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    The House That Jack Built
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    175 critiques spectateurs

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    mlight
    mlight

    24 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2019
    Lars a encore frappé.. Il est l'un des rares réalisateurs qui parvient encore à me surprendre et dégoutter dans le même film, "The house that Jack built" c'est un film dérangeant, pas le plus dérangeant qu'il ait réalisé c'est certain mais on a tout de même ici un degré de malsain qui frôle la suffocation. Lars fait ce qu'il sait faire de mieux, nous montrer les plus sombres côtés de l'homme, le tout mélangé à beaucoup de références artistiques, je m'attendais à de l'angoisse et de l'effroi, j'ai été servi, pas tant de morale c'est vrai, mais elle ne fait pas défaut à l'ensemble, en bref, un bon Von Trier.
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    Rarement un film m’aura laissé aussi perplexe et partagé. Ce glissement progressif du thriller vers l’horreur difficilement soutenable produit un effet de rejet, face à quelque chose de plus en plus nauséabond. En même temps, Lars Von Trier prend soin d’établir une distance avec les faits racontés, par une forme d’humour très noir, puis par une mise en perspective de ces faits avec des représentations (artistiques) du mal ou de son expression collective la pire qui soit (les camps d’extermination). Il intègre aussi à cette œuvre des références multiples, et propose des pistes de réflexion diverses, jamais claires ni approfondies. Et conclut son film par un épilogue intitulé « Catabase » qui est une des rares représentations de l’enfer au cinéma. Un film inclassable d’un réalisateur qui ne l’est pas moins, cultivant la provocation et interpellant notre morale. Qu’il faudrait revoir plusieurs fois pour l’analyser plus avant, mais cela ne fait pas envie….
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 février 2019
    Parce que leurs contenus sont si singuliers et leurs héros tellement torturés, les films de Lars von Trier incitent souvent le spectateur à y chercher la figure de leur auteur. Pour tenter de comprendre comment parvenir à créer de telles visions… Faut-il voir dans The House that Jack Built un portrait de Lars von Trier en serial killer ? On le retrouve, en creux, moins dans la part de tueur psychopathe de Jack, encore heureux, que dans celle de ses névroses. L’un des problèmes du tueur incarné par Matt Dillon, qui agit en esthète du crime en le considérant comme un art, réside en ce qu’il ne parvient pas, matériellement, à bâtir sa maison. Comme la marque de son incapacité à se faire une place dans le monde, à mener à bien ses désirs d’architecture – jusqu’à ce que soit apportée une résolution à la fois morbide et impressionnante. À travers sa réflexion sur le mal, le film met en scène des problématiques intimes à la création.

