AlloCiné
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Formidable, mais quel film. Margot Robbie est incroyable, elle éclipse tous les autres personnages pourtant au top. J'aime les huis clos et les ambiances morbides et bien glauque. Là j'ai été servi, les décors sont sublimes, l'ambiance noire à souhait, les dialogues sont ciselés et les références à Lewis Caroll sont le plus, la trame du scénario digne d'Alice, une Alice torturée, cinglée sans doute mais l'ensemble est tout simplement hors du commun. Film à part qui ne peut pas plaire à tout le monde. A prendre au second degré certes mais vraiment je plébiscite.
Frédéric M.
Résumé un peu trompeur, mais le film séduit par son coté stylé, son rythme, et sa narration mais surtout pour le charme indiscutable de la belle Margot. D'autant que le doublage donne la voix de Catra (pour les fans de Shera) à Margot, et que ça colle bien.
Un polar, un thriller, un film noir, qui semblera long, à tous les impatients, à ceux pour qui, il faut de l'action, que cela bouge. C'est comme un huit-clos de seulement quelques personnages. On ne comprend pas au départ que quelque chose lie tout le monde. Cela fait beaucoup de référence à Alice aux pays des Merveilles, le livre et non pas la version édulcoré du dessin animé. Le lapin blanc, le terrier du lapin, le trou, bunny (lapin en anglais), de l'autre coté du miroir, mais ces références ne sont pas faciles à capter pendant le visionnage du film, parce que c'est distiller par de très petites touches, au fur et à mesure de manière discrète.
C'est la nuit, pour créer une atmosphère, à une époque, difficile à déterminer, est ce un futur ? une réalité alternative ? Y a beaucoup de jeu avec la lumière de la part de l'équipe technique. Ca donne une ambiance spéciale.
Doucement, toutes les pièces du puzzle se mettre en place, on commence à entrevoir, petit à petit, que le passé, les petites histoires des uns et des autres, ne sont pas décousus et juste là pour faire joli, mais le lien qui les relie, se tisse progressivement. On a une Alice revisitée, comme personnage central, on voit différente facette de sa personnalité se dérouler.
Rien à voir, avec le rasoir, le saoulant, le soporifique et glauque Sucker Punch, ici ce n'est pas un film décousu, sans aucun lien, manièré ou pseudo intellectuel ou pour de soit disant amateur d'art moderne qui vont triturer le film pou rlui trouver un sens, une explication de texte à une bouse. Non bien au contraire, le film est construit, mais très subtil, c'est très progressif. Un tout petit peu avant la fin, on aura ou pas deviner une partie de l'énigmatique personnage central, femme fatale, tueuse à gages, streap teaseuses ou serveuse ??
On pourrait lui trouver un petit coté Hitchcock éventuellement.
Un bon petit film, une atmosphère prenante au final, qui nous permet d'aller jusqu'à la fin. Surement pas des gros moyens, et surtout aucun couteux plan média pour vanter les mérites usurpées d'un sucker punch, et duper le spectateur. Ce film Terminal, avec une sortie qui n'a pas eu l'honneur des salles, mais un direct To Video ou DVD, est plus qu'honorable et mérite qu'on prenne le temps de le découvrir.
C'est la nuit, pour créer une atmosphère, à une époque, difficile à déterminer, est ce un futur ? une réalité alternative ? Y a beaucoup de jeu avec la lumière de la part de l'équipe technique. Ca donne une ambiance spéciale.
Doucement, toutes les pièces du puzzle se mettre en place, on commence à entrevoir, petit à petit, que le passé, les petites histoires des uns et des autres, ne sont pas décousus et juste là pour faire joli, mais le lien qui les relie, se tisse progressivement. On a une Alice revisitée, comme personnage central, on voit différente facette de sa personnalité se dérouler.
Rien à voir, avec le rasoir, le saoulant, le soporifique et glauque Sucker Punch, ici ce n'est pas un film décousu, sans aucun lien, manièré ou pseudo intellectuel ou pour de soit disant amateur d'art moderne qui vont triturer le film pou rlui trouver un sens, une explication de texte à une bouse. Non bien au contraire, le film est construit, mais très subtil, c'est très progressif. Un tout petit peu avant la fin, on aura ou pas deviner une partie de l'énigmatique personnage central, femme fatale, tueuse à gages, streap teaseuses ou serveuse ??
On pourrait lui trouver un petit coté Hitchcock éventuellement.
