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Nadia T
5 abonnés
437 critiques
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4,0
Publiée le 7 novembre 2017
Très beau film... Bien joué... Sans compter le fait que des vrais manouches de ma ville forbach ont été sélectionnés pour donner plus de réalisme au film c'est top. La mamma aussi joue vraiment bien ainsi que l'acteur principal bravo ! Une histoire peu connue qui mérite d'être connue bravo
Malgré une musique entrainante, on n'est pas emporté par le film. Reda et Cecile jouent bien leur rôle mais sans plus. Il manque quelque chose pour le faire décoller et nous avec.
Si j'ai considéré attentivement le point de vue qui était de ne retracer que les trois années de la vie de Django Reinhardt qui se déroulent entre 1943 et 1945, je n'en ai pas saisi l'intérêt final. Ce film est au bout du compte d'un ennui mortel sauf pour ceux qui aiment la musique tsigane et la guitare manouche. Ce qui n'est pas mon cas. Donc ce fut la double peine. Reda Kateb, excellent comédien au demeurant y traine un ennui indicible. Quant à Cécile de France, elle est transparente comme l'eau claire du lac Léman. A se demander pourquoi ce personnage a été inventé. Même ceux qui aiment la pêche, les veillées au coin du feu ou les macaques n'y trouveront pas leur compte. Le seul intérêt de ce film est la réflexion qu'il propose sur le statut des artistes en temps de guerre et leur "collaboration" voulue ou requise. Et puis cet intéressant enseignement du film quand est évoquée et fort bien décrite la mise sous tutelle de la musique (et de l'art en général) sous le régime allemand. Une musique normée qui ne doit pas être festive mais répondre à des standards nazis savamment orchestrés. C'est glaçant à l'heure où le totalitarisme frappe à notre porte (on imagine bien Robert Ménard, ministre de la Culture interdire "la musique de nègres" (sic), aujourd'hui le hip-hop, hier le blues).
Vu au festival Cinemed de Montpellier en octobre 2024, ce film de 2016 est une vraie ré-découverte du talent modeste et attachant de Reda Kateb. Ce film, portant sur l’année 1943, décisive pour Django Reinhardt, est fluide, juste, sans caricature alors que la période d’occupation est sordide avec le début de la collaboration active de l’Etat Français pour l’extermination et la déportation des gitans, des juifs, etc. On ressort avec un amour profond pour ces musiciens de swing résistants, sans en avoir l’air, à la Barbarie nazie…
une prestation éblouissante de Reda Kateb, mais les quelques longueurs du film ont sabordé le rythme ,contrairement au tempo de la musique manouche , dommage .
Une ode à la musique sublimement interprétée par Reda Kateb, bouleversant dans le rôle du jazzman Django Reinhardt. Cette tranche de vie que nous offre Etienne Comar est totalement nécessaire. On se demande bien comment cette histoire a-t-elle pu rester éloignée si longtemps du grand écran ! La critique en entier sur le blog stoptoncinema.wordpress.com !
Un gaspillage... Quels dommage d'avoir voulus être autant éparpillés Pourquoi ne pas avoir voulus simplement faire un biopic plutôt qu'un espèce de fictions,bribes de son histoire ? Les américains eux lorsqu'ils s'attelle à relaté la vie d'une grande image artistique,historique,politiques ect .. s'applique à creusé la réalitée Le personnage de Cécile de France est totalement inutile et elle joue mal Sa mère à Django est puissante et sauve la platitude du film Reda Katteb est dépassé par le vide du scénario et est du coup gaspillé et décrédibiliser J'ai pas vus le film qui l'a précédée ; Dalida Je penses que c'est inutile d'être tout autant déçus si ce n'est plus Le cinéma français est vraiment mal barrés
Biopic sans souffle, sans âme qui visite de manière facile et sans nuances la vue de Django Reinhardt pendant l'occupation. Long et mielleux à souhait.
Assez décevant. Histoire lente, il ne se passe pas grand chose et le film raconte essentiellement comment Django est parti en Suisse en 1943. J'aurais aimé un vrai biopic et + de musique. Dommage
L'héritage musical de Django Reinhardt est à la fois marquant de part son unicité et de part son intemporalité. C'est pourquoi, un film qui lui est dédié est à voir pour bien le comprendre. Une partie de son histoire y est montrée (à partir de 1943) et son jazz nous accompagne. C'est un film poignant ou les acteurs jouent très bien avec Cécile de France qui nous offre l'un de ses plus beau rôle. Je suis ravie du moment que j'ai passé au cinéma qui était unique et inoubliable comme l'est Django.
Plutôt un bon film, notamment grâce à la musique et l'interprétation. Le scénario lieu reste un peu creux, se concentrant sur une période de la vie de Django et à sa communauté. Dommage car on aurai pu attendre un véritable biopic plus complet.
De bons acteurs mais un très mauvais film avec des séquences aléatoires des lourdeurs pénibles des gros plan sans intérêt et une histoire tirée par les cheveux. L'idée de base semble bonne, la persécution des tziganes mais le scénario se perd dans les détails. Par exemple la poursuite du fugitif dans la neige fraîche avec des soldats armés de chiens policiers est burelesque et ce n'est pas la seule.
Depuis que l'industrie (et ce n'est pas un vain mot) c'est emparé comme des morts de faim sur les thèmes des biopic je vais de déception en déception. J'avais vu celui sur Hendrix (à oublier) et d'autres, bref hormis "la môme" que j'ai bien aimé peu ont retenu mon attention. Django, ce téléfilm heuu ce film est d'une tristesse affligeante. Pas moyen de rentrer dans le film. La majorité des acteurs jouent faux. Sa vieille maman, "dct jazz" et même Django joue faux, c'est pour dire. Il ne se passe pas grand chose. Marre des biopic à deux balles baclés. À quand un sur brassens, ferré, brel. Pourquoi ne prennent il pas leur temps. Ce style de cinéma tombe de plus en plus dans une sorte de conformisme. Autant regarder de bons documentaires sur les grands et grandes disparu (es) bref, j'attends le prochain.