Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Gimme Danger forme avec Paterson un manifeste Janus de l’imprégnation créatrice, quelque chose comme une réconciliation de la déambulation et de l’éructation : calm & furious.
Critikat.com
par Florian Guignandon
La réussite est complète lorsque l’on constate finalement qu’au terme du film, le cinéaste s’efface pour nous laisser méditatif face à ce mystère né de l’alchimie entre un son de guitare sale comme un trottoir, une ligne de basse obsédante, des roulements de batterie tribaux, et une voix de possédé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Toma Clarac
La voix d'Iggy Pop, son allure de grand-mère reptilienne et son humour à contre-temps impriment au film sa patine étrange et émouvante. Jarmusch n'essaie pas de dramatiser l'aventure. Simplement d'en restituer la grandeur dans un état d'esprit DIY.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Dominique Widemann
L'aventure sera semée d'anecdotes et d'une masse d'archives parfois destinées à les approfondir jusqu'à la source. A d'autres moments, elles surgissent comme des ajouts illustratifs pleins d'esprit.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Jarmusch se montre particulièrement inspiré lorsqu'il raconte leur jeunesse et ponctue ses interviews d'Iggy, devant sa machine à laver, et de ses acolytes à l'aide d'extraits de films, de programmes télé ou de spots de propagande éducative de l'Amérique des années 1950, comme autant d'images mentales contre lesquelles ils se sont construits.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Nuc
Dans ce film plein de bruit et de fureur qui respecte à la lettre l'esthétique des Stooges, on est loin des "rockumentaires" flatteurs et léchés entièrement dédiés à la gloire de leurs protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Avec une énergie communicative, le documentaire retrace l'épopée rock déglinguée d'un groupe pionnier qui foudroya le monde du rock en inventant une forme de rock agressive, slalomant entre le blues, le R'n'B et le free jazz.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Devant la caméra respectueuse de Jim Jarmusch, Iggy Pop et les différents musiciens des Stooges retracent l’aventure de ce groupe mythique. Classique certes, mais éminemment rock’n’roll !
Libération
par Marcos Uzal
Si au premier abord le film peut sembler un peu impersonnel, c’est que Jarmusch ne veut voler la vedette à personne. Il y fait ce qu’il a toujours su faire avec une générosité parfois injustement prise pour de la cuistrerie : citer, rendre hommage, afficher ses admirations. C’est sa modestie : ne se reconnaître que dans les autres.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est passionnant (...). Seul regret : la proximité entre Jim Jarmusch et le chanteur Iggy Pop lui enlève tout recul critique sur son sujet.
Paris Match
par Clément Mathieu
Cette histoire furieuse, Jim Jarmusch la raconte à travers un collage amusant, joliment fourni en images du groupe (un petit miracle compte-tenu de sa vie chaotique) qu’il contrebalance habilement par des extraits de films ou d’émissions télévisées de l’époque quand les sources viennent à manquer.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
Ce document (...) se laisse voir avec intérêt pour son information, sa nostalgie, et avec le plaisir de replonger dans un courant musical, à travers un film construit et soucieux de son efficacité.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
La voix, caverneuse, envoûte. On se délecte religieusement de ses anecdotes. Rien de très rock'n'roll dans la forme, même si Jarmusch agrémente habilement son doc d'images d'archives bruyantes, de concerts sauvages et d'extraits de films amenant un peu d'humour.
Transfuge
par Damien Aubel
"Gimme Danger" est un vaste collage (témoignages, animation) qui place le groupe dans une galaxie qui irait de John Cage au minimalisme poétique. Ça s'appelle de l'avant-garde.
Télérama
par Jacques Morice
"Gimme Danger" est un exercice d'admiration modeste — on sent que Jarmusch veut s'effacer. Néanmoins, il décrit bien le statut particulier de ce groupe pionnier, à la fois maudit et mythique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
La saga de la bande à Iggy. Aussi décoiffant qu'attachant.
