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Votre avis sur Sniper: Special Ops ?
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Ce n'est pas à un vieux réalisateur de nanars télévisuels que l'on va apprendre à faire la grimace. Le très prolifique Fred Olen Ray signe un film de guerre avec l'inénarrable Steven Seagal pris au piège dans un village quelconque d'Afghanistan encerclé par des talibans. Arrêtons nous un instant sur Steven Seagal. Là, ce n'est pas possible. Moi qui pensais que les soldats américains étaient tous beaux et athlétiques, ça fait peur à voir. Seagal ressemble moins à un GI qu'à une sorte de fusion entre Obélix et Bud Spencer. Casquette à l'envers vissée sur le crâne, lunettes de soleil, bouc, il est méconnaissable. Et chaque déplacement lui semble terriblement douloureux. Déjà qu'on ne le voit que vingt minutes mais en plus de ça, quand il ouvre la bouche, c'est pour l'entendre baragouiner des généralités sur la guerre. Et quand il se lève, c'est pour marcher à deux à l'heure comme un vieillard nonagénaire. Le cas Seagal expédié et sans aucun intérêt, il faut se farcir d'interminables scènes de fusillades où les djihadistes à la queue leu leu et jamais plus d'un dans le champ tombent sous les balles de soldats américains certes moins bouffis que Seagal mais ressemblant comme deux gouttes d'eau à des paysans du Kentucky. A aucun moment, on ne voit l'impact des balles. A aucun moment, on ne voit du sang gicler. Les explosions sont misérables. Il n'y a que deux ou trois décors à tout casser. En fait, c'est un film fauché de partout. Manque d'argent. Manque de talent. Une ex-star de film d'action qui a abdiqué. Joli cocktail.
FaRem
Un film de sniper sans sniper du moins Steven Seagal qui est le gars en question est peu présent dans l'histoire et se sert encore moins de son fusil à lunette qu'il n'apparaît à l'écran. Le film comprend trois décors pour trois situations dans lesquelles on a droit à trois fusillades... Fred Olen Ray n'est pas reconnu pour la qualité de ses films lui qui a plutôt choisi la quantité et on le remarque une nouvelle fois avec ici un scénario qui est quand même très faiblard. Ça commence par une opération des soldats qui doivent récupérer un otage important, mais ils sont pris dans une embuscade ce qui les oblige à fuir précipitamment en laissant derrière eux deux de leurs collègues. Ils doivent ensuite aller récupérer un camion, une scène se déroulant au même endroit qui va durer très longtemps avec au moins 40 minutes de néant jusqu'à la scène finale. Les scènes de début et de fin sont correctes vu ce qu'il y a entre les deux et le film est très court donc pas insupportable à regarder, mais c'est sûr que ce n'est quand même pas terrible et assez ennuyeux.
Yannickcinéphile
Un des derniers Seagal, il y a presque dix ans et déjà à cette époque il n’en faisait plus une ! Il passe tout ce film d’une insondable médiocrité le postérieur vissé sur une chaise, à déblatérer des trucs inutiles de temps à autre histoire qu’on se rappelle qu’il est là, car il ne joue quasiment aucun rôle dans le métrage, n’incarne rien d’autre qu’un pseudo-sniper bedonnant aussi crédible que moi en danseuse étoile. Il est mauvais, et autour de lui c’est la foire au ridicule, entre un Van Dam (Rob !) bouffi et inexpressif, un Dale Dye qui incarne un commandant de base militaire âgé à minima de 80 ans, Charlene Amoia, la journaliste casse-pied qui fait n’importe quoi comme si elle était dans Les Marseillais à Las Vegas… C’est la foire à la saucisse ce film ! Rien ne tient dans l’interprétation, les personnages, et le désastre scénaristique est à la hauteur ! Il n’y a pas d’histoire, juste un semblant d’ersatz d’intrigue qui dans un film normal dure 10 mn et sert d’intro à l’histoire. Ici on étend le prologue jusqu’à 90 mn, et c’est d’une lenteur, mais d’une lenteur ! L’infiltration, pourtant totalement nullissime (il y a 2 gardes !), dure à elle seule 20 mn ! 20 longues et insupportables minutes d’ouverture qui disent ce que sera la suite.
