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    Django
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    157 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 mai 2017
    Bon film retraçant une partie de la vie de Django... On apprécie la musique et l'histoire mais au final j'aurai aimé en savoir plus sur le personnage et ses sentiments. Mais c'est un film à voir !
    PLR
    PLR

    473 abonnés 1 575 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2017
    Juste "pas mal" car on reste sur sa faim. Le scénario ne fait qu'effleurer et passe donc assez largement sous silence cette autre Shoah qu'ont subie les Tziganes et autres gens du voyage. Seulement, au détour du scénario, quelques dialogues valant témoignage de membres de la communauté à un autre groupe sur les persécutions subies. Et en début de film, une scène violente sans aucune explication du contexte. La scène de spoiler: couverture d'un acte de résistance
    par un concert reste également assez absconse et n'est évoquée qu'en filigrane, nous privant d'un peu plus d'action. Dommage d'avoir ainsi abrégé le scénario au profit d'autres scènes s'éternisant un peu. D'autant que le film durant deux heures, avec d'autres choix narratifs il y avait de quoi s'attarder davantage sur les éléments de contexte. Autant Reda Kateb est parfait et crédible dans le rôle titre, autant la prestation de Cécile de France est beaucoup moins au niveau. Peut-être finalement puisqu'il s'agit d'un personnage rapporté dans le scénario, n'ayant eu aucune existence dans la vie du célèbre guitariste de jazz ?
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    60 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2017
    Sur le moment, à la sortie de la salle, la musique ayant emporté le morceau, on se dit que ce n'est pas si mal. Les acteurs sont crédibles et la musique est bonne.
    Après une nuit de repos que reste-t-il ?
    Rien, le film souffre d'un manque de scénario.
    L'idée était bonne, Django Reinhard est un personnage intrigant et la suppression organisée de la population tzigane par les nazis était un sujet fort.
    Mais le héros n'en est pas un et il n'y a pas vraiment de narration, pas d'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Génial, ce film est génial ! Je savais qu'il allait être très bien en allant le voir et c'est mieux de ce que je pensais. L'histoire est portée sur un musicien tzigane d'exception pendant la seconde guerre mondiale. Partie de l'histoire (le massacre des tziganes) parfois oublié ou peu étudié pendant cette période atroce. La musique laisse des émotions rythmées. Film à voir et à revoir !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mai 2017
    super musique et très bonne distribution. il manque un peu de rythme à la narration mais on passe un très bon moment !!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 mai 2017
    Je n’avais pas lu le synopsis, et je m’attendais à un film retraçant la vie et l’œuvre de Django Reinhard, un musicien que j’admire. Mais il s’agit d’un épisode troublé de son histoire et de la nôtre, puisque cela se passe pendant la 2ème guerre mondiale. Au début, je n’ai pas compris grand-chose, notamment les relations entre les personnages. J’avais la désagréable impression d’avoir pris le film en route ou d’assister à la suite d’un film que je n’aurais pas vu. Qui est cette Louise de Klerk, qui est-elle pour Django ? On ne l’apprend que bien plus tard, et encore en étant attentif ! Donc au début, on nage un peu. Le rythme est lent, il ne se passe pas grand-chose jusqu’à ce que tout explose. Heureusement les numéros musicaux sont époustouflants et que la musique de Django et son inimitable façon de jouer sont présentes. Le personnage en lui-même n’est pas très sympathique, on a l’impression qu’il n’a rien compris à ce qui se passait, ou qu’il s’en moque. Il faudra qu’il soit lui-même témoin de certaines horreurs pour s’impliquer. Je ne trouve pas que ce film soit un hommage à ce grand musicien, qui apparait plutôt comme un égoïste que seul son art intéresse. Je m’attendais à tout autre chose. Dommage.
    ffred
    ffred

    1 740 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mai 2017
    Django Reinhardt a bercé mon enfance (mon père était un grand fan). Curieux donc de voir ce premier film de Etienne Comar jusqu’ici scénariste (Des hommes et des dieux, Mon roi…). Et puis c’est Reda Kateb, l’un des meilleurs acteurs de sa génération, dans le rôle-titre. La déception est à la hauteur de l’attente : grande. Je me suis copieusement ennuyé. J’ai trouvé que c’était fait de manière plus que classique ou académique : poussiéreuse. C'est long et il ne se passe pas grand chose. Cela sonne parfois faux et cela manque surtout de puissance, de profondeur et même de charme. Alors certes, l’interprétation est de qualité, Kateb est donc assez bluffant, et il y a aussi Cécile de France, très bien, mais dans un personnage totalement inventé. La reconstitution historique est honnête et la bande-son très sympathique. Mais rien n’y a fait, je n’ai pas adhéré. Django donne alors l’impression d’un beau gâchis. Pas sûr qu’Etienne Comar doive continuer sur la voie de la mise en scène...
    Yves G.
    Yves G.

