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31 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Film de lutte, de bande, d'amour tragique, "120 Battements par minute" n'a peur de rien. Ni du romanesque, ni du politique, ni même d'en faire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Fabien Reyre
"120 battements par minute" vibre à chaque plan, exulte d’un désir de vivre et de se battre, de donner à voir et à entendre, de rendre visible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Carine Trenteun et Pierre Guiho
Du collectif à l'individu, le flux de "120 battements par minute" coule, vrille, se tord mais toujours repart. En pleine épidémie du sida, Robin Campillo propose un film de vie, d'amour et de combat.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une claque.
L'Express
par Eric Libiot
Le film est si réussi, si passionnant, si emballant, si émouvant qu'il semble échapper à tout, et notamment aux calculs. 120 BPM est en état de grâce, poussé par sa propre énergie, son propre désir. II touche chacun au plus profond. Cela s'appelle une grande oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
Grand prix du jury, ce film moderne, politique et bouleversant n'a pas eu, à Cannes, la palme d'or qu'on espérait. Qu'importe. Il tient désormais à chacun d'en faire le grand film populaire qu'il doit être avant tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Romain Le Vern
Avec ce grand film pulsatile, Campillo radiographie le désir, montre le sexe, sonde l'ivresse, communique le spleen. C'est beau et triste comme le tube Smalltown Boy de Bronski Beat dont la simple évocation dévaste...
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
"120 battements par minute" a cette carrure assez unique, que l’on n’ose plus tout à fait attendre d’un film français. Il mérite, en cela, tous les éloges.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Après les débats enflammés des réunions hebdomadaires, les actions musclées contre les labos pharmaceutiques et le gouvernement de Mitterrand, la caméra de Robin Campillo se focalise peu à peu sur un amour naissant. Simple et beau.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sous ses airs naturalistes, le film est travaillé, en filigrane, par une structure narrative sophistiquée, qui va du général vers le particulier, de la collectivité vers l’individu, seul face à la mort (…) : "120 battements par minute" est l’un des plus beaux films de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Ce film est une boîte : une utopie et une cellule, une machine qui serait capable d’émotion comme celles de la musique électronique. Il crée là tout un réseau de sens qui n’est jamais métaphorique, mais scénographique : un espace qui cherche à se laisser habiter par des figures qui doivent tout à la vitalité en mouvement des acteurs, et se laisser envahir par des forces extérieures à la limite du surnaturel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par La Rédaction
Un des plus beaux films de l'année.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Emotion, dignité et fierté sont au rendez-vous.
Transfuge
par François Bégaudeau
D'une scène à l'autre, deux heures se sont écoulées. Un film. Un grand.
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Une émotion vraie se dégage de ce film important, dont la fin, très belle, rappelle que la vie continue. Et le combat contre le Sida aussi.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Jamais rébarbatif ni larmoyant, un grand film sur la vie, à l'image de son titre vibrant, porté par de jeunes comédiens bouleversants.
Télérama
par Louis Guichard
Le film impressionne par la fluidité de sa montée en puissance, la sophistication discrète de sa structure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame bouleversant.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Davantage qu’il est un portrait de groupe ou d’un morceau d’histoire, le film fait la collection de ces gestes pour raconter ce que c’est de trouver un fil à quoi s’accrocher dans les remous d’une période dangereuse, dont on ne peut se sauver qu’à condition de réussir sa vie, fut-elle effroyablement brève. C’est-à-dire, aussi, réussir sa mort.
Elle
par Anne Diatkine
On est suspendus aux discussions des protagonistes, saisis par leur violence dialectique, leur intense énergie, leur créativité qui les pousse à imaginer sans cesse de nouveaux slogans et des coups d’éclat pour repousser la mort.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"120 battements par minute" reconstitue par la fiction une histoire peu connue, voire oubliée, de personnes condamnées qui se sont données pour combattre leur mal, pour elles-mêmes, pour les autres et le futur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Robin Campillo revient sur ces années terribles, dans un film qui, choisissant d’abord le mode choral, éclaire de façon lumineuse et quasi documentaire ce que fut la lutte d’Act Up, tout en développant ensuite de façon plus convenue une fiction sentimentale qui individualise la tragédie.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le réalisateur français Robin Campillo filme une épidémie (le sida) qui ronge les corps et les cœurs sans pathos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette libre association des énergies constitue le trait le plus immédiatement marquant de "120 battements par minute" : Campillo met en scène l’élaboration de la parole et de l’action d’un groupe militant avec une attention et une empathie qui n’empêchent pas la lucidité, voire l’ironie (toujours bienveillante).