    Dans The House that Jack Built, oeuvre négative et nihiliste, l’humanité semble bel et bien absente. Cette absence est originelle dans l’histoire de Jack qui, déjà enfant, coupe la patte d’un caneton avec la plus grande placidité. Elle trouve son illustration la plus effroyable dans cette scène où Jack s’apprête à faire d’une jeune fille (Riley Keough) la nouvelle victime de son sadisme. Alors que celle-ci vient de comprendre l’identité de celui qu’on nomme « Mister Sophistication », impossible de s’enfuir. Jack lui conseille prudemment de crier, de prévenir ses voisins pour éviter d’être tuée par ses soins. Le pire, c’est qu’il se joint aux hurlements de la jeune femme. « À l’aide »… mais personne pour répondre. Rien d’autre que le silence de la société et l’approche du meurtre, inévitable. Ce qui est le ressort de la noirceur la plus extrême du personnage cache alors un sentiment de mal-être plus profond – Jack aussi aurait besoin d’aide. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2018/10/31/the-house-that-jack-built/)
    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    6 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 octobre 2019
    Si l'on devait faire la psychanalyse d'un tueur en série, et bien Lars Von Trier l'a fait. C'est ultra violent, immorale et ficelée avec un sens du montage et du rythme propre au réalisateur. Bref c'est du Lars Von Trier.
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    15 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2020
    Long métrage de Lars Von Trier, réalisateur controversé et connu pour ses films violents. Ici, on n'échappe pas à la règle : Jack, tueur en série, est un artiste qui veut élever ses meurtres au rang d’œuvres d'art. C'est durant son voyage vers les enfers qu'il confesse cinq de ses œuvres. Avec un résumé pareil, la violence est inévitable. Jack, véritable maniaque et obsédé du crime n'hésita pas durant douze ans à tuer des dizaines de personnes. Grâce à ce découpage en cinq actes et la voix off, nous assistons au portrait d'un homme, sans doute au passé douloureux, se livrer en "artiste" macabre à la construction de son personnage, de sa maison symboliquement comme le dit le titre. Matt Dillon, joue ici un personnage torturé, obsédé par l'art, et décris un message universel sur le rapport entre l'artiste et son œuvre (bien qu'ici l’œuvre est différente de la convention). A travers des tableaux, des photographies, de la musique, et des pensées, Jack s'expose comme un artiste, photographiant ses plus belles peintures faites de corps, mais n'en est pas un. Il va bel et bien en enfer après avoir commis les pires atrocités. Son testament morbide montre alors à travers ces cinq actes ses différentes facettes, les plus violentes comme les plus malsaines. Déchainé sur le monde comme une bête, à travers des couleurs le caractérisant comme le rouge, Jack nous offre sa vision dérangé du monde qui l'entoure, ainsi que son point de vue sur la beauté des choses. Particulièrement choquant à certains moments, Lars Von Trier nous montre avec contre pied la nature que peut prendre l'art (ou plutôt comment il peut-être perçu par les différentes personnes - ici Jack), sous ses formes les plus morbides, et observe le monde avec un œil pessimiste sur les choses les plus horribles que de la vie peut apporter. Un film profondément humaniste qui se place au dessus de toutes les formes d'art sur Terre pour étudier l'homme fou avant tout, sa pensée, et son rapport au monde extérieur. Jack reste dans les mémoires comme l'un des méchants les plus marquants de cette décennie cinématographique.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2020
    On pourrait ne voir, dans ce portrait en vignettes d’un tueur en série, que le dernier coup d’éclat en date d’un provocateur vieillissant, toujours aussi ravi qu’on lui donne l’occasion de chier sur le Tapis Rouge de Cannes, tout comme on pouvait choisir de ne voir que cela dans ‘Nymphomaniac’, dont il reprend d’ailleurs le principe du dialogue encyclopédique en voix off qui commente a posteriori le déroulé des événements. Cette insolence, cette volonté de choquer le bourgeois, sont bien présents, c’est une certitude : un peu de misogynie - le timing est parfait - pour ce film où les femmes sont explicitement réduites au statut d’aimables connes et de victimes sacrificielles, et un peu de Full Frontal, avec des enfants abattus à bout portant sans une once de tentative de suggérer l’abominable, tout cela pendant que deux hommes, le tueur et son mystérieux guide, devisent du sens et de la finalité à donner à de tels actes, citant Dante, William Blake, Glenn Gould ou Albert Speer (sans doute pour le quota de nazis obligatoire) : un peu de poudre aux yeux intellectuelle, histoire de troubler ceux qui persistent à penser que violence et inculture vont de pair, alors que de toute évidence, le réalisateur souhaite continuer à être perçu comme un être infréquentable aux yeux de ceux qui ne voudraient pas voir au-delà des apparences...mais franchement, qui serait assez barré pour regarder un film Lars von Trier juste comme ça, par hasard, sans savoir à quoi s’attendre ou juste parce qu’il n’y a rien d’autre à la télé ? D’autant qu’il ne lui suffit pas que le film puisse être considéré comme révoltant ou intolérable par le néophyte, il faut aussi que le néophyte puisse en rire, et éprouver de la honte d’avoir ri : Von Trier atténue ainsi - ou exacerbe, ça dépend de quel côté on aborde la démarche- la violence intrinsèque à sa proposition d’un humour noir, très noir. Qu’il s’agisse du premier crime, où la victime jacasse, titille et provoque Jack jusqu’au moment où à bout, il la tue impulsivement d’un coup de cric, découvrant de la sorte son moi profond de psychopathe, de cette partie de pique-nique cruelle, malsaine et authentiquement dérangeante, ou plus simplement de la personnalité de Jack, assassiné dévoré par ses TOC, qui prend des risques inconsidérés en revenant sur la scène de crime parce qu’il croit avoir oublié de nettoyer une tache de sang ou d’éteindre une lumière, les raisons de sourire ou de rire aux éclats abondent. On s’en doute, la démarche n’est pas pour autant parodique, même si ‘The house that Jack built’ s’amuse à déconstruire la figure mythifiée du tueur en série en disséquant si soigneusement sa personnalité et ses méthodes qu’il lui ôte toute sa part de mystère. Il n’est de toute façon guère difficile de comprendre que tout cela n’est qu’un prétexte à une réflexion théorique sur l’Art, et plus spécifiquement l’impossibilité de le concilier avec la morale puisque l’acte créateur doit être, par définition, détaché de toute morale : Jack ne tue que parce qu’un Grand Dessein s’est peu à peu formé dans son esprit, et ses méthodes épousent ainsi différents processus artistiques : impulsion soudaine, reprise de travaux antérieurs, respect scrupuleux de règles précises...qui, tous, doivent relever du libre choix de l’artiste et non de la soumission aux normes imposées de l’extérieur par la norme. En d’autres termes, Von Trier a livré un film dont le contenu sert de justification à sa propre existence (et à celle du reste de sa filmographie). Ensuite, Il suffit de dire que Jack, c’est Lars von Trier, et que le meurtre, c’est son cinéma et l’ambition de bâtir une cathédrale immortelle tout en n’acceptant pas tout à fait le statut de paria que cela implique, et on se retrouve devant le plus fascinant égo-trip de la décennie. On peut être insensible à cet humour visqueux, choqué par la violence ignoble du film, indifférent à sa démarche métaphorique, déstabilisé par ce mélange toujours aussi bizarrement harmonieux entre préoccupations philosophiques, digressions prosaïques, étalage de Kültüre et visions élégiaques : Von Trier n’est peut-être pas le puissant penseur nietzchéen qu’il imagine être, ni l’empêcheur de tourner en rond ultime dans un monde qui s’emmerde tellement qu’il feint l’indignation à la moindre occasion, histoire de rester éveillé...mais son talent formel, sa volonté affichée de combler les trous de l’histoire du cinéma en tournant, selon ses propres dires, ce que personne n’a encore pensé à tourner et son statut de némésis numéro 1 des “woke” ne peuvent que me le rendre sympathique….et puis, aujourd’hui, quel cinéaste parvient encore à amuser, révulser, susciter la curiosité et jouer avec le spectateur avec autant de réussite simultanément ?
    STRANGELines
    STRANGELines

