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aslio
10 abonnés
20 critiques
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0,5
Publiée le 31 mai 2024
Un navet intégral. Des méchants grotesques dotés d'une stupidité sans limites, des cascades toutes nazes, une bande son datée et répétitive, des acteurs qui surjouent sans y croire. Le tout pour tenter de desservir une histoire abracadabrante à mi-chemin matinée de k2000 et de shérif fais-moi peur, mais en même pas drôle. On pourra tout au plus apprécier le joli minois de la potiche de service... Le genre de film qu'on regarde jusqu'à la fin pour voir jusqu'où un réalisateur est capable d'aller dans la médiocrité.
J'ai certainement noté pour le côté nostalgique et régressif... le film de mon enfance. Faut avouer que les doublages et dialogues sont limités mais pour le reste j'adore... et que dire de la dodge m4s <3
The Wraith est un de ces films avec lesquels on rit, plutôt que de rire d'eux : un nanar et non un navet. Résolument enraciné dans son époque, il est kitsch à souhait, ce qu'on appréciera si on est fan du côté ultraplastifié des années 80. Je conseille pour un visionnage sans prise de tête où les personnages et les péripéties pseudo-SF sont juste assez nuls et abracadabrants pour être drôles et non insupportables.
Ce film est incroyable la bande son est mythique les acteurs charismatique et l'histoire super original film malheureusement peut connu et très sous côté
Le seul intérêt de ce film est la présence du prototype Dodge et PPG , appelé ici Turbo Interceptor .... Et à part la présence (anecdotique) de Charlie Sheen à ses débuts et de Sherilyn Fenn (mince) avant Twin Peaks , y a pas grand chose à sauver.. Les seconds rôles sont caricaturaux (les premiers aussi en fait), le pauvre scénario hésite entre road movie , revenge movie et fantastique.. Regrettable qu'un caméraman soit mort lors du tournage pour un résultat de cascade aussi navrant.
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1,5
Publiée le 30 novembre 2020
Une sèrie B voire Z des 80's qui a particulièrement mal vieilli lorgnant fortement du côtè de "Mad Max", "Close Encounters of the Third Kind" ou encore "The Exterminator". On conviendra tout de même que le rèalisateur n'y va pas avec le dos de la cuillère niveau rèfèrence, raccourci et facilitè. C'est le moins qu'on puisse dire! Charlie Sheen redouble d'activitè en 1986 mais on le sent pas concernè une seule seconde par son personnage! Sans doute son esprit ètait ailleurs, au Vietnam sûrement, avec "Platoon" qu'il enchaîna par la suite! Pour les aficionados, on retrouve la toute jeune Sherilyn Fenn à ses dèbuts et l'inexpressif Nick Cassavetes en mèchant chef de gang d'opèrette! On se dit que le nanar est une grande chose et que Nick en fait parti grâce à ce film! Ses compagnons de route ne savent pas comment se comporter et font souvent n'importe quoi! Dommage que le scènario (s'il y en a un) n'ait pas poussè plus loin la folie du mystèrieux justicier casquè! On se contentera juste des cascades et de ce prototype futuriste entièrement noir, voisin pas si lointain de "K-2000". Surestimè (affiche du film, promesses non tenues du scènar, casting, etc.), fin de l'histoire! C'est beaucoup trop pour en faire un objet culte...
En 1986, Charlie Sheen n’en est pas à son premier film et pourtant, cette même année, il enchaîne à la fois des Séries B et des œuvres bien plus importantes, comme Platoon d’Oliver Stone. Avec Phantom Road (édité en France sous de nombreux titres, notamment Motor Gang ou encore Turbo Interceptor) narre l’histoire d’un homme mystérieux, doté de pouvoirs et qui débarque de nulle part afin de se venger des voyous qui l’ont assassiné. Avec ses allures de Série B, le film de Mike Marvin ne nous épargne aucun cliché, avec des voyous ridicules au plus haut point et des répliques impossibles à prendre au sérieux. Quant aux poursuites en voitures (élément principal du film), elles peinent à convaincre, aucune tension ne se fait ressentir et concernant Charlie Sheen, s’il campe le premier rôle, ce dernier n’est pas avantagé étant donné que son personnage porte un casque et une combinaison (il est donc méconnaissable). Un road-movie et un revenge-movie oscillant entre le fantastique et le thriller. Digne d’un téléfilm, ce K2000 vs Mad Max ne convainc pas mais parvient tout de même (fort heureusement) à distraire le temps du film. Pour la petite anecdote, le bolide du héros est une Dodge Interceptor, un prototype unique jamais produit !
Dans le désert américain, une bande fait régner la terreur sur fond de courses illégales et vols de voitures, jusqu'au jour où ils sont traqués par une voiture fantôme. Petite particularité de ce film, les personnages gentils sont très peu exploités contrairement à la bande de Packard ( interprété avec une petite touche humoristique par Nick Cassavets ) que l'on voit se faire décimer petit à petit. Le shériff fait office de fil rouge au long de l'histoire avec les différents protagonistes. Sharlie Sheen apparait très peu dans le film, à peine 10 minutes tout le long. Enfin la voiture, la Dodge Interceptor, magnifique concept des années 80, est parfaitement adaptée en arme de vengeance et de convoitise. On sent quand même que les budgets étaient un peu limités, l'histoire est banale et la relation des gentils et sous exploités à l'instar des méchants de la bande. Pourtant, The Wraith, c'est ce genre de film stéréotypé années 80, plein d'action et de bagnoles qu'il serait presque impossible d'adapter à une époque contemporaine, plus propice aux Fast&Furious.