    1 511 abonnés 3 530 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mai 2017
    Contrairement à "La Môme", "Ray", "Cloclo" ou "Dalida", "Django" ne raconte pas l'ascension, la gloire, la chute et la rédemption d'un génie de la musique. A rebours du biopics attendu, Étienne Comar choisit de se focaliser sur un épisode très précis de la vie du guitariste : l'hiver 1943 durant lequel il choisit de quitter la France pour la Suisse. Il était alors au sommet de gloire, coqueluche du tout-Paris qui venait l'applaudir tous les soirs aux Folies-Bergères.

    C'est peu dire que la première partie, du film est réussie. On plonge dans le Paris de l'Occupation reconstitué avec soin. On assiste en direct à un concert de Django. On se laisse emporter par son swing. On découvre sa tribu : sa mère, sa femme enceinte, son frère, son impresario...

    Mais, en quittant Paris, "Django" s'encalmine. Le guitariste et sa famille se retrouvent au bord du lac Léman en attente d'un hypothétique passage vers la Suisse. L'hiver s'installe. L'attente se prolonge. Le film s'arrête. On sent qu'il change de sujet : le réalisateur fait d'un épisode de la vie de Django la synecdoque de la persécution des Tziganes pendant la Seconde guerre mondiale.

    Sans doute "Django" est-il brillamment interprété. Reda Kateb - l'idole de ma femme - est comme d'habitude parfait. Cécile de France - mon idole à moi - l'est plus encore. Elle a ce je-ne-sais-quoi qui fait d'elle une femme fatale très 40ies sur les traces de Laurence Bacall ou de Ingrid Bergman. Agent double, en cheville avec la Résistance, peut-être retournée par les Allemands, elle irradie la pellicule à chacune de ses apparitions.
    Christoblog
    Christoblog

    838 abonnés 1 688 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2017
    Pour commencer, il me faut préciser que je n'aime pas trop les biopics. Le genre me parait toujours contenir en lui-même ses propres limites : on connait a priori les ressorts de l'intrigue et l'original est toujours plus intéressant que la copie.

    Les rares réussites dans le genre utilisent généralement des artifices qui permettent d'éviter les risques susnommés.

    Dans le genre, Django réussit à séduire. En s'intéressant à une période très particulière de l'histoire de son modèle, en dérivant progressivement vers une problématique plus large (la situation des tsiganes sous l'occupation) et en confiant son rôle principal à un acteur qui livre une excellente performance, le réalisateur Etienne Comar réussit à produire un film très plaisant.

    La direction artistique (décors, lumière, costumes) est quasiment parfaite et contribue elle aussi à donner une patine de réalisme à Django, qui mérite beaucoup mieux que l'accueil qui lui a été réservé.

    Je le conseille donc dans cette période ultra-calme qui précède Cannes.
    islander29
    islander29

    882 abonnés 2 384 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2017
    même si la tension de la mise en scène est un peu lâche, le film a le mérite de parler d'un génie de la guitare et d'une partie de sa vie, que tout le monde à priori ignore....
    mais ce n'est pas non plus la partie la plus intéressante du film, très bien interprété par ailleurs, (Reda Kaleb, Cécile de France), car ce qu'il faut à tout prix entendre ce sont les assez nombreux morceaux musicaux, (superbes) et l'histoire de ces morceaux, assez variés dont le fameux requiem pour les tziganes en toute fin...
    Pas non plus de quoi s'exclamer quant à la réalisation,, par moments relativement froide, en décor, e, dialogue, en jeu d'acteurs, et puis un dialogue sorti dont ne sais où, je cite ( spoiler: "Vous jouez du violon comme du biniou, vous avez des oreilles de cochon ?" Dan ar Bras et Alan Stivell apprécieront cet hommage à la musique
    bretonne).....Bon à part cette bévue très vicieuse, le film peut mériter d'être vu si l'on s'intéresse à la musique, autrement, il n'est sans doute pas nécessaire
    Jmartine
    Jmartine