    16 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2019
    The House That Jack Built est une belle démonstration de leçons d'arts par Lars Van Trier, et est sans doute son oeuvre la plus personnelle. Prenez note!
    Boré I.
    Boré I.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2018
    une formidable œuvre sur le passage à l’acte...L’art comme le crime ne supporte pas la morale. L’artiste se doit d’être libre, de s’affranchir des contraintes, il a le droit de montrer l’immontrable… tant c’est à travers le prisme de son regard.
    Rgxbx
    Rgxbx

    21 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 janvier 2019
    Dans un rare et précieux entretien de Lars von Trier dans le 18ème numéro de La Septième Obsession, le maître danois déclare diviser ses films en chapitres comme dans "Winnie l'ourson", un livre pour enfant. Ne vous méprenez pas, The House That Jack Built n'a rien d'un film pour enfant. THTJB n'est pas non plus un énième film sur un serial killer, il s'agit plus d'une comédie noire, très noire, qui termine - littéralement - en enfer.

    THTJB est un film sur l'art, sur Lars von Trier lui-même, sur son oeuvre, ses détracteurs, sur la folie, sa folie, sur le mal, sur l'enfer, les symboles, la chasse (et ses ravages), la nature, la violence, la mort, la morale, le mystique...
    Bref c'est un film SUR ABSOLUMENT TOUT, un film fleuve, malsain, dérangeant mais hilarant, porté par un Matt Dillon dantesque et une mise en scène, comme toujours, remarquable.

