de la nuit funeste, la main qui vient constater la mort, tout cela a quelque chose de pathétique, mais aussi empreint d’une solennité dans le passage vers l’au-delà. Hymne à la mort, terrible quand on est jeune ! mais aussi formidable combat pour la vie, espoir chez cette mère qui vient de perdre son fils, digne dans la souffrance. Spectateurs, préparez vos mouchoirs !

    Campillo a vécu ces années-là avec Act’Up, il a coécrit le scénario du film avec Philippe Mangeot qui fut Président d’Act’Up Paris à la fin des années 90. Ils savent par conséquent de quoi ils parlent dans leur long métrage (quand même 2 heures 20 qui passent finalement relativement vite). Un film d’une brûlante actualité, une piqûre de rappel pour les jeunes qui n’ont pas connu les années terribles, et une beauté cinématographique exceptionnelle.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    80 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2017
    Quel pensum! Il parait que certaines âmes sensibles ont pleuré. Moi, j'ai plutôt baillé, tellement ça tire en longueur. Certes, Robin Campillo filme avec énormément de brio, de vitalité et de force. J'avais beaucoup apprécié ses Easterns Boys. Ici, la virtuosité tourne à vide; on a droit de façon récurrente aux mêmes images de danseurs mécaniques sous house musique et éclairage stroboscopique; de paillettes étoilées dans le ciel..... Bon! Ca va une fois. 

              Interminables scènes d'amphi où les militants d'ActUp s'écharpent. Toutes ces réunions hystériques entre gens qui se considèrent comme très importants, on les a vécues en 68, on connait.... Là encore, très répétitif. Reste le côté documentaire sur le début des années sida et le rôle joué par une association extrêmiste qui a sans doute fait plus de mal que de bien à leur cause. Evidemment, comment ne pas être en compassion pour ces jeunes gens qui mouraient à la fleur de l'âge, en plus au terme d'une longue déchéance, de traitements extrêmement lourds. Comment ne pas comprendre qu'ils avaient la rage! Mais s'en prendre aux pouvoirs publics, à l'industrie pharmaceutique accusée de faire traîner les processus, n'est ce pas aussi une façon de refuser sa propre responsabilité? On sait bien que l'industrie pharmaceutique fait passer souvent la rentabilité avant l'éthique.... Mais il y avait cet énorme défi d'être en face d'une maladie complètement nouvelle, à évolution rapide.... Comment penser que les chercheurs pouvaient tout résoudre en quelques années! Aussi, lorsque les ActUp vont dégrader un laboratoire; lorsqu'ils invitent les responsables français de Melton-Pharm à venir s'expliquer en amphi pour les insulter et finalement leur demander de sortir; lorsqu'ils refusent un protocole d'essais thérapeutiques parce qu'il requiert des prélèvements dans les ganglions et que ça fait bobo, on se dit: mais zut! les autres ne sont pas toujours les coupables! S'ils n'avaient pas tous baisé avec n'importe qui et n'importe comment, ils n'en seraient pas là... Est ce que c'est extrêmement ringard que d'être gêné lorsque Nathan (Arnaud Valois dont les impressionnantes oreilles donnent, à contre jour, le sentiment d'être devant une création de Guillermo del Toro....) au terme des obsèques de son bien aimé Sean (Nahuel Pérez Biscayart qui traduit de façon réaliste et vraiment bouleversante l'évolution vers l'enfer de la maladie) couronne la journée par une bonne séance de baise avec un autre militant? Certes,  leur dernière action qui consiste à répandre les cendres de Sean sur les chics buffets d'une réunion d'assureurs est assez désopilante; il paraît que c'était le souhait du jeune homme....

              Les pouvoirs publics ont tardé à réagir? Oui, probablement, parce que la morale publique n'était pas encore prête à afficher sur les abribus "Sortez couverts" (avec petit dessin humoristique). Comme la recherche, les moeurs évoluent à leur rythme...

              Adèle Haenel, en passionnaria de la cause est très bien, comme d'habitude. Tous les garçons jouent vrais.

              Enfin, en gros, plutôt  à éviter même si, de par son sujet, tout le politiquement correct crie au génie.
    Nadine D.
    Nadine D.

    6 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2017
    Un vrai choc, un film d'une grande intensité, qui montre tout, et surtout qui rappelle, heureusement, que la vie est toujours la plus forte. Ce film renvoie à des moments terribles pour ceux qui y étaient à cette époque. Des interprètes remarquables. Un film à ne pas manquer.
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2017
    L'accueil fut triomphal à Cannes et le succès public ne fait pratiquement aucun doute, en attendant des César prévisibles : 120 battements est-il donc le chef d'oeuvre annoncé ? Pas tout à fait, pourtant. Ce passage à l'Act (Up) est très pédagogique en son début, ce qui peut se comprendre, vu que tout le monde n'a pas connu les années terribles du Sida ou a oublié, pour les plus anciens, les ravages de la maladie et le militantisme des membres d'Act Up. Le film se construit en trois temps, à de nombreuses reprises : la discussion (lors des rencontres hebdomadaires de l'association), l'action (violente et radicale), l'émotion (les histoires d'amour). Une triple exposition qui ne sera brisée que dans la dernière partie du film qui voit l'intime prendre le pas sur le collectif, qui touche certes mais avec une narration plus classique qui fait regretter quand le film est plus teigneux et moins consensuel (avis subjectif évidemment). On retrouve le Romain Campillo d'Eastern Boys dans des scènes de danses où les corps oublient la douleur et atteignent la transe. Là encore, l'aspect répétitif de ces moments empêche d'y adhérer tout à fait. De façon évidente, Campillo a voulu marier réalisme et symbolisme en stylisant parfois sa manière, démarche compréhensible pour éviter au film de n'être que militant ou encore un requiem tragique. Le mélange des genres fonctionne sur un mode trop systématique pour convaincre pleinement mais reconnaissons une valeur précieuse de témoignage et d'hommage. Le cinéaste a consacré beaucoup d'énergie à la direction d'acteurs et il est pleinement récompensé : Nahuel Perez Biscayart, en particulier, est formidable dans un premier rôle exigeant auquel il se donne corps et âme.
    Eselce
    Eselce

