Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Le cinéaste excelle à utiliser ce tableau inquiétant autant à des fins ouvertement critiques qu’à la mise en place d’un suspens indécis, il bannit l’idée même de sérénité de son univers pour faire d’éléments anodins des sources de tension récurrentes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un thriller politique et engagé et un magnifique portrait de femme.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le cinéaste, qui s'est déjà intéressé à la Mafia avec "les Cent Pas", prix du scénario à la Mostra de Venise en 2000, dessine le portrait d'une femme blessée et forte, décidée et désemparée, servie à la perfection par Vanessa Scalera. Des images d'archives créent un contrepoint saisissant et ajoutent à l'émotion lancinante de ce film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le portrait d’une femme luttant pour sa liberté d’être femme, qui prend, au-delà du contexte personnel, une résonance universelle.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Glaçant.
L'Express
par Christophe Carrière
Le film est âpre, concis, mais, une fois n'est pas coutume, trop court.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Marco Tullio Giordana garde le cap d’un réalisme austère pour montrer la rudesse du quotidien et de son héroïne. Sombre, son film n’a pour lumière que le lien mère-fille renforcé au fil des épreuves et, en toute fin, les images d’archives qui rappellent que d’autres femmes, soutenues par une partie de la population, mènent elles aussi le combat de Lea.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Un peu engoncé dans une écriture et une mise en scène très classiques, Marco Tullio Giordana ne réalise pas pleinement le potentiel dramatique de son tableau familial, mais dresse à travers la mère et la fille deux beaux portraits de femmes fortes.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Inspiré de l'histoire vraie de Lea Garofalo, ce travail à la narration un peu appliquée se voit transcendé par le souffle de son sujet et par le courage de son inspiratrice.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'interprète du personnage de Lea, Vanessa Scalera, sauve le film de la monotonie qui lui pend au nez. (...) L'arrière-plan, les personnages annexes, eux, sont interchangeables. De simples fonctions.
Libération
par Luc Chessel
"Lea" de Marco Tullio Giordana est un bon téléfilm, genre à part entière qui a ses propres lois : concision du propos, relâchement du sens, rapidité du rythme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Si sa réalisation, fort téléfilmesque, manque de panache et de nervosité, ce long métrage inégal vaut toutefois pour la mise en lumière tristement méritée de son héroïne, impeccablement incarnée par la magnétique Vanessa Scalera.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Frédéric Foubert
Ça manque parfois d'invention, de romanesque, mais quand la chronique s'engage dans un tourbillon tragique, toute cette froideur finit par payer. Et réellement glacer le sang.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Le portrait touchant d'une femme combative dans l'enfer de la mafia.
Télérama
par Frédéric Strauss
En décrivant cette mécanique infernale, le film devient parfois une démonstration elle-même un peu mécanique. Il gagne en force lorsque Lea Garofalo disparaît et que sa fille, une adolescente, lutte pour faire surgir la vérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Diffusé à la télévision italienne en fin d’année 2015, Léa réussit à déboucher sur une proposition de cinéma pertinente en dépit d’un rythme légèrement tronqué et d’une réalisation d’ampleur moindre mais rigoureuse...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela manque pourtant un peu de relief, malgré la présence et la vitalité indéniable de Vanessa Scalera dans le rôle principal, qui sauve le film de la banalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un téléfilm long et ennuyeux, à l’intrigue prévisible.
Culturopoing.com
Le cinéaste excelle à utiliser ce tableau inquiétant autant à des fins ouvertement critiques qu’à la mise en place d’un suspens indécis, il bannit l’idée même de sérénité de son univers pour faire d’éléments anodins des sources de tension récurrentes.
Femme Actuelle
Un thriller politique et engagé et un magnifique portrait de femme.
L'Obs
Le cinéaste, qui s'est déjà intéressé à la Mafia avec "les Cent Pas", prix du scénario à la Mostra de Venise en 2000, dessine le portrait d'une femme blessée et forte, décidée et désemparée, servie à la perfection par Vanessa Scalera. Des images d'archives créent un contrepoint saisissant et ajoutent à l'émotion lancinante de ce film.
Le Dauphiné Libéré
Le portrait d’une femme luttant pour sa liberté d’être femme, qui prend, au-delà du contexte personnel, une résonance universelle.
Ouest France
Glaçant.
L'Express
Le film est âpre, concis, mais, une fois n'est pas coutume, trop court.
La Croix
Marco Tullio Giordana garde le cap d’un réalisme austère pour montrer la rudesse du quotidien et de son héroïne. Sombre, son film n’a pour lumière que le lien mère-fille renforcé au fil des épreuves et, en toute fin, les images d’archives qui rappellent que d’autres femmes, soutenues par une partie de la population, mènent elles aussi le combat de Lea.
Le Monde
Un peu engoncé dans une écriture et une mise en scène très classiques, Marco Tullio Giordana ne réalise pas pleinement le potentiel dramatique de son tableau familial, mais dresse à travers la mère et la fille deux beaux portraits de femmes fortes.
Les Fiches du Cinéma
Inspiré de l'histoire vraie de Lea Garofalo, ce travail à la narration un peu appliquée se voit transcendé par le souffle de son sujet et par le courage de son inspiratrice.
Les Inrockuptibles
L'interprète du personnage de Lea, Vanessa Scalera, sauve le film de la monotonie qui lui pend au nez. (...) L'arrière-plan, les personnages annexes, eux, sont interchangeables. De simples fonctions.
Libération
"Lea" de Marco Tullio Giordana est un bon téléfilm, genre à part entière qui a ses propres lois : concision du propos, relâchement du sens, rapidité du rythme.
Metro
Si sa réalisation, fort téléfilmesque, manque de panache et de nervosité, ce long métrage inégal vaut toutefois pour la mise en lumière tristement méritée de son héroïne, impeccablement incarnée par la magnétique Vanessa Scalera.
Première
Ça manque parfois d'invention, de romanesque, mais quand la chronique s'engage dans un tourbillon tragique, toute cette froideur finit par payer. Et réellement glacer le sang.
Studio Ciné Live
Le portrait touchant d'une femme combative dans l'enfer de la mafia.
Télérama
En décrivant cette mécanique infernale, le film devient parfois une démonstration elle-même un peu mécanique. Il gagne en force lorsque Lea Garofalo disparaît et que sa fille, une adolescente, lutte pour faire surgir la vérité.
aVoir-aLire.com
Diffusé à la télévision italienne en fin d’année 2015, Léa réussit à déboucher sur une proposition de cinéma pertinente en dépit d’un rythme légèrement tronqué et d’une réalisation d’ampleur moindre mais rigoureuse...
L'Humanité
Cela manque pourtant un peu de relief, malgré la présence et la vitalité indéniable de Vanessa Scalera dans le rôle principal, qui sauve le film de la banalité.
Le Journal du Dimanche
Un téléfilm long et ennuyeux, à l’intrigue prévisible.