Ce film abyssalement pourri est visuellement calamiteux. La photographie est d’un jaune dégueux, les décors c’est trois cabanes, deux tentes et un coin de campagne, la réalisation est atroce (en même temps Olen Ray !), la seule chose peut-être à peu près crédible c’est les costumes des militaires (encore qu’ils ont un côté Bibendum !). La bande son je n’en parle même pas, elle est inexistante.
Sniper : Special Ops est un authentique navet aussi médiocre qu’ennuyeux, et appartient aux pires films avec Seagal, c’est dire le niveau ! Un truc infâme, profondément chiant aussi dispensable que de marcher sur des braises pieds nus. 0.5
Ce film abyssalement pourri est visuellement calamiteux. La photographie est d’un jaune dégueux, les décors c’est trois cabanes, deux tentes et un coin de campagne, la réalisation est atroce (en même temps Olen Ray !), la seule chose peut-être à peu près crédible c’est les costumes des militaires (encore qu’ils ont un côté Bibendum !). La bande son je n’en parle même pas, elle est inexistante.
Sniper : Special Ops est un authentique navet aussi médiocre qu’ennuyeux, et appartient aux pires films avec Seagal, c’est dire le niveau ! Un truc infâme, profondément chiant aussi dispensable que de marcher sur des braises pieds nus. 0.5
Ceux qui s'attendent à un film similaire à "American Sniper" mais dont l'action se déroulerait en Afganistan seront déçus. Ici le film est nettement plus basique et repose sur quelques fondamentaux comme les acteurs aux gros bras, les tirs à tout va, la solidarité entre soldats, la hiérarchie militaire lâche et qui cache des choses, une jolie fille à papa qui va révéler des ressources insoupçonnées. Steven Seagal commencent vraiment à se faire vieux alors il teint sa moustache en noir, porte un bandana et joue le rôle tranquille du sniper.
Comme ça tire à tout va pendant une bonne partie du film, son titre aurait pu être : "Je sème à tout vent".
Comme ça tire à tout va pendant une bonne partie du film, son titre aurait pu être : "Je sème à tout vent".
Encore et toujours un film directement sortie en DVD pour Steven segal. Film a Tres petit budget et ca se voit des la scene du debut. Les acteurs Son vraiment pas terrible, avec paul Logan en premiere ligne. Les decors son minimaliste , mais pour le péte avant d'aller ce coucher a 23h sur nrj 12 comme moi ca passe a l'aise.
AMCHI
Habitué aux rôles de gars burnés Steven Seagal incarne cette fois-ci joue un tireur d'élite de l'armée américaine se battant en Afghanistan.
En fait on ne le voit pas tant que cela à l'écran, bien qu'il soit l'un des producteurs de cette série Z il n'a pas le rôle principal.
On sent le manque de budget à travers des décors et lieux peu variés, c'est donc pauvre en décorations, une histoire limitée mais simple et sans fioriture que Fred Olen Ray réalise sans grande inspiration, quelques fusillades pas trop nazes (au début et la fin) cependant l'ensemble manque de tonus et ne peut pas être vu comme un sympathique nanar car trop limité.
Les amateurs de catch reconnaîtront Rob Van Dam, les autres Charlene Amoia (Wendy, la serveuse dans How I met your mother).
En fait on ne le voit pas tant que cela à l'écran, bien qu'il soit l'un des producteurs de cette série Z il n'a pas le rôle principal.
On sent le manque de budget à travers des décors et lieux peu variés, c'est donc pauvre en décorations, une histoire limitée mais simple et sans fioriture que Fred Olen Ray réalise sans grande inspiration, quelques fusillades pas trop nazes (au début et la fin) cependant l'ensemble manque de tonus et ne peut pas être vu comme un sympathique nanar car trop limité.
Les amateurs de catch reconnaîtront Rob Van Dam, les autres Charlene Amoia (Wendy, la serveuse dans How I met your mother).
Scénario plat, scènes ridicules, jeu effroyable des différents acteurs... On a l'impression d'être devant un sitcom d'après-midi. Une honte sur tous les points
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