Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Magnifique dans ce rôle sur le fil, Fanny Ardant apporte à son personnage toute sa sensibilité, son panache et ses fêlures.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ecrit avec toutes les finesses qui font qu’une pure fiction peut sonner plus vrai que la vie, mis en scène avec un tact extravagant allant droit au cœur, le film convoque une galerie de personnages attachants et tous justes.
Franceinfo Culture
par Odile Morain
Une histoire pleine de pudeur dans laquelle Fanny Ardant incarne avec délicatesse cette superbe transsexuelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
C'est le portrait d'une femme farouche plus vraie que nature. Une Lola qui nous ravage le cœur, interprétée avec gourmandise et complicité par une Fanny Ardant étincelante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Pierre Eisenreich
Filmé en scope dans des couleurs chaudes très méditerranéennes, "Lola Pater" brille par sa sensualité pour accompagner les modulations des humeurs de Zino et Lola.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Nadir Moknèche scrute une drôle de famille avec une délicatesse qui lui permet d'éviter le piège de la caricature exotique faussement bienveillante comme celui du film à thèse pompeux.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Sud Ouest
par Sophie Avon
Les personnages sont bien assez vrais et la mise en scène juste pour que le film trouve à chaque plan son bel équilibre.
Télérama
par Pierre Murat
Le plus séduisant est l'infinie douceur de Nadir Moknèche. Son amour visible pour les seconds rôles : le réceptionniste sri-lankais qui, par pure gentillesse, reconnaît la ressemblance de sa cliente avec Beyoncé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par La Rédaction
Fanny Ardant, avec son insolence et son élégance, était bien faite pour défendre ce personnage baroque de transsexuel, un père qui est devenu femme. Son fils Zino en fait la troublante découverte. Dommage que l'écriture du film reste faible et superficielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sur le fil plutôt radical de son sujet, le réalisateur de "Goodbye Morocco" laisse infuser toutes les nuances d'une situation dramatique que partagent avec une totale crédibilité Fanny Ardant, parfaite de naturel dans un personnage aussi singulier, et Tewfik Jallab, qui crevait déjà l'écran (...) dans "Né quelque part".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Maladroitement mais avec sincérité, Nadir Moknèche parle de la condition des transsexuels, de la recherche du père et du poids des préjugés.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Lola Pater pêche par baisses de tension, mais on retient au final la sensibilité de Moknèche, et son courage aussi puisqu’il questionne des siècles de patriarcat. Et puis bon, Fanny Ardant, quoi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Dans le rôle de Lola la rebelle, Fanny Ardant impose sa voix troublante et sa silhouette gracieuse. Face à ce monstre sacré, Tewfik Jallab confirme qu’il est l’un des jeunes acteurs les plus intéressants de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une classique recherche du père qui débouche sur un univers transgenre : le Franco-Algérien Nadir Moknèche n’y va pas de main morte pour bousculer les conventions et sa culture d’origine…
Le Monde
par Thomas Sotinel
Des questions qui flottent dans l’air tout au long du film, à mesure que Zino, musicien qui vit en accordant des pianos, se rapproche de l’identité et de l’histoire cachée de son père. Mais elles ne s’incarnent jamais tout à fait. A cause d’un scénario qui emprunte les étapes les plus prévisibles de la lente et tardive réconciliation entre un parent et un enfant longtemps séparés.
Libération
par Jérémy Piette
On comprend la douleur mais on peine à connecter humblement avec une histoire pourtant cruciale - et à oublier l’actrice qui s’évertue à performer avec tout son barouf de maniérismes plutôt qu’à interpréter une femme trans qui, au loin quelque part, s’appelle peut-être aussi Lola et ne se reconnaîtra probablement pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Femme Actuelle
Magnifique dans ce rôle sur le fil, Fanny Ardant apporte à son personnage toute sa sensibilité, son panache et ses fêlures.
Le Journal du Dimanche
Ecrit avec toutes les finesses qui font qu’une pure fiction peut sonner plus vrai que la vie, mis en scène avec un tact extravagant allant droit au cœur, le film convoque une galerie de personnages attachants et tous justes.
Franceinfo Culture
Une histoire pleine de pudeur dans laquelle Fanny Ardant incarne avec délicatesse cette superbe transsexuelle.
L'Obs
C'est le portrait d'une femme farouche plus vraie que nature. Une Lola qui nous ravage le cœur, interprétée avec gourmandise et complicité par une Fanny Ardant étincelante.
Positif
Filmé en scope dans des couleurs chaudes très méditerranéennes, "Lola Pater" brille par sa sensualité pour accompagner les modulations des humeurs de Zino et Lola.
Studio Ciné Live
Nadir Moknèche scrute une drôle de famille avec une délicatesse qui lui permet d'éviter le piège de la caricature exotique faussement bienveillante comme celui du film à thèse pompeux.
Sud Ouest
Les personnages sont bien assez vrais et la mise en scène juste pour que le film trouve à chaque plan son bel équilibre.
Télérama
Le plus séduisant est l'infinie douceur de Nadir Moknèche. Son amour visible pour les seconds rôles : le réceptionniste sri-lankais qui, par pure gentillesse, reconnaît la ressemblance de sa cliente avec Beyoncé.
Le Figaro
Fanny Ardant, avec son insolence et son élégance, était bien faite pour défendre ce personnage baroque de transsexuel, un père qui est devenu femme. Son fils Zino en fait la troublante découverte. Dommage que l'écriture du film reste faible et superficielle.
Le Parisien
Sur le fil plutôt radical de son sujet, le réalisateur de "Goodbye Morocco" laisse infuser toutes les nuances d'une situation dramatique que partagent avec une totale crédibilité Fanny Ardant, parfaite de naturel dans un personnage aussi singulier, et Tewfik Jallab, qui crevait déjà l'écran (...) dans "Né quelque part".
Les Fiches du Cinéma
Maladroitement mais avec sincérité, Nadir Moknèche parle de la condition des transsexuels, de la recherche du père et du poids des préjugés.
Les Inrockuptibles
Lola Pater pêche par baisses de tension, mais on retient au final la sensibilité de Moknèche, et son courage aussi puisqu’il questionne des siècles de patriarcat. Et puis bon, Fanny Ardant, quoi.
Première
Dans le rôle de Lola la rebelle, Fanny Ardant impose sa voix troublante et sa silhouette gracieuse. Face à ce monstre sacré, Tewfik Jallab confirme qu’il est l’un des jeunes acteurs les plus intéressants de sa génération.
Le Dauphiné Libéré
Une classique recherche du père qui débouche sur un univers transgenre : le Franco-Algérien Nadir Moknèche n’y va pas de main morte pour bousculer les conventions et sa culture d’origine…
Le Monde
Des questions qui flottent dans l’air tout au long du film, à mesure que Zino, musicien qui vit en accordant des pianos, se rapproche de l’identité et de l’histoire cachée de son père. Mais elles ne s’incarnent jamais tout à fait. A cause d’un scénario qui emprunte les étapes les plus prévisibles de la lente et tardive réconciliation entre un parent et un enfant longtemps séparés.
Libération
On comprend la douleur mais on peine à connecter humblement avec une histoire pourtant cruciale - et à oublier l’actrice qui s’évertue à performer avec tout son barouf de maniérismes plutôt qu’à interpréter une femme trans qui, au loin quelque part, s’appelle peut-être aussi Lola et ne se reconnaîtra probablement pas.