Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
Une pépite.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Le réalisateur iranien d'"Une séparation" signe un film magistral, doublement récompensé à Cannes par les prix du scénario et celui de l'interprétation masculine. A mi-chemin entre le thriller et la chronique sociale, ce drame nous embarque et nous interpelle jusqu'à un final poignant.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Positif
par Vincent Thabourey
Asghar Farhadi excelle à orchestrer ce ressac temporel. Conviant tous les outils du cinéma avec un savoir-faire discret, il assume sans forfanterie son côté bâtisseur d'histoires. "Le Client" est un magnifique système, une habile construction.
Bande à part
par Jo Fishley
La justice, la morale et la recherche de la vérité sont des questions qui ont souvent intéressé Asghar Farhadi. Mais plus encore qu’une histoire de vengeance, Le Client est le récit d’un couple en crise, un drame domestique dont on mesure aussi l’écho avec l’état de son pays, le miroir tendu à ses propres passions conflictuelles.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Le réalisateur ne semble pas prendre position sur les questions qu'il pose. Son talent peut-être est-il un point de vue.
Critikat.com
par Benoît Smith
Dans le regard inquisiteur que Farhadi fait circuler sur son théâtre à lui, une dimension plus discrète transparaît, qui invite à surmonter son abord peu amène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Magali Jauffret
Une nouvelle fois, le cinéaste iranien bouscule le confort d’un jeune couple de la classe moyenne pour le confronter à une situation dramatique, nous plongeant dans la complexité de l’humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
De retour en Iran après une parenthèse française ("Le Passé"), le cinéaste se comporte une nouvelle fois en architecte, bâtissant un scénario implacable, dont chaque pièce s’assemble sans que le spectateur en ait toujours conscience, sans que jamais les personnages ne mesurent les effets produits sur leur existence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Primé au Festival de Cannes, le nouveau film de l’Iranien Asghar Farhadi propose une exploration morale vertigineuse, où se dérobe l’évidence du jugement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un scénario qui enchaîne les événements comme un engrenage, un regard acéré sur les blocages d’une société puritaine prise dans la mécanique oppressante de la honte.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Doublement primé à Cannes, le film de l'Iranien Asghar Farhadi est un thriller conjugal haletant, qui interroge avec brio sur le sens de la vérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Calderon de la Barca disait : "La vie est un rêve. Et les rêves sont eux-mêmes des songes." C’est cette sensation vertigineuse qui s’empare du spectateur à la vision de ce suspense conjugal - certes déstabilisant -, mais diablement bien réalisé. Aussi maîtrisé qu’imprévisible…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Tout en filmant au plus près de ses personnages, le cinéaste iranien sème discrètement les indices et entretient savamment l’ambiguïté pour créer le trouble. Encore une fois, il dénonce la pression morale et religieuse qui pervertit les relations aussi bien sociales que familiales.
Le Point
par Victoria Gairin et Armin Arefi
Il y a du Pirandello chez Asghar Farhadi. Du Tchekhov aussi. Cette manie de laisser au spectateur le soin de choisir sa propre vérité. Et, il faut le reconnaître, un certain talent pour sonder l'âme et la comédie humaine. "Le Client", récompensé à Cannes et dont le nombre d'entrées a battu des records en Iran, n'échappe pas à la règle.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Asghar Farhadi ausculte de nouveau le délitement d’un couple avec subtilité et pertinence.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Outre ses qualités techniques, "Le Client" est aussi un superbe moyen de comprendre la société d'aujourd'hui à Téhéran.
Transfuge
par Damien Aubel
C'est brillant mais, heureusement, les zones d'ombre restent inentamées (...), la direction d'acteurs, réglée au millimètre, prenant le relais sur la narration pour faire ressortir cette inquiétude permanente : l'incapacité de rester dans la quiétude d'un endroit qui serait à soi.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Comme à son habitude, Ashgar Farhadi ("Une séparation") livre un film humaniste à la fois simple, puissant et universel.
Voici
par Lola Sciamma
Un mélodrame moral par le réalisateur d'"Une séparation".
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Fidèle à son univers du jeu des apparences et à sa vision humaniste des rapports humains, Ashgar Farhadi livre un nouveau conte moral d’une grande rigueur d’écriture.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Si quelques lenteurs, notamment dans la description du milieu théâtral, rendent le film moins puissant que les œuvres précédentes du cinéaste, le spectateur se laisse tout de même emporter par l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Boris Courret
L’intrigue qui nous est présentée est bien trop sibylline pour nous emporter totalement. Subsiste malgré tout la prestation intense et enlevée de deux acteurs habités par un désir de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Fahradi continue de creuser les strates d'une société iranienne assise entre deux chaises : la force de la tradition et la tentation de basculer dans l'Iran de demain. On achète.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Il est dommage que la partie finale alourdisse le film (...). Jusqu'à ce clou moralisateur trop lourdement enfconé, Farhadi avait confirmé son talent d'efficace storyteller et de remarquable directeur d'acteurs.