Voici
par La Rédaction
Que l'on soit fan ou non de ce groupe de rock furieux et mythique, on passe un grand moment avec Iggy Pop, son charme, son intelligence et son humour.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Mieux qu’un énième biopic, Gimme danger scintille avec l’éclat brut du documentaire boosté à la passion et installe un peu plus les Stooges au Panthéon des mythes du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
S’il reste assez conventionnel dans la forme, "Gimme Danger" transmet l’énergie des Stooges et du mouvement de fond qui porte le groupe.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Film de fan, volontiers pédagogique.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Fin des années 60 : les Stooges déboulent sur la scène rock, avec un leader, Iggy Popp, en état de survoltage avancé. Avec leur musique hard et leurs shows sous tension, ils introduisent les mauvaises manières punks du rock alternatif. Jim Jarmusch retrace leur aventure : entre images d’archives et interviews d’aujourd’hui, le regard complice d’un cinéaste porté par l’empathie.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Voix de velours et allure de babouin trop sympa, Iggy Pop y tient le rôle de premier témoin mais reste très réservé sur deux questions majeures: le sexe et le fric…
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film est trop fragmentaire, parfois désinvolte. Mais l’affinité profonde entre le cinéaste et son sujet en fait un chant d’amour à des artistes maudits, une invitation irrésistible à les entendre et à les réentendre.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Jarmusch a échagé ici sa casquette d'artiste pour celle de fan amoureux et signe un film passionnant par son sujet, touchant, mais moins personnel qu'un ofni comme "Paterson".
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Le problème, c’est que cet écueil, ce défi de mise en scène, Jarmusch le relève de la pire manière qu’il soit : en agitant très fort les bras pour faire oublier son absence de dispositif. (...) il était pourtant là, le véritable diamant brut du projet : Jim Osterberg. Corps et verbe : sa voix, son conte auraient pu, face caméra constituer à elles seules une ossature sublime à ce film si peu incarné qu’il ne parvient jamais vraiment à exister.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Images d'archives riches et passionnantes mais discours à sens unique jamais remis en question (...).
Cahiers du Cinéma
Gimme Danger forme avec Paterson un manifeste Janus de l’imprégnation créatrice, quelque chose comme une réconciliation de la déambulation et de l’éructation : calm & furious.
Critikat.com
La réussite est complète lorsque l’on constate finalement qu’au terme du film, le cinéaste s’efface pour nous laisser méditatif face à ce mystère né de l’alchimie entre un son de guitare sale comme un trottoir, une ligne de basse obsédante, des roulements de batterie tribaux, et une voix de possédé.
GQ
La voix d'Iggy Pop, son allure de grand-mère reptilienne et son humour à contre-temps impriment au film sa patine étrange et émouvante. Jarmusch n'essaie pas de dramatiser l'aventure. Simplement d'en restituer la grandeur dans un état d'esprit DIY.
L'Humanité
L'aventure sera semée d'anecdotes et d'une masse d'archives parfois destinées à les approfondir jusqu'à la source. A d'autres moments, elles surgissent comme des ajouts illustratifs pleins d'esprit.
L'Obs
Jarmusch se montre particulièrement inspiré lorsqu'il raconte leur jeunesse et ponctue ses interviews d'Iggy, devant sa machine à laver, et de ses acolytes à l'aide d'extraits de films, de programmes télé ou de spots de propagande éducative de l'Amérique des années 1950, comme autant d'images mentales contre lesquelles ils se sont construits.
Le Figaro
Dans ce film plein de bruit et de fureur qui respecte à la lettre l'esthétique des Stooges, on est loin des "rockumentaires" flatteurs et léchés entièrement dédiés à la gloire de leurs protagonistes.
Le Figaroscope
Avec une énergie communicative, le documentaire retrace l'épopée rock déglinguée d'un groupe pionnier qui foudroya le monde du rock en inventant une forme de rock agressive, slalomant entre le blues, le R'n'B et le free jazz.
Les Fiches du Cinéma
Devant la caméra respectueuse de Jim Jarmusch, Iggy Pop et les différents musiciens des Stooges retracent l’aventure de ce groupe mythique. Classique certes, mais éminemment rock’n’roll !
