AlloCiné
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Votre avis sur Bumblebee ?
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Surprenant. Tout d'abord, sur la qualité d'image qui est folle et surprenante à tout point. Ensuite, l'histoire est bien écrite et les liens avec la série Transformers sont bien fait dans la majorité. Des questions persistent et des scènes sont parfois bancales mais le rendu est bien fait. On prend plaisir à regarder et on apprécie ce focus sur Bumblebee. Seul bémol, la banalité ou le ridicule de certaines scènes et parfois un jeu approximatif d'acteurs.
Victor A.
Un « E.T like » qui marche plutôtbien et qui garde toit de même son lot d’action à la Transformers. C’est assez bien réalisé et souvent drôle. Néanmoins le métrage souffre de quelques problèmes. En effet, Bumbelbee souffre d’incohérences ou de choses assez tiré par les cheveux et de quelques vannes qu’on retrouve tous le temps dans les blockbuster actuel.
Bumblebee – Quand une Coccinelle sauve l’honneur des Transformers
Travis Knight, ce magicien du stop motion qui a pondu Kubo, débarque dans le garage de Michael Bay pour réparer les dégâts. Et franchement, il a bossé. On remonte en 1987, époque bénie où les cheveux avaient plus de volume que la morale des clips de MTV. Fini les robots qui pètent des planètes toutes les 20 minutes, ici Bumblebee roule pépère sur un air de Take on Me. Ça sent les VHS mal rembobinées et la nostalgie bien calibrée.
Bumblebee, alias l’alien mécanique qui ne parle qu’en radios cassées, est le cœur du film. Entre ses regards de chien battu et ses gaffes façon E.T., ce robot a plus d’âme que 90 % des acteurs qu’on a vus cette année. Le duo qu’il forme avec Charlie (Hailee Steinfeld, convaincante sans avoir besoin d’en faire des caisses) est tellement touchant qu’on en oublie presque que c’est un film Transformers. Travis Knight réussit l’impossible : nous faire ressentir quelque chose d’autre que de la fatigue après deux heures de robots qui s’explosent la tronche.
Parce que c’est un film qui parle de grosses bastons entre aliens, il fallait un militaire de service. Et qui mieux que John Cena, l’incarnation vivante d’un GI Joe gonflé aux protéines ? Son personnage, Jack Burns (oui, son nom est aussi subtil que le scénario de Fast & Furious), est là pour grogner, tirer sur tout ce qui bouge et balancer des répliques dignes des biscuits chinois : inutiles mais marrantes.
C’est bien simple, Bumblebee est tout ce que Michael Bay ne sera jamais : modeste, sincère et lisible. Les scènes d’action, bien que moins spectaculaires que les orgies pyrotechniques de ses prédécesseurs, ont enfin du sens. Pas besoin de se demander quel robot est en train de démembrer quel autre robot, ici tout est clair comme de l’eau de roche. Merci Travis, on n’avait plus vu ça depuis… jamais, en fait.
Soyons honnêtes, le film capitalise à fond sur la nostalgie des années 80. Entre les tubes de l’époque, les décors vintage et les clins d’œil à E.T. et Les Goonies, on est en plein trip Amblin. Mais bon, ça fonctionne. Et après les catastrophes cinématographiques qu’ont été les derniers volets de la saga, ce retour aux sources a un goût de miracle.
Bumblebee est le spin-off qu’on n’attendait pas mais qu’on méritait. Simple, sincère et efficace, il redonne à la franchise Transformers un semblant de dignité. Travis Knight prouve qu’on peut faire un film de robots géants sans sombrer dans la débilité galactique. À voir, ne serait-ce que pour rappeler à Michael Bay que moins, c’est parfois beaucoup plus.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Travis Knight, ce magicien du stop motion qui a pondu Kubo, débarque dans le garage de Michael Bay pour réparer les dégâts. Et franchement, il a bossé. On remonte en 1987, époque bénie où les cheveux avaient plus de volume que la morale des clips de MTV. Fini les robots qui pètent des planètes toutes les 20 minutes, ici Bumblebee roule pépère sur un air de Take on Me. Ça sent les VHS mal rembobinées et la nostalgie bien calibrée.
Bumblebee, alias l’alien mécanique qui ne parle qu’en radios cassées, est le cœur du film. Entre ses regards de chien battu et ses gaffes façon E.T., ce robot a plus d’âme que 90 % des acteurs qu’on a vus cette année. Le duo qu’il forme avec Charlie (Hailee Steinfeld, convaincante sans avoir besoin d’en faire des caisses) est tellement touchant qu’on en oublie presque que c’est un film Transformers. Travis Knight réussit l’impossible : nous faire ressentir quelque chose d’autre que de la fatigue après deux heures de robots qui s’explosent la tronche.
Parce que c’est un film qui parle de grosses bastons entre aliens, il fallait un militaire de service. Et qui mieux que John Cena, l’incarnation vivante d’un GI Joe gonflé aux protéines ? Son personnage, Jack Burns (oui, son nom est aussi subtil que le scénario de Fast & Furious), est là pour grogner, tirer sur tout ce qui bouge et balancer des répliques dignes des biscuits chinois : inutiles mais marrantes.
C’est bien simple, Bumblebee est tout ce que Michael Bay ne sera jamais : modeste, sincère et lisible. Les scènes d’action, bien que moins spectaculaires que les orgies pyrotechniques de ses prédécesseurs, ont enfin du sens. Pas besoin de se demander quel robot est en train de démembrer quel autre robot, ici tout est clair comme de l’eau de roche. Merci Travis, on n’avait plus vu ça depuis… jamais, en fait.
Soyons honnêtes, le film capitalise à fond sur la nostalgie des années 80. Entre les tubes de l’époque, les décors vintage et les clins d’œil à E.T. et Les Goonies, on est en plein trip Amblin. Mais bon, ça fonctionne. Et après les catastrophes cinématographiques qu’ont été les derniers volets de la saga, ce retour aux sources a un goût de miracle.
Bumblebee est le spin-off qu’on n’attendait pas mais qu’on méritait. Simple, sincère et efficace, il redonne à la franchise Transformers un semblant de dignité. Travis Knight prouve qu’on peut faire un film de robots géants sans sombrer dans la débilité galactique. À voir, ne serait-ce que pour rappeler à Michael Bay que moins, c’est parfois beaucoup plus.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Après le charcutage de la licence par Bay j'avais peu d'espoir en une hypothétique résurrection de la franchise... Je connaissais pas Travis Knight mais une chose est sure, il filme mieux que Bay, la caméra qui avait Parkinson dans Transformers à la Zack Snyders, j'ai eu ma dose. Ici on a de la castagne bien chorégraphiée et surtout John Cena bordel, ça fait plaisir.
Le seul défaut étant l'actrice pré-pubère qui sert à meubler le film de scènes assez mièvres et finalement sans intérêt mais c'est toujours mieux que de se farcir Shia Leboeuf ça je peux vous le dire...
Le bee de Travis est attachant à l'image de celui de Bay, ici il est juste un peu plus petit avec une tête de bisounours. Mention spéciale aux effets spéciaux qui sont franchement impressionnants. Au final on est plus sur du divertissement pour petits et grands mais ça donne un souffle d'air à la soupe de médiocrité qu'était devenue Transformers.
Le seul défaut étant l'actrice pré-pubère qui sert à meubler le film de scènes assez mièvres et finalement sans intérêt mais c'est toujours mieux que de se farcir Shia Leboeuf ça je peux vous le dire...
Le bee de Travis est attachant à l'image de celui de Bay, ici il est juste un peu plus petit avec une tête de bisounours. Mention spéciale aux effets spéciaux qui sont franchement impressionnants. Au final on est plus sur du divertissement pour petits et grands mais ça donne un souffle d'air à la soupe de médiocrité qu'était devenue Transformers.
J’ai adorer ce film, surtout la façon dont ils on y montrer ‘Bee ils lui ont donner un coté un peu humain, qui montre que même une machine peut aimer.... J’ai toujours Adorer BumBlebee depuis ma plus tendre enfance et pourtant je suis une fille ! Ce film est vraiment génial allez le voir ! 😚������
Scénario usé jusque la mort.
Mauvais comédien.
Trop attendu, aucune surprise.
Film sans aucun intérêt.
Mauvais comédien.
Trop attendu, aucune surprise.
Film sans aucun intérêt.
Super film avec une histoire qui tient la route.
Avec des personnages plutôt attachant. On ne s'ennuie pas une minute !
Je conseille ce film
Avec des personnages plutôt attachant. On ne s'ennuie pas une minute !
Je conseille ce film
ce film est très bien, Travis Knight a réussi à apporter et à transmettre tout ce dont Michael Bay na pas réussi à accomplir en 5 films, c'est à dire une vraie relation entre les personnages qui je trouve juste incroyable entre Charlie et Bumblebee, un scénario certe qui ne révolutionne pas le genre (cela reste après tout du Transformers) mais qui reste tout à fait cohérent et plaisant à suivre, des effets spéciaux et des scènes d'actions à couper le souffle sans avoir forcément besoin d'y laisser un gros budget! Maintenant pour les petits points négatifs, personnellement je trouve les doublures apporter aux Decepticons beaucoup trop "innocente" cela peut paraître tout con mais elles ne sont pas aussi imposantes que ceux de la saga Transformers en elle même! Je trouve aussi l'agent Burns joué par le célèbre John Cena beaucoup trop cliché à mon goût avec des répliques assez limites limites! Bref un film à voir en famille, entre amis, adapté pour petit et grand pour tout simplement passer un agréable moment!
J’ai adoré j apprendrais un peu vu que c’était surtout centre sur bumblebee mais vraiment un bon film et des moments drôles
Je suis déçu. L histoire n est pas respectée. BumbleBee est déjà présenté comme ayant participé a la seconde guerre mondiale. Mauvais jeux d acteur.
L'Info Tout Court
Là où The Last Knight (et son aîné) ne représentait qu’une bouillasse visuelle sombrant dans la surenchère illisible et crétine, ce métrage recentre son récit autour de l’autobots et deux décepticons et trouve dans sa simplicité, la fluidité nécessaire à l’entreprise. Aux explosions et au CGI à outrance de Bay, Knight préfère rester à échelle humaine, limitant ses effets numériques au minimum lorsqu’ils ne sont pas essentiels à l’histoire. Non seulement ça repose l’oeil, mais ça permet de mieux comprendre l’action. On n’est plus dans le blockbuster gros et lourd, mais dans l’aventure familiale.
Une nouvelle adaptation qui tente une approche inédite : une relation inter-espace façon ET ou Le Géant de Fer, moins d’action, une histoire qui permet d’apporter des éléments à la mythologie Transformers, un film plus intimiste, et une ambiance année 1980. Alors oui Bumblebee est très inspiré de ces deux films mais ne leur atteint pas la cheville, Bumblebee n’apporte pas grand chose à la saga Transformers, l’ambiance année 1980 ne se ressent que le temps des quelques tubes joués par le robot. Bref sympathique mais parfaitement oubliable.
https://www.lavisqteam.fr/?p=39970
https://www.lavisqteam.fr/?p=39970
Il manque un peu de tout pour rendre ce film beaucoup plus attrayant !
Bizarrement il manque pas mal d’actions ! Le film veut jouer la carte de l’émotion mais le film n’est pas taillé pour cela
Bref un résultat assez moyen et décevant
Bizarrement il manque pas mal d’actions ! Le film veut jouer la carte de l’émotion mais le film n’est pas taillé pour cela
Bref un résultat assez moyen et décevant
Bon je reconnais que ça ne vole pas bien haut, mais ce film parvient tout de même à réveiller ma fibre nostalgique des 80's et m'a fait passer plutôt un bon moment en famille. C'est tout ce qu'il faut en attendre, rien de plus.
Film totalement médiocre et débilitant, et donc parfaitement dans l'air du temps. Je constate vraiment une infantilisation croissante dans ce qui sort au ciné, c'est à croire que les producteurs se rendent dans les salles de ciné et considèrent la seule et unique simple d'esprit majeure riant lors de blagues idiotes lors de films toujours plus niais, constitue la norme. Les bras m'en tombent, il devient de plus en plus difficile de voir un film jusqu'au bout, tant l'impression de parodie, voire de volonté d'abrutir le téléspectateur, est prégnante. On fait de plus en plus appel aux sentiments primaires et télescopés, voire aux sensations brutes (musique à fond pour masquer le manque de scénario et de jeu d'acteur, voire de profondeur des scènes jouées). C'est décousu, on met une somme d'ingrédients typiques sans même la peine de les passer au mixer, c'est ridicule. C'est dingue comme l'homme peut à la fois toucher l'excellence et la médiocrité, selon les âges et les individus, ce qui rend le phénomène contemporain de l'idiocracy-sation d'autant plus désolant. J'ai arrêté de regarde la télé depuis des années car je constatais que la pub, les infos (avec leur ton infantilisant sur certaines chaînes), et certaines émissions, tentaient de conditionner l'individu vers le bas. Je pense qu'à ce rythme, les films, déjà très rares à trouver grâce à mes yeux, vont finir par suivre le même chemin... Le manque de qualité majoritaire, je le conçois, mais la volonté délibérée le spectateur pour qu'il devienne toujours moins critique et exigeant, pour ne laisser de lui au final qu'un pur consommateur drogué aux affects, cela dépasse les bornes.
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