    Pour conclure, un petit message aux détracteurs invétérés de LVT qui iront voir le film, comme il est dit dans le film : "pour certains, les atrocités commises dans la fiction sont les désirs qui ne peuvent pas être concrétisés dans notre civilisation sous contrôle et qui sont exprimés dans l'art".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 juin 2019
    Cinq ans après un Nymphomaniac diversement apprécié, Lars Von Trier reprend le cours de sa carrière cinématographique là où il l'avait arrêtée. Nous passons de la longue confession d'une Charlotte Gainsbourg autodestructrice aux aveux réjouis d'un tueur en série (Matt Dillon) se voulant grand esthète. Le traditionnel découpage en chapitres propres au cinéaste danois (ici nommés « incidents ») ou la caméra naturaliste façon documentaire viennent agrémenter un échange pointu développant quantité de considérations artistiques, ésotériques ou philosophiques sur la nature humaine comme sur les créations architecturales. On nous dépeint un tueur brinquebalant, presque pied nickelé par moments, et néanmoins empreint d'un sadisme affolant. Les métaphores, sophismes et provocations affluent à mesure de ce récit horrifique, de prime abord drôle (un premier meurtre dédramatisé au possible) ou absurde (les non-arrestations du tueur malgré de grossières erreurs) avant de devenir franchement perturbant. Car Von Trier ne se contente pas d'alimenter une joute verbale entre ses deux interlocuteurs principaux, il installe un jeu avec le spectateur et établit une passerelle de plus en plus évidente avec l'ensemble de son œuvre, semble répondre à toutes les accusations subies par les médias. Sans doute pouvait-il accomplir cet objectif en évitant de basculer une nouvelle fois dans le point Godwinn ou d'illustrer son propos par des images issues de tous ses précédents long-métrages…Or il ne peut procéder autrement, alimentant encore les accusations de mégalomanie ou de fascination pour les dictatures (voir Dogville et surtout Manderlay) dont il fait l'objet. Conclusion : un film-somme qui parlera autant aux aficionados du maître qu'il pourra intriguer un public démarrant l'aventure avec cet opus. Hermétiques aux longues séquences dialoguées s'abstenir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    Un film trop long, trop mou, qui tourne à l'ennui. Divisé en 5 chapitres et 1 épilogue, il retrace le parcours d'un psychopathe dans les années 70-80, améliorant ses techniques de prédateur et de tueur.
    Il ne faut pas s'attendre à un thriller. Il s'agit plutôt d'un drame qui se rapproche du documentaire : caméra à l'épaule (qui donne le mal des transports par moments), silences, séances explicatives sur l'architecture ou l'art avec des images en 4/3 de dessins ou d'Hitler, etc.
    Tout ceci m'a laissée de marbre. Je n'ai rien ressenti, ni l'humour noir, ni dégoût ou peur face aux scènes macabres (suis-je moi-même une psychopathe ?!), car une fois passé le 1er chapitre, on comprend qu'il continuera. Seul le 3e chapitre m'a paru efficace et sans temps mort.
    On notera que c'est Bruno Ganz qui joue le rôle de Verge apparaissant à l'épilogue. Est-ce voulu ou pas, car c'était cet acteur qui interprétait Hitler dans "La Chute" spoiler:
    (la dernière scène montrant la chute du psychopathe dans les flammes, une fois son passage en enfer accompagné de Verge après avoir été tué par un policier) spoiler:
    .
    "The House that Jack built" se veut donc un film misanthrope. La misogynie que certaines ont pu ressentir en est forcément un composant (un peu comme Schopenhauer qu'on dit misogyne alors que ses écrits n'épargnent pas les hommes). Les policiers, quant à eux, quels que soient l'époque et le pays, sont toujours dans les parages lorsque c'est inutile et ne font rien quand on leur demande de l'aide. On en retiendra finalement qu'il n'y a rien à sauver de l'humanité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 novembre 2018
    j'ai aimé ce film sur la profondeur, le côté comique de certaines scènes ainsi que sur le jeu de Matt Dillon en dépit de certaines longueurs et d'une fin spoiler: illustrant la descente aux enfers déjà kitch à l'instant où on la regarde pour la première fois.
    . Ce film montre une violence au premier degré comme un acte quotidien, un besoin primaire sans raison aucune. La partie de chasse; les dialogues avec Uma Thurmann sont truculents. Quelques personnes sont sorties de la salle durant la séance mais j'encourage les gens à se faire leur propre avis. âmes sensibles des scènes choc, s'abstenir!
    Alexane D.
    Alexane D.

    14 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2019
    Jusqu’à l’épilogue, The House that Jack Built était pour moi un sans fautes. Les plans sont magnifiques, la réalisation du film est originale, la bande-son, l'ambiance créée et entretenue tout du long... Un film vraiment impressionnant qui nous tient en haleine, nous surprend, et nous horrifie, mais aussi nous fait rire pendant 2 heures. Cependant, je ne sais pas quoi penser de la fin, qui contrairement au reste du film ressort beaucoup plus fantastique, en opposition avec le reste.

    Et Uma Thurman qui n’apparaît qu’au début par contre...)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 octobre 2018
    Film puissant et malsain, qui plonge immédiatement le spectateur dans l'histoire. Excellent prestation de MATT DILLON, c’était d’ailleurs sa présence qui ma attiré vers ce Film.
    On peut comprendre certains critiques sur le point que c'est immoral mais du point de vu cinématographique c'est très réussi. Ce Film mérite l'appellation CULT.
    Catherine C.
    Catherine C.

    7 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Quelle déception, le scénario est grotesque, le film est long et lent. Mais ce sont surtout les scènes de meurtre et torture qui m’ont écoeuré. Le film devrait être rangé parmi les films d’horreur.
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