    1 392 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2018
    L'action de militants contre le sida. Un film maladroit avec un parti pris et des personnages antipathiques et peu accrocheurs. Les personnages sont presque tous révoltés et se lancent dans des actions de révoltes anti-système. Les scènes de sexe étaient-elles vraiment indispensables ? Un certain malaise et beaucoup d’antipathie ressortent de ce film malgré le sujet qui se veut d'une grande importance encore aujourd'hui. Beaucoup de rabâchage et de débats stériles, pas assez de personnages accrocheurs.
    brunetol
    brunetol

    189 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2017
    J'y allais un peu à tâtons, je craignais l'effet "Adèle", le film universellement encensé qui se révèle devant mes yeux comme une daube épouvantable. Mais non. "120 battements" est un vrai grand film, captivant, haletant, et surtout très émouvant par la grâce conjuguée de sa réalisation et de ses comédiens. C'est aussi un film de dévoilement, j'ai découvert la réalité derrière le militantisme, et les séquences en amphi sont vraiment exceptionnelles, avec ces techniques de prise de parole, ces claquements de doigts, cette énergie créative qui circule entre Eros et Thanatos, cette folie douce face à la mort qui rode autour. Un film de guerre irrigué d'amour, un vrai récit de résistance, mais cette fois l'ennemi n'est pas une idéologie comme le fascisme qui s'incarnerait en une armée de "méchants", c'est un rétrovirus. Il y a les pesanteurs administratives, le cynisme des laboratoires, l'impuissance parfois coupable des politiques, mais il ne s'agit pas de tuer des envahisseurs, la torture n'est pas prodiguée par des tortionnaires humains, et devant le fléau, le meilleur dans l'Homme peut se déployer, ce que montre Campillo avec justesse et puissance. La fin intimiste du film est extraordinaire et bouleversante, la finesse des dialogues et de la mise en scène s'y déploient comme dans les meilleurs moments de "Easter Boys", son - très réussi - film précédent. Film rare dans le paysage français par la qualité de son écriture - bien que très bavard, "120 battements..." ne tombe jamais dans le "sur-écrit" ou le "trop-improvisé". En sortant de la salle, à la fois ému et exalté, j'ai repensé avec mélancolie à ce passage de l'interview du co-auteur, Philippe Mangeot, dans "Les Inrocks" : "Quand Robin s'est adressé à moi pour 120 battements... je réfléchissais à écrire sur un autre moment, un peu plus tardif : celui de l'indicible "catastrophe", avec tous les guillemets possibles, des trithérapies. Tout à coup, ceux qui étaient encore en vie se sont dit qu'il fallait refermer les tombeaux de ceux qui étaient morts, car ils ne feraient pas partie de la même charrette. Personne n'a encore parlé du sentiment de perte qu'a pu entrainer l'espoir de survie." Survie = perte = catastrophe. Paradoxe effarant de la condition humaine : oui, c'est la catastrophe imminente qui nous unit et peut nous élever, comme le film le montre très bien. Que le danger s'éloigne, et la tension qui nous liait retombe, inexorablement.
    Alice D.
    Alice D.

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2017
    Ce film m'a bouleversée, en tout point. Je n'ai seulement 18 ans et je n'ai rien connu de cette époque, j'en ai entendu rapidement. Ce film m'a marquer, choquer et fait énormément réfléchir. Même 1 semaine après je ne peux m'empêcher d'y repenser... Il faut voir ce film, absolument.
    Eric MarceL
    Eric MarceL

    70 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 janvier 2018
    On est bien mal barré... Ce film n'est pas mauvais, il est certainement interessant et homogène dans son choix esthétique, de réalisation, de jeu, voir d'outrance... IL est en fait un documentaire de 2h20 pas très joyeux, mais qui semble réel... mais voilà des documentaires du genre "vu de l'intérieur" se regarde à la télé, tranquille, sur France 3, mais ce n'est pas un film de cinéma et c'est pour cela que je dis que l'on est mal barré car il est où le cinéma, l'évasion, le spectacle, l'échappée, le rêve, le moment qui nous fait oublier notre quotidien, qui l'on est et nous donne l'impression d'être plus grand, plus fort ou ailleurs ? Nulle part, et ce film primé et encensé par des critiques très France Inter (dont le logo trone en bonne place sur l'affiche) n'est pas un film de cinéma, il est dans l'air du temps de la bien pensance, du "on donne la parole aux opprimés" mais on oublie de donner du spectacle. Bref, payer pour voir ce film : hors de question, le regarder chez moi devant ma télé pourquoi pas, mais j'ai essayé et 2h25 d'un documentaire plat, démago, peu attachant, informatif, hystérique, ne m'enchante pas et ne m'a donné aucun plaisir. Et je suis très ouvert et très tolérant, mais ça ce n'est pas un film de cinéma, ce n'est pas un film tout court, juste un documentaire pas grand public. Et quand je vois les notes qui sont les mêmes que pour des chefs d'oeuvre du cinéma mondial, je me dis qu'on est mal barré niveau cinéma en France...
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