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21 critiques presse
Culturopoing.com
par Emna Mrabet
C’est sans doute cela qu’exhument si bien les films de Raja Amari depuis "Satin Rouge" jusqu’à "Corps Etranger" en passant par "Les Secrets" : signifier qu’une libération du joug social ne peut se faire sans une libération de soi-même et de son corps.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un très beau film réalisé sur le mode d’une fugue musicale. Sensible, beau et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Luc Chessel
La ronde permanente que nous propose "Corps étranger" brouille son propos mais accentue sa force de séduction ; c’est sans doute que la séduction est son seul vrai sujet, en lieu et place d’un quelconque propos, forcément quelconque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
La cinéaste tunisienne dresse le portrait sensible d'une clandestine en quête de nouveaux repères.
Paris Match
par Yannick Vely
La réalisatrice du «Satin rouge» Raja Amari signe deux beaux portraits de femmes qui se lient malgré les différences sociales contre l'emprise des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Olivier De Bruyn
Un film audacieux qui, d'un point de vue politique comme intime, mérite d'être découvert.
Transfuge
par Damien Aubel
"Corps étranger" est bien un "film sur", sur l'émigration clandestine. Mais à sa façon : par une image, à la fois visuelle et poétique. Ça s'appelle du cinéma.
Télérama
par Louis Guichard
(...) un cinéma social, mais où la dureté du monde n’a pas encore anéanti la libido des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Antoine Le Fur
Tout bascule à mi-chemin lorsque la réalisatrice se pique d'injecter de la sensualité à l'histoire. Le propos de "Corps étranger", jusqu'ici assez intéressant, devient clairement anecdotique.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Autour de ce trio inédit et troublant, la Tunisienne Raja Amari ("Satin rouge") réussit à concilier, avec une caméra très souple, la peur et le désir, l'austérité et la sensualité, le drame et la comédie, ainsi que deux générations d'exilées, de "corps étrangers", que tout oppose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La rédaction
En hésitant entre politique - veut-elle transmettre un ou plusieurs messages? - et intime, Raja Amari cinéaste s'aventure dans une complexité inutile et reste ainsi à la surface des choses. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L’immigration, la clandestinité, la radicalisation, l’émancipation, la sexualité, la réalisatrice de "Satin rouge" brasse beaucoup de sujets dans ce drame. Trop sans doute.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il y a un fil qu'il ne faut pas perdre de vue, au risque d'être déconcerté par les diverses pistes qu'il emprunte, c'est son titre. Car il n'est question ici, comme en musique, que d'une série de variations sur la sensualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
"Corps étranger" est un film d'atmosphère, transcendant la simple analyse sociétale frontale, porté par trois personnages aux liens troubles et troublants.
Télé 2 semaines
par Maryvonne Ollivry
Magnifique Hiam Abbass.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) malgré l'impeccable direction d'acteurs, les enjeux peinent à s'incarner pleinement, prisonniers d'un rapport de forces trop schématique pour véritablement troubler.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par La rédaction
Au portrait convaincant de deux femmes, l’une sans papier l’autre intégrée, ce film ajoute trop de thèmes qui lui font perdre de sa force.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Corps étranger" se perd dans dans un bouillonnement de désirs et de retournements, d’où surgissent des références à l’histoire récente de la Tunisie, des observations – souvent pertinentes – sur la place que fait la France à ceux qui la choisissent, sans que ces éléments se fondent en un récit convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Le film de Raja Amara s’empêtre, sans aucune fulgurance, dans un érotisme plat. Les corps, inertes et flasques, paraissent inhabités.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Pour incarner ces personnages bouillonnants de l'intérieur, il fallait un trio aussi à l'aise dans la douceur que la douleur, la sensualité que la dureté. Hiam Abbass, Salim Kechiouche et Sarra Hanachi répondent brillamment à ces critères. Mais ils ne font qu’insuffisamment oublier les quelques coups de mou du récit, conséquence inévitable de cette volonté de suggérer et de vagabonder plutôt que de clamer et dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Première
par Thierry Chèze
Hiam Abbass, Salim Kechiouche et Sarra Hanachi (...) ne font qu’insuffisamment oublier les quelques coups de mou du récit, conséquence inévitable de cette volonté de suggérer et de vagabonder plutôt que de clamer et dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
C’est sans doute cela qu’exhument si bien les films de Raja Amari depuis "Satin Rouge" jusqu’à "Corps Etranger" en passant par "Les Secrets" : signifier qu’une libération du joug social ne peut se faire sans une libération de soi-même et de son corps.