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"120 Battements par minute", dont le titre, confie le cinéaste, évoque « les battements du coeur et ceux du plaisir », atteint à plusieurs reprises des sommets de cinéma, notamment lorsqu'un plan panoramique fait de la Seine un fleuve de sang.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Un film au souffle humain et historique exceptionnel.
Paris Match
par Yannick Vely
En plus de signer un grand film, primé à Cannes avant de nombreux César, il révèle aussi une épatante troupe de jeunes acteurs - Nahuel Perez Biscayart, Arnaud Valois, Antoine Reinartz -, "constellation" d'étoiles qui ne seront pas filantes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Louise Dumas
La plupart des militants d'Act Up veulent avoir un "enterrement politique". Et tandis que sont dispersées des cendres dans une ultime action choc, on se dit que "120 battements par minute", malgré quelques regrettables excès ça et là, obéit à la magnifique nécessité de les recueillir.
Première
par Guillaume Bonnet
Sur la qualité du film, tout le monde était d’accord. Mais la "Palme du cœur", vraiment ? C’était oublier que le cœur de ce beau film ne bat pas à la vitesse normale.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Plus qu’un banal hommage aux militants d’Act Up Paris, "120 battements par minute" esquisse la silhouette sensible d’une génération d’oubliés. Portrait sensuel et évanescent au carrefour des "Revenants" et d’"Eastern Boys".
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
La véracité de "120 battements par minute" (« ceux du cœur et du plaisir », a expliqué le cinéaste) en fait une œuvre aux images et propos crus, souvent éprouvante, à la fois mortifère, imprégnée de désespoir et pleine de désir de vivre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
CinemaTeaser
Film de lutte, de bande, d'amour tragique, "120 Battements par minute" n'a peur de rien. Ni du romanesque, ni du politique, ni même d'en faire du cinéma.
Critikat.com
"120 battements par minute" vibre à chaque plan, exulte d’un désir de vivre et de se battre, de donner à voir et à entendre, de rendre visible.
Culturopoing.com
Du collectif à l'individu, le flux de "120 battements par minute" coule, vrille, se tord mais toujours repart. En pleine épidémie du sida, Robin Campillo propose un film de vie, d'amour et de combat.
Femme Actuelle
Une claque.
L'Express
Le film est si réussi, si passionnant, si emballant, si émouvant qu'il semble échapper à tout, et notamment aux calculs. 120 BPM est en état de grâce, poussé par sa propre énergie, son propre désir. II touche chacun au plus profond. Cela s'appelle une grande oeuvre.
L'Obs
Grand prix du jury, ce film moderne, politique et bouleversant n'a pas eu, à Cannes, la palme d'or qu'on espérait. Qu'importe. Il tient désormais à chacun d'en faire le grand film populaire qu'il doit être avant tout.
LCI
Avec ce grand film pulsatile, Campillo radiographie le désir, montre le sexe, sonde l'ivresse, communique le spleen. C'est beau et triste comme le tube Smalltown Boy de Bronski Beat dont la simple évocation dévaste...
La Septième Obsession
"120 battements par minute" a cette carrure assez unique, que l’on n’ose plus tout à fait attendre d’un film français. Il mérite, en cela, tous les éloges.
Le Journal du Dimanche
Après les débats enflammés des réunions hebdomadaires, les actions musclées contre les labos pharmaceutiques et le gouvernement de Mitterrand, la caméra de Robin Campillo se focalise peu à peu sur un amour naissant. Simple et beau.
Les Inrockuptibles
Sous ses airs naturalistes, le film est travaillé, en filigrane, par une structure narrative sophistiquée, qui va du général vers le particulier, de la collectivité vers l’individu, seul face à la mort (…) : "120 battements par minute" est l’un des plus beaux films de l’année.
Libération
Ce film est une boîte : une utopie et une cellule, une machine qui serait capable d’émotion comme celles de la musique électronique. Il crée là tout un réseau de sens qui n’est jamais métaphorique, mais scénographique : un espace qui cherche à se laisser habiter par des figures qui doivent tout à la vitalité en mouvement des acteurs, et se laisser envahir par des forces extérieures à la limite du surnaturel.
Marianne
Un des plus beaux films de l'année.
Ouest France
Emotion, dignité et fierté sont au rendez-vous.
Transfuge
D'une scène à l'autre, deux heures se sont écoulées. Un film. Un grand.
Télé 2 semaines
Une émotion vraie se dégage de ce film important, dont la fin, très belle, rappelle que la vie continue. Et le combat contre le Sida aussi.
Télé 7 Jours
Jamais rébarbatif ni larmoyant, un grand film sur la vie, à l'image de son titre vibrant, porté par de jeunes comédiens bouleversants.
Télérama
Le film impressionne par la fluidité de sa montée en puissance, la sophistication discrète de sa structure.
Voici
Un drame bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Davantage qu’il est un portrait de groupe ou d’un morceau d’histoire, le film fait la collection de ces gestes pour raconter ce que c’est de trouver un fil à quoi s’accrocher dans les remous d’une période dangereuse, dont on ne peut se sauver qu’à condition de réussir sa vie, fut-elle effroyablement brève. C’est-à-dire, aussi, réussir sa mort.
Elle
On est suspendus aux discussions des protagonistes, saisis par leur violence dialectique, leur intense énergie, leur créativité qui les pousse à imaginer sans cesse de nouveaux slogans et des coups d’éclat pour repousser la mort.
Franceinfo Culture
"120 battements par minute" reconstitue par la fiction une histoire peu connue, voire oubliée, de personnes condamnées qui se sont données pour combattre leur mal, pour elles-mêmes, pour les autres et le futur.
Le Dauphiné Libéré
Robin Campillo revient sur ces années terribles, dans un film qui, choisissant d’abord le mode choral, éclaire de façon lumineuse et quasi documentaire ce que fut la lutte d’Act Up, tout en développant ensuite de façon plus convenue une fiction sentimentale qui individualise la tragédie.
Le Figaro
Le réalisateur français Robin Campillo filme une épidémie (le sida) qui ronge les corps et les cœurs sans pathos.
Le Monde
Cette libre association des énergies constitue le trait le plus immédiatement marquant de "120 battements par minute" : Campillo met en scène l’élaboration de la parole et de l’action d’un groupe militant avec une attention et une empathie qui n’empêchent pas la lucidité, voire l’ironie (toujours bienveillante).
Le Parisien
"120 Battements par minute", dont le titre, confie le cinéaste, évoque « les battements du coeur et ceux du plaisir », atteint à plusieurs reprises des sommets de cinéma, notamment lorsqu'un plan panoramique fait de la Seine un fleuve de sang.
Les Fiches du Cinéma
Un film au souffle humain et historique exceptionnel.
Paris Match
En plus de signer un grand film, primé à Cannes avant de nombreux César, il révèle aussi une épatante troupe de jeunes acteurs - Nahuel Perez Biscayart, Arnaud Valois, Antoine Reinartz -, "constellation" d'étoiles qui ne seront pas filantes.
Positif
La plupart des militants d'Act Up veulent avoir un "enterrement politique". Et tandis que sont dispersées des cendres dans une ultime action choc, on se dit que "120 battements par minute", malgré quelques regrettables excès ça et là, obéit à la magnifique nécessité de les recueillir.
Première
Sur la qualité du film, tout le monde était d’accord. Mais la "Palme du cœur", vraiment ? C’était oublier que le cœur de ce beau film ne bat pas à la vitesse normale.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un banal hommage aux militants d’Act Up Paris, "120 battements par minute" esquisse la silhouette sensible d’une génération d’oubliés. Portrait sensuel et évanescent au carrefour des "Revenants" et d’"Eastern Boys".
La Croix
La véracité de "120 battements par minute" (« ceux du cœur et du plaisir », a expliqué le cinéaste) en fait une œuvre aux images et propos crus, souvent éprouvante, à la fois mortifère, imprégnée de désespoir et pleine de désir de vivre.