Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Avec cet autoportrait de l’artiste en psychopathe, Lars von Trier s'expose délibérément aux foudres de ses détracteurs (...) et dévoile une formidable œuvre sur le passage à l’acte : meurtrier pour le héros, créatif pour l’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Divisé en cinq chapitres comme autant d’étapes décisives dans le parcours meurtrier de Jack (qui déclare avoir commis plus de 60 forfaits), le nouveau film de Lars von Trier retrouve la richesse narrative de "Nymphomaniac" (2013) et la force tellurique de son récit (…) Reverra-t-on un jour un nouveau film de Lars von Trier ? On peut en douter. L’émotion qui en surgit s’en trouve alors décuplée.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Après sa trilogie "féminine", le cinéaste continue de s’affirmer comme un alchimiste médiéval, un artiste scrutant les abymes d’un monde originaire pour y retrouver l’élan pulsionnel, la formule secrète, entre kitsch et sublime, entre humour et romantisme noir, qui donnerait la clé tout à la fois d’une explication de l’Univers et de ses lois mystérieuses, ainsi que de la possibilité de sa transposition symbolique.
Transfuge
par François Bégaudeau
Lars von Trier signe encore un très grand film avec "The House that Jack Built". Un thriller cruel au premier degré qui fait éclater les règles du genre.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce portrait d’un tueur en série incarné par Matt Dillon est une merveille d'humour noir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Seul Lars von Trier peut se permettre de faire le malin avec le Malin tant que cet esprit alimentera ses visions d’inconsolable farfadet élégiaque.
Ecran Large
par Simon Riaux
Si certains segments du récit sont un peu trop inégaux, cet autoportrait radical et ravagé recèle quantité d'idées et de passionnantes mises en abyme.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Toujours traversé de fulgurances, le nouveau Lars von Trier montre que le réalisateur danois n’a rien perdu de son inventivité et de sa puissance, de son art.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par La rédaction
Non sans rappeler l'ambiance totalement désespérée de "Henry, portrait d'un serial-killer" de John McNaughton, "The House that Jack Built" constitue l'une des meilleures études de l'obsession meurtrière.
La Croix
par Céline Rouden
Avec cette confession d’un tueur en série aux allures de farce macabre, dont la violence est volontairement dérangeante, le réalisateur danois s’interroge sur la part sombre de la création et se livre à un long exercice d’auto-justification.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
POUR : Un objet inclassable, inconfortable, déjà inoubliable.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
En s’attachant à la figure corvéable à loisir du tueur en série et en en faisant son alter ego, Lars Von Trier perpétue un acte de repliement déjà opéré dans "Nymphomaniac", et signe une œuvre aux fondations solides et au toit branlant - une maison bancale et parfaite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Film long, heurté, imparfait, "The House that Jack Built" n’en reste pas moins une expérience sidérante où Lars von Trier atteint finalement son but : faire émerger la grande santé nietzschéenne de l’artiste par un travail du négatif, trouver la lumière à l’intérieur du tunnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Ainsi, si "The House That Jack Built" est bien trop systématique et attendu dans ses provocations [...], l’accumulation d’indécences fait un petit ensemble vraiment drôle et méchant, témoignant d’une malignité et d’une intelligence comme Lars von Trier n’en avait pas fait montre depuis bien longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
Il faut donc se précipiter sur "The House That Jack Built". Parce que c'est un film malpoli, qui n'a peur de rien et ne demande qu'à être apprivoisé. L'exercice est périlleux mais incroyablement stimulant, d'autant que l'oeuvre révèle une richesse dont la pleine appréhension réclamera sans doute plusieurs visionnages.
Marie Claire
par Emily Barnett
Un grand film malade et intrigant.
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Plus le film avance, plus le cinéaste prend des risques, et plus l’humour noir s’efface au profit d’un crescendo vraiment angoissant, menant à une chambre froide macabre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La rédaction
Un résultat à mi-chemin entre le film noir et une sombre réflexion philosophique sur l’art.
L'Obs
par Nicolas Schaller
De plus en plus fêlé, le cinéaste laisse passer la lumière (l’Amérique des armes à feu au pilori), dépasse les bornes (énième provocation sur Hitler), sauf celle de la morale cinématographique : la violence, aussi perverse soit-elle, est filmée sans complaisance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Yannick Vely
Malaisant, passionnant, confus, "The House That Jack Built" ne laissera personne indifférent, et c'est justement ce que recherche son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Lars von Trier a-t-il livré son testament artistique avec ce portrait par procuration, assorti d’images d’holocauste, d’autocitations, ainsi que d’énigmatiques extraits de concert de Glenn Gould ? Ce serait l’argument le plus convaincant de ce film qui, en dépit de la cruauté de certaines images, n’appelle à crier ni au scandale, ni au génie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Lars Von Trier est suffisamment tourmenté pour ne pas éviter l’horreur de certains meurtres ; c’est à ce prix qu’il transgresse les tabous, médite sur la création et touche à la vérité de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Josué Morel
Le problème ne tient toutefois pas seulement dans la relative pauvreté de la réflexion, mais bien plutôt dans le fait que celle-ci ne prend jamais véritablement une autre forme que celle du discours.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Toujours capable de saisissantes fulgurances visuelles, Lars Von Trier se noie dans ses propres provocations.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Voici
par Lola Sciamma
Comment fonctionne le cerveau d'un tueur en série qui fabrique des porte-monnaies en peau de sein, et considère chacun de ses meurtres comme une oeuvre d'art ? Si ça vous tente, ce film est pour vous...