Libération
par Gilles Renault
La censure iranienne n’y a manifestement détecté aucune inflexion métaphorique. Pourtant, le doute est permis.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Sans nous éblouir d'éclats particuliers, ce film séduit par l'électricité dans l'air du temps iranien qui en émane.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Eric Libiot
La mécanique scénaristique est d'une belle précision, mais Farhadi ne surprend plus et alourdit son propos d'un jeu de miroirs inutile et d'un final trop long et trop mélo.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Il est à craindre que cette capitalisation un peu trop méthodique sur ses acquis ne transforme l’œuvre du cinéaste en un système vendeur, qui se contente de s’exporter.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Premier faux pas pour l’auteur d’"Une séparation", de retour à Téhéran, dans une société iranienne hypocrite et faussement polissée.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le redoublement du théâtre et de la vie, qui aurait pu être fructueux si la partie théâtrale avait pu être autre chose qu’un décor destiné à contenir l’idée d’une mise en abyme, mais où rien ne se joue vraiment pour le film. Le sentiment d’une déception l’emporte donc, aussi intéressante et inventive la métaphore fût-elle.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Ce drame conjugal, qui a le mérite de ne jamais chercher à se montrer aimable, séduit par sa mise en scène rigoureuse. Mais, à force de creuser le même sillon - le propre d'un auteur -, Farhadi peine de plus en plus à surprendre. Et semble, pour la première fois, plus bégayer qu'avancer.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film, tissé de multiples revirements narratifs, se veut au service d'un cas particulièrement édifiant, mais il en devient théorique - et c'est là que le bât blesse. On se demande d'ailleurs comment le jury cannois a pu consacrer un scénario somme toute assez filandreux, incapable en tout état de cause de renouer avec l'efficacité d'"Une séparation", qui n'en était pas moins complexe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
"Le Client" n’est que le nouvel avatar d’un cinéma festivalier du tournant des années 2010 maintenant très vieux, vite oublié.
Télérama
par Cécile Mury
C'est l'ambiguïté d'Asghar Farhadi face à son sujet qui crée le seul vrai malaise. Si on retrouve le talent du cinéaste (...)n, son sens de l'ellipse et de la fluidité nerveuse du mouvement, on ne cesse de se demander ce qu'il dit vraiment, tant chaque situation, chaque dilemme, peut faire l'objet d'interprétations contradictoires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Une pépite.
Femme Actuelle
Le réalisateur iranien d'"Une séparation" signe un film magistral, doublement récompensé à Cannes par les prix du scénario et celui de l'interprétation masculine. A mi-chemin entre le thriller et la chronique sociale, ce drame nous embarque et nous interpelle jusqu'à un final poignant.
Positif
Asghar Farhadi excelle à orchestrer ce ressac temporel. Conviant tous les outils du cinéma avec un savoir-faire discret, il assume sans forfanterie son côté bâtisseur d'histoires. "Le Client" est un magnifique système, une habile construction.
Bande à part
La justice, la morale et la recherche de la vérité sont des questions qui ont souvent intéressé Asghar Farhadi. Mais plus encore qu’une histoire de vengeance, Le Client est le récit d’un couple en crise, un drame domestique dont on mesure aussi l’écho avec l’état de son pays, le miroir tendu à ses propres passions conflictuelles.
Charlie Hebdo
Le réalisateur ne semble pas prendre position sur les questions qu'il pose. Son talent peut-être est-il un point de vue.
Critikat.com
Dans le regard inquisiteur que Farhadi fait circuler sur son théâtre à lui, une dimension plus discrète transparaît, qui invite à surmonter son abord peu amène.
L'Humanité
Une nouvelle fois, le cinéaste iranien bouscule le confort d’un jeune couple de la classe moyenne pour le confronter à une situation dramatique, nous plongeant dans la complexité de l’humain.
L'Obs
De retour en Iran après une parenthèse française ("Le Passé"), le cinéaste se comporte une nouvelle fois en architecte, bâtissant un scénario implacable, dont chaque pièce s’assemble sans que le spectateur en ait toujours conscience, sans que jamais les personnages ne mesurent les effets produits sur leur existence.
La Croix
Primé au Festival de Cannes, le nouveau film de l’Iranien Asghar Farhadi propose une exploration morale vertigineuse, où se dérobe l’évidence du jugement.
Le Dauphiné Libéré
Sur un scénario qui enchaîne les événements comme un engrenage, un regard acéré sur les blocages d’une société puritaine prise dans la mécanique oppressante de la honte.
Le Figaro
Doublement primé à Cannes, le film de l'Iranien Asghar Farhadi est un thriller conjugal haletant, qui interroge avec brio sur le sens de la vérité.
Le Figaroscope
Calderon de la Barca disait : "La vie est un rêve. Et les rêves sont eux-mêmes des songes." C’est cette sensation vertigineuse qui s’empare du spectateur à la vision de ce suspense conjugal - certes déstabilisant -, mais diablement bien réalisé. Aussi maîtrisé qu’imprévisible…
Le Journal du Dimanche
Tout en filmant au plus près de ses personnages, le cinéaste iranien sème discrètement les indices et entretient savamment l’ambiguïté pour créer le trouble. Encore une fois, il dénonce la pression morale et religieuse qui pervertit les relations aussi bien sociales que familiales.