Franceinfo Culture
Un très beau film réalisé sur le mode d’une fugue musicale. Sensible, beau et passionnant.
Libération
La ronde permanente que nous propose "Corps étranger" brouille son propos mais accentue sa force de séduction ; c’est sans doute que la séduction est son seul vrai sujet, en lieu et place d’un quelconque propos, forcément quelconque.
Marianne
La cinéaste tunisienne dresse le portrait sensible d'une clandestine en quête de nouveaux repères.
Paris Match
La réalisatrice du «Satin rouge» Raja Amari signe deux beaux portraits de femmes qui se lient malgré les différences sociales contre l'emprise des hommes.
Positif
Un film audacieux qui, d'un point de vue politique comme intime, mérite d'être découvert.
Transfuge
"Corps étranger" est bien un "film sur", sur l'émigration clandestine. Mais à sa façon : par une image, à la fois visuelle et poétique. Ça s'appelle du cinéma.
Télérama
(...) un cinéma social, mais où la dureté du monde n’a pas encore anéanti la libido des personnages.
L'Express
Tout bascule à mi-chemin lorsque la réalisatrice se pique d'injecter de la sensualité à l'histoire. Le propos de "Corps étranger", jusqu'ici assez intéressant, devient clairement anecdotique.
L'Obs
Autour de ce trio inédit et troublant, la Tunisienne Raja Amari ("Satin rouge") réussit à concilier, avec une caméra très souple, la peur et le désir, l'austérité et la sensualité, le drame et la comédie, ainsi que deux générations d'exilées, de "corps étrangers", que tout oppose.
Le Figaro
En hésitant entre politique - veut-elle transmettre un ou plusieurs messages? - et intime, Raja Amari cinéaste s'aventure dans une complexité inutile et reste ainsi à la surface des choses. Dommage.
Le Journal du Dimanche
L’immigration, la clandestinité, la radicalisation, l’émancipation, la sexualité, la réalisatrice de "Satin rouge" brasse beaucoup de sujets dans ce drame. Trop sans doute.
Le Parisien
Il y a un fil qu'il ne faut pas perdre de vue, au risque d'être déconcerté par les diverses pistes qu'il emprunte, c'est son titre. Car il n'est question ici, comme en musique, que d'une série de variations sur la sensualité.
Studio Ciné Live
"Corps étranger" est un film d'atmosphère, transcendant la simple analyse sociétale frontale, porté par trois personnages aux liens troubles et troublants.
Télé 2 semaines
Magnifique Hiam Abbass.
Critikat.com
(...) malgré l'impeccable direction d'acteurs, les enjeux peinent à s'incarner pleinement, prisonniers d'un rapport de forces trop schématique pour véritablement troubler.
La Croix
Au portrait convaincant de deux femmes, l’une sans papier l’autre intégrée, ce film ajoute trop de thèmes qui lui font perdre de sa force.
Le Monde
"Corps étranger" se perd dans dans un bouillonnement de désirs et de retournements, d’où surgissent des références à l’histoire récente de la Tunisie, des observations – souvent pertinentes – sur la place que fait la France à ceux qui la choisissent, sans que ces éléments se fondent en un récit convaincant.
Les Fiches du Cinéma
Le film de Raja Amara s’empêtre, sans aucune fulgurance, dans un érotisme plat. Les corps, inertes et flasques, paraissent inhabités.
Première
Pour incarner ces personnages bouillonnants de l'intérieur, il fallait un trio aussi à l'aise dans la douceur que la douleur, la sensualité que la dureté. Hiam Abbass, Salim Kechiouche et Sarra Hanachi répondent brillamment à ces critères. Mais ils ne font qu’insuffisamment oublier les quelques coups de mou du récit, conséquence inévitable de cette volonté de suggérer et de vagabonder plutôt que de clamer et dénoncer.
Première
Hiam Abbass, Salim Kechiouche et Sarra Hanachi (...) ne font qu’insuffisamment oublier les quelques coups de mou du récit, conséquence inévitable de cette volonté de suggérer et de vagabonder plutôt que de clamer et dénoncer.