Bande à part
par Jo Fishley
La misanthropie de Lars von Trier n'est pas seulement vulgaire : elle est morbide. Et dans les confessions d'un serial killer, par un certain Verge, se dessine en creux un complaisant autoportrait de l'artiste dans des enfers dont l'esthétisme ne raconte plus rien.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Antoine Le Fur
Le cinéaste ne semble plus vouloir qu'une chose : choquer coûte que coûte. Et tant pis si ses personnages ne sont pas fouillés ou si le scénario se révèle incroyablement confus et sans grand intérêt.
Le Figaro
par La Rédaction
Lars von Trier multiplie les provocations, frôle le ridicule, cite ses propres films et Albert Speer, s'extasie sur les stukas et les vins doux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
CONTRE : [...] la femme est toujours stupide et hautement sacrifiable. Avec une cruauté à peine soutenable. Surtout, le récit vire à l’autocélébration, se révèle sentencieux, long et ennuyeux.
Marianne
par La Rédaction
Aucune raison de s'infliger ce supplice.
Positif
par Pierre Eisenreich
La réflexion de Lars von Trier au sujet de son personnage criminel oscille entre la bêtise pubère et l'idéologie la plus nauséabonde, pronazie pour la nommer, puisqu'elle est ouvertement citée à travers des extraits montrant Hitler, les monuments d'Albert Speer, les camps d'extermination et leurs charniers comme sommet d'un art nihiliste (sic)...
Télérama
par Hélène Marzolf
CONTRE : Les hommes sont toujours coupables, déplore Jack le tueur, et les femmes, toujours victimes… Malheureusement, oui, pour ce cinéaste qui se complaît dans un sadisme raffiné. Le second degré ne sauve pas cette démonstration boursouflée, simpliste et gratuite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Propager l’argument « violence insoutenable » que l’on accole à ce film, qui n’a de choquant qu’un crâne explosé, deux enfants abattus d’une balle et un amoncellement de cadavres surgelés, serait une grande victoire de la bien-pensance. La seule chose d’insoutenable, c’est assurément sa vacuité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
Avec cet autoportrait de l’artiste en psychopathe, Lars von Trier s'expose délibérément aux foudres de ses détracteurs (...) et dévoile une formidable œuvre sur le passage à l’acte : meurtrier pour le héros, créatif pour l’auteur.
La Septième Obsession
Divisé en cinq chapitres comme autant d’étapes décisives dans le parcours meurtrier de Jack (qui déclare avoir commis plus de 60 forfaits), le nouveau film de Lars von Trier retrouve la richesse narrative de "Nymphomaniac" (2013) et la force tellurique de son récit (…) Reverra-t-on un jour un nouveau film de Lars von Trier ? On peut en douter. L’émotion qui en surgit s’en trouve alors décuplée.
Le Monde
Après sa trilogie "féminine", le cinéaste continue de s’affirmer comme un alchimiste médiéval, un artiste scrutant les abymes d’un monde originaire pour y retrouver l’élan pulsionnel, la formule secrète, entre kitsch et sublime, entre humour et romantisme noir, qui donnerait la clé tout à la fois d’une explication de l’Univers et de ses lois mystérieuses, ainsi que de la possibilité de sa transposition symbolique.
Transfuge
Lars von Trier signe encore un très grand film avec "The House that Jack Built". Un thriller cruel au premier degré qui fait éclater les règles du genre.
20 Minutes
Ce portrait d’un tueur en série incarné par Matt Dillon est une merveille d'humour noir.
Cahiers du Cinéma
Seul Lars von Trier peut se permettre de faire le malin avec le Malin tant que cet esprit alimentera ses visions d’inconsolable farfadet élégiaque.
Ecran Large
Si certains segments du récit sont un peu trop inégaux, cet autoportrait radical et ravagé recèle quantité d'idées et de passionnantes mises en abyme.
Franceinfo Culture
Toujours traversé de fulgurances, le nouveau Lars von Trier montre que le réalisateur danois n’a rien perdu de son inventivité et de sa puissance, de son art.
L'Ecran Fantastique
Non sans rappeler l'ambiance totalement désespérée de "Henry, portrait d'un serial-killer" de John McNaughton, "The House that Jack Built" constitue l'une des meilleures études de l'obsession meurtrière.
La Croix
Avec cette confession d’un tueur en série aux allures de farce macabre, dont la violence est volontairement dérangeante, le réalisateur danois s’interroge sur la part sombre de la création et se livre à un long exercice d’auto-justification.
Le Journal du Dimanche
POUR : Un objet inclassable, inconfortable, déjà inoubliable.
Les Fiches du Cinéma
En s’attachant à la figure corvéable à loisir du tueur en série et en en faisant son alter ego, Lars Von Trier perpétue un acte de repliement déjà opéré dans "Nymphomaniac", et signe une œuvre aux fondations solides et au toit branlant - une maison bancale et parfaite.
Les Inrockuptibles
Film long, heurté, imparfait, "The House that Jack Built" n’en reste pas moins une expérience sidérante où Lars von Trier atteint finalement son but : faire émerger la grande santé nietzschéenne de l’artiste par un travail du négatif, trouver la lumière à l’intérieur du tunnel.
Libération
Ainsi, si "The House That Jack Built" est bien trop systématique et attendu dans ses provocations [...], l’accumulation d’indécences fait un petit ensemble vraiment drôle et méchant, témoignant d’une malignité et d’une intelligence comme Lars von Trier n’en avait pas fait montre depuis bien longtemps.
Mad Movies
Il faut donc se précipiter sur "The House That Jack Built". Parce que c'est un film malpoli, qui n'a peur de rien et ne demande qu'à être apprivoisé. L'exercice est périlleux mais incroyablement stimulant, d'autant que l'oeuvre révèle une richesse dont la pleine appréhension réclamera sans doute plusieurs visionnages.
Marie Claire
Un grand film malade et intrigant.
Télérama
POUR : Plus le film avance, plus le cinéaste prend des risques, et plus l’humour noir s’efface au profit d’un crescendo vraiment angoissant, menant à une chambre froide macabre.
CNews
Un résultat à mi-chemin entre le film noir et une sombre réflexion philosophique sur l’art.
L'Obs
De plus en plus fêlé, le cinéaste laisse passer la lumière (l’Amérique des armes à feu au pilori), dépasse les bornes (énième provocation sur Hitler), sauf celle de la morale cinématographique : la violence, aussi perverse soit-elle, est filmée sans complaisance.
Paris Match
Malaisant, passionnant, confus, "The House That Jack Built" ne laissera personne indifférent, et c'est justement ce que recherche son auteur.
Première
Lars von Trier a-t-il livré son testament artistique avec ce portrait par procuration, assorti d’images d’holocauste, d’autocitations, ainsi que d’énigmatiques extraits de concert de Glenn Gould ? Ce serait l’argument le plus convaincant de ce film qui, en dépit de la cruauté de certaines images, n’appelle à crier ni au scandale, ni au génie.
Sud Ouest
Lars Von Trier est suffisamment tourmenté pour ne pas éviter l’horreur de certains meurtres ; c’est à ce prix qu’il transgresse les tabous, médite sur la création et touche à la vérité de son sujet.
Critikat.com
Le problème ne tient toutefois pas seulement dans la relative pauvreté de la réflexion, mais bien plutôt dans le fait que celle-ci ne prend jamais véritablement une autre forme que celle du discours.
La Voix du Nord
Toujours capable de saisissantes fulgurances visuelles, Lars Von Trier se noie dans ses propres provocations.
Voici
Comment fonctionne le cerveau d'un tueur en série qui fabrique des porte-monnaies en peau de sein, et considère chacun de ses meurtres comme une oeuvre d'art ? Si ça vous tente, ce film est pour vous...
Bande à part
La misanthropie de Lars von Trier n'est pas seulement vulgaire : elle est morbide. Et dans les confessions d'un serial killer, par un certain Verge, se dessine en creux un complaisant autoportrait de l'artiste dans des enfers dont l'esthétisme ne raconte plus rien.
L'Express
Le cinéaste ne semble plus vouloir qu'une chose : choquer coûte que coûte. Et tant pis si ses personnages ne sont pas fouillés ou si le scénario se révèle incroyablement confus et sans grand intérêt.
Le Figaro
Lars von Trier multiplie les provocations, frôle le ridicule, cite ses propres films et Albert Speer, s'extasie sur les stukas et les vins doux.
Le Journal du Dimanche
CONTRE : [...] la femme est toujours stupide et hautement sacrifiable. Avec une cruauté à peine soutenable. Surtout, le récit vire à l’autocélébration, se révèle sentencieux, long et ennuyeux.
Marianne
Aucune raison de s'infliger ce supplice.
Positif
La réflexion de Lars von Trier au sujet de son personnage criminel oscille entre la bêtise pubère et l'idéologie la plus nauséabonde, pronazie pour la nommer, puisqu'elle est ouvertement citée à travers des extraits montrant Hitler, les monuments d'Albert Speer, les camps d'extermination et leurs charniers comme sommet d'un art nihiliste (sic)...
Télérama
CONTRE : Les hommes sont toujours coupables, déplore Jack le tueur, et les femmes, toujours victimes… Malheureusement, oui, pour ce cinéaste qui se complaît dans un sadisme raffiné. Le second degré ne sauve pas cette démonstration boursouflée, simpliste et gratuite.
aVoir-aLire.com
Propager l’argument « violence insoutenable » que l’on accole à ce film, qui n’a de choquant qu’un crâne explosé, deux enfants abattus d’une balle et un amoncellement de cadavres surgelés, serait une grande victoire de la bien-pensance. La seule chose d’insoutenable, c’est assurément sa vacuité.