Libération
Si au premier abord le film peut sembler un peu impersonnel, c’est que Jarmusch ne veut voler la vedette à personne. Il y fait ce qu’il a toujours su faire avec une générosité parfois injustement prise pour de la cuistrerie : citer, rendre hommage, afficher ses admirations. C’est sa modestie : ne se reconnaître que dans les autres.
Ouest France
C'est passionnant (...). Seul regret : la proximité entre Jim Jarmusch et le chanteur Iggy Pop lui enlève tout recul critique sur son sujet.
Paris Match
Cette histoire furieuse, Jim Jarmusch la raconte à travers un collage amusant, joliment fourni en images du groupe (un petit miracle compte-tenu de sa vie chaotique) qu’il contrebalance habilement par des extraits de films ou d’émissions télévisées de l’époque quand les sources viennent à manquer.
Positif
Ce document (...) se laisse voir avec intérêt pour son information, sa nostalgie, et avec le plaisir de replonger dans un courant musical, à travers un film construit et soucieux de son efficacité.
Studio Ciné Live
La voix, caverneuse, envoûte. On se délecte religieusement de ses anecdotes. Rien de très rock'n'roll dans la forme, même si Jarmusch agrémente habilement son doc d'images d'archives bruyantes, de concerts sauvages et d'extraits de films amenant un peu d'humour.
Transfuge
"Gimme Danger" est un vaste collage (témoignages, animation) qui place le groupe dans une galaxie qui irait de John Cage au minimalisme poétique. Ça s'appelle de l'avant-garde.
Télérama
"Gimme Danger" est un exercice d'admiration modeste — on sent que Jarmusch veut s'effacer. Néanmoins, il décrit bien le statut particulier de ce groupe pionnier, à la fois maudit et mythique.
VSD
La saga de la bande à Iggy. Aussi décoiffant qu'attachant.
Voici
Que l'on soit fan ou non de ce groupe de rock furieux et mythique, on passe un grand moment avec Iggy Pop, son charme, son intelligence et son humour.
aVoir-aLire.com
Mieux qu’un énième biopic, Gimme danger scintille avec l’éclat brut du documentaire boosté à la passion et installe un peu plus les Stooges au Panthéon des mythes du XXe siècle.
Franceinfo Culture
S’il reste assez conventionnel dans la forme, "Gimme Danger" transmet l’énergie des Stooges et du mouvement de fond qui porte le groupe.
La Septième Obsession
Film de fan, volontiers pédagogique.
Le Dauphiné Libéré
Fin des années 60 : les Stooges déboulent sur la scène rock, avec un leader, Iggy Popp, en état de survoltage avancé. Avec leur musique hard et leurs shows sous tension, ils introduisent les mauvaises manières punks du rock alternatif. Jim Jarmusch retrace leur aventure : entre images d’archives et interviews d’aujourd’hui, le regard complice d’un cinéaste porté par l’empathie.
Le Journal du Dimanche
Voix de velours et allure de babouin trop sympa, Iggy Pop y tient le rôle de premier témoin mais reste très réservé sur deux questions majeures: le sexe et le fric…
Le Monde
Le film est trop fragmentaire, parfois désinvolte. Mais l’affinité profonde entre le cinéaste et son sujet en fait un chant d’amour à des artistes maudits, une invitation irrésistible à les entendre et à les réentendre.
Les Inrockuptibles
Jarmusch a échagé ici sa casquette d'artiste pour celle de fan amoureux et signe un film passionnant par son sujet, touchant, mais moins personnel qu'un ofni comme "Paterson".
Culturopoing.com
Le problème, c’est que cet écueil, ce défi de mise en scène, Jarmusch le relève de la pire manière qu’il soit : en agitant très fort les bras pour faire oublier son absence de dispositif. (...) il était pourtant là, le véritable diamant brut du projet : Jim Osterberg. Corps et verbe : sa voix, son conte auraient pu, face caméra constituer à elles seules une ossature sublime à ce film si peu incarné qu’il ne parvient jamais vraiment à exister.
L'Express
Images d'archives riches et passionnantes mais discours à sens unique jamais remis en question (...).