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Votre avis sur Django ?
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au premier abord, je pensais pas que j'allais apprécié ce film, ben au final j'ai bien mieux apprécier que quand j'y suis rentré ce petit biopic sur la vie de django difficile durant la seconde guerre mondiale des tziganes mal vus, qui se rattrape un peu dû à son côté musical bien joué par des concerts. une bonne interprétation des acteurs avec en particulier " reda kateb" et " Cécile de France", puis aussi de belles musiques, jolis décors, costumes et de beaux paysages. donc, ravi d'avoir visionner ce film qui m'a assez émue de la vie de "django" à rude épreuve dont il a fait preuve de courage.
Avec un titre pareil, on s'attend forcément à un grand film mais le scénario prend le parti pris de ne s'attacher qu'à un petite partie de la vie de l'artiste. On est presque plus sur un film de guerre, d'espionnage que sur un biopic.
Dommage j'aurais voulu connaître l'ensemble de la vie de ce virtuose.
Reda Kateb et Cecile de France sont tout de même très bon dans leurs interprétations respectives.
Dommage j'aurais voulu connaître l'ensemble de la vie de ce virtuose.
Reda Kateb et Cecile de France sont tout de même très bon dans leurs interprétations respectives.
Django présente une vision artistique très valorisante du génie musical qu'à été DR. l'émotion est vraie, sincère et le jeu cinématographique est excellent. La vie de l'homme Django est moins exaltante, et le film l'est du coup moins également. Un bon moment malgré tout
Une ode à la musique sublimement interprétée par Reda Kateb, bouleversant dans le rôle du jazzman Django Reinhardt. Cette tranche de vie que nous offre Etienne Comar est totalement nécessaire. On se demande bien comment cette histoire a-t-elle pu rester éloignée si longtemps du grand écran !
La critique en entier sur le blog stoptoncinema.wordpress.com !
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Fan de Jazz, j'ai évidemment couru pour voir et écouter Reda Kateb en Django Reinhardt.
Le film raconte une fuite mouvementée vers la suisse et un séjour à Thonon-les-Bains.
On retrouve toute l’ambiguïté d'un génie de la musique qui pense pouvoir faire ce qu'il entend malgré l'occupation - la persécution des Tziganes et aussi celle d’allemands fan de ce jazz pourtant déclaré décadent par les nazis.
Les tons des images accentuent ce sentiment d'un monde qui bascule.
Reda Kateb s'en tire plutôt bien et puis la toute fin du film m'a fait découvrir ce que je n'imaginais pas.
Le film raconte une fuite mouvementée vers la suisse et un séjour à Thonon-les-Bains.
On retrouve toute l’ambiguïté d'un génie de la musique qui pense pouvoir faire ce qu'il entend malgré l'occupation - la persécution des Tziganes et aussi celle d’allemands fan de ce jazz pourtant déclaré décadent par les nazis.
Les tons des images accentuent ce sentiment d'un monde qui bascule.
Reda Kateb s'en tire plutôt bien et puis la toute fin du film m'a fait découvrir ce que je n'imaginais pas.
Un épisode de la vie de Django Reinhard en 1943 sous l'occupation allemande.
Si ce film nous permet d'écouter les meilleures compositions de Django comme nuage ou minor swing, il nous rappelle aussi le massacre et la déportation des tziganes par l'Allemagne nazie.
La romance avec Cécile de France arrive un peu par hasard.
La grande surprise pour moi est ce "requiem pour mes frères tziganes" composé par Django et joué une seule fois à la libération.
Si ce film nous permet d'écouter les meilleures compositions de Django comme nuage ou minor swing, il nous rappelle aussi le massacre et la déportation des tziganes par l'Allemagne nazie.
La romance avec Cécile de France arrive un peu par hasard.
La grande surprise pour moi est ce "requiem pour mes frères tziganes" composé par Django et joué une seule fois à la libération.
Moment agréable pour ceux qui aiment ou qui découvrent Django Reinhardt et sa musique. On se laisse porter par ses mélodies qui permettent au spectateur de pardonner facilement quelques longueurs scénaristiques. Pour ceux qui s'attendent à un biopic aux détails psychologiques et historiques fouillés, ils regretteront le manque de contexte, et sortiront avec plus de questions que de réponses sur les relations conjugales et familiales du protagoniste et sur les traitements infligés à la communauté tsigane en France pendant la guerre.