Un bon petit film, une atmosphère prenante au final, qui nous permet d'aller jusqu'à la fin. Surement pas des gros moyens, et surtout aucun couteux plan média pour vanter les mérites usurpées d'un sucker punch, et duper le spectateur. Ce film Terminal, avec une sortie qui n'a pas eu l'honneur des salles, mais un direct To Video ou DVD, est plus qu'honorable et mérite qu'on prenne le temps de le découvrir.
Faut vraiment aimer Margot Robbie pour le regarder jusqu'au bout.
Absence de scénario, on a du mal à ne pas déccrocher. Un navet
Absence de scénario, on a du mal à ne pas déccrocher. Un navet
Super film avec une plastique impeccable, de superbes prises de vue et effets de lumière, et un jeu d'acteur excellent. L'atmosphère y est et nous prend dès les premières minutes du film. Il manque malgré tout le grall à cause de son scénario linéaire et mou dans le milieu du film
une seule phrase pour décrire ce film : une histoire malade en phase terminale.
s'il n'y avait pas l'excellence des acteurs, ce film serait très mauvais.
et comme dit un des personnages "qu'est-ce que je m'ennuie comme un rat mort". eh bien oui ! on s'ennuie dans ce film.
y a rien, c'est vide, c'est creux, c'est raté.
s'il n'y avait pas l'excellence des acteurs, ce film serait très mauvais.
et comme dit un des personnages "qu'est-ce que je m'ennuie comme un rat mort". eh bien oui ! on s'ennuie dans ce film.
y a rien, c'est vide, c'est creux, c'est raté.
Eric C.
Subjugué, bluffé, presque vampirisé par ce film qui ne m'a pas lâché du début à la fin, happé par tant de qualités esthétiques, de références, de répliques, d'humour noir, de perversité organisée et même de coup de théâtre scenaristique final et pour laisser le meilleur pour la fin le jeu des acteurs et l'immense, la geantissime Margot Robbie. Un univers distopique totalement créé, contraire de l'idéal utopique, pour ce film noir qui reprend tous les ingrédients et les codes des films noirs des années 50, 60, tout en y superposant un univers intemporel mais futuriste presque post apocalyptique. C'est la première beauté incroyable de ce film, la magnificence de l'univers ,des architectures, bâtiments et décors sublimés par des lumières et une photographie de folie. Le film joue sur les lumières, les couleurs, les ombres et la lumière, dans un univers noir et glauque pourtant souvent saturé de couleurs vives et flashies .Bien sûr les personnages et quels personnages sont au diapason avec des typicites dessinées à la Tarantino, ne craignant pas d'aller à la caricature tant dans l'incarnation des personnages par les acteurs que les situations dans lesquelles on les piège et les répliques quasiment cultes qu'ils distillent généreusement .Un film violent de tueurs, de faux semblants, de contrats à remplir et au milieu l'inévitable femme fatale du film noir ou plutôt les femmes fatales tant Margot Robbie endosse de costumes, personnalités, fonctions, de la serveuse en passant par la vamp, la streap teaseuse et le final nous en révélera encore plus. Un rôle de folie, complètement barré et déjanté, un comportement pour le moins particulier et déroutant, des histoires qui ne semblent pas toutes avoir de rapport entre elles même si un personnage étrange, le veilleur de nuit balayeur de la gare terminal semble être sinon un trait d'union, au moins une présence et une influence indéniable. Margot Robbie déchaînée dans des répliques et réflexions morbides à souhait, véritables pépites d'humour noir mais aussi de perversité dérangée, le tout en accomplissant une stratégie et un plan parfaitement huilé qui prendra encore plus de sens au final. Un film réjouissant, magnifique visuellement, passionnant et drôle, pervers et nihiliste, nous régalant de répliques et de situations sublimes de distanciation et d'humour noir déjanté et surtout Margot Robbie, multi facettes, grandiose, comme toujours belle à damner mais surtout dans une précision et une implication dans le jeu étourdissante qui ne peut nous apporter qu'un sentiment : le bonheur.
Le seul intérêt de ce film c'est la présence de Margot Robbie et de ses lèvres charnues remarquablement carminées, quoiqu'elle était bien plus sexy dans le "Loup de Wall Street". Sinon, ce film n'a rien pour lui, décors minimaux, humour idiot, bavardage interminables, intrigue inintéressante, stupide et prétentieuse. On ne se raccroche à rien et on s'ennuie à 100 à l'heure. Je ne sais pas ce que Monsieur Vaughn Stein a voulu faire mais à mon humble avis il s'est bien planté.