Le Point
Il y a du Pirandello chez Asghar Farhadi. Du Tchekhov aussi. Cette manie de laisser au spectateur le soin de choisir sa propre vérité. Et, il faut le reconnaître, un certain talent pour sonder l'âme et la comédie humaine. "Le Client", récompensé à Cannes et dont le nombre d'entrées a battu des records en Iran, n'échappe pas à la règle.
Les Fiches du Cinéma
Asghar Farhadi ausculte de nouveau le délitement d’un couple avec subtilité et pertinence.
Ouest France
Outre ses qualités techniques, "Le Client" est aussi un superbe moyen de comprendre la société d'aujourd'hui à Téhéran.
Transfuge
C'est brillant mais, heureusement, les zones d'ombre restent inentamées (...), la direction d'acteurs, réglée au millimètre, prenant le relais sur la narration pour faire ressortir cette inquiétude permanente : l'incapacité de rester dans la quiétude d'un endroit qui serait à soi.
Télé 7 Jours
Comme à son habitude, Ashgar Farhadi ("Une séparation") livre un film humaniste à la fois simple, puissant et universel.
Voici
Un mélodrame moral par le réalisateur d'"Une séparation".
aVoir-aLire.com
Fidèle à son univers du jeu des apparences et à sa vision humaniste des rapports humains, Ashgar Farhadi livre un nouveau conte moral d’une grande rigueur d’écriture.
20 Minutes
Si quelques lenteurs, notamment dans la description du milieu théâtral, rendent le film moins puissant que les œuvres précédentes du cinéaste, le spectateur se laisse tout de même emporter par l’histoire.
Franceinfo Culture
L’intrigue qui nous est présentée est bien trop sibylline pour nous emporter totalement. Subsiste malgré tout la prestation intense et enlevée de deux acteurs habités par un désir de liberté.
Le Parisien
Fahradi continue de creuser les strates d'une société iranienne assise entre deux chaises : la force de la tradition et la tentation de basculer dans l'Iran de demain. On achète.
Les Inrockuptibles
Il est dommage que la partie finale alourdisse le film (...). Jusqu'à ce clou moralisateur trop lourdement enfconé, Farhadi avait confirmé son talent d'efficace storyteller et de remarquable directeur d'acteurs.
Libération
La censure iranienne n’y a manifestement détecté aucune inflexion métaphorique. Pourtant, le doute est permis.
Paris Match
Sans nous éblouir d'éclats particuliers, ce film séduit par l'électricité dans l'air du temps iranien qui en émane.
L'Express
La mécanique scénaristique est d'une belle précision, mais Farhadi ne surprend plus et alourdit son propos d'un jeu de miroirs inutile et d'un final trop long et trop mélo.
La Septième Obsession
Il est à craindre que cette capitalisation un peu trop méthodique sur ses acquis ne transforme l’œuvre du cinéaste en un système vendeur, qui se contente de s’exporter.
La Voix du Nord
Premier faux pas pour l’auteur d’"Une séparation", de retour à Téhéran, dans une société iranienne hypocrite et faussement polissée.
Le Monde
Le redoublement du théâtre et de la vie, qui aurait pu être fructueux si la partie théâtrale avait pu être autre chose qu’un décor destiné à contenir l’idée d’une mise en abyme, mais où rien ne se joue vraiment pour le film. Le sentiment d’une déception l’emporte donc, aussi intéressante et inventive la métaphore fût-elle.
Studio Ciné Live
Ce drame conjugal, qui a le mérite de ne jamais chercher à se montrer aimable, séduit par sa mise en scène rigoureuse. Mais, à force de creuser le même sillon - le propre d'un auteur -, Farhadi peine de plus en plus à surprendre. Et semble, pour la première fois, plus bégayer qu'avancer.
Sud Ouest
Le film, tissé de multiples revirements narratifs, se veut au service d'un cas particulièrement édifiant, mais il en devient théorique - et c'est là que le bât blesse. On se demande d'ailleurs comment le jury cannois a pu consacrer un scénario somme toute assez filandreux, incapable en tout état de cause de renouer avec l'efficacité d'"Une séparation", qui n'en était pas moins complexe.
Cahiers du Cinéma
"Le Client" n’est que le nouvel avatar d’un cinéma festivalier du tournant des années 2010 maintenant très vieux, vite oublié.
Télérama
C'est l'ambiguïté d'Asghar Farhadi face à son sujet qui crée le seul vrai malaise. Si on retrouve le talent du cinéaste (...)n, son sens de l'ellipse et de la fluidité nerveuse du mouvement, on ne cesse de se demander ce qu'il dit vraiment, tant chaque situation, chaque dilemme, peut faire l'objet d'interprétations contradictoires.