Si j'ai considéré attentivement le point de vue qui était de ne retracer que les trois années de la vie de Django Reinhardt qui se déroulent entre 1943 et 1945, je n'en ai pas saisi l'intérêt final. Ce film est au bout du compte d'un ennui mortel sauf pour ceux qui aiment la musique tsigane et la guitare manouche. Ce qui n'est pas mon cas. Donc ce fut la double peine. Reda Kateb, excellent comédien au demeurant y traine un ennui indicible. Quant à Cécile de France, elle est transparente comme l'eau claire du lac Léman. A se demander pourquoi ce personnage a été inventé. Même ceux qui aiment la pêche, les veillées au coin du feu ou les macaques n'y trouveront pas leur compte. Le seul intérêt de ce film est la réflexion qu'il propose sur le statut des artistes en temps de guerre et leur "collaboration" voulue ou requise. Et puis cet intéressant enseignement du film quand est évoquée et fort bien décrite la mise sous tutelle de la musique (et de l'art en général) sous le régime allemand. Une musique normée qui ne doit pas être festive mais répondre à des standards nazis savamment orchestrés. C'est glaçant à l'heure où le totalitarisme frappe à notre porte (on imagine bien Robert Ménard, ministre de la Culture interdire "la musique de nègres" (sic), aujourd'hui le hip-hop, hier le blues).
Jonathan M
Je vais être assez rustre sur cette critique. Aller voir un film à reculons, c'est jamais bon signe. Mais malheureusement, quand ce dernier n'outrepasse pas les préjugés qu'on en s'était fait, c'est l'ennui qui l'emporte. Et Django regroupe tout ce que je ne supporte plus de voir au cinéma. Un destin héroïque, coincé dans une écriture et une vision de scénario qui ne dépasse pas la fiche Wikipedia du sujet. Le mauvais côté du biopic, en exemple type de ce qu'il ne faut pas faire. À aucun moment le personnage mue à l'écran. Réda Kateb est comme bloqué dans un costume trop grand pour lui. Des seconds rôles insipides et une mise en scène sans aucune ambition. Lancinant et ennuyant, on est loin du compte.
Très bon film sur une partie de la vie de Django et qui rappelle que les Juifs n'étaient pas les seuls cibles du furher ! Très bonne musique associée et un hommage méconnu émouvant à la fin du film pour les dziganes déportés
Sa musique evidement. Bien dans l'ensemble mais tres dommage que l'on n'apprenne pas grand chose de sa carriere car le film se focalise uniquement durant deux ans lors de la seconde guerre mondiale.
à aucun moment je n'ai trouvé les personnages sympathiques. Django est froid, distant et prrsqie sans chaleur, le contraire de sa musique. je donne la moyenne mais tout juste : pour la musique, les costumes, les décors, celle qui interprète la mère de Django, la partie finale avec le concert donné pour détourner l'attention du sauvetage d'un aviateur anglais.
N’ayant connu le Hot Club qu’il y a 50 ans, en Camargue, avec Djando (un peu) et « Les Briavals » ses 3 neveux virtuoses, ses dignes successeurs ( 11, 13 et 17 ans !), , j’ai beaucoup aimé cette rétrospective historique. Le scénario dense équilibre impeccablement les sublimes moments musicaux, et l’histoire de Django avec les siens, à cette période de la France occupée par les nazis qui imposent leurs imbécillité tragique sur la vie parisienne, musique comprise. Les personnages sont forts et remarquablement interprétés. Les images, bien composées, sont là pour témoigner (càd, pas comme des tableaux d’exposition). Malheureusement, je ne suis pas certain que ce film puisse intéresser la majorité des jeunes (moins de 25 ans) ; ce n’est pas l’âge moyens des spectateurs, tous de ma génération, qui me contredira.
Un film bien joué. Un scénario qui traîne en longueur surtout dans la première moitié du film. Cécile de France brille par son rôle controversé. Les films qui parlent de la déportation des tziganes sont rares.
Il ne se passe PAs grand chose. Film trop mou. Franchement on s'ennuie la plupart du temps. On attend ses musiques avec impatience mais il y en a trop peu.
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