    172 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2017
    Je suis sorti déçu et déconcerté par Django…Etienne Comar à qui l’on doit Des dieux et des Hommes, Mon Roi, Timbuktu , les Saveurs du Palais, les Femmes du sixième…autant de films que j’ai beaucoup aimés, ne nous offre pas la biographie attendue de Django Reinhardt, ce génial jazzman qui a inventé le jazz manouche, faisant courir ses doigts à une vitesse folle le long du manche de sa guitare malgré les deux doigts perdus lors de l’incendie de sa roulotte…ce génie du swing, guitariste préféré de Duke Ellington mais qui reste pourtant une figure largement méconnue du grand public…Le film se concentre sur quelques mois de l’année 1943, il s’ouvre en juin 1943, dans une forêt des Ardennes, un camp de tsiganes est attaqué par les allemands qui les tuent et notamment un vieux chanteur aveugle que Django admirait…Ce n’est ensuite que l’on découvre Django, déboulant totalement ivre sur scène mais une fois sa guitare en main, retrouvant sa maestria accompagné par ses musiciens du Hot Club de France, à l’exception de Stéphane Grappelli resté à Londres…il joue devant un public de parisiens aisés et d’officiers allemands… l’un d’entre eux « Doctor Jazz » lui propose d’aller jouer en Allemagne devant Goering, et malgré les exigences des autorités allemandes, pas de blues, pas plus de 20% de swing…il est à deux doigts d’accepter, mais pour protéger les siens, il décide de fuir et de tenter de passer en Suisse à partir de Thonon, où il retrouve ses cousins Hoffmann…cet épisode est réel, il s’enfuit bien à Thonon mais sera arrêté par les gardes frontières et renvoyé à Paris…L’épisode de Thonon s’appuie sur l’ouvrage d’Alexis Salatko, coscénariste du film, qui a écrit « Folles de Django » à partir de témoignages recueillis sur place mais largement romancés…A-t-il été alors confronté à l’horreur qui va toucher sa communauté…c’est là que le film perd sa crédibilité…Django ne se sent pas concerné par la guerre, c’est une guerre de « gadjos » , est-il suffisamment fort pour porter des enjeux aussi lourds…on peut en douter…certes, il a effectivement composé ce « Requiem pour mes frères tsiganes » pour orgues orchestre et chœurs, qui n’a été joué qu’une seule fois et dont la partition est perdue, en hommage à tous les tsiganes massacrés par les nazis…le scénario finit par se noyer dans une réécriture romanesque et perd en vraisemblance…notamment ce personnage de Louise de Clerk interprétée par Cécile de France…heureusement il y a la musique…sur la scène du Hot Club de France, dans le bar de Thonon, devant les roulotes de cette famille manouche si vraie…et même, épisode authentique, dans cette villa d’Amphion devant un parterre de nazis..Django joue…Reda Kateb campe avec une élégance nonchalante un homme secret, habité par sa musique…pour laquelle Christophe Lartilleux, l’un des seuls guitaristes à pouvoir jouer comme Django, est la doublure mains…et cette bande son donne envie de swinguer ….et fait oublier certaines approximations du scénario…
    Dom Domi
    Dom Domi

    44 abonnés 306 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2017
    Cette musique...
    Ce n'est ni du Bach, ni du Mozart, ni du wagner, et pourtant cette musique est belle, extraordinairement belle.
    Elle donne envie de bouger, de chanter, elle apporte une sorte de joie.
    Pourtant, lorsque la folie ou la " connerie " humaine s'empare des cerveaux, fussent-ils les plus éduqués et " intelligents " qui soient, ( et c'est ce qui est question dans ce film basé sur la dernière guerre européenne), la beauté et le plaisir éprouvés à travers la musique ( ce pourrait être un livre ou un film...), sont alors " balayés " par des considérations qui peuvent être idéologiques, politiques ou religieuses.
    Parce que ce ne sont ni la couleur de peau, ni l'origine, ni les critères physiques de celui ou de ceux qui donnent vie à ces notes de musique, à ces mots, à ces images qui en font la beauté et la force.
    C'est simplement le talent...
    Le talent capable de nous élever vers le haut, vers le beau.

    Ce qui est dommage, c'est que ce film hésite à mettre au centre de son propos la musique qui reste simplement " évoquée " de façon trop " hachée ", pour montrer qu'au fond, ce talent qui ne rentrait pas dans le " moule " nazi, est capable, encore aujourd'hui, de donner des frissons et du plaisir à nos oreilles et que pour permettre ça, il a fallu " écarter " du pouvoir, au prix de milliers de vies humaines, la folie des idées nazis.

    domi
    XAVIER H
    XAVIER H

    6 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2017
    une prestation éblouissante de Reda Kateb, mais les quelques longueurs du film ont sabordé le rythme ,contrairement au tempo de la musique manouche , dommage .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 mai 2017
    Pour les amateurs de jazz manouche ils seront servis par des morceaux choisis qui ont fait le succès de ce compositeur. Une tranche de vie sur fond de nazisme qui dénonce que même sous l'égide de l érudition la création est bridée au nom d'une culture négationiste. Reda Kateb excellent et exele dans son art. Un film à voir et à revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 mai 2017
    Je m'attendais à plus de rythme pour ce film qui s'inspire de faits réels en étoffant quelques passages mais du coup... pas assez... Je me suis ennuyé quand la musique n'était pas présente...
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