Thriller sombrement efficace porté par le talent de Margot Robbie (Le loup de Wall Street, Suicide Squad, Moi Tonya), Terminal est la scène d’une gare où règne un vide glacial et des contrats d’assassins supervisés par un mystérieux personnage qui observe les alentours depuis une salle secrète à l’aide de caméras bien placées. Tantôt serveuse dans un café ou strip-teaseuse, tantôt femme fatale du haut de son manteau rouge flamboyant, la jeune Annie est avant tout une tueuse à gage cherchant à se venger de plusieurs personnes. Elle y rencontre de mystérieux personnages comme un enseignant perdu dans ses pensées joué par Simon Pegg (Shaun of the Dead, Les aventures de Tintin le secret de la Licorne, Ready player one), un gangster assez peu doué sous les traits de Dexter Fletcher (Arnaques crimes et botanique, Doom, Kick-Ass) et l’étrange gardien des lieux interprété par Mike Myers (Wayne’s World, Austin Powers, Hôtesse à tout prix).
D’abord compliqué à suivre, le scénario tente de s’immiscer dans une narration obscure des différents événements. La photographie éclatante joue efficacement sur les ombres et les lumières avec un éclairage parfois très fort, et marie brillamment les couleurs criardes, comme le rouge et le bleu visibles sur l’affiche. Non sans rappeler certains films de Quentin Tarantino, les dialogues explorent le background des personnages de manière astucieuse pour renforcer l’intrigue. L’intensité des musiques fait fortement grimper la tension et la fin enchaîne les moments forts, allant vers une révélation finale surprenante bien que le secret d’Annie puisse être rapidement prévisible à cause d’un montage un peu trop suggestif (le coup du parfum étant quant à lui bien plus subtil). Margot Robbie est magistrale dans les différents rôles qu’elle joue pour arriver à ses fins et Mike Myers excelle dans son interprétation de vieux concierge hantant presque les lieux tellement il se retrouve mêlé à la moindre transaction. Pour son tout premier film, Vaughn Stein a vraiment assuré !
D’abord compliqué à suivre, le scénario tente de s’immiscer dans une narration obscure des différents événements. La photographie éclatante joue efficacement sur les ombres et les lumières avec un éclairage parfois très fort, et marie brillamment les couleurs criardes, comme le rouge et le bleu visibles sur l’affiche. Non sans rappeler certains films de Quentin Tarantino, les dialogues explorent le background des personnages de manière astucieuse pour renforcer l’intrigue. L’intensité des musiques fait fortement grimper la tension et la fin enchaîne les moments forts, allant vers une révélation finale surprenante bien que le secret d’Annie puisse être rapidement prévisible à cause d’un montage un peu trop suggestif (le coup du parfum étant quant à lui bien plus subtil). Margot Robbie est magistrale dans les différents rôles qu’elle joue pour arriver à ses fins et Mike Myers excelle dans son interprétation de vieux concierge hantant presque les lieux tellement il se retrouve mêlé à la moindre transaction. Pour son tout premier film, Vaughn Stein a vraiment assuré !
Une atmosphère un peu à la Sin City très bien mise en scène et une Margot Robbie très bien dans son rôle, mais un scénario faiblard et un sentiment de vide humain dans l'histoire gâche un peu la fête.
Des images sophistiquées à la fois sombres et parfois flashies, une trame qui se découvre lentement, sans être un chef d'oeuvre ce film est plutôt sympa .
Pour son premier film, Vaughn Stein s'offre un casting plutôt alléchant. Malgré quelques parti-pris intéressant et une chronologie plutôt intéressante - tout comme son scénario, le film mord la poussière de la première minute à la dernière. Les histoires racontées en parallèle et qui se rassemblent à un moment donné manquent totalement d'intérêt, Margot Robbie, malgré un rôle sérieux, n'arrive pas à porter le film sur ses épaules pendant que Simon Pegg, dont la carrière ralentit depuis plusieurs années, n'apporte pas grand chose - en même temps son rôle est très bof. Je pense que Vaughn Stein s'était donné l'idée de faire un thriller psychologique assez sérieux, mais finalement, Terminal meurt dans des considérations caricaturales et tellement grotesques - les dernières minutes du film nous donnent même envie d'abréger les souffrances d'un film pareil, qui dans tous les critères, se trompent de route !
