Jeannette, l'enfance de Jeanne d'Arc : Critique presse
Jeannette, l'enfance de Jeanne d'Arc
Note moyenne
3,2
22 titres de presse
Cahiers du Cinéma
20 Minutes
Critikat.com
Femme Actuelle
Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
Positif
Studio Ciné Live
Sud Ouest
Télérama
aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Transfuge
Libération
Paris Match
L'Express
La Septième Obsession
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Bruno Dumont offre avec Jeannette son film le plus impur, bizarre et encombré en même temps que le plus fièrement minimal, et superbe. (…) avec ce petit chef-d’œuvre, son cinéma s’envole définitivement.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Comme avec "Ma loute", son précédent film, sorti en 2016, Bruno Dumont surprend avec Jeannette, une drôle de comédie poético-rock’n’roll sur l’enfance de Jeanne d’Arc. Et enchante ceux qui apprécient l’audace au cinéma, les délires mystiques et les bergères.
Critikat.com
par Nicola Brarda
On quitte donc Jeannette stupéfait, admiratif et un brin agacé, devant cette œuvre suspendue entre la grâce et son contraire. La mise en scène de Dumont n'atteint le miracle qu'à moitié : son film lévite, mais il trébuche aussi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une expérience pour les spectateurs avertis comme pour les curieux, qui oscille entre le kitsch ultime et l'ascétisme, le mystique et le loufoque. Radical et gonflé.
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
La transposition tiendra peut-être du blasphème aux yeux de certains, mais son apparente pertinence est frappante. Elle incite en tout cas à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
C’est dingue, déroutant, parfois burlesque, globalement merveilleux. Ce qui pouvait apparaître sur le papier comme une lubie, une expérience limite, se révèle d’une extrême cohérence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Alain Masson
Bruno Dumont ne se contente pas de nous livrer une vision neuve du texte de Péguy et de la vocation de Jeanne d'Arc "à l'état naissant" - car c'est bien un état. Il illustre le fonctionnement spirituel de l'engagement.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Jeannette, qui n'en oublie pas d'être drôle, est un film qui fait le pari de la liberté et de la curiosité.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sans doute, le film – coproduit par Arté et déjà passé à la télévision – en déconcertera plus d’un. Mais dans sa bizarrerie même, dans cette approche « paranormale » et proche de la chanson de gestes, se dessine une peinture étonnante, charriant dans le ciel très bleu les forces nues de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par La Rédaction
Avec cette comédie musicale mi-rock, mi-rap où la petite bergère de Domrémy chante et danse sur des textes de Péguy, le réalisateur de Flandres signe son film le plus audacieux. Une radicalité esthétique qui pourra autant enchanter que dérouter…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
POUR : Dans l’aridité de décor s’élèvent des incantations rohmeriennes qui prédisposent la projection à devenir un puzzle savoureux dont on cherche le sens derrière la parure. Dumont étoffe son discours dans la légèreté des vocalises et le rend donc d’autant plus complexe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Bruno Dumont ose tout et c’est tant mieux, allant jusqu’à s’offrir, dans l’avant-dernier plan, un gag visuel digne des plus grandioses nanars. Impressionnant !
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
On navigue entre poésie naïve, chromo colorié, pesante pesanteur et moments de grâce.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré des longueurs, ce long métrage singulier exerce une certaine fascination, porté par Lise Leplat Prudhomme, qui récite parfois son texte mais dont la ferveur vaut le détour.
Le Monde
par Murielle Joudet
Le résultat oscille entre la sidération et l’indigestion, le dispositif prenant le risque de s’enrayer dans sa deuxième partie. Bien qu’imparfait, Jeannette reste un objet passionnant.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Le nuveau Bruno Dumont est un film fou et suprêmement audacieux.
Transfuge
par Sidy Sakho
Inconfortable, toujours sur le fil, "Jeanne, l'enfance de Jeanne d'Arc" est sans nul doute le pari le plus risqué du cinéaste.
Libération
par Jérémy Piette
Adaptant Charles Péguy, Bruno Dumont s’empare de l’héroïne nationale dans une comédie musicale au dispositif culotté mais trop statique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Résultat, on applaudit l'audace formelle mais nos oreilles assurément ne s'en remettront pas.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Christophe Carrière
C'est gênant et, plus impardonnable, ennuyeux.
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Le spectacle de Jeannette ne produit aucune grâce, ne fait naître aucune joie, on n’y voit ni mythe ni mystique, mais plutôt la rencontre improbable de la danse contemporaine et d’un très long concert d’Aurélie Terrier, la chanteuse de P’tit Quinquin.
aVoir-aLire.com
par Hugo Maurier
CONTRE : "Jeannette, l’enfance de Jeanne d’Arc" est donc un film qu’on aurait aimé aimer, mais ses atouts de radicalité sont également ses plus gros péchés. Au diable le sens et les intentions quand l’exaspération domine l’expérimentation. Que l’on jette Jeannette au bûcher des vanités.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Bruno Dumont offre avec Jeannette son film le plus impur, bizarre et encombré en même temps que le plus fièrement minimal, et superbe. (…) avec ce petit chef-d’œuvre, son cinéma s’envole définitivement.
20 Minutes
Comme avec "Ma loute", son précédent film, sorti en 2016, Bruno Dumont surprend avec Jeannette, une drôle de comédie poético-rock’n’roll sur l’enfance de Jeanne d’Arc. Et enchante ceux qui apprécient l’audace au cinéma, les délires mystiques et les bergères.
Critikat.com
On quitte donc Jeannette stupéfait, admiratif et un brin agacé, devant cette œuvre suspendue entre la grâce et son contraire. La mise en scène de Dumont n'atteint le miracle qu'à moitié : son film lévite, mais il trébuche aussi.
Femme Actuelle
Une expérience pour les spectateurs avertis comme pour les curieux, qui oscille entre le kitsch ultime et l'ascétisme, le mystique et le loufoque. Radical et gonflé.
Franceinfo Culture
La transposition tiendra peut-être du blasphème aux yeux de certains, mais son apparente pertinence est frappante. Elle incite en tout cas à la réflexion.
Les Inrockuptibles
C’est dingue, déroutant, parfois burlesque, globalement merveilleux. Ce qui pouvait apparaître sur le papier comme une lubie, une expérience limite, se révèle d’une extrême cohérence.
Positif
Bruno Dumont ne se contente pas de nous livrer une vision neuve du texte de Péguy et de la vocation de Jeanne d'Arc "à l'état naissant" - car c'est bien un état. Il illustre le fonctionnement spirituel de l'engagement.
Studio Ciné Live
Jeannette, qui n'en oublie pas d'être drôle, est un film qui fait le pari de la liberté et de la curiosité.
Sud Ouest
Sans doute, le film – coproduit par Arté et déjà passé à la télévision – en déconcertera plus d’un. Mais dans sa bizarrerie même, dans cette approche « paranormale » et proche de la chanson de gestes, se dessine une peinture étonnante, charriant dans le ciel très bleu les forces nues de l’enfance.
Télérama
Avec cette comédie musicale mi-rock, mi-rap où la petite bergère de Domrémy chante et danse sur des textes de Péguy, le réalisateur de Flandres signe son film le plus audacieux. Une radicalité esthétique qui pourra autant enchanter que dérouter…
aVoir-aLire.com
POUR : Dans l’aridité de décor s’élèvent des incantations rohmeriennes qui prédisposent la projection à devenir un puzzle savoureux dont on cherche le sens derrière la parure. Dumont étoffe son discours dans la légèreté des vocalises et le rend donc d’autant plus complexe.
La Voix du Nord
Bruno Dumont ose tout et c’est tant mieux, allant jusqu’à s’offrir, dans l’avant-dernier plan, un gag visuel digne des plus grandioses nanars. Impressionnant !
Le Dauphiné Libéré
On navigue entre poésie naïve, chromo colorié, pesante pesanteur et moments de grâce.
Le Journal du Dimanche
Malgré des longueurs, ce long métrage singulier exerce une certaine fascination, porté par Lise Leplat Prudhomme, qui récite parfois son texte mais dont la ferveur vaut le détour.
Le Monde
Le résultat oscille entre la sidération et l’indigestion, le dispositif prenant le risque de s’enrayer dans sa deuxième partie. Bien qu’imparfait, Jeannette reste un objet passionnant.
Les Fiches du Cinéma
Le nuveau Bruno Dumont est un film fou et suprêmement audacieux.
Transfuge
Inconfortable, toujours sur le fil, "Jeanne, l'enfance de Jeanne d'Arc" est sans nul doute le pari le plus risqué du cinéaste.
Libération
Adaptant Charles Péguy, Bruno Dumont s’empare de l’héroïne nationale dans une comédie musicale au dispositif culotté mais trop statique.
Paris Match
Résultat, on applaudit l'audace formelle mais nos oreilles assurément ne s'en remettront pas.
L'Express
C'est gênant et, plus impardonnable, ennuyeux.
La Septième Obsession
Le spectacle de Jeannette ne produit aucune grâce, ne fait naître aucune joie, on n’y voit ni mythe ni mystique, mais plutôt la rencontre improbable de la danse contemporaine et d’un très long concert d’Aurélie Terrier, la chanteuse de P’tit Quinquin.
aVoir-aLire.com
CONTRE : "Jeannette, l’enfance de Jeanne d’Arc" est donc un film qu’on aurait aimé aimer, mais ses atouts de radicalité sont également ses plus gros péchés. Au diable le sens et les intentions quand l’exaspération domine l’expérimentation. Que l’on jette Jeannette au bûcher des vanités.