RealPrime
Porter par une mise en scène, une interprétation et une photographie parfaite, aucun acteur ni aucune actrice n'est dans le hors sujet. Un générique de début parfait avec tous ces néons multicolores donnant vie au début du contenu et qui sont par la suite les éléments principaux de la technique. Après Harley Queen, un rôle en double or massif pour Margot qui signe un show démesuré, sensuel et hyper sexy. Le montage est d'une fluidité sans égal, les décors et costumes parfaits. Un script cousu main qui n'en oublie même pas les petits détails des toutes ou très précédentes répliques entendues. Une histoire qui certes à failli me perdre à un moment qui fut tout éclairer au dernier instant par nos 2 héroïnes toute en une. Chapeau bas et une réalisation qui me donne franchement envie d'en connaître d'avantage, pour une contenu que, s'il avait duré entre 30 et 1h30 supplémentaire, m'aurait au plus au point ravis. Un Thriller, Un Régal.
7eme critique
Le manque de budget de cette petite production qu'est "Terminal" se ressentira en permanence, le film paraîtra brouillon, voire vide, et le spectateur en viendra très rapidement à s'ennuyer (souhaitant lui aussi sauter au beau milieu d'un gouffre pour s'épargner les prochaines minutes de cet interminable "film").
Margot Robbie livre une prestation too much donnant un aspect terriblement irritant à son personnage (voilà une piètre femme fatale qui ne restera pas dans les annales de ce registre), les différents twists sont particulièrement ridicules et n'apporteront strictement aucun charme, et les dialogues, quant à eux, seront tout bonnement insoutenables ; "Terminal" est tout simplement plat et épuisant, à l'image de sa mise en scène, de ses personnages, et de ses codes couleurs. C'est même à se demander si ce film n'est pas tout simplement un prétexte afin d'assouvir les envies d'un photographe de mode ou de réalisateur de clip amateur souhaitant expérimenter sa technique de contraste et de jeu de lumière, et manque de pot, le résultat en sera finalement plus agressif, facile et inintéressant qu'autre chose.
Cette sauce au goût d'amateurisme, s'inspirant à droite à gauche pour tenter de se forger sa propre identité, ne prendra pas, à aucun moment.
Margot Robbie livre une prestation too much donnant un aspect terriblement irritant à son personnage (voilà une piètre femme fatale qui ne restera pas dans les annales de ce registre), les différents twists sont particulièrement ridicules et n'apporteront strictement aucun charme, et les dialogues, quant à eux, seront tout bonnement insoutenables ; "Terminal" est tout simplement plat et épuisant, à l'image de sa mise en scène, de ses personnages, et de ses codes couleurs. C'est même à se demander si ce film n'est pas tout simplement un prétexte afin d'assouvir les envies d'un photographe de mode ou de réalisateur de clip amateur souhaitant expérimenter sa technique de contraste et de jeu de lumière, et manque de pot, le résultat en sera finalement plus agressif, facile et inintéressant qu'autre chose.
Cette sauce au goût d'amateurisme, s'inspirant à droite à gauche pour tenter de se forger sa propre identité, ne prendra pas, à aucun moment.
La beauté ne fait pas tout. Et quand on parle de beauté, Margot Robbie se pose là. Elle se pose d’ailleurs tellement là qu’elle est partout, dans tous les plans. En très gros, c’est l’histoire de deux tueurs à gages, d’un prof et d’une serveuse manipulatrice. Et tout ce petit monde disserte sur la vie et ses souffrances en attendant de faire ce qu’il a à faire. Bon en vrai il y a toute une manipulation avec un twist final de la mort mais comme ça marche pas trop, ne nous attardons pas dessus. Ce qui frappe de prime abord c’est bien sûr l‘esthétique de l’objet. C’est beau comme un néon chez Michael Mann, clinquant comme un néon chez Casto. Toute la palette de couleurs y passe. De même, l’équipe tenait un chouette décor, on pourra dire qu’il est exploité à fond. Les dialogues sont très présents et plutôt sympas dans l’ensemble. On sourit. Reste que tout ça paraît trop beau pour être vrai et finalement, tout sonne faux et creux, maniéré. Ça emprunte un peu partout mais ça ne sait pas où ça va alors ça en fait trop. Le défaut commun des premiers films. On préférera généralement l’original à la copie alors retournons vers Mann, Refn et De Palma. C